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nabxane101

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bon voila je dois faire un travail en morale sur les rapport homme-animal mais plus precisement dossier abatoir mais j'aimerais des sites sur internet
j'ai deja le dossier abatoir qui se trouve dans 100chevaux sur l'herbe
j'accepte toute les adresse et meme autres animaux que cheval corridas, chien, chat, cochon ,.......

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il y a un bouquin très sérieux sur le sujet : "L'homme et l'animal , un débat de société" publié par l'INRA , se trouve dans pas mal de bibliothèques .

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slt va voir sur hippophagie2005.skyblog.com c est 1 site rien qu avec des photo de chevaux destiner a l abatoire leur histoir et le traitement qui subise avant d y passer

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Invité
pk un tel dossier ?

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pour faire chier ma prof lool non ben c'est un sujet qui me touche beaucoup et je trouve ca degueullasse et je veux le montrer au autres de ma classe pour leur montrer car ils ne s'interessent pas bcp a ca
snif

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Invité
vas sur un marché et prends des photos

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http://www.cahiers-antispecistes.org
les gens qui ont fait ce site sont contre le spécisme
c-à-d .... comme il le définissent eux-même
"Le spécisme est à l'espèce ce que le racisme et le sexisme sont respectivement à la race et au sexe : la volonté de ne pas prendre en compte (ou de moins prendre en compte) les intérêts de certains au bénéfice d'autres, en prétextant des différences réelles ou imaginaires mais toujours dépourvues de lien logique avec ce qu'elles sont censées justifier.

En pratique, le spécisme est l'idéologie qui justifie et impose l'exploitation et l'utilisation des animaux par les humains de manières qui ne seraient pas acceptées si les victimes étaient humaines.

Les animaux sont élevés et abattus pour nous fournir de la viande ; ils sont pêchés pour notre consommation ; ils sont utilisés comme modèles biologiques pour nos intérêts scientifiques ; ils sont chassés pour notre plaisir sportif.

La lutte contre ces pratiques et contre l'idéologie qui les soutient est la tâche que se donne le mouvement de libération animale.
"
A mon avis il y aura surement des choses intéressantes à récolter auprès d'eux

Mais à mon avis ils sont un peu extrèmes... je croit que si on suivait complètement leur optique a fond on pourrait même avoir peur de faire du mal à une fleur lorsqu'un la cueille (àprès tout ce sont des être vivant aussi )... mais bon pourquoi pas...

en cherchant à spécisme ou antispécisme sur google tu trouvera encore d'autres sites

A voir aussi juste pour le fun http://www.themeatrix.com/

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Oui, très bonne idée, les cahiers anti-spécistes. Si tu veux, j'ai l'e-mail du type qui les fait... A moins que ce soit dispo sur le site, je ne sais plus...

Enfin, va voir mon site. C'est un peu le bordel, mais c'est une mine d'info et de liens!
http://groups.msn.com/protegeonslesanimaux

Ah oui, il y a aussi les ouvrages de Peter Singer dont "la libération animale".

Va aussi voir ce lien-ci qui est une conversation http://groups.msn.com/protegeonslesanimaux/general.msnw?action=get_message&mview=0&ID_Message=2026&LastModified=4675508608967136503

Enfin, recherche bien dans le site, il y a des tonnes de liens.

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voici 2 sites ou tu pourra trouver des infos et/ou poser des questions. le 1 er est une nouvelle assoc (franco belge) n'esite pas a contacter les responsables.
l'aure est une personne formidable qui sauve "personellement" des equides sur les marchés et chez les marchands memes.elle est tres calee et pourra te répondre. il y a d'ailleur un sauvetage prévu fin mars a anderlecht.
n'esite pas a me demander si tu as besoin, on a participé a des sauvetages et j'ai ete au marché sauver des poneys.

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merci beaucoup pour tout vos liens
Rohirrim Girl ton site est assez bien fait continue meme si tout les liens montre des horreurs snif
si vous en avez encore n'hesiter pas olala

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nabxane10 a écrit:
Rohirrim Girl ton site est assez bien fait continue meme si tout les liens montre des horreurs snif

C'est bien pour cela que je l'ai fait...
Expliquer les choses ne sert à rien. Ca rentre par une oreille et ça sort par l'autre...
Alors que les images, ça choque et ça dégoûte. En tout cas, si tu as besoin d'aide, sur le fond, sur la forme, je suis là! Wink

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merci beaucoup mais malheureusement je ne peux pas monter toute ces horribles videos a ma prof car on ne va pas au ordi mais je vais selectionner des images fortes comme celle du raton ( je croix) sans fourure et la mettre avec une belle image quand ils sont en pleine nature
quand mon dossier sera fini je ferais des photos ou scaner et le metterais sur le forum olala

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Le DH a publié hier un article parlant de la fourrure. excellent. Images TRES choc parues dans un journal populaire. J'espère que ça aura fait son effet!

Oui, Privatejoke, the Meatrix, c'est excellent! Dommage qu'il n'existe pas de version frç pour ceux qui ne comprennent pas l'anglais. J'ai une version BD parue dans la revue des casseurs de pub. Je pourrais essayer de la scanner si ça intéresse qqun.
En fait, c'est un pastiche de Matrix, comme on l'aura compris. Je ne connais pas le nom des personnages originaux du film donc difficile de vous expliquer, amis c'est à voir...

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Citation :
Je pourrais essayer de la scanner si ça intéresse qqun.


tu pourrais me l'envoyer sur mon adresse e-mail rose

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Ok, mais ce sera en plusieurs parties parce que ce n'est pas un format A4 mais + grand (et mon scanner est un A4)

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rohirrim girl tu n'as pas d'autres liens car beaucoup sont introuvable sur ton site et sur d'autre ??

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bon ca y est j'ai fini mon dossier il est pas exeptionnel mais il me satisfait a moi hehe

Travail de motivation


Vous êtes vous déjà demandé ce que pouvait être un monde sans cruautés , sans violences , dans le respect de la nature et des animaux ?
Un monde où vous pourriez croiser un cerf lors de votre promenade sans vous étonnez et en trouvant cela tellement beau ?

Cela existait au temps où l’homme se rendait compte qu’il devait sa vie à la nature . Mais aujourd’hui , il est devenu tellement imbu de sa propre race qu’il se croit tout permis et obligé de contrôler la nature , d’utiliser la violence ……
« le monde est dangereux à vivre , non pas à cause de ceux qui font le mal , mais à cause de ceux qui regardent et laisse faire «
albert einstein

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Un peu d’histoire



Durant la préhistoire pour se nourrir l’homme devait chasser . Comme les autres animaux , il devait tuer pour subvenir à ses besoins alimentaires et vestimentaires, tout lui était nécessaire , mais malgré tout , il n’y avait pas de tueries abondantes . L’homme respectait la nature et les animaux .

Bien plus tard, il apprend à élever les animaux, à avoir un troupeau, toujours dans le même but se nourrir et se vêtir .

Au temps des seigneurs, la « Chasse » est inventée, juste pour leur plaisir , guetter, piéger l’animal pour le capturer et le tuer . Voilà le départ de l’abus ! Bien sûr, certain animaux seront mangés mais combien d’autres seront chassés pour être capturés et parqués dans des cages .

Ensuite l’homme se justifie par la régulation de l’espèce ; il y a eu trop de tigres « ils sont en voie d’extinction « . Les éléphants ont été chassés pour notre intérieur grâce à leur ivoire , de même que les grands singes , les gorilles , ont été retrouvés les mains coupées ; celle ci servait de cendriers !

Que penser de l’attitude des hommes face au désarroi des animaux . « Amis de l’homme « !

A l’heure d’aujourd’hui, il est vrai que les animaux sont amenés vers l’abattoir pour les euthanasier mais que penser de l’exportation d’animaux qu’ils soient exotiques ou non , ils sont de toute façon traqués et capturés ?

Que penser des chiens de concours, les lévriers espagnols qui , malheureusement perdent, ne rapportent pas à leurs maîtres les gains qu’ils espèrent, ces chiens sont pendus à un arbre en pleine nature, non, pas pour les tuer mais pour les laisser agoniser, car ils ne meurent pas tout de suite.
Vous aimez votre chien ? tant mieux !


Que penser de l’exportation des chats des pays de l’est , du massacre des phoques ?
Savez vous qu’il est interdit d’utiliser de l’insecticide contre les espèces de fourmis protégées, telles que la fourmis rouges des bois ?
Tout ceci pour vous dire que certaines races sont protégées mais que dire du rapport homme-animal en d’autres circonstances .
Avez vous déjà participé à une corrida ?
Même en temps qu’acteur passif , appréciez vous cette mise à mort ? Voir ce taureau fatigué de courir d’un point à l’autre , excité par le bruit, les cris, pour finir épuisé , embroché par la dague du torero .
Que pensez de l’attitude de l’être humain que nous sommes ?
Ceci se passe, bien entendu, en dehors de chez nous .
Mais , avez vous déjà entendu de maltraitance à notre niveau ?

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La corrida


histoire


Souvent qualifiée de spectacle « inexcusable mais irrésistible », la corrida existe depuis l'Antiquité. Une peinture rupestre mise au jour à Knossos en Crète, datant de 2000 av. J.-C., représente des hommes et des femmes acrobates affrontant un taureau, saisissant ses cornes alors qu'il charge et sautant sur son dos.
Les spectacles de courses de taureaux étaient très fréquents à Rome mais c'est dans la péninsule Ibérique que la corrida prit réellement son essor. Les Maures, originaires d'Afrique du Nord, qui envahirent l'Andalousie en 711, modifièrent considérablement les règles de la course de taureaux ; le spectacle bestial et non codifié que pratiquaient les Visigoths avant l'invasion devint un rituel de jours de fête au cours duquel les Maures, montant des chevaux spécialement entraînés, affrontaient et tuaient des taureaux.
Avec le temps, les toreros à pied, qui aidaient les cavaliers à positionner le taureau grâce à leur travail de cape, prirent une importance croissante aux yeux du public, et la corrida commença à prendre sa forme moderne.
Aujourd'hui, la corrida est très proche de celle qui se pratiquait en 1726, date à laquelle Francisco Romero, introduisit l'estoc (l'épée) et la muleta (petit morceau de flanelle rouge plus maniable que la cape utilisée avant la mise à mort).



Déroulement

Le combat se déroule en trois actes

Le tertio de piques :

Pour rendre l’animal "toréable", il faut commencer par l’affaiblir, c’est le rôle des deux picadors qui rentrent alors en piste, ils sont armés de leurs puyas (longue pique).
Plus ou moins meurtrier, le coup de pique se doit d’être planté entre la quatrième et la septième vertèbres dorsales, coupant les muscles releveurs et extenseurs du cou, et entre les quatrième et sixième vertèbres cervicales, pour sectionner les ligaments de la nuque.
A chaque poussée du taureau, la pique s’enfonce un peu plus, jusqu’à 14 cm. Cela s’appelle "travailler" le taureau. De six à huit fois successivement, la pique fouille, s’enfonce.
Les avantages tirés d’un travail bien fait sont énormes pour le matador, ne pouvant plus bouger la tête, la gardant baissée lors des différentes passes et démonstrations, l’effet de fausse bravoure est donné par l’impression que le taureau va charger à tout moment.
Autre avantage pour le matador: le taureau ne relevant plus la tête, tout danger ou presque, est écarté.

Le tertio de banderilles :

Ce n’est pas un simple jeu innocent comme on veut le faire croire.
Ces harpons de cinq centimètres ont pour but précis de faire évacuer le sang vers l’extérieur pour empêcher qu’il y ait hémorragie interne suite au travail du picador, et s’assurer ainsi que le taureau ne flanchera pas avant la fin du spectacle.
Et chaque taureau reçoit ainsi trois paires de banderilles.

La mise à mort :
Après que les peones aient fait faire plusieurs passes au taureau, stimulant la bête pour mieux l’épuiser, elle est enfin préparée pour le troisième acte : le « tertio » de mort.
Le matador (gigotant dans postures « esthétique ») attire et dirige à l’aide de son étoffe rouge les charges du taureau, ridiculisant et humiliant ce pauvre animal à bout de force.
Ensuite il lui fera baisser la tête (à l’aide de son étoffe rouge), pour lui planter l’épée dans le garrot, ce garrot déjà martyrisé par les piques et les banderilles.
Lorsque le taureau a l'indécence de ne pas tomber, ce qui arrive environ une fois sur trois), le tueur achève sa triste besogne à l'aide d'un descabello (épée spéciale plantée entre les deux cornes, pour lacérer le cerveau...)
Puis le taureau, parfois encore conscient, est attaché par les cornes puis traîné hors du regard du public

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Mode fourrure…. Mode torture


L’ »insoutenable légèreté » d’un vêtement ou d’un accessoire en fourrure se paie avec le sang des animaux .
Tous, vison, renard, chinchillas, raton laveurs, castors, zibelines, martres, chiens, chats, lapins, phoques………. Piégés dans les usines à fourrure, tous, subissent le sacrifice sanglant au marché du superflu.

Le piège

Os brisés, tissus lacérés, articulations disloquées : dans le monde, à chaque seconde, 60 pièges mutilent des animaux nés pour être libres . grâce aux défenseurs des animaux, les consommateurs ont pris conscience de la cruauté du trappage . Et cependant, piégés par le lobby des fourreurs et les médias, ils se tournent vers la fourrure provenant d’élevage , supposés plus humaine. Mais la cruauté ne s’arrête pas au piégeage. L’élevage aussi déverse ses horreurs ?

L’usine à fourrure

Malgré ce que disent les éleveurs, la réalité scientifique est là : il ne sera jamais possible d’humaniser l’élevage. Ces usines à fourrure créent un maximum de souffrance à des animaux qui reste sauvages. Ils sont enfermés dans des cages surélevées, exiguës et sales. Mal nourris, terrorisés, sans possibilité de se mettre à l’abri, privés de e qui est essentiel pour eux , les animaux ont des problèmes comportementaux graves, allant de l’automutilation au cannibalisme. Ces cages sordides ne sont que l’antichambre de la tuerie. Juste après leur première mue, les animaux sont gazés, électrocutés, empoisonnés ou battus à mort ……….

La facture

Le piégeage bouleverse les écosystèmes ( pour un animal ciblé, quatre animaux dits « rebus » sont aussi piégés) et la préparation des fourrures génère des dégâts environnementaux . à la lourde facture pour les animaux s’ajoute le coût pour la nature .

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Les transports de la honte !



Après une vie contre-nature dans les élevages industriels, tels des marchandises, ils sont embarqués pour un voyage infernal avec pour seul horizon, L’ABATTOIR.

Chaque année, des milliards de veaux, de vaches, d’agneaux, de mouton, de chevaux et de cochons sont transportés sans le respect des règles et dans le total mépris de leurs souffrances, à travers toute l’Europe, et vers le Moyen-Orient et l’Afrique du Nord.


Ces cargaisons de souffrance et de mort

Au chargement de nuit, après une immobilisation forcée de plusieurs mois, les animaux terrorisés, pouvant à peine marcher, sont embarqués à la hâte à coup de bâton et d’aiguillon électrique. Les camions, peu adaptés, sont souvent sales et surchargés. Ces êtres sensibles sont transportés pendant des heures, des jours et des nuits sans eau ni nourriture, sans soin ni repos. N’ayant pas de place pour se coucher, n’en pouvant plus de fatigue, des animaux s’écroulent et sont piétinés . certains sont victimes de blessures ou de fractures . D’autre meurent de crise cardiaque, d’épuisement ou de suffocation ( il fait jusqu'à 50° en été dans les camions )
Le déchargement ajoute son poids d’honneur avant la phase finale : celle de la mise à mort

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L’élevage industriel


Le but de l'agriculture intensive : produire au maximum en réduisant les coûts au minimum. D'où des pratiques d'élevage "hors sols" où les animaux sont cantonnés dans des hangars, au mépris de leur bien-être. Quelle que soit l'espèce, l'animal élevé dans ces usines, souffre.

Vaches laitières

Une fois qu'elles ne produisent plus assez de lait, vers l'âge de 7 ou 8 ans, parfois plus tôt, elles sont retirées de la chaîne de production. Comme elles sont complètement décharnées, à ce stade, elle sont tout d'abord nourries, pour qu'elle fassent un peu plus de viande. Elles partent ensuite à l'abattoir. Chez les agriculteurs, ce type de vache est dite "réchappée ».

Veaux en batterie

Ils passent leur courte vie dans la pénombre, avec une nourriture liquide anémiante, sans fer pour que la viande soit blanche. Ils vivent dans des box larges de 90 cm (+ ou - 10%) selon la directive rapidement trop petits pour pouvoir se retourner. La cruelle séparation d’avec leur mère, l’ennui puis l’abattage. Ni le soleil, ni l’herbe, ni compagnon de jeux

Porcs

Ces animaux intelligents et sensibles sont sans doute les plus maltraités par l'industrialisation. Castrés sans anesthésie vers l'âge de 8 jours, ils grossissent entassés dans le noir. Leur nourriture médicamenteuse les amène au poids d'une centaine de kilos vers 20 semaines - moment de l'abattage.
Les truies, machines à produire des porcelets, vivent derrière des barreaux, sans même pouvoir se retourner. Apres une vie d’immobilisation totale, elles ne peuvent plus marcher. Alors, enchaînées à une grue, elles sont traînées dans le camion de transport vers l’abattoir. Elles finiront en rillettes ou saucissons, car leur chair meurtrie ne serait pas présentable en jambon

Volailles de chair

Elles sont entassées au sol, souvent plusieurs milliers par hangar. Leurs pattes et abdomen sont progressivement brûlés par l'ammoniaque de leurs fientes. Les plus abîmées finissent en "morceaux" : blancs ou cuisses! Les poulets arrivent à un poids d'abattage à 40 jours (contre 84 en filière traditionnelle), et leurs os ne supportent pas toujours leur poids gagné trop vite.


Poules pondeuses

Dans un univers mécanisé, un tapis roulant apporte leur nourriture, un autre emmène leurs œufs. Vers un an, quand leur production baisse, elles sont ramassées à toute vitesse par les pattes et entassées pour leur dernier voyage. En arrivant à l'abattoir, une sur trois a les pattes brisées. Comme les truies, leur triste état ne permet pas d'en vendre la chair, même en morceaux : elles finiront en remplissage de raviolis ou en bouillon cube "à la poule".

Des conséquences pour l'homme

L'entassement, l'ennui et le stress provoquent des maladies, et donc une large consommation de médicaments, pour soigner mais aussi favoriser la prise de poids. Il s'agit notamment d'antibiotiques. Ce qui favorise la résistance aux antibiotiques aussi bien chez les animaux que chez les humains et accroît le risque de transmission de maladies animales vers l'homme.
Ces élevages ont provoqué la disparition de plus de 7 millions d'agriculteurs depuis 1946 et une crise de surproduction qui touche actuellement toute la filière agricole. Malgré les rapports préconisant une baisse de la production, les ouvertures et extensions se multiplient, conduisant inévitablement la filière intensive vers une impasse.

Et pour l'environnement

L’élevage industriel ne respecte ni l’animal, ni la nature Une note des services statistiques du ministère de l'agriculture, parue le 9 avril 2003 indique : "L'agriculture intensive apporte trop d'azote sur les sols". Le bilan de l'azote établi pour l'année 2001 montre que "715 000 tonnes d'azote, soit 19 % des quantités apportées par l'agriculture, restent dans le sol. Une fois transformées en nitrates, elles risquent d'être entraînées en partie par les eaux de ruissellement ou d'atteindre les nappes phréatiques par infiltration. Les nitrates gagnent l'eau de consommation, qui n'est plus considérée comme potable au-delà de 50 milligrammes de nitrates par litre selon les normes de l'Organisation mondiale de la santé. Ils participent également à l'invasion du littoral par les algues vertes. Les plus forts excédents azotés sont ceux des départements bretons où se côtoient producteurs de porcs, de volailles ou de légumes et élevages bovins. Les excédents d'azote atteignent 35 000 tonnes dans les Côtes-d'Armor, 29 000 dans le Finistère et 23 000 tonnes dans le Morbihan. Ces quantités représentent près du tiers de l'azote apporté par l'agriculture dans ces trois départements.

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voila je vais dire merci a tout ceux qui m'ont aider
et a rohimir grace a elle en surfant un peu plus je suis tombe sur l'adresse onevoice qui m'ont fourni gratuitement de depliant et des tracts youpi
rose

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