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tinoalgerino

les maladie et leurs traitement

Messages recommandés

respiration bruyante =maladies respiratoires:Ocemycol, Ocerespirol


boutons pustules =variole: Ocemycolicine

diarrhée: Ocemycine, Oceproven

perte de plumes =mue: Ocemue

respiration bruyante =acariase: Ocenet

pattes rouges, enflées =absorption de graisses rances: Oceférol

mortalité au sevrage(entre 1-2 mois) =lankesterellose: Ocecoxyl

mortalité au nid(vers 6-10 jours) =colibacillose: Ocemycine

ventre rouge foie gros,décoloré =hépatite: Ocecholine

écailles épaisses dépôt blanchâtre =gale: Ocegale

parasites externes poux: Ocenet, Ocepou


- 1 -
ALASERINE Composition : tétracycline, furazolidone,
chloramphénicol, sulfadianéthoxine

L'alasérine, présentée sous forme de petits comprimés à donner dans le bec de l'oiseau, permet de
traiter des sujets très malades qui ont cessé de s'alimenter dt de boire.
L' alasérine est efficace contre la plupart des maladies microbiennes, telle que la salmonellose, la
pseudotuberculose, la colibacillose, voire même contre la coccidiose.
Dosage : 1 comprimé par jour pour un oiseaus de 10-30 gr.
2 comprimés par jour dans des cas graves.
Pour les grands oiseaux, selon le poids.
Pour les petits exotiques, ½ comprimé par jour.
Le traitement est à poursuivre jusqu'à ce que l'oiseau s'alimente et boive à nouveau.
Ensuite, continuer le traitement en ajoutant dans l'eau de l'Ocemycol ou de la Mycolicine.

OCECHOLINE Composition : choline, bétaïne, phosphore, calcium,
sorbitol, oligo-éléments.

Prévention de l'hépatite et de la carence de minéraux. Plus de 40 % des oiseaux souffrent d'hépatite
et d'inflamations intestinales. Les symptômes en sont : tenue boule, ventre rouge, va continuellement
à la mangeoire mais ne mange pratiquement rien, même phénomène avec l'eau.
Ce comportement va en augmentant pendant 3-5 semaines et entraîne la mort. Cette maladie est tout
simplement due à une alimentation trop riche, telle que graines trop grasses et à des intérieurs
chauffés. Cette accumulation de graisse amène à la carende de minéraux. Chez l'oiseau atteint
d'hépatite, donner de l'alpiste, du gruau d'avone, du millet, des fruits et de la verdure.
L' ocecholine doit être administrée régulièrement pendant 2 jours consécurifs par semaine, dans des
cas graves, 10 jours consécutifs et ensuite dose normale.
Dosage : 13 gouttes dans 60 ml d'eau(=3c.à soupe d'eau)
Pour les grandes volières, 1c. à soupe dans 250 ml d'eau


- 2 -
OCECOXIL Composition: sulfamétoxine 3 %, pyriméthamine 1 %

Coccidiose - type Isospera
Maladie unicellulique de l’intestin qui ne peut être diagnostiquée qu’au moyen d’un microscope
en laboratoire. Ne provoque pas de diarrhée hémoragique. Seul le poulet en est atteint.
Le contenu de l’intestin des oiseaux très atteints est blanchâtre. Un oiseau guéri ne récidive pas.
Cette maladie est rare chez les canaris, alors que plus courante chez les passereaux indigènes
(bouvreuils, pinsons, verdiers) et surtout chez le rossignol du japon et le cardinal. La perruche ondulée
en est rarement atteinte.

Lankesterellose:
Cette maladie, due à des parasites dans le sang, cause depuis plusieurs années de sérieux
problèmes aux éleveurs. Elle se manifeste en 8 à 10 jours par des accès de diarrhée, ventre rouge et
amaigrissement. Le foie et la rate sont surdimensionnés et l’intestin est gonflé.
Dosage : 1 c. à café dans 2 l d’eau ou en plus petite quantité, 5
gouttes dans 60 ml d’eau.
Cette dose préventive et curative est valable contre la
coccidiose.
En cas de coccidiose : 5 à 6 jours de traitement, ensuite continuer avec 5 jours d’intervalle.
En cas de Lankesterellose : administrer la dose 3 jours consécutifs par semaine à titre préventif, dès
la 5ème à la 10ème semaine après l’éclosion. Si la maladie est déclarée, la dose est à donner
pendant 10 jours consécutifs.
Attention : Pas d’usage de ce médicament en période de ponte.

OCEFEROL Composition : vitamine E , acétate de tocophérol

La vitamine E est indispensable pour la reproduction, assurant fécondation et éclosion. Cette vitamine
permet aussi de corriger l’action toxique des graisses rances.
Il est important de compléter le Vitavit ou l’Océvital donnés en période de repos avant et pendant la
période de fécondation. On a aussi démontré que la vitamine E favorisait la formation des anticorps
qui assurent l’immunité et qu’elle protège contre les accidents dus à l’absorption éventuelle de
graisses et huiles rances, décelable aux enflures des pattes et de thromboses.
Dosage : 6 gouttes dans 45 ml d’eau=(3 c. à soupe d’eau) 2 jours
par semaine ajouté au Vitavit ou Océvital.
En cas d’empoisennement par absorption de graisses
rances : doubler la dose
pendant 6 à 7 jours, ensuite continuer avec la dose
normale pendant 8 jours.
OCEFEROL est inaltérable et conservable sans limite. Il n’y a pas danger d’empoisennement.


- 3 -
OCEGALE Composition : carbaril 2 %

Traitement de la gale des pattes et du bec:
Ne pas appliquer Océ-Gale sur les gales des plumes.
La gale est due à de très petits acariens vivant dans la peau. La gale courante est celle des pattes
chez les canaris et autres petits passereaux, celle de la tête (bec et yeux) chez la perruche ondulée
surtout.
La gale de la peau et des plumes est rare, la perte des plumes est due à des mues anormales (voir
mue).
Ocegale (suite)
La gale des pattes se manifeste par un épaississement des pattes avec formation de croutes blancjaunâtres
soulevant les écailles. Cette affection est contagieuse.
Dosage : 1 application avec un pinceau ou un tampon de coton
uniquement sur la croute. A répéter 6 à 8 jours plus tard.
Attention : Pas d’application continue qui entraînerait des inflamations difficiles à guérir.



OCEMUE Composition : acides aminés, choline, bétaïne, vitamines
du groupe B, lysine, méthionine, arginine


Complément vitaminé et aminé apportant tous les éléments nécessaires à la formation du plumage
pour oiseaux en mue.
Océ-Mue est également très efficace chez les reproducteurs pour favoriser les éclosions.
La Mue peut aussi être due aux intérieurs chauffés, éclairage constant, air trop sec, faits qui
provoquent des dérangements hormonaux.
Ce produit, enrichi de Vitamine B15 est en autre efficace contre la fatigue, la malformation des plumes
et contre les kystes glandulaires.
Dosage : En début de mue et en temps de reproduction :
périodes de 12 à 15 jours 30 gouttes dans 125 ml d’eau
En période de croissance : la moitié de la dose pendant
15 jours.
Perroquet dose journalière : 1 ml = 3o gouttes par oiseau.
Attention : Par temps chaud ne pas conserver la préparation plus de 12 heures.


- 4 -
OCEMYCINE Composition : néomycine
3 gr de poudre pour 250 ml d’eau
12 gr de poudre pour 1 l d’eau
La mortalité au nid, due à des germes présents dans l’intestin (colibacillose) des reproducteurs,sans
toutefois causer de troubles pour ces derniers, mais contaminant les jeunes plus fragiles,a pour
conséquence des mortalités élevées, surtout entre 6 à 10 semaines. La colibacillose reste le germe le
plus souvent responsable de cette mortalité au nid
L’emploi d’Océ-Mycine permet d’éviter cette mortalité par traitement des reproducteurs pendant 1
mois avant et pendant la reproduction. Un traitement qui donne 90 % de résultat.
Les échecs sont dus à d’autres germes tels que staphylocoque et streptocoque. Dans de tels cas il
faut faire un antibiogramme des cadavres en laboratoire. Contre ces germes résistants, l’emploi
d’Océmycol est conseillé.
Dosage : 3 gr dans 250 ml ou 12 gr dans 1 lit. d’eau. Cette coction
ainsi obtenue s’administre par 1 c.à café dans ¼ lit. d’eau
de boisson. Traitement pendant 1 semaine,
éventuellement encore pendant quelques jours de plus.


OCEMYCOL Composition : ampicilline 2 %, érythromycine 2 % arôme
vanille synth.
20 gr Poudre soluble très bien acceptée dans l’eau de boisson.
Traitement des maladies respiratoires infectieuses du canari, mais aussi des grandes maladies
microbiennes.
Posologie : 1 mesure rase dans 30 ml d’eau=(3 c.à soupe d’eau) à
donner pendant 6 à 7 jours.
Traitement à poursuivre 3 fois après la guérison avec des
intervalles de 7 à 8 jours
En cas d’échec, il pourrait s’agir d’une attaque d’acariens.
Océ-Mycol apporte également de bons résultats contre staphylocoques et streptocoques.


- 5 -
OCEMYCOLICINE Composition : 8 % de chloramphénicol sous forme de
palmitate

Le chloramphénicol à larges spectres d’ antibiotiques est un des médicaments le plusefficace, mais
compte tenu de son amertume est souvent refusé par l’oiseau.
Le palmitate au contraire n’a pas de goût et, rendu miscible à l’eau, permet une excellente acceptation
par l’oiseau.
Grande efficacité contre les agents pathogènes de la salmonellose, la pseudotuberculose, la
coliinfection, la psithacose et l’ornithose.
L’Océ-Mycolicine donne également d’excellents résultats dans le traitement contre les virus de Pox
(variole) des canaris, tout au moins dans la forme avec lésions externes.
Posologie 6 gouttes dans 30 ml d’eau (= 2 c. à soupe) pendant 6 à
7 jours.


OCENET Composition : carbaryl à 5 %

Les oiseaux de cage sont sujets à toutes sortes de parasites, tels que pou du plumage etacariens. Le
pou n’est en soit pas dangereux parce qu’il ne s nourrit pas de sang, mais très désagréable. Les
acariens par contre sucent le sang et provoquent chez les jeunes des anémies graves, parfois
mortelles.
Le pou rouge (acarien) ne vit pas sur l’oiseau, se cache le jour dans les nids, les fentes, les
mangeoires et attaque la nuit.
Le pou noir (également acarien) vit sur l’oiseau, on le reconnait à de minuscules petits points au
ventre et au cloaque.
Océ-Net, ajouté à l’alimentation lutte contre les acariens des voies respiratoires..
Dosage: contre les acariens des voies respiratoires: 1 gr d’Océ-
Net dans 50 gr. de graines grasses pendant 1 jour, à
répéter 8 jours plus tard.
Contre les acariens rouges et noirs : poudrer nids, cages,
oiseaux et perchoirs.
Océ-Net est inoffensif pour les oiseaux.


- 6 -
OCENIDAL Composition : protéines digestibles 42,5 %, phosphate
bicalcique 50 %, sorbat de potassium 1 %

Océ-Nidal, ajouté à la pâtée à raison de 3 c. à café pour 100 gr de pâtée, est un complément
alimentaire apportant acides aminés essentiels et minéraux (P, Ca), ainsi que des élements
immunitaires bilogiques. Evite des oeufs clairs en fin de ponte, stimule la croissance des oisillons et
permet d’obtenir un beau plumage. Réduit sensiblement la mortalité au nid.
Océ-Nidal ne remplace pas l’Océmycine utilisée contre les maladies bactériennes, telles que
choliinfections, mais apporte une amélioration considérable. Océ-Nidal est à donner surtout dès
l’éclosion pendant 15 jours.
Posologie : Ajouter 5 % d’ Océ-Nidal dans la pâtée habituelle, soit 3
c. à café rases pour 100 gr de pâtée, dès l’éclosion
pendant 15 jours.


PERROTONIC Composition du liquide: calcium, phosphore, mangane,
zinc, cuivre, cobalte, iode, lysine, acéthile, méthionine,
choline
Composition de la poudre: vitamine A, D3, E, B1, B2, B3,
B5, B12, biotine etc.
15 ml de liquide + 18 gr de poudre.
Complément alimentaire équilibré à base de minéraux et vitamines pour perruches et perroquets;
prévient le picage et arrachage des plumes.
Dosage : très important: la petite mesure doit rester sèche.
Pour oiseaux de 300 à 600 gr.1 petite mesure de poudre
à mélanger avec 4 gouttes de liquide. Ajouter à la
solution ainsi obtenue 3 c. à soupe d’eau et donner à
boire 2 fois par semaine.
Dosage pour volières: mélanger dans ¼ l d’eau 1 grande mesure de poudre et 1
c. à café de liquide.
__________________________________________________

- 7 -
OCEPROVEN Composition : lactoferment, lactate de calcium


Océ-Proven contient des enzymes digestifs et des anticorps protecteurs contre les diarrhées bénines
dues à des microbes ou des parasites. L’oiseau atteint de diarrhées, non seulement boit
démésurément, mais perd du poids,et présente une carence accentuée en sels minéraux. D’où les
problèmes de microbes.
Les sels minéraux contenus dans Océ-Proven remplacent les minéraux perdus. Les acides aminés,
enrichis d’arômes antiseptiques et de ferments lactiques ont un effet préventif contre les diarrhées et
empêchent la prolifération des microbes.
Océ-Proven est également recommandé après une durée prolongée de prise d’antibiotiques.
Dosage Art. 3539 3 mesures de poudre dans 3 c. à soupe d’eau, bien
mélanger, à donner
à boire tel quel.
Dosage Art. 3559 1 mesure rase de poudre dans ¼ l d’eau comme boisson
quotidienne jusqu’à récupération du poids.
Ne pas stagner l’eau de boisson plus de 24 heures.


OCEPOU

Utilisation : Elimination des poux que vivent dans l’environnment rapporché des oiseaux de
compagnie, (nids, mangeoires, fonds de cages, locaux d’élevage, cons de murs, etc.)
Mode d’emploi : Ocepou est une poudre à diluer pour le traitement
insecticide du matériel et de l’environnement de l’oiseau.
Délayer 1 cuillerée à soupe d’Ocepou dans 2 litres d’eau
jusqu’à obtention d’une suspension homogène.
Pulvériser la solution obtenue sur les cages et le
matériel.
Ne pas utiliser directement sur les oiseaux, le fourrage, l’eau de boisson, l’eau du bain.


- 8 -
OCERESPIROL Compostion :essences végétales aromatiques
(thym, romarin, pin sylvestre, sauge,eucalyptus,
girofle, acétiyl cystéine)

Les maladies respiratoires des canaris sont très répandues et ne s’enraient pas avec des
antibiotiques car il s’agit là d’un traitement de longue durée. Il faut donc utiliser des arômes extraits de
plantes qui en plus ont l’avantage de fortifier le système immunitaire.
Océ-Respirol, parfaitement non toxique peut être utiliser régulièrement. à titre préventif.
Dosage : 8 gouttes d’Océ-Respirol dans 45 ml d’eau de boisson (=
3 c. à soupe d’eau ) à donner tous les jours pendant 10
jours.
Océ-Respirol est miscible avec tout autre médicament.


OCEVERM Composition : pipérazine de citrate

Océ-Verm est un sirop assez agréable, peut donc se donner directement dans le bec, dans l’eau de
boisson ou sur la pâtée.
Dosage : 25 gouttes par 100 gr de poids de l’oiseau ou 1 c. à café
pour 400 gr de poids.
Répéter le traitement après 2 à 3 semaines et ensuite
tous les 2 à 3 mois.


OCEVITAL Composition : toutes les vitamines vitales pour oiseaux
de cages, enrichi d’acides aminés.


Il n’est pas évident de couvrir le besoin en vitamines des oiseaux en cages par la nourriture.Fruits
et légumes ne couvrent pas la totalité du besoin vitaminique de l’oiseau
Océ-Vital, un produit stabilisé conservable contenant 12 vitamines peut être ajouté à l’eau
deboisson. Océ-Vital n’étant pas un médicament, mais bien un complément de nourriture, ce
produit peut être donner régulièrement 2 fois la semaine.
Dosage : 1 mesure rase de poudre diluée dans 45 ml d’eau(= 3
c. à soupe) ou 1 c. à café de poudre dans 1 lit. d’eau.
Cette solution ainsi obtenue à donner 2 fois par
semaine.
Pour des oiseaux stressés (transports et expositions ou en convalescence 3 à 5 jours consécutifs
par semaine.
Après usage de la poudre, bien refermer la boîte et n’utiliser qu’une mesure bien sèche.
Attention: Ne pas conserver la solution au-delà de 24 heures et éviter l’exposition au soleil.

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Merci frère. La question que j me pose, Ya t il dés vaccins pour prévenir les maladies les plus courantes chz nos oiseaux? ?? Comme pour les chiens et les chats! !

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Merci pour le partage tinoalgerie



@l'oranais le suel vaccin c'est un bon entretien Very Happy càd une bonne hygiene une bonne alimentation par rapport aux besoins

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l'oranais1 a écrit:
Merci frère. La question que j me pose, Ya t il dés vaccins pour prévenir les maladies les plus courantes chz nos oiseaux? ?? Comme pour les chiens et les chats! !
:

il existe des vaccins,mais il faut emmener les oiseaux chez le véto.

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anisU a écrit:
Merci pour le partage tinoalgerie



@l'oranais le suel vaccin c'est un bon entretien Very Happy càd une bonne hygiene une bonne alimentation par rapport aux besoins

Salem. Mm avc un très bon entretien! y aura tjr dés maladies frère. La nature est faite comme ça!

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karimahmed a écrit:
l'oranais1 a écrit:
Merci frère. La question que j me pose, Ya t il dés vaccins pour prévenir les maladies les plus courantes chz nos oiseaux? ?? Comme pour les chiens et les chats! !
:

il existe des vaccins,mais il faut emmener les oiseaux chez le véto.

Salem merci pour ta réponse frère. J étais pas au courant de ça. C est quoi les vaccins qui existe? Pour quel maladies? ?moi franchement je serais prêt à vacciné mes jeunes!

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l'oranais1 a écrit:
anisU a écrit:
Merci pour le partage tinoalgerie



@l'oranais le suel vaccin c'est un bon entretien Very Happy càd une bonne hygiene une bonne alimentation par rapport aux besoins

Salem. Mm avc un très bon entretien! y aura tjr dés maladies frère. La nature est faite comme ça!

l'oranais les maladies peuvent etre evité,mon frere et une grande partie de maladie peuvent etre evité aussi par une bonne hygiéne kho crois moi,et les graines changés tous les jours avec l'eau,et les nettoyages des cges hebdomadaire,et les ustensiles mangeoire et ebreuvoir traité et a l'aeau de javel et rincé au savon et a l'eau trés chaude,y contribue aussi.
ensuite si quelque chose doit leurs arrivés malgré tout ca c'est bi idni allah.
et pour les vaccins il fazut que tu ailles chez le veto lui il va te dire les vaccins qu'il faut ,je sais qu'il en existe un contre les maladie que les eleveurs ,quand je vois qu'il vende des oiseaux sur l'annonce y a marqué,
vacciné:oui,mais la a te dire le nom ,kho vas y voir un veto aviaire.Il te renseignera mieux que moi.Et ca ne te coutera rien.
salam.

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J ss tout à fait d accord avc toi pour l hygiène et la nourriture frère. Mais j parle sur tout dés jeunes qui sont hyper fragiles! et mm avc toutes les précautions qu'on prend ils tombes quand. Même malades! !! C est comme pour nous Ya bien dés vaccins qui sont obligatoire pour dés maladies qu'on contrôle que par la préventions. !!(vaccination )

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Invité
Les vaccins c'est dangereux aussi bien pour les animaux que pour nous les humains

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passionchardo a écrit:
Les vaccins c'est dangereux aussi bien pour les animaux que pour nous les humains
[right]
ah bon!! Ça sauve beaucoup de vie frère sur tout dans les pays sous développés! !

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tres bon sujet ya3tik seha , mais j veut juste savoir si c medicament que tu a cite existe en algerie , prsq en france ou alleur ya pas de probleme , mais en algerie c un vertable probleme prsq les medicament qui existe sont de mauvaise voir tres mauvaise qualite c pour ca que les elveur che nous qu'on ya quelqun qui es proche qui vien de france pour des vaccance rapporte avec lui des medicament pour les elveur .

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Invité
c est ce qu ils nous font croire mon frère

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Invité

EFFETS SECONDAIRES DES VACCINS




Effets secondaires du vaccin antitétanique

Effets secondaires du vaccin anti-coquelucheux

Le ROR (vaccin contre la Rougeole,les oreillons et la rubéole)en 10 points Effets secondaires du vaccin B.C.G

Effets secondaires recensés de la vaccination contre l'Hépatite B





Effets secondaires du vaccin antitétanique:

Ils ne sont pas rares, contrairement aux idées reçues et sont recensés dans une banque de données (Belgian university System). Ils sont cités par le Pr R. Mendelsohn (USA), dans sa revue "People's doctor" de novembre 1984, ainsi que dans "The truth about immunizations" d'avril 1978.


I) Réactions neurologiques:

43% des cas présentent les premiers symptômes dans les 72 heures. Les localisations sont fréquemment les membres ou les nerfs crâniens.

Névrite péribracchiale, pouvant conduire à une paralysie du bras: apparition d'une faiblesse dans le membre, dans un délai de 6 à 21 jours après l'injection de l'anatoxine (4 cas).

Neuropathie périphérique. [Reinstein L, and al, "Peripheal neuropathy after multiple tetanus toxoïd injections", Arch.Phys. MedRehabil., vol.63, n7, p.332, 10/1982].

Névrite périphérique. ["Unusual reactions to tetanus toxoïd" JAMA, vol 199, p. 125, 1967]

Paralysie motrice et sensorielle du nerf radial droit (étudiant de 23 ans).

Atteinte du système nerveux généralisée: injection du vaccin dans le bras gauche, chez une femme de 36 ans, blessée au doigt; apparition au 5ème jour, d'une faiblesse du bras droit, puis du gauche, des deux jambes, associés à des vertiges, une instabilité (titubait en marchant et ne pouvait faire plus de quelques pas), une léthargie, des malaises, une difficulté pour avaler et pour parler (paroles inarticulées). EEG perturbé. Après une hospitalisation d'un mois, les troubles nerveux ont régressé, et la jeune femme a pu rentré chez elle. Mais la faiblesse a persisté, ainsi que l'angoisse. Les examens pratiqués dans l'année qui a suivi, ont montré une instabilité émotionnelle prolongée et quelques paresthésies (engourdissement, fourmillement) dans les extrémités. Le diagnostic posé fût:" névropathie avec atteinte des nerfs crâniens, myélopathie et encéphalopathie". [Semaine des Hôpitaux de Paris, vol 53, n36, p. 1965, octobre 1978]

Paralysie du nerf laryngé récurrent (nerf commandant les cordes voccales): le patient était atteint d'enrouement, et incapable de parler à haute voix; l'atteinte disparut au bout de deux mois. [Revue Médicale Allemande, 1969]. [Eicher W.and al, "Paralysis of the récurrent laryngeal nerve foffowing a booster injection of tetanus toxoïd", Munch. Meti Wochenstr., vol. 111, n°34, p. 1692, 12/1992].

Syndrome de Landry: développement rapide de paralysies extensives bilatérales et symétriques selon un mode ascendant débutant aux membres inférieurs et frappant ensuite l'ensemble de la musculature striée.

Syndrome de Guillain et Barré: polyradiculonévrite aigüe, c'est à dire, atteinte ascendate, étendue et habituellement symétrique, du système nerveux périphérique rachidien (racines et nerfs), s'accompagnant fréquemment d'une atteinte des nerfs crâniens. [New.S.MecLJ (Nouvelle-Zélande) vol 94, n°695, p.359, 11/11/1981.] [Dev. Biol. Stand. (Suisse), vol 43, p.25, 1979].

Paralysie faciale a frigore apparue, deux jours après la vaccination, et du côté de l'injection de l'anatoxine. [Concours Médical, vol. 104, n29, 1982].

Paralysies. (Harrer-G and al., "Paralysis following tetanus toxoïd booster inoculation",Wien. Med Wochenschr, vol. 121, n°l5, p.296, 8/1971)

Encéphalite
Hémiplégie

Sclérose latérale amyotrophique, apparue après séro-vaccination antitétanique. [Pr Mande, Concours Médical, 3/12 1977].

Sclérose en plaques. Cas personnel: Mr C. fait une première poussée de Sclérose en Plaques (SEP) en 1989. Le patient retrouve son état neurologique normal en septembre 89. En mai 1993, le patient reçoit un rappel antitétanique. En juin 93, soit dans le mois qui a suivi l'injection, deuxième poussée de SEP, alors qu'il était en rémission depuis 3 ans 3/4. Cette nouvelle poussée a été plus sévère, et moins régressive que la précédente, puisqu'en mai 94, le patient en garde toujours des séquelles.

Tensions intracrâniennes (USA). [Am.JDix.Child., vol. 133, n°2, p.217, 2/1979.]

Autres références bibliographiques:
[Tsairis P. and al, "Natural history of brachial plexus neuropathy: report on 99 patients", Arch.Neurol., vol.27, p. 109, 1972. "Adverse events associated with childhood vaccines: evidence bearing on causality", Institute of medicine, Washington D. C. National Academy Press, 1994, références citées dans JAM4, vol. 276, n°23, p. 1869, 1996].

JNeur.Sci., vol.37, n°1/2, p. 113, 6/1978.
Munch.Med Wochenschr., vol. 107, n°45, p.2258, 5/11/1965.
Pediatriia (Russe)., vol.47, n°l1, p. 19, 11/1968.
Brit.Med.J., vol.4, n°575, p.320, 11/11/1967.
Psychiatr.Neur.MecLPsychoi. (Leipzig), vol.26, n°1l, p.685, 1974.
Arch.Dis.Child., vol.48, n°10, p.829, 10/1973.
JNeurol., vol.222, n°2, p. 131, 1979.
Med Well, vol. 29, n°44, p. 131, 3/11/1978.


II) Réactions allergiques et d'hypersensivité:

-Hypersensitivité à la toxine tétanique, Journal of Allergy and Clinical Immunology, 1973.
-Réactions cliniques à la toxine tétanique, Compte rendu du 2ème congrès international sur la tétanos, de Hans Huber, Beme, Suisse, 1967.
-Allergie induite par l'immunisation à la toxine tétanique, JAMA, 1940.
-Allergie à l'anatoxine tétanique: la survenue de réactions indésirables plus fréquentes encore après des rappels, a été rapportée très officiellement par de nombreux auteurs. [Annales de l'Institut Pasteur, vol. 120, p. 791, 1991, avec des articles de Bizini, Turpin, Raynaud (Ref de JAUA, Néw England, J of Med., British Med J.)].
-Anaphylaxie suivant l'administration de la toxine tétanique, British Médical Journal, 1940.
-Chocs anaphylactiques: nombreuses publications dans la littérature médicale.
Quelques exemples:
3 semaines après sa primovaccination, une femme est atteinte d'une rigidité brutale, suivie d'une urticaire sévère avec irritation intense de l'épiderme. Malgré ces symptômes, un rappel fut fait 6 semaines plus tard. La patiente s'est écroulée 5 minutes après l'injection. [CunninghaM "Anaphylaxis after injection of tetanus toxoïd", Brit. Med J., p. 522, 1940].

Garçon de 14 ans égratigné en jouant avec un chien; le propriétaire de l'animal exigea que l'enfant soit vacciné: celui-ci en mourut 5 minutes après [Pr W. Spann, Médical Tribune, n°l9, p - 10, 1986].
Un patient allemand fait un choc anaphylactique 8 heures après sa 2ème injection; la 3 ème injection faite 6 mois plus tard entrainera sa mort par choc anaphylactique, 2 heures après l'injection.
Un médecin allemand de 44 ans, est mort 30 minutes après un rappel antitétanique.
Une femme de 24 ans est morte 30 minutes après son rappel antitétanique.
Un homme de 34 ans fut victime d'un choc très grave, accompagné d'un syndrome de Lyell (la peau se décolle par lambeaux), et de courbatures.
[Ces 4 derniers cas ont été publiés par le Dr Kris Gaublomme, the International Vaccination IVewsletter, p. 10, sept 1996].
[Zaloga G. and al, "Life threatening anaphylactic reaction to tetanus toxoïd", Ann.Allergy, voi.49, n°2, p. 107, 8/1982].
[Ehrengut W. and al, "Anaphylactic reaction following injection of tetanus toxdid", Dtsch.Med Wochenschr., vol.98, n10, p.517, 3/1973].


[Staak M; and al, "Choc anaphylactique après anatoxine", Dtsch.Med.Wochenschr., vol.98, n°3, p. 110, 1/1973; et vol.98, n°13, p.682, 3/1973].
["Choc anaphylactique suivi d'un arrêt de l'ovulation", Med.Trial tech., vol. 13, n°2, p.87, 12/1987].

Autres manifestations allergiques:
-Urticaire accompagné de vertiges, de difficultés respiratoires, survenus dans les 2 heures après la vaccination ["Unusual réactions to tetanus toxoïd" JAMA, vol 199, p. 125, 1967].
-Oedème des lèvres, des paupières, asthme, maladie sérique, [Dr Kris Gaublomme, the International Vaccination Newsletter, p. 10, sept 1996].


III) Réactions dermatologiques:

-De nombreuses manifestations dermatologiques s'installent sur le long terme: exanthème, dermatite, prurit généralisé, ... et représentent une handicap souvent permanent. D'autres sont passagères: réactions locales avec oedème, inflammation, abcès au site d'injection, phlegmon à streptocoques, granulome, hémorragie, ... [Dr Kris Gaublomme, The International Vaccination Newsletter, p. 10, sept 1996].

-Granulome. [RockyMoutainMedJ., (USA), vol.63, nl, p.48, 1/1966].
L'article suivant a été publié suite à un effet adverse de la vaccination, et l'auteur mentionne également tous les types de réactions de sensibilité généralement observés après vaccination antitétanique:
"Un patient précédemment vacciné au cours de son service militaire, a reçu une injection de rappel d'anatoxine tétanique, qui a provoqué un érythème douloureux des membres supérieurs, accompagné fièvre, et d'athénie pendant plusieurs jours.
Commentaire:
En général, les réactions indésirables secondaires à l'administration d'anatoxine tétanique, dépendant du nombre de doses précédemment reçues, de la dose d'anatoxine, de la voie et de la méthode d'administration, ainsi que de la présence d'adjuvants et/ou d'antigènes (tels que l'anatoxine diphtérique) dans la préparation vaccinale choisie.
L'événement indésirable le plus fréquent après un rappel de vaccination antitétanique (observé chez 50 à 85% des sujets) est une réaction locale caractérisée par une douleur et une sensibilité au point d'injection, moins fréquemment (20 à 30% des cas) suivie d'un oedème et d'un érythème et exceptionnellement (moins de 2% des cas) associée à une tuméfaction importante. Plusieurs études ont établi une corrélation directe entre le taux circulant d'anatoxine tétanique et le degré de la réction locale.
Quelques rapports ont décrit des réactions locales massives (p.ex. tuméfaction s'étendant du coude à l'épaule) principalement chez des sujets ayant reçu plusieurs injections de rappel d'anatoxine. Généralement, ces réactions débutent dans les 2 à 8 heures suivant l'injection. Les anticorps circulants forment apparemment de complexes avec les dépôts d'anatoxinne, induisant ainsi une réponse inflammatoire (réaction d'Arthus, hypersensibilité de type H). Une hyperthermie peut accompagner la réponse locale (0,5 à 7% des cas), en particulier si celle-ci est importante ou si les taux d'antitoxine sont élevés (ou les deux à la fois).
Cependant une température supérieure à 39°est rare et les autres symptômes systémiques, tels que céphalées ou malaises, sont exceptionnels. L'agent de conservation utilisé, le thimérosal, peut induire une hypersensibilité retard, alors que les réactions type maladie sérique semblent rarement associées à l'anatoxine tétanique. Ce patient a vraisemblablement présenté une réaction de type Arthus, probablement due à de multiples doses d'anatoxine précédemment reçues qui ont induit des taux circulants élevés d'antitoxine tétanique. La mesure des taux sériques d'antitoxine tétanique pourrait confirmer le diagnostic et aider au traitement futur d'une éventuelle plaie pénétarrite. Si ces taux sont élévés, le patient devrait être protégé pendant au moins dix ans et l'injection d'antoxine tétanique n'est pas nécessaire au cours de cette période. Si les taux d'antitoxine tétanique sont bas, le patient doit être évalué par un immunologiste ou un allergologue, les immunoglobulines antitétaniques pourraient être utilisées en cas de plaie potentiellement tétanigène pour assurer une protection à court terme jusqu'à ce que l'anatoxine antitétanique puisse être administrée sans risque. Afin de prévenir de telles réactions, l'anatoxine tétanique ne doit pas être administrée à intervalle de moins de 10 ans, comme recommandée par le Comité Consultatif pour les pratiques vaccinales.

Dans le but d'améliorer la surveillance du risque et de la nature des événements indésirables graves après vaccination (en particulier la vaccination antitétanique), il est demandé aux médecins de déclarer ces événements.
" [Réactions indésirables à l'anatoxine tétanique, JANIA, édition française, vol.20, n'319, p.35, 1995].
Autres publications: ["Réaction locale au Têtavax", Concours Médical, vol. 117, n°23, p. 1825, 1995].
["Allergie au vaccin antitétanique", Concours Médical, vol. 115, n°37, p.3315, 1993].
["Réaction locale après Têtavax", Concours Médical, vol. 114, n°34, p.3083, 1992].
[Jacobs RL, and al, "Adverse reactions to tetanus toxoïd" JAMA, vol.247, n°l, p.40, 4/1982].
[Hansson H., Cutaneous reactions to merthiolate and their relationship to vaccination with tetanus toxoïd", Acta Allergol.,vol.26, n°2, p. 150, 1/1972].
[Waak AL, "Local reactions following booster injection", Ned. Tydschr Geneeskd, vol. 110, n°7, p.332, 8/1966]. [Edsall.G. and al, "Excessive use of tetanus toxoïd boosters", JA.AM,, vol.202, n'l, p. 111, 11/1967]. [Wegmann A., "Local reactions after repeated tetanus vaccine", Scheiz. Med.Wochenschr., vol. 109, n-3 8, p. 1409, 10/1979].

-Abcès à répétition. [Am. J Des Child, vol 135, n°9, p.826, 9/1981; Pediatrics, 5/1985].
-Ictère (jaunisse) chez le nourrisson: augmentation du nombre de cas chez le nouveau-né, lorsque le vaccin est administré à la mère durant la grossesse [Vox Sang.(Suisse), vol 38, n°l, p22, 1980].


IV) Réactions diverses:

-déficit en coagulation, [Dr Kris Gaublomme, The International Vaccination Newsletter, p. 10, sept 1996]
-Hémolyse sévère après Tétracoq (à propos de 3 cas). [Acta Paediatr.Scand., vol.67, n°3, p.345, 5/1978].
-Infarctus du myocarde avec décès quelques heures après vaccination.
[Annales of allere, vol.49, p. 107, 1982. Deutsch Med. Wschr., vol 99, p. 850, 1974].
-douleurs articulaires persistantes,
-vomissements, diarrhée [Dr Kris Gaublomme, lhe International Vaccination Newsletter, p. 10, sept 1996].

-Variations de la protéinurie. [Vojnosavit. Pregl. (Yougoslavie), vol 29, nl, p. 11, 1/1972].
-Glomérulonéphrite. [Nouv. presse Med., vol 9, N°5, p. 315, 26/l/1980].
-Altération de la fonction des corticosurrénales. [IG Mod (Italie), vol. 59, n°l1, p. 735, 1966].
-Panartérite noueuse (ou Périartérite noueuse). [Revue de Médecine interne, vol 27, suppl 3, p.446, 12/1996; Z. Haut. Geschléchtskr. (Allemagne), vol 45, n°19, p.655, 1/10/1970].
-[Ott K., "Maladies iatrogènes dans la prévention du tétanos", Rozhl. Chir.,vol.46, n°7, p.493, 3/1968].





Effets secondaires du vaccin anti-coquelucheux

-En écriture droite, effets secondaires tels qu'ils sont reconnus officiellement, et énoncés dans le Vidal.
-En italique, effets secondaires attribués à la vaccination, sur le résultat d'études ou d'ouvrages, d'articles médicaux, ou sur l'expérience commune.
-En gras, effets secondaires niés officiellernent.


I] Réactions locales: 35 à 50% des vaccinés.

1) Douleur, rougeur, endolorissement, ou oedème au site d'injection: de survenue précoce, bénin et transitoire.
2) Rash cutané et urticaire sont également rapportés.
NB: si ces symptômes sont généralement bénins, des réactions locales sévères, peuvent être, selon le Dr Coulter, les signes précurseurs de dommages cérébraux beaucoup plus graves.

II] Réactions générales:

1°) Fièvre de 38,5 à 39 °C survenant dans les 24 heures: survenant en général au delà des 12 premières heures, et durant 24 à 36 heures. Très grande fréquence: 50% des enfants.
2°) Fièvre supérieure ou égale à 40°C: beaucoup moins fréquente (0,3%), parfois à l'origine d'une convulsion qui n'a pas toujours la bénignité de la convulsion fébrile habituelle, car cela peut être le déclenchement de désordres permanents (convulsions ou troubles du comportement: hyperactivité, handicap mental, anxiété pathologique, ... ).

3°) Troubles gastro-intestinaux : vomissements et diarrhées peuvent être bénins ou sévères, transitoires ou prolongés. Ils peuvent s'accompagner de signes neurologiques, tels que des cris aigus ou un sommeil excessif.
Dans une étude de 1988, publiée dans Clinical Pediatrics, la santé denfants âgés de 2 à 12 mois, a été comparée entre le mois qui précédait, et le mois qui suivait la vaccination par le D TCoq:

symptomes fièvres Diarrhée toux
% avant vaccin 5,3 10,5 26
% après vaccin 25 28 54


III] Effets respiratoires: (3)

1°) Rhinites, rhinopharyngites et otites récidivantes
2°) Toux chronique: fréquente; le bacille coquelucheux vaccinal reproduisant une coqueluche abatardie mais chronique (l'enfant tousse par épisodes de quelques jours ou semaines, comme lors d'une coqueluche, mais ces épisodes se renouvellent à chaque épisode infectieux ORL ou respiratoire). Dans certains cas, le déclenchement de la toux suit, de moins de 48 heures, l'injection vaccinale.

3°) Bronchite asthmatiforme:
4°) Asthme:

IV] Effets "allergiques":

1°) Rash, urticaire.
2°) Choc anaphylactique,
3°) Oedème de Quincke.


V] Effets neurologiques: pouvant s'associer à des degrés divers.

1°) Syndrome des cris aigus et syndrome du cri persistant:
Le syndrome des cris aigus, consiste en des cris inhabituels, plaintifs, différents des pleurs d'un enfant normal., qui ressemblent aux cris encéphalitiques décrits dans certaines encéphalopathies. Ces cris se poursuivent quelques heures ou quelques jours.
Le syndrome des cris persistants décrit la situation d'un enfant dont les pleurs sont relativement normaux, en ce qui concerne leur tonalité, mais inhabituels dans leur durée, l'enfant restant inconsolable pendant des heures, parfois des jours.
Le syndrome des cris persistants peut s'associer à un syndrome d'hypotonie. Ces syndromes ont été étudiés de longue date, et par de nombreuses autorités, qui considèrent ces syndromes comme d'origine encéphalitique, avec lésions du système nerveux central, contre-indiquant la revaccination.

Voici la description qu'en faisait Hopper en 1961: "Dans la demi-heure, jusqu'à 4 heures suivant l'injection, l'enfant commence à pleurer et peut continuer sans cesse pendant 3 ou 6 heures. L'enfant veut rester couché sur le côté, il est rouge de visage, et très irritable. Quelques fois, il a des mouvements de la tête continuels d'un côté puis de l'autre. Indépendamment des soins qu'on lui apporte, comme le prendre dans les bras pour le consoler, l'enfant continue à hurler jusqu'à s'appaiser. Un accès de pleurs peut suivre la fin d'un précédent. L'enfant finalement épuisé, pourra alors sombrer dans le sommeil, pour se réveiller dans certains cas avec de nouveaux accès de pleurs".
La non prise en compte de la survenue d'un syndrome des cris persistants consécutif à une vaccination, entraîne la poursuite des injections vaccinales avec un risque accru d'atteintes cérébrales définitives.

2°) Chocs et Collapsus: survenant dans les 48 heures après l'injection.
Les termes de choc ou de collapsus, sont utilisés pour définir une réaction décrite en détail par Georges Dick en 1967 dans un étude anglaise sur les réactions au DTCOQ: "Trois heures après l'inoculation, le bébé devient subitement d'une blancheur marbrée, froid et en collapsus pendant 15 à 30 minutes, après rétablissement, il persiste souvent une pâleur et une apathie pendant quelques heures. Quelques mères ont dit que leur bébé était devenu inconscient lors de l'apparition du collapsus, d'autres pensaient que leur bébé était mort. Quand les enfants qui développent ce syndrome sont suivis dans l'année qui suit, ils semblent en bonne santé, et paraissent avoir passé les évènements de la vie normalement. Cependant, il est difficile d'exclure la possibilité de dommage permanent. En observant ces réactions, les parents ont bien naturellement fait venir d'urgence un médecin, mais le temps de son arrivée, le bébé avait habituellement récupéré de son sévère épisode, et quelques mères n'ont pas réussies à convaincre le médecin que quelque chose de sérieux était survenu".
La signification clinique et pathogénésique de ce syndrome n'est pas bien comprise. Mais quoiqu'il en soit, il est considéré comme une réaction sévère qui contre-indique toute revaccination ultérieure.

3°) Somnolence excessive: bien que les fabriquants de médicaments semblent incapables d'accepter la définition ou la signification de la somnolence excessive après DTCOQ, cette réaction a été décrite dans la littérature scientifique, depuis des décennies. En 1949, Globus et Kohn parle d'un bébé qui souffrait d'un dommage cérébral après une vaccination contre la coqueluche: un garçon âgé de six mois, qui avait reçu son deuxième DTCOQ, devint peu de temps après, irritable et somnolent; pour la première fois depuis sa naissance, il dormait toute la nuit entière. Il n'y avait pas eu de montée de température. Un changement brutal de comportement était noté par sa mère. Avant la deuxième injection, il jouait et réagissait normalement, mais par la suite, il ne jouait plus de façon prolongée, ne tendait plus la main vers les objets, devenait indifférent à son environnement, et dormait durant de longs intervalle durant la journée. Le dixième jour après la seconde injection, il fut pris de convulsions répétées...
Sur les premières notices du vaccin, les laboratoires Connaught et Lederle avaient listé la somnolence excessive comme contre-indication à une vaccination ultérieure par le vaccin coquelucheux, mais actuellement ils ne l'indiquent plus. Dans le livre rouge de l'AAP de 1982, il était indiqué que les enfants qui avaient de la somnolence excessive, ne devaient probablement plus recevoir le vaccin coquelucheux,mais le livre rouge de PAAP de 1989 indique seulement "les altérations sévères de la conscience" comme contre-indication.

4°) Convulsions avec ou sans fièvre: 1/12 500 doses.
Les crises convulsives sont peut-être la réaction sévère au vaccin coquelucheux, la plus fréquemment rapportée dans la littérature scientifique.
5°) Syndrome de West (Hypersarythmie): maladie des spasmes en flexion.
6°) Episodes d'hypotonie--hyporéactivité.
7°) Paralysies motrices: la perte du contrôle musculaire peut se manifester par:
-une hémiparésie (affaiblissement musculaire de la moitié du corps),
-une hémiplégie (paralysie complète de la moitié du corps),
-une paraplégie (paralysie de la moitié inférieure du corps),
-une quadriplégie (paralysie des quatre membres), ou simplement
-une coordination médiocre.

8°) Encéphalopathies aigües: 1/100 000 doses.
L'inflammation et l'oedème de différentes parties du cerveau après DTCOQ, sont attribués de façon variable à une méningite, une encéphalite, une encéphalomyélite, et une fontanelle bombante. Certains enfants ne résistent pas à la méningite ou à l'encaphalite et décèdent.
9°) Syndrome de Reye.
10°) Méningite séreuse.


VI] Désordres sanguins.

1°) Thrombocytopénies: diminution du nombre de plaquettes sanguines, pouvant conduire parfois à un purpura thrombocytopénique.
2°) Anémie hémolytique: diminution de la durée de vie des globules rouges, non compensée par la production de la moelle osseuse.
3°) Hypoglycémies: la toxine du bacille de la coqueluche, peut provoquer une production excessive d'insuline.


VII] Décès: 1/5 millions.

Mort subite du nourrisson

1 -Décès de 5 nourrissons en mars 1986, lors de leur première injection de Tétracoq.
2 -Cas personnellement connus, dont l'un m'a été décrit



Références:
1 -VIDAL: édition 1999: Vaxicoq p.2006; Tétracoq p. 1867, Pentacoq; DTCP p. 1985.
2-JAMA (édition française), vol. 19, n°284 (1994) p.25.
3 -British Medical Journal of Medicine, n°19 (1995).
4-JAMA (édition française), voi.20, n°326 (1995) p. 19.
5-Concours Médical, vol. 113, n°2, (1991) p. 113.
6-J. Pediatr., vol. 115, n°4, (1989) p. 527 à 53 1.
7-Le Généraliste, n°55, (26/2/77).
8-Science Technique Technologie, n°23, (1993) p 4
9-British Medical Journat 282, (1981), p. 1595.
10-"Risk of serious acute neurological illness after immunization with DTP(Pertussinun)
JAMA, vol.271, (1994) p.37 et 68.
JAMA (édition française), vol. 19, n°284 (1994) p.25.
11 -Pediatrics, vol. 88, n°2 (1991) p. 40 1.
12-Vaccine, vol. 7, n°3 (1989) p. 199.
13-British Medical Journal of Medicine, vol.320, n°2 (1967).
14-Quick-Nachrichten, n°51, (11/12/1975).
15-Acta. Paediatr. Japn. Overs. Ed., 33, n°4, (1991) p.421.
16-Sunday Times, 21 Juillet 1985.
17-Quotidien du Médecin, n°5322 (1/94).
18-Neurologic Complications following Pertussis Vaccine, N-Y. State J. Med.,47, (1947) p. 1016.
19-Miller and col., " Severe neurologicall illness", J.Exp Clin.Med., n°l3 suppl (1988) p. 145.
20- "Pertussis immunization and serious acute neurological illness in châdren", British Medical Journal, 307, (1993) p. 1171 et 282, (1981) p. 1595.
21 -Rutledgel and col., "Neurologic complications of immunizations", J.Pediatr., vol. 109, (1986) p.917.
22- Rutledgel and col," protective efficacity and adverse events", The Lancet, 1, (1988) p.955.
23- Howson and col. "Adverse effects of pertussis and rubelle vaccines", Washington D.C. National Acaderny Press 1991.
24-Harris L.Coulter and Barbara Loe Fisher, "A shot in the dark" Edition Avery.

Mort subite du nourrisson (USA) [J Pediatr., vol. 10 1, n'3, p.419, 9/1982]. [Stewart GT., "Deaths of infants after triple vaccine", Lancet, vol.2, n°8138, p.354, 12/1979].

Convulsions (13 enfants sur 17 avec anomalies EEG) [Neurol.Neurochir.Pol., vol. 15, n°5/6, p. 553, 1981].


Effets indésirables des vaccins DTCoq et ROR.

Lancet 1995; 345: 567-9.
La fréquence des convulsions est de 1/12500 doses 0 à 3 jours après le DTCoq, et de 1/2600 doses, 15 à 35 jours après le ROR (contenant la souche Urabe oreillons).
Celle du purpura thrombopénique est de 1/24000 doses 15 à 35 jours après le ROR. Ces fréquences obtenues par une surveillance active, sont très supérieures à celles basées sur les notifications spontanées des prescripteurs.




Le ROR, (vaccin contre la Rougeole, les Oreillons et la Rubéole)
en 10 points

l°) Efficacité : au maximum 80% de protection, c'est à dire qu'un enfant sur 5 fait sa maladie, en dépit du vaccin, et sans atténuation dans l'expression des symptômes.

2°) Durée de la protection: au maximum de 10 à 15 ans, faisant ainsi courrir le risque de faire la maladie à un âge où elle pose davantage de problème, tant social, professionnel, que même médical, les maladies infantiles étant plus mal tolérées à l'âge adulte.
La stratégie vaccinale mise en place contre la Rougeole est un échec complet, puisqu'on assiste actuellement à un retour de la maladie, touchant des sujets plus âgés, avec un risque de complications accru par rapport à la période antérieure à la vaccination. Ainsi aux USA, où l'on vaccine contre la rougeole depuis 1963, et avec des taux d'enfants vaccinés de 97%, on observe une résurgence de cette maladie, avec jusqu'à 70% de sujets vaccinés, parmi les cas de Rougeole, et des complications beaucoup plus fréquentes.
"JAMA", 1995,274,312-316.

3°) Le vaccin ROR est constitué de virus vivants atténués. En conséquence, selon la qualité de cette atténuation, les virus peuvent être trop atténués, et dans ce cas le vaccin ne confère aucune protection, ou pas assez atténués, et le vaccin provoque la maladie que l'on voulait éviter : on voit ainsi fréquemment des rougeoles, des oreillons, et même des rubéoles post-vaccinales.

4°) Effets secondaires
- les plus fréquents, la fièvre, les éruptions cutanées, mais également, les troubles digestifs (gastroentérites).
- très fréquemment une chute importante de l'immunité, entrainant des épisodes rhinopharyngés et/ou otites à répétition, ou des infections respiratoires, plus rarement cutanées.
- Convulsions hyperthermiques (relativement fréquentes).
- Réactions allergiques, notamment urticaire (1).
- Réactions articulaires (2)
- Purpura thrombopénique: destruction des plaquettes sanguines entrainant des hémorragies généralisées (4 cas personnels vus ces dernières années).
- Méningite, Méningo-encéphalite (3).
(1)"Concours Médical": vol. 115, n°18, 1993, p. 1510.
(2) "Concours Médical": vol. 114, n°40, 1992, p.3767.
(3) "British Medical Journal": vol. 299, n°6700, 1989, p.660.

5°) Mutation et recombinaison des génômes viraux :
Les expériences (*) sur les souris, ont montré que l'introduction simultanée dans l'organisme de plusieurs virus vivants, bénins individuellement, pouvaient entraîner des pathologies gravissimes, par recombinaison du matériel génétique entre chacun des virus, entrainant la création d'un nouveau virus, au pouvoir pathogène plus important.
*"SCIENCE, 7/11/86,234: 746-748. JAVIER R.T., SEDARATIF., STEVENS J.G.,
"Two avirulent herpes simplex viruses generate lethal recombinants in vivo"

6°) Contaminations à partir du milieu du culture:
Les virus ont besoin de tissus vivants pour se reproduire; on utilise pour la fabrication du ROR, des embryons de poulet. Or même un embryon, ne peut être déclaré indemne de contaminations notamment virales. Il existe en particulier des virus dits défectifs, inclus dans le patrimoine génétique de l'individu, et qui se transmettent ainsi de génération en génération, attendant les conditions favorables pour s'exprimer.
Ainsi le vaccin antipolyomyélitique, cultivé sur reins de singes de 1955 à 1963, s'est révélé en 1960, être contaminé par de nombreux virus du singe, dont le trop célèbre SV40. Celui-ci, testé sur des rongeurs, et des poulets, s'est révélé cancérigène. Apres avoir nié son rôle pathogène chez l'homme, afin d'éviter le scandale, on découvre aujourd'hui que le SV 40 injecté par les vaccinations jusqu'en 1962, est retrouvé dans 25% des tumeurs cérébrales de l'homme (60% des tumeurs de l'épendyme de l'enfant), dans les ostéosarcomes et dans 30% à 60 % des mésothéliomes. Qu'en sera t-il pour le ROR, contaminé par le virus de la Leucose Aviaire?
"Science" du 7/2/97.
"Le Quotidien du Médecin", n°5998 du 3/2197.

7°) Augmentation des maladies allergiques: Il est reconnu que certaines maladies infantiles, peuvent dans certains cas, faire disparaître une pathologie allergique chronique préexistante (asthme, eczéma, ... ). Ainsi, une épidémie de rougeole en Guinée-Bissau, s'est accompagnée d'une chute de 50% du taux de tests cutanés positifs. D'autres travaux mentionnent la disparition d'eczéma à la faveur d'une infection virale ou bactérienne. Les prévalences d'atopie beaucoup plus faibles dans les pays de l'est, pourtant plus pollués, seraient reliés à la fréquence plus importante des maladies infectieuses. A l'autre bout de ce raisonnement, une équipe japonaise vient de montrer une corrélation entre le déclin des maladies infectieuses, et l'accroissement de la prévalence de l'asthme.
"Le Quotidien du médecin", n°5982, du 10/l/97, et n°6158, du 4/11/97.
"Science", T. Shirakawa et coll., vol.275, 3/l/97. "Lancet", Shaheen et coll, 1996.

8°) Augmentation des maladies auto-immunes: Une étude britannique met en cause le vaccin anti-rougeoleux dans la fréquence des maladies de Crohn et Recto-colites hémorragiques: de 2,5 à 3 fois plus de cas chez les vaccinés, [sur un groupe de 3545 personnes, contre 22 000 sujets témoins], avec présence du virus vaccinal de la Rougeole dans les prélèvements intestinaux biopsiques.
"The Lancet", 1995-1071-4
"Le Monde": 6/5/95.
"La Revue du Praticien": Tome 35, n°8, 1995, p.410.

9°) L'argument vaccinaliste pour se vacciner contre la Rougeole, est de prévenir l'apparition d'une complication redoutable, l'encéphalite.
Outre le caractère exceptionnel de cette complication, il convient de préciser que cette complication survient en dépit de la vaccination, comme en témoigne un article paru dans la Revue Médicale de Tours, concernant 2 cas d'encéphalite, survenus chez deux enfants vaccinés contre la Rougeole.
"Revue Médicale de Tours" -1995- T.29. - N9/10.

10°) Evolution du messgge publicitaire des laboratoires:
a) Initialement, lors de son lancement, la vaccination contre la rougeole, avait pour but d'éviter les conséquences financières, sous forme d'arrêts de travail des mères au chevet de leurs petits, de cette maladie connue de tous pour sa bénignité habituelle.

b) Devant l'échec de cette stratégie publicitaire, on préféra agiter le spectre de l'encéphalite, le message de la peur étant en définitive, toujours plus rentable!

c) Après avoir tenu les propos publicitaires: "Une injection suffit pour la vie", il fallut devant le constat flagrant de l'échec de la stratégie vaccinale de ces dernières décennies, revoir le message publicitaire: "ROR, le second souffle", "ROR une deuxième injection vaccinale entre Il et 13 ans", "ROR le renforcement de la couverture vaccinale".

d) Depuis septembre 97, on propose d'anticiper cette deuxième injection dès 4 ou 6 ans!

(Qu'en sera t'il demain? Devons nous accepter la fuite en avant que nous proposent "les experts", commandités par les laboratoires, et vacciner la population tous les dix ans, jusqu'au troisième âge, CONTRE DES MALADIES INFANTILES!




Effets secondaires du BCG:

Le BCG est un vaccin vivant dont l'atténuation a été obtenue de façon empirique, et qui, inoculé à l'homme et proliférant dans l'organisme hors du contrôle des manipulations standardisées du laboratoire, entraîne une Tuberculose dont la gravité va dépendre à la fois du degré réel d'atténuation du bacille vaccine mais également de la résistance de l'hôte à l'infection, variable en fonction du terrain et des facteurs environnementaux. Selon la combinaison de tous ces facteurs, on aura, par ordre de gravité:

1°) Une tuberculose cutanée atténuée: -presque constante, lorsque le vaccin a "pris", évoluant durant 6 à 9 mois. Fébricule le soir possible, ainsi qu'une baisse de la vitalité et des défenses immunitaires générales. Certains individus robustes peuvent traverser cette période sans encombre. Mais de nombreux enfants, surtout si vaccination précoce, déclenchent ou aggravent des prédispositions pathologiques avec:

2°) Une moindre résistance aux infections: la complication la plus fréquente.
-en particulier rhinopharyngites, otites, bronchites et laryngites à répétition.

3°) L'altération de l'état général: - est possible sur des terrains prédisposés, ou lors de la répétition du BCG.
a) Répercussions sur la croissance de l'enfant: 4 cas personnels.
-la stagnation pondérale n'est pas rare, et parfois prolongée durant plusieurs mois; très rarement elle s'accompagne d'un ralentissement statural.
b) Fatigue chronique: 1 cas caractéristique.
-parfois perçue notamment chez radulte revacciné, et prolongée.

4°) Les manifestations de l'atopie
a) L'eczéma: très nombreux cas manifestes.
Reconnue responsable de poussées d'eczéma, et pour cela contre-indication officielle lors des poussées, le BCG est aussi générateur d'un terrain allergique, qui sera aggravé de génération en génération, ainsi qu'à chaque revaccination.
b) L'asthme: 1 cas indiscutable, et de nombreux probables.
Non reconnu officiellement comme effet indésirable, les observations cliniques montrent pourtant clairement le rôle révélateur ou aggravant du BCG dans la maladie asthmatique.

5°) Les manifestations arthritiques et dermatologiques: peu manifestes, car
-d'apparition retardée par rapport à la vaccination: les rhumatismes et l'acné.

6°) La Bécégite ou adénite tuberculeuse au BCG: nombreux cas personnels.
-fréquente, en particulier lors des revaccinations, il s'agit d'une suppuration qui persiste au site de l'injection, pendant 6 à 8 mois, laissant une cicatrice inestbétique.

7°) Les Ostéites et spondylodiscites induites par le BCG: 2 cas personnels.
-complications rares, mais classiques, car décrites dans la littérature médicale.

8°) La méningite tuberculeuseinduite par leBCG: -Deux cas de méningite tuberculeuse induite par le BCG après revaccination, chez deux enfants français qui étaient jusque là en bonne santé. Lancet, 1988 (27/2); p. 440-441.

9°) BCGite généralisée: infection disséminée mortelle (1/100 000 enfant), liée:
-soit à un déficit immunitaire congénital caractérisé par un défaut en interféron gamma,
-soit un déficit immunitaire acquis, comme le SIDA.


Références Bibliographiques:

1) Freeksen F. "Munschener Medicinische Wochenschrift"
Entretien avec les Drs Coudreau et Pariente. Concours Médical: 20 Avril 1974. Article faisant suite à la décision de l'Allemagne de retirer le BCG de son arsenal de la lutte contre la Tuberculose.

2) Dr Kalmar et Me Evnard, Le procès des vaccinations obligatoires, 1960.

3) Taillens J* Revue médicale de la Suisse romande, 23 Octobre 1920.
*Professeur de clinique infantile à l'université de Lausanne.

4) Myers J.A. *, Journal of the Am. Med Assoc., 18 août 1951.
*Docteur en médecine, une des sommités mondiales de la lutte contre la Tuberculose.

5) Ferru Marcel *, La faillite du BCG, 1977. Retrace l'historique du BCG, ainsi que les différentes théories, opposées entre elles, qui ont permis, avec les manoeuvres publicitaires et les pressions sur les opposants, d'imposer le BCG en France.
*Professeur honoraire de clinique médicale infantile.(166 références bibliographiques sont indiquées dans cet ouvrage).

6) Pr Calmette, La vaccination préventive contre la Tuberculose par le BCG, p.216-218. L'auteur estimait qu'il n'était pas indiqué d'avoir recours aux cuti-réactions, surtout répétées à bref intervalle. "Elles ne sont pas inoffensives (plusieurs observations d'hémoptysies ou de poussées évolutives de tuberculose, consécutives à des cuti-réactions, sont à notre connaissance)..".

7) Pr Gentilini Marc , Médecine tropicale, 4ème partie, chp. 2, p. 291 et 300. Concerne les moyens de lutte et de prophylaxie anti-tuberculeuse.

Cool Chicou F., Prétet S., La Tuberculose en 1987 (2) , Impact le Praticien, dossier n°169 du 21/11/87. Ce dossier comporte une étude épidémiologique montrant la complexité des facteurs d'étude, et un chapitre sur le BCG.

9) Tournier G. *, Réactions cutanées à la tuberculine et BCG, La Revue du Praticien n°8, du 11/3/90, p.725 à 729.

*Professeur dans le Service de pédiatrie et pneumologie de l'enfant, Hôpital Trousseau, Paris.

10) Sors Ch.*, La vaccination par le BCG ne devrait plus être obligatoire en France, Le Généraliste, 1986, n°849 Citation

11) Sors Ch.*, La Tuberculose pulmonaire commune, La Revue du Praticien n°3, du 2/2/89, p. 244 à 248.
*Professeur à la Clinique de physiopathologie respiratoire, Hôpital de la Pitié- Salpétrière, à Paris.

12) Anthoine D. *, Le BCG, La Revue du Praticien n°25, du 1/11/89, p.2260 à 2262.
*Professeur à l'Hôpital Villemin, à Nancy.

13) Chailleux Edmond*, Tuberculose pulmonaire et primo-infection tuberculeuse, La Revue du Praticien n°l, du 1/l/91, p.89 à 94.
*Professeur dans le service de pneumologie de l'Hôpital Laënnec, à Nantes.

14) Durieux P., Epidémiologie de la Tuberculose, La Revue du Praticien, n°8 du 11/3/90, p. 703 à 705.

15) Vuillermet Pierre, Pédiatre, "Alors , vous y croyez encore au BCG ?", Médecine et Enfance, sept 1997, p.341 à 343.

16) Randomised controlled trial of single BCG, repeated BCG, or combined BCG and killed Mycobacterium leprae vaccine for prevention of leprosy and tuberculosis in Malawi. Groupe d'étude préventive de Karonga. Lancet, 6 juillet 1996, p. 17 à 24.

17) Repercussions of Karonga prevention trial for tuberculosis control. Hans L. Rieder. Lancet, 6/7/96, p.4.

18) Résumé de ces deux sources dans le n°8 de la revue Prévenir: "Le BCG est-il efficace contre la tuberculose?"

19) Hervieux Laurent, "Tuberculinisme et vaccin BCG", Médecines Nouvelles n°88, 1 er trimestre 1998, p. 103 à 111. NB: 15 références bibliographiques indiquées dans et article.

20) Shirakawa T. et collaborateurs, Science n° 275, 1997, p. 77 à 79, repris dans Médecine thérapeutique, vol. 3, n°2, février 1997, p. 171 "IDR positive à la tuberculine et manifestations atopiques"

21) Dieu S "La Tuberculose est de retour" Médecine et Enfance oct 1994 p.481-484.

22) Rapport du groupe scientifique ICMR/OMS, numéro 651 - Genève 1980.

23) Guérin Nicole*, "Vaccination par le BCG; état des lieux "Votre information à la carte p.5 et 6.
*Médecin au Centre International de l'Enfance, Paris.
"Les malades étaient pour un tiers d'origine étrangère alors que la proportion d'enfants vaccinés par le BCG est identique dans les populations française et étrangère de l'Hexagone."

24) "L'efficacité du BCG" La revue Prescrire, déc 1996, tome 16 n°l 68, p. 877.

25) Colditz GA, et al, "The efficacy of bacillus Calmette-Guérin vaccination of newborns and infants in the prévention of tuberculosis: meta-analysis of the published literature" Pediatrics 1995, 96 (1): 29-35.

26) Colditz GA, et al, "Efficacy of bacillus Calmette-Guérin vaccine in the prévention of tuberculosis: meta-analysis of the published literature" JAMA 1994; 271 (9): 698-702.

27) Impact Médecin Hebdo n°293 du 1/10/1995, signale un petit extrait du Relevé Epidémiologique Hebdomadaire 1995; 32: 229-23 1, qui mentionne:
"De nombreux essais cliniques jettent un doute sur l'efficacité du BCG. L'OMS rapelle qu'un dépistage et un traitement rapide restent les mesures prioritaires pour la lutte anti-tuberculeuse. Le BCG doit être administré le plus précocément possible avant l'âge de 1 an. Il faut mettre fin aux revaccinations fondées sur une réaction cutanée négative à la tuberculine. Aucun résultat scientifique ne confirmant l'utilité des revaccinations, celles-ci ne sont jamais indiquées."

28) Costil*, article dans le journal médical Profil, du 13/7/89.
*Professeur de l'hôpital Trousseau à Paris.

29) Deux cas de méningite tuberculeuse induite par le BCG après revaccination. Lancet, 1988 (27/2); p.440-441.



Effets secondaires recensés de la vaccination contre l'hépatite B

-En italique, référencés dans la notice du Vidal 1996.
-En écriture droite, selon expérience personnelle, ou relevés dans différents articles et témoignages de patients ou de médecins, ainsi que par l'association REVAHB (nombre de cas).

I) Effets secondaires neurologiques:
L'un des mécanismes probable: l'antigène vaccinal comporte une analogie de structure avec la myéline recouvrant les nerfs; chez certains sujets prédisposés, il y a production d'anticorps antimyéline, déterminant des atteintes neurologiques, extrêmement variées et multiples, de gravité variable:

- Neuropathies périphériques, polyradiculonévrites, maladie de Guillain-Barré, paralysie faciale, névrite optique, atteintes démyélinisantes du système nerveux central, sclérose en plaques, survenant dans les semaines suivant la vaccination.

-également: vertiges, troubles de l'équilibre, malaises à type de spasmophilie ou crise de tétanie, céphalées, paresthésies, parésies, troubles de la sensibilité,
-Troubles de la vision, et de la vue (non compris les névrites optiques) (8 cas),
-Encéphalite, encéphalopathie, leuco-encéphalite aigüe, méningite, syndrome méningé.


II) Effets secondaires digestifs:
-Intolérance alimentaire concernant les aliments ou boissons concernés par le bon fonctionnement hépatique: corps gras, chocolat, oeufs, alcools, ...
-nausées, vomissements, diarrhées, douleurs abdominales,
-hépatite, anomalie ou augmentation transitoire des enzymes hépatiques*, troubles hépatiques divers (12 cas).

III) Effets secondaires allergiques (de type I, II, III, ou IV) ou auto-immun:

Mécanisme probable: stimulation (excessive) du système immunitaire aboutissant à la production anarchique d'anticorps et/ou à la fabrication de complexes immuns, dont les effets seront variables selon la spécificité de ces anticorps:
-Asthme: résurgence, ou apparition; symptômes évocateurs de bronchospasme*,
-Eczéma, urticaire, éruptions diverses, prurit,
-Arthralgies, myalgies, troubles rhumatologiques (capsulites, discopathies) (6),
-Réactions anaphylactiques, oedème de Quincke, érythème polymorphe,
-Arthrite, réaction à type de maladie sérique, vascularite, aplasie médullaire (14).
-Thrombopénie, Purpura thrombopénique (3 cas), Dermatomyosite (1), Thyroïdite de Hashimoto (1), Pelvispondylite, Polyarthrite Rhumatoïde, Diabète insulino-dépendant (6), Lupus érythémateux disséminé (11), Aplasie médullaire (14), Périartérite noueuse (3), Myasthénie (3), Recto-colite hémorragique, Myosite, Rhabdomyolyse, Sarcoïdose, Cirrhose.


IV) Effets secondaires généraux:
-Fatigue chronique: effet le plus fréquent +++
-Fièvre, courbatures, Lymphadénopathie, Herpes récidivant,
-Malaises, perte de connaissance, syncope, hypotension,
-Syndrome dépressif, souvent associé, et consécutif à la fatigue chronique, et/ou à la chronicité et à la gravité des atteintes pathologiques.


V) Effets secondaires locaux:
-douleurs, érythèmes.
*apprécier la nuance dans le choix des termes!!!

Bibliographie médicale concernant les effets secondaires
Vaccin hépatite B:

-Vaccin Engerix B et vaccin Genhevac B, Dictionnaire Vidal, édition 1996: 1678-1679. -Commission nationale de pharmacovigilance. Extrait du procès verbal de la réunion du 15 décembre 1994 "Examen des effets indésirables neurologiques des vaccins contre l'hépatite B" 2 pages. Résultats de l'enquête peu précis, et non publiés.
-Le Guide des Vaccinations du ministère de la santé, édition 1995.
-La Revue Prescrire, décembre 1996, Tome 16, N°168, P.826 à 828, et 858 à 859.
-West DJ "Clinical experience with hepatitis B vaccines" Am J Infect Control 1989, 17 (3): 172-180. [lors des études de doses, sur 147 enfants vaccinés en trois injections, on a observé 1 cas de douleur au point d'injection, 7 cas de fièvre, et 32 cas d'autres réactions systémiques (symptômes pseudo-grippaux, fatigue, céphalées, diarrhée, anorexie).
-Interview du Pr Lyon-Caen, Le Monde, 5/12/96.
-Pr Alexandre JM, Recommandations du directeur de l'évaluation à l'agence du médicament, concernant la recherche des ATCD de SEP. 2 Novembre 1995.
-Ganry O et coll. "Paralysie faciale périphérique faisant suite à une vaccination contre l'hépatite B" thérapie 1992;47: 433-447.
-Deisenhammer F et al. "Acute cerebellar ataxia after immunisation with recombinant hepatitis B vaccine" Acta Neurol Scand 1994; 89: 462-463.
-Berger JR et al. "Guillain-Barré syndrome complicating acute hepatitis B. A case with detailed electrophysiological and immunological studies" Arch Neurol 1981; 38: 366-368.
-Tuohy PG "Guillain-Barré syndrome following immunisation with synthetic hepatitis B vaccine" N Zeal Med J 1989; 102: 114-115.
-autre article dans New Zealand Medical Journal, 24 mai 1996
-Trevisani F et al. "Transverse myelitis following hepatitis B vaccination" J Hepatol 1993; 19: 317-318.
-Le Goff P. et coll. "Périartérite Noueuse après vaccination contre l'hépatite B" Presse Médicale 8 octobre 1988.
-Mahassin F et coll. "Myélite aigüe après vaccination contre l'hépatite B" Presse Méd 1993; 22 (40): 1997-1998.
-Nadler JP "Multiple sclerosis and hepatitis B vaccination" Clin InfDis 1993; 17: 928-929.
-Fried M et al "Uveitis after hepatitis B vaccination" Lancet 1987;p.631.
-Noel I et al "Hypersensitivity to thiomersal in hepatitis B vaccine" Lancet 1991;338: 705.
-Herroelen L et al. "Central nervous System demyelinisation after immunisation with recombinant hepatitis B vaccine" Lancet 1991;338: 1174-1175.
-Brezin AP et al "Visual loss and eosinophilia after recombinant hepatitis B vaccine" Lancet 1993; 342: 563. [article également rapporté dans le Concours Médical du 14/3/1992.]
-Kaplanski G et al. "Central nervous system demyelinisation after vaccination against hepatitis B an HLA haplotype" J Neurol Neurosurg Psychiatr 1995; 58: 758-759.
-Shaw FE et al. "Post marketing surveillance for neurologic adverse events reported after hepatitis B vaccination" Am J Epidemiol 1988; 127 (2): 337-352.
-Goudeau Alain Pr. "Vaccination contre l'hépatite B: Comment choisir entre les différents vaccins?" VaccinAction: Expertise. 1997.
-Hachulla E et al "Reactive artheritis after hepatitis B vaccination" Journal of Rheumatology 1990; 17 (9): 1250.
-"Hepatitis B vaccines; reported reactions" Who Drug Information, 1990; 4 (9 ): 129.
-Rogerson SJ et al "Hepatitis B vaccines associated with erythema nodosum and polyarthritis" BMJ 1990; vol.301: 345. -Cockwell P. et al "Vasculitis related to hepatitis B vaccine" BMJ 1990-, vol.301: 1281. -Brooks AP "Symptomatic reaction to hepatitis B vaccine with abnormal liver function values" BMJ 1985; vol.290:1476.
-Di Giusto CA et al "Erythema nodosum provocated by hepatitis B vaccine" New Eng J Med 1989; 321: 1198.
-Wands JR et al "Identification and transmission of hepatitis B virus related variants" Proc Natl Sci 1986; 83: 6608.
-International Vaccination Newsletter, mars 1995.
-Mc Mahon BJ, Helminiak C et al "Frequency of adverse reactions to hepatitis B vaccine in 43618 persons" Am J of Med 1992; 92: 254-256. [Concours Médical 1992; 114 (24): 2092.
-Feldshon, Sampliner "Reaction to hepatitis B virus vaccine" Ann Intern. Med. 1984; 100: 150-157. [JAMA avril 1984].

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Vaccins, mais alors on nous aurait menti ?
Par jean-pierre.joseph le 20/08/07
Dernier commentaire ajouté il y a 1 jour
VACCINS : MAIS ALORS, ON NOUS AURAIT MENTI ??
Jean-Pierre JOSEPH,?
Avocat au Barreau de Grenoble
auteur de : ?
?-« Les radis de la Colère » (Ed. Louise Courteau)?
?-« Vaccins, l'avis d'un avocat : On nous aurait menti ? » (Ed. Marco Pietteur)?
?_____________________?


Pourquoi nous a-t-on caché le fait que dans les mois qui ont suivi le lancement du ??1er vaccin anti-polio en France en 1956, le nombre de cas de polio s'est multiplié ?par 6 ??

Pourquoi nous avait-on caché les mêmes multiplications de cas, lors des ?vaccinations de masse contre la variole aux Philippines en 1918, contre la Diphtérie ?en France en 1925, et plus récemment, contre la méningite en Afrique ??

Pourquoi 13 pensionnaires d'une maison de retraite de Lorraine, toutes vaccinées ?contre la grippe, sont elles mortes de la grippe en hiver 2005 ??

Pourquoi a-t-on oublié de nous dire que le chien qui avait mordu le petit alsacien ?vacciné par Pasteur, avait aussi mordu d'autres personnes du village qui ne furent ?ni vaccinées ni malades ??

On nous aurait menti ? Mais pourquoi ??
?________________ ?


Depuis plusieurs années, nous tremblons périodiquement à l'annonce d'un ?nouveau risque d'épidémie qui, si l'on en croit les media, va terrasser un grand ?nombre d'entre nous. ?
Et quand nous apprenons que, contre cette nouvelle menace, « il n'y a pas de ?vaccins », nous sommes glacés de terreur, et prêts à vivre à la cave avec des stocks ?d'eau et de boites de conserves.?

Mais il semble que le danger de la maladie de la vache folle soit passé, sans ?vaccins : seules quelques dizaines de personnes auraient été touchées.?
Il semble également que la pneumopathie atypique, qui, toujours selon les ?media, devait nous décimer, n'ait touché que quelques centaines de personnes dans ?le monde, et aujourd'hui, plus personne n'en parle. Pourtant il n'y avait pas de ?vaccins non plus. (Peut être est-ce pour cela qu'on n'en parle plus)?

La grippe aviaire nous guette : verrons nous le même scénario ??


L'humanité peut elle survivre sans vaccins ??

Au Moyen-Âge, tout comme les nouvelles maladies que nous connaissons ?aujourd'hui, la peste, le choléra, la suette picarde se sont arrêtées brusquement, ?sans vaccins, après avoir fait, beaucoup de victimes, il est vrai. ?
L'épidémie de grippe espagnole en 1918, s'est aussi brusquement arrêtée, ?après avoir fait entre 20 et 50 millions de victimes dans le monde ?

Les victimes auraient-elles été moins nombreuses, ou plus nombreuses, ?s'il y avait eu des vaccins ? ?

La question parait absurde ? Et pourtant...?

Les vaccins contiennent soit, de l'hydroxyde d'aluminium à des doses 30 fois ?supérieures au seuil toxique, soit des dérivés du mercure, soit encore des éthers de ?glycol, parfois du sérum de veau ou des cellules cancérisées. Ces produits toxiques ?sont nécessaires, selon les fabricants, qui les appellent des adjuvants de ?l'immunité, et qui indiquent que sans ces adjuvants, ils seraient inefficaces.?

Les vaccins, selon de nombreux scientifiques, sont responsables de milliers ?de maladies neurologiques graves, scléroses en plaques, encéphalites, morts subites ?du nourrisson... Le personnel des hôpitaux, les rares fois où il fait la relation de ?cause à effet entre le vaccin et la maladie, aurait la consigne, soit de ne rien dire ?aux familles, soit de les culpabiliser en disant par exemple « ...Son organisme n'a ?pas supporté le vaccin... ». Dans certains hôpitaux psychiatriques, il existe des ?pavillons entiers, peuplés de malades, hospitalisés à vie avec le discret diagnostic ?d' « encéphalite post-vaccinale »...?

Depuis 1994, les substances d'origine bovine sont interdites dans les ?produits pharmaceutiques. ?
Or le BCG est fabriqué à partir de la bile de bœuf. Ainsi la Loi, jusqu'en juillet 2007, ?nous obligeait à administrer à nos enfants des produits qu'elle interdisait par ?ailleurs ! (L'obligation vaccinale pour le BCG vient d'être suspendue par la Loi du ??19 juillet 2007) Déjà Sylvie SIMON, dans son ouvrage « Vaccination, l'Overdose », ?écrivait il y a quelques années "...Le BCG bovin a été interdit en 1955 après 20 ans ?d'utilisation, en raison d'une tuberculinisation rendant la viande impropre à la ?consommation. Il reste cependant obligatoire en France pour les humains. Aurait-on ?moins d'égard envers nos enfants qu'envers nos vaches..."?
? ?
Bien plus, la Loi oblige avant tout acte vaccinal, de prendre « toutes les ?précautions », c'est-à-dire de procéder à des examens destinés à dépister ?d'éventuels risques graves pour chaque individu. Mais seuls les vétérinaires le font ?pour les animaux !...?
Ceci montre bien qu'en cette matière, nous sommes totalement bovinisés, ?chloroformés, et que, dans toutes les couches de la société, nous avons perdu tout ?sens critique, acceptant sans broncher des affirmations contradictoires, comme des ?disciples d'un gourou enseignant des dogmes ; les plus acharnés étant ceux-la ?même qui n'ont jamais vérifié ni dans la littérature médicale, ni sur le terrain, ?l'efficacité des vaccins.?
En effet, ceux qui font « cocorico » en allant vacciner des pauvres gens du ?tiers monde, restent- ils après sur place, pour contrôler ce qui se passe après les ?vaccinations ? Ils auraient de grosses surprises !?

Ces risques valent-ils la peine d'être courus ? Depuis un siècle, à chaque ?campagne de vaccination, tant en Europe qu'en Afrique ou en Asie, le nombre de ?cas de la maladie que l'on combattait s'est toujours multiplié par 4 voire par 6 dans ?les mois qui ont suivi la vaccination de masse. (variole aux Philippines au début du ?vingtième siècle, diphtérie en France en 1925, polio en France en 1956, récemment ?méningite en Afrique, etc...)?

Pourquoi nous l'a-t-on caché en nous faisant croire le contraire ? Quand ?les épidémies s'arrêtent (comme elles l'ont toujours fait dans l'histoire de ?l'humanité), l'on crie alors victoire, en attribuant cela au vaccin.?

Pourquoi, (selon le Pr. GREENBERG) au moment de l'épidémie de polio des ?années 60, dans l'Etat du Massassuchetts, lorsque les autorités américaines se ?sont aperçues que les ¾ des sujets atteints étaient correctement vaccinés, a-t-on ?changé la définition de la maladie, diagnostiquant alors chez tous ceux qui ?arrivaient dans les hôpitaux des encéphalites, des méningites, etc... créant ainsi ?l'illusion que le vaccin avait éradiqué la maladie ? ?
Si au Moyen-Âge, au plus fort des épidémies de peste ou de choléra, un ?alchimiste avait distribué de la bave de crapaud à toute la population, tous ceux qui ?ne sont pas tombés malades, auraient cru avoir été sauvés grâce au produit, car ?ces épidémies se sont toujours arrêtées naturellement sans décimer toute ?l'humanité. ?

Le chien qui avait mordu le petit alsacien « sauvé » de la rage par Pasteur, ?avait aussi mordu une partie du village qui n'a été ni vacciné ni malade !?
Mais alors, on nous aurait menti ? Mais pourquoi donc ? Quel hasard ! la ?France est un des plus gros pays producteurs de vaccins du monde !?

?11 pays d'Europe ont abandonné l'obligation vaccinale, certains en ?totalité, d'autre partiellement. En France on ne connaît même pas cette ?information. Comme par hasard, chez nous le vaccin est une religion (ensemble de ??«vérités » que, par définition, l'on s'interdit de vérifier). François MITERRAND n'a-t-il ?pas dit « La santé des français est une marchandise qui se vend ».?
Combien cette réflexion était pleine de bon sens ! Ainsi, par exemple, le ?journal « Alternative Santé » de mars 2006 dénonçait : « ...Après l'Académie de ?médecine, le Conseil National de la Pédiatrie réclame la suppression du BCG ?chez tous les enfants, en raison de ses effets secondaires. Le gouvernement ?fait la sourde oreille ...» ?

Le Dr. Jean Méric, dans son ouvrage « vaccinations, je ne serai plus complice, écrit ;?

?"...Une étude en Inde (sous l'égide de l'O.M.S.) en milieu tuberculeux, a concerné un ?énorme échantillon de population, le plus gros échantillon jamais étudié, un groupe de ?villages, au total 209 villages, soit un échantillon de population de 260.000 ?personnes. De plus, ces habitants ont été suivis pendant une très, très longue ?période, exactement 7 ans et demi. C'est l'étude la plus vaste et la plus longue jamais ?réalisée en foyer infecté. Non seulement cette étude n'a montré aucune protection pour ?les vaccinés par le BCG, mais au contraire, les tuberculoses chez les vaccinés ont ?été plus graves, tuberculoses miliaires... Les Anglais ont abandonné, à cause de son ?inefficacité, le BCG et pourtant n'ont-ils pas, eux aussi, une forte population ?d'immigrés venant de pays hautement contaminés (Inde, Bengladesh)" ?
?(O.M.S. Bulletin n° 57 de 1979)?

Ainsi depuis 1979, on sait que le BCG est inefficace, et dangereux. Pourquoi a-t-on ?continué ? Les vaccinations seraient elles de simples opérations commerciales sur ?le dos de notre santé ??

La simple lecture des titres des ouvrages publiés depuis 30 ans sur l'inefficacité et ?la dangerosité des vaccins devrait faire réfléchir :?


?-« Les vaccins n'ont pas fait reculer les épidémies » (Pr. F. DELARUE)?
?-"La mafia médicale" (Dr. G. Lanctôt) Ed. Voici la Clé,?
?-"La dictature médico-scientifique" (Sylvie Simon) Ed. Filipacch,?
?-"Vaccination, erreur médicale du siècle" (Dr. L. De Brouwer) Ed. Louise Courteau,?
?-"Danse avec le diable" (G.Schwab) Ed. Courrier du livre,?
?-« Les charlatans de la médecine » (C.V. D'AUTREC) Ed. La table ronde?
?-"Dossiers sur le gouvernement mondial" (A.Meurois-Givaudan) Ed. Amrita,?
?-"La guerre des virus" (L.Horowitz) Ed. Félix,?
?-"Au coeur du vivant" (J. Bousquet) Ed. St Michel,?
?-"Le malade déchaîné" (R. Bickel) Ed. ALTESS.?
?-"Vaccinations : l'Overdose" (Sylvie Simon) Ed. Déjà?
?-"Tétanos, le mirage de la vaccination" (F. JOET) Ed. Alis?
?-"Pour en Finir avec Pasteur" Dr Eric Ancelet (Ed Marco Pietteur)?
?-"La Santé confisquée" Mirko et Monique Beljanski (Ed Compagnie) ?
?-"La lumière médicale" Dr Norbert Bensaïd (Ed Le Seuil)?
?-"Mon enfant et les vaccins" Dr F. Berthoud (Ed Soleil)?
?-"On peut tuer ton enfant" (Dr P. Chavanon) Ed Médicis?
?-"Les Vérités indésirables- Le cas Pasteur" (archives Internationales Claude Bernard) Ed La ?Vieille Taupe 1989,?
?-"L'intoxication vaccinale" (F. Delarue) Ed Le Seuil 1977?
?-"La rançon des vaccinations (Simone Delarue) Ed LNPLV 6°Ed 1988?
?-« le procès des vaccinations obligatoires » (Dr. J. KALMAR – Me J. EYNARD, Avocat ?Grenoble 1961,?
?-« Pour la liberté, contre l'obligation des vaccinations » Marcel LEMAIRE (Préface de Me F. ?HOFFET, Avocat Strasbourg) 1961?
?-"L'intox, quelques vérités sur vos médicaments" (Dr Bruno Donatini) Ed MIF?
?-"Des lobbies contre la santé" Roger Lenglet (Ed Syros)?
?-"Des enfants sains même sans médecins" (Dr R.Mendelsohn) Ed Soleil 1987?
?-"La poliomyélite, quel vaccin ? quel risque ? " (Dr Jean Pilette) Ed de l'Aronde 1997 ?
?-"La catastrophe des vaccins obligatoires" (Pr. TISSOT) Ed. de l'Ouest 1950 ?
?-"Les dessous des vaccinations (Dr. SCOHY) Ed. Cheminements
?-"Vaccinations : le droit de choisir" (Dr. F. CHOFFAT) Ed. Jouvence?
?-« Vaccin Hépatite B : Les coulisses d'un scandale » (Sylvie SIMON et Dr. Marc ?VERCOUTERE) Ed. Marco Pietteur,?
?-« La santé publique en otage » (Eric GIACOMETTI) Ed. Albin Michel?
?-« La médecine retrouvée » (Dr. Jean ELMIGER) (Ed. Léa)?
?-« La faillite du BCG » Dr. Marcel FERRU?
?-« Déjà vacciné ? Comment s'en sortir ? » (Sylvie SIMON) ?
?-« vacciner nos enfants ? » Dr. Françoise BERTHOUD (Ed. Soleil)?
?-« Vaccinations, les vérités indésirables » (Pr. GEORGET) Ed. DANGLES : Préface du Pr. ?CORNILLOT, Doyen de la Fac. De Médecine de BOBIGNY. (*)?
?-« Les vaccinations en question » Me AUTERIVE, Avocat, Paris, G. BUCHWALD, J. ?CLEMENTS, B. DUNKBAR, K. GAUBLONNE, M. GEORGET, L. HESSEL, K. ?HOPPENBROUWERS, P. LANNOYE, D. MIEDICO, P. SHATTOK (Ed. Frison-Roche)?
?-« Vaccination, la grande illusion » (ouvrage sous forme de B.D.) René BICKEL 2003?

?-« Vaccinations, je ne serai plus complice » (Dr. Jean MERIC) Ed. Résurgence 2004.?
?-« Les vaccins sont des poisons » (Dr. Tal SCHALLER) Ed. Vivez Soleil?
?-« Les 10 plus gros mensonges sur les vaccins » (Sylvie SIMON) Ed. DANGLES 2005.?
?-« Vaccins, l'avis d'un avocat : On nous aurait menti ? » (Jean-Pierre JOSEPH) Ed. Marco ?Piétteur. 2006?
?-« VACCINS, l'avis d'un médecin holistique » (Dr. TAL SCHALLER) Ed. Marco Pietteur ??2006?

Ce qui est incroyable est que, non seulement la quasi-totalité de l'opinion publique ?française, mais en plus 90 % des médecins ignorent l'existence même de ces ?publications. Le fait que la France soit le pays producteur de vaccins par excellence ?en Europe, ne serait-il pas qu'une coïncidence ??

Jean-Pierre JOSEPH est avocat au Barreau de Grenoble.?
Il est aussi instructeur fédéral de karaté, musicien et auteur compositeur.?
A l'occasion d'un procès médiatisé, (TF1 émission « 7 à 8 » : défense d'un français accusé du ?meurtre de sa femme) il a séjourné en République d'Haïti en 2001, sans vaccins, et sans ?traitement préventif contre le paludisme. Par contre, il savait ce qu'il fallait ne pas manger et ?ne pas boire, lors de son séjour. Il est revenu criblé de piqûres de moustiques, et n'est ?toujours pas malade...?

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Mardi 9 Mars 2010


Bill Gates parle de « vaccins pour réduire la population »

Financial Sense, F. William Engdahl, 4 mars 2010

Fondateur de Microsoft et l'un des hommes les plus cousus d’or du monde, Bill Gates donne l’image d’un philanthrope bienveillant qui, grâce à ses milliards par l’intermédiaire de sa fondation Bill & Melinda Gates (exemptée d’impôts), combat la maladie, résout la disette alimentaire en Afrique et allège la pauvreté. Lors d’une récente conférence en Californie, Gates a révélé un dessein philanthropique moins public : la dépopulation, connue aussi sous le nom d’eugénisme.

Bill Gates a fait ses remarques à la Conférence TED2010 de Long Beach en Californie, qui est uniquement sur invitation, lors d’un discours intitulé « Innovating to Zero! » (innover vers zéro !). En plus de la proposition scientifiquement absurde de réduire à zéro d'ici à 2050 les émissions mondiales de gaz carbonique d'origine humaine, environ quatre minutes et demi après le début de son discours Gates déclare : « Voyons d'abord la population. Le monde compte aujourd'hui 6,8 milliards de gens. Il se dirige vers environ 9 milliards. Or, si nous faisons un excellent travail sur de nouveaux vaccins, soins de santé, services de santé génitrice (reproductive), nous abaissons cela de 10 ou 15 pour cent. » (1)

En bon anglais, l'un des hommes les plus puissants du monde déclare tout bonnement s’attendre à ce que des vaccins servent à réduire la croissance démographique. Quand Bill Gates parle de vaccins, il sait de quoi parle. En janvier 2010, devant l'« élite » du Forum économique mondial de Davos, Bill Gates a annoncé que sa fondation pourrait donner 10 milliards de dollars (environ 7,5 milliards d’euros) au cours des dix prochaines années pour mettre au point et fournir de nouveaux vaccins pour les enfants du monde en développement. (2)

L'objectif principal de sa fondation multi-milliardaire est vaccinal, en particulier en Afrique et dans les autres pays sous-développés. La fondation Bill et Melinda Gates est membre fondateur de GAVI Alliance (une alliance mondiale en faveur de la vaccination) en partenariat avec la Banque mondiale, l'OMS et l'industrie du vaccin. L'objectif de GAVI c’est de vacciner tous les enfants qui naissent dans le monde en développement.

Ça ressemble maintenant à une œuvre philanthropique noble. Le problème, c’est que l'industrie du vaccin a été maintes fois prise en train de se débarrasser de vaccins dangereux — c’est-à-dire peu sûrs parce que non testés ou avérés nocifs — dans les populations involontaires du Tiers Monde, quand elle ne peut pas les écouler en Occident. (3) Certaines organisations ont suggéré que le véritable but de la vaccination était de rendre les gens malades et même plus sensibles aux maladies et à la mort prématurée. (4)


Se débarrasser des poisons dans le Tiers Monde

Au lendemain de la toute dernière déclaration d’urgence pandémique mondiale inutile à propos du H1N1, les pays industriels sont restés perchés sur des centaines de millions de doses de vaccins non testés. Ils ont décidé de se débarrasser de ces restes embarrassants en les remettant à l'OMS, qui à son tour projette de s’en délester gracieusement dans certains pays pauvres. La France a donné 91 millions de ses 94 millions de doses [*] achetées par le régime Sarkozy à des géants pharmaceutiques, la Grande-Bretagne a donné 55 millions de ses 60 millions de doses. L'histoire est similaire en Allemagne et Norvège. (5) [* Ndt : ainsi, les 5 ou 10 millions de vaccinés en France étaient encore un autre croc à merdre agité par la ministre de la Pompe à Phynances !]

Comme l’a noté le Dr Thomas Jefferson, épidémiologiste au Centre de recherche Cochrane à Rome : « Après tout, pourquoi donner les vaccins aux pays en développement ? La pandémie a été annulée dans la plupart des régions du monde. Dans les pays pauvres, la plus grande menace en ce moment c’est les maladies cardiaques et circulatoires, tandis que les chiffres du virus sont en bas de la liste. Quelle est la raison médicale du don de 180 millions de doses ? (6) En outre, la grippe est un problème mineur dans les pays bien ensoleillés, et il s'est avéré que la redoutable « nouvelle grande peste » pandémie du H1N1 était la plus anodine des grippes enregistrées.

Les fabricants de vaccins ne parlent pas des énormes dommages de santé dus à vaccination infantile, qui incluent l'autisme et les nombreuses déformations neuro-musculaires qui ont été imputés aux adjuvants toxiques et aux agents de conservation utilisés dans la plupart des vaccins. De nombreux vaccins, surtout ceux qui sont rendus meilleur marché en multiples doses pour la vente au Tiers Monde, contiennent quelque chose appelé thimérosal (thiomersol aux États-Unis), un composé (ethylmercurithiosalicylate de sodium) contenant environ 50% de mercure, utilisé comme conservateur.

En juillet 1999, le US National Vaccine Information Center a déclaré dans un communiqué, « Les effets cumulatifs de l'absorption de mercure peuvent créer des dommages au cerveau. » Le même mois, l'American Academy of Pediatrics (AAP) et les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) ont alerté le public sur les éventuels effets sur la santé des vaccins contenant du thimérosal. Ils ont fortement recommandé de retirer le thimérosal dès que possible des vaccins. En vertu de la directive de la loi FDA Modernization Act de 1997, la Food and Drug Administration a également déterminé que les nourrissons qui subissent plusieurs vaccins contenant du thimérosal pourraient avoir une exposition mercurielle supérieure aux recommandations fédérales. (7)


Une nouvelle forme d'eugénisme ?

L'intérêt de Gates à l’égard de la dépopulation des Noirs et des autres minorités n'est malheureusement pas nouvelle. Comme je le document dans mon livre, OGM : Semences de destruction (Cool, depuis les années 1920 et dans une bonne partie du Troisième Reich, la fondation Rockefeller a financé la recherche eugénique en Allemagne à travers l’Institut Kaiser-Wilhelm de Berlin et Munich. Ils ont fait l’éloge de la stérilisation forcée de gens par l'Allemagne hitlérienne, et des idées nazies sur la « pureté de la race. » C'est John D. Rockefeller III, défenseur toute sa vie de l'eugénisme, qui a utilisé l'argent de sa fondation « exemptée d’impôts » pour lancer dans les années 50 le mouvement néo-malthusien de réduction des populations grâce à son Population Council à New York.

L'idée d'utiliser des vaccins pour diminuer secrètement la natalité dans le Tiers Monde n'est pas non plus nouvelle. David Rockefeller, le bon ami de Bill Gates, et sa fondation Rockefeller, ont été impliqués dès 1972 dans un important projet en collaboration avec l'OMS, entre autres, pour mettre au point un « nouveau vaccin. »

Du projet de l’OMS et Rockefeller a résulté une application de masse sur des cobayes humains en Guinée au début des années 90. L'OMS a supervisé des campagnes de vaccination de masse contre le tétanos au Nicaragua, au Mexique et aux Philippines. Se méfiant des motifs derrière le programme de l'OMS, le Comité Pro Vida de Mexico, une organisation de terrain catholique romaine, a décidé de vérifier de nombreux flacons de vaccin et a découvert qu’ils contenaient de l'hormone gonadotrophine chorionique humaine ou hCG. C’était un ingrédient bizarre pour un vaccin destiné à protéger les gens contre le tétanos, qui découle de l'infection de plaies dues à des clous rouillés ou à tout autre contact avec certaines bactéries du sol. À vrai dire, le tétanos est aussi plutôt rare. C’était aussi curieux car la hCG est une hormone naturelle nécessaire au maintien de la grossesse. Seulement, combinée à un porteur d’anatoxine tétanique, cela stimule la formation d'anticorps contre la hCG, rendant la femme incapable de rester enceinte ; une forme d'avortement cachée. Des rapports similaires, de vaccins corsés à l’hormone hCG, sont arrivés des Philippines et du Nicaragua. (9) [Ndt : est-ce que ça explique pourquoi les médecins du travail, en France, ont été incités à conseiller systématiquement et avec beaucoup de persuasion, en décrivant les effets horribles de la maladie, les employés de se faire vacciner contre le tétanos lors de la visite médicale annuelle ?]


La « révolution génétique en Afrique » de Gates

La fondation Bill et Melinda Gates, ainsi que David Rockefeller de la fondation Rockefeller, les créateurs de la biotechnologie des OGM, financent aussi un projet appelé The Alliance for a Green Revolution in Africa (AGRA), dirigé par l'ancien chef de l'ONU Kofi Annan. En acceptant le rôle de chef de l’AGRA en juin 2007, Annan a exprimé sa « gratitude envers les fondations Rockefeller, Bill & Melinda Gates, et toutes les autres personnes qui soutiennent notre campagne africaine. » Le conseil d'administration de l’AGRA est dominé à la fois par des gens des fondations Gates et Rockefeller. (10)

Monsanto, DuPont, Dow, Syngenta et d'autres géants de l'agro-alimentaire, signalés au cœur de l'AGRA, l'utilisent comme une moyen pour diffuser leurs OGM dans toute l'Afrique sous l'étiquette trompeuse de « biotechnologie, » un euphémisme pour désigner les semences génétiquement modifiées brevetées. La personne de la fondation Gates responsable de son travail avec l'AGRA est le Dr Robert Horsch, un ancien depuis 25 ans chez Monsanto, qui était dans son équipe de développement de la technique de génie génétique du Roundup Ready. Son travail serait d'utiliser l'argent de la fondation Gates pour introduire les OGM en Afrique. (11)

L’Afrique du Sud est jusqu’ici le seul pays africain autorisant légalement la plantation de cultures d’OGM. En 2003, le Burkina Faso en a autorisé des essais. En 2005, le Ghana de Kofi Annan a rédigé des lois de biosécurité et les principaux responsables ont exprimé leur intention de poursuivre la recherche sur les cultures d’OGM. L’AGRA sert à créer des réseaux de « négociants agricoles » à travers l'Afrique, qui ne mentionnent aucun OGM ni herbicide au premier abord, afin de disposer de l'infrastructure en place pour introduire massivement les OGM. (12)


OGM, glyphosate et dépopulation

Jamais il n’a été démontré que les cultures d'OGM sont sans danger pour la consommation humaine ou animale. En outre, elles sont fondamentalement instables génétiquement, car il s’agit de produits artificiels faits à partir de semences données, dans l'ADN desquelles a été introduite une bactérie étrangère, du style Bacillus thuringiensis (Bt), ou d'autres éléments, pour changer leurs caractéristiques. Tout aussi dangereux peut-être, il y a les herbicides chimiques « appariés, » vendus avec l’OGM en tant qu’élément obligatoire du contrat, comme le Roundup de Monsanto, l'herbicide le plus largement utilisé dans le monde. Il contient des composés hautement toxiques de glyphosate qui ont été testés de manière indépendante et dont la présence à des concentrations toxiques de loin supérieures au seuil dangereux pour les humains ou les animaux a été démontrée dans les applications sur les OGM. Des tests montrent que d'infimes quantités de composés de glyphosate porterait gravement atteinte aux cellules humaines ombilicales, placentaires et embryonnaires chez la femme enceinte buvant l'eau d’une source proche d’un champ d’OGM. (13)

Un projet de longue date du gouvernement étasunien consiste à perfectionner une variété de maïs génétiquement modifiée. Le maïs étant l'aliment de base du Mexique et de nombreux autres pays latino-américains. Ce maïs a été testé lors d’essais en plein champ par une petite compagnie de biotechnologie de Californie nommée Epicyte, financée par le ministère de l'Agriculture étasunien. En annonçant sa réussite à la conférence de presse de 2001, montrant ses plants de maïs génétiquement modifiés, le président d’Epicyte, Mitch Hein, a annoncé : « Nous avons une serre pleine de plants de maïs qui produisent des anticorps contre les spermatozoïdes. (14)

Hein a expliqué qu'ils avaient pris les anticorps chez des femmes atteintes d’une maladie rare connue sous le nom d’infertilité immunitaire, isolé les gènes qui régissent la fabrication de ces anticorps contraceptifs et, en utilisant des techniques de génie génétique, ont inséré les gènes dans des semences de maïs ordinaire utilisées pour produire des plants de maïs. De cette façon, ils ont produit en réalité un contraceptif caché, incorporé au maïs destiné à la consommation humaine. « Pour l’essentiel, les anticorps sont attirés par les récepteurs de surface des spermatozoïdes, » a déclaré Hein. « Ils s’accrochent à chaque spermatozoïde et le rendent si lourd qu'il ne peut pas se mouvoir. Il s’agite juste comme s’il dansait la lambada. » (15) Hein a affirmé qu'il s'agissait d'une solution possible à la « surpopulation » mondiale. La question morale et éthique de l'alimentation humaine dans les nations pauvres du Tiers Monde à l’insu de ces pays est omise dans ses remarques.

Les spermicides cachés dans le maïs modifié génétiquement fournis aux populations affamées du Tiers Monde, grâce à la générosité des fondations Gates, Rockefeller et de l'AGRA de Kofi Annan, ou encore les vaccins contenant des agents stérilisants non divulgués, ne sont que deux cas documentés du recours aux vaccins ou aux OGM pour « réduire les populations. »


Et le « Good Club »

Le discours de Bill Gates au TED2010, sur l’émission zéro et la dépopulation, est compatible avec un article paru en mai 2009 dans un média culturel (ethnic) de New York, Irish.Central.com. Selon cet article, le 5 mai 2009 une réunion secrète s’est tenue chez Sir Paul Nurse, président de l'université Rockefeller, avec quelques-uns des individus les plus argentés des États-Unis. Était présent Warren Buffett, le gourou de l’investissement, qui a décidé en 2006 de mettre les 30 milliards de dollars de la fondation Buffett en commun avec la fondation Gates, pour créer la plus grande fondation privée exempte d’impôts du monde, dotée de quelque 60 milliards de dollars. Le banquier David Rockefeller était l'hôte.

La lettre d'invitation personnelle était signée par Gates, Rockefeller et Buffett. Ils ont décidé de s'appeler le « Good Club » (bon club ?). Était également présent le pape des médias, Ted Turner, le milliardaire fondateur de CNN, qui a déclaré dans une entrevue réalisée en 1996 pour Audubon, un magazine sur la nature, qu'une réduction de 95% de la population mondiale pour la ramener entre 225 et 300 millions serait « idéal. » Dans une interview en 2008 à l'Université Temple de Philadelphie, Turner a peaufiné son chiffre à 2 milliards, soit une réduction de plus de 70% de la population actuelle. Encore moins élégamment que Gates, Turner a déclaré : « Nous avons trop de gens [sic, ndt]. C'est pourquoi nous avons le réchauffement climatique. Nous devons avoir moins de gens en utilisant moins de substance (sic). (16)

Les autres participants de cette première réunion du Good Club auraient été : Eli Broad, milliardaire de l'immobilier, Michael Bloomberg, milliardaire et maire de New York, et Peter G. Peterson, milliardaire de Wall Street et ancien meneur du Council on Foreign Relations.

Il y avait en outre Julian H. Robertson, Jr., le milliardaire des fonds de spéculation qui a travaillé avec Soros dans l’attaque des monnaies de Thaïlande, d’Indonésie, de Corée du Sud et des économies des Tigres asiatiques, pour précipiter la crise de 1997-98 en Asie. Étaient aussi présents à la première session du Good Club, Patty Stonesifer, ancien PDG de la fondation Gates, et John Morgridge de Cisco Systems. Le groupe pesait une fortune cumulée de plus de 125 milliards de dollars. (17)

Selon des comptes-rendus apparemment divulgués par l’un des participants, la réunion a été organisée en réaction au ralentissement économique mondial et aux nombreuses crises sanitaires et écologiques qui affligent la planète.

Mais le thème central et le but de la réunion secrète des ploutocrates du Good Club concernait le souci prioritaire présenté par Bill Gates, c’est-à-dire comment faire progresser plus efficacement leur programme mondial de contrôle de la natalité et de dépopulation. Au cours des pourparlers un consensus aurait émergé : « ils reviendraient à une stratégie où la croissance démographique sera combattue en tant que menace environnementale, sociale et industrielle potentiellement désastreuse. » (18)


Le dessein d’eugénisme mondial

Gates et Buffett sont les grands bailleurs de fonds des programmes de dépopulation mondiaux, tout comme Turner, dont la fondation des Nations Unies a été créée pour canaliser un milliard de dollars de ses stock-options exempts d'impôts, gagnés dans AOL-Time-Warner, vers divers programmes de réduction de la natalité dans le monde en développement. (19) Les programmes en Afrique et ailleurs sont déguisés en actions philanthropiques et fournissent des services de santé aux pauvres d'Afrique. Ils impliquent en réalité la stérilisation forcée de la population par l’intermédiaire de vaccinations et d'autres médicaments qui rendent stériles les femmes en âge de procréer. La fondation Gates, où Buffett a déposé le gros de sa fortune il y a deux ans, est aussi favorable à l'introduction de semences d'OGM en Afrique, sous le manteau de la « Deuxième révolution verte » d’Afrique dirigée par Kofi Annan. L'introduction des OGM brevetés en Afrique s’est heurtée jusqu’ici à une énorme résistance autochtone.

Des experts de la santé font remarquer que, [si] c’était l'intention de Gates d'améliorer réellement la santé et le bien-être des Noirs africains, les mêmes centaines de millions de dollars investis par la fondation Gates dans des vaccins non testés et dangereux pourraient servir à fournir un minimum d'eau potable et d’installations d'assainissement. Il n’est pas sain de vacciner un enfant qui va ensuite boire l’eau de la rivière polluée par des excréments. Mais naturellement, l'assainissement de l'eau et des systèmes d’évacuation des eaux usées en Afrique révolutionneraient l'état sanitaire du continent.

Le commentaire de Gates au TED2010, sur de nouveaux vaccins pour réduire la population mondiale, n’était manifestement pas une remarque improvisée. Pour ceux qui doutent, la présentation faite par Bill Gates lors de la réunion annuelle au TED2009 dit presque exactement la même chose au sujet de la dépopulation pour réduire le réchauffement planétaire. Pour les puissants du Good Club, les êtres humains semblent être une forme de pollution égale au gaz carbonique.

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Invité
Bonne lecture mes amis et si vous voulez d'autres infos je suis la

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apparement le sujet sur les vaccins ne vous interesse pas et pourtant les amis si vous saviez il en va de la protection de vous meme et de vos enfants

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tres bonne info passionchardo je connait les effets secondaire qui on les vaccins il ya meme des cas de mortalité selon le dosage mal dosée surtout sur hn1 grippe aviaires

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les chardou vaccinée on une durer de vit moins que ceux non vaccinée (environ 8 ans)
reste a confirmer ,de mon cote je suis contre les vaccination des chardonneret

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je suis d accord avec toi je suis contre la vaccination des oiseaux onte dit pour les puces ect pour aboutire a quoi meme si tu de l igiene a tes oiseaux ce qui dit faire le netoyage des cage a fond bref ce quon dit igiene et propreter disnat toute les semaines tu un oiseaus soit avec des poux un autre qui peu contracter la gale et enfin pou finir l accarien et autre maladie qui peu me sertifié que le vaccins pour l oieau est eficaçe ase probleme quiest le notre poutant en s ai s occuper de nos oiseaux et nous sommes confronter a ces maladie si lon me disait de vacciner mon oiseaux et que tout problemes de mlaladie serait ecaré a 100%100 la je dit oui mais comme se nai pas le cas je suis de ton avis tinoalgerino

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Invité
je vais vous dire un truc surtout a toi l oranais tu dis que les vaccins sauvent des vies mais en fait les campagne de vaccination dans les pays du tiers monde leurs font croire que ca sauve des vies mais leurs but et de tout simplement steriliser les femmes pour que ces populations disparaisse petit a petit c est pas pour rien si les talibans ont tuer le directeur de la campagne de vaccination en afghanistan arreter d ecouter la télé mes frères c est juste un outil de propagande allez chercher la vérité ailleurs c est pas a la télé que vous aurez la vérité

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les campagne de vaccination dans les pays du tiers monde leurs font croire que ca sauve des vies mais leurs but et de tout simplement de tester leur produit sur des cobaye gratuitement

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je croit que sa joue sur les annee de vie de l'oiseau plus courte le chardo de mon ami a ,dure 4ans il est mort il vaccinée un autre qu il avait idem 5ans puis li ya les effet secondaire comme tous les vaccins

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@ passionchardo: je sais pas si tu as des enfant ou pas encore? mais ma question est la suivantes: vous allez vacciner vos propre enfants contre la Polio, BCG, Coqueluche,....???
Ya pas de vaccin ou medicaments au monde sans effets secondaire. Mais il faut faire un choix soit prendre le risque de ne pas se vacciner est avoir peur des effets secondaire ou bien se vacciner est accepter les effets secondaire.
Moi je prefere que mon enfant ait une fievre pour 1-2 jours apres le vaccin de la coqueluche meiux que ne pas le vacciner est prendre le risque de choper la coqueluche.
pour les vaccin genre H1N1 la c'est toute une autre histoire ca na rien a voire avec les vaccin clasique.
Prend le risque par exemple visiter une region en Afrique ou la fievre jaune est presente sans prendre le vaccin avant de faire le voyage le resultat est tres bien connu

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