Admin-lane 0 Posté(e) le 13 décembre 2010 Longévité de 50 ans mais espérance de vie moins de 15 ans! Un grand écart qui fait mal !L’âne s’en sort visiblement mieux en vivant le plus souvent en extérieur. Sans doute la considération sociale sauve l’âne mais tue le cheval. Le poney, le poney, qui n’est autre qu’un robuste petit cheval que l’homme a modelé pour travailler dans les mines, bénéficie lui aussi d’une espérance de vie supérieure à celle du cheval. Où que l’on se tourne, nous constatons que les équidés qui échappent à l’intervention humaine s’en sortent mieux en ayant une espérance de vie plus longue !Le cheval libre en espace ouvert s’en sort beaucoup mieux que le cheval « soigneusement » entretenu dans son box, ferré et soumis au mors. Si l’importance de l’écart entre l’espérance de vie – moins de 15 ans - et la longévité – 50ans - est désespérant, il est tout aussi stupéfiant d’apprendre dans un article du docteur vétérinaire Guy SOUFFLEUX que « les autopsies réalisées en 1989 à l'Institut de Pathologie du Cheval de Dozulé (14), sur des chevaux adultes, surtout de compétition, nous révélaient que 58 % étaient morts de pathologies digestives et 12 % de pathologies non infectieuses de l'appareil locomoteur. En 2001, la thèse des docteurs vétérinaires LEBLOND A., LEBLOND L., SABATIER P. , SASCO A.J., observait qu’il y avait, pour un cheval, 11 fois plus de chance de mourir de coliques que de vieillesse…Troublant mais explicable.Deux éléments majeurs sont légèrement abordés et souvent ignorés dans les thèses et études diverses consacrés au problème des troubles digestifs : 1- la sédentarité 2- l’alimentation.D’où vient donc cette « maladie » qui tue les chevaux les plus surveillés de France ? En effet nous constatons que les chevaux les plus « choyés » sont mystérieusement frappés par ces coliques, véritable hantise des propriétaires. Y aurait-il une calamité qui frappe les chevaux au point de les faire mourir si jeunes ?!?Oui, il y en a une… c’est bien l’inadéquate intervention de l’homme dans la vie du cheval qui le fait souffrir systématiquement et mourir prématurément ! Devant cette triste réalité, nous ne pouvons qu’être révoltés par notre propre bêtise...... Tous les appels semblent vains. Comment vaincre les blocages psychologiques ? L’homme ne serait donc pas « équipé » pour mettre fin au désespoir des chevaux, ni à celui de l’humanité, ni à celui de la vie sur cette planète que nous aimons. Nous devons devenir une espèce responsable. Répondre à cette espérance serait la plus noble conquête de l’homme!Source : extraits de texte et photo EQUIlibreVoir le texte dans son intégralité : ICI Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Yoda03 0 Posté(e) le 14 décembre 2010 Pour les coliques, j'ai mon idée si je puis dire...Je précise, que je ne suis pas une professionnelle des chevaux, je ne suis pas vétérinaire non plus.J'ai remarqué qu'un cheval vivant au pré 365 jours sur 365 jours ne sera pas ou beaucoup moins sujet aux coliques.un cheval à l'état sauvage, passe ses journées à être en mouvemant à la recherche de nourriture. Un chaval mange souvent mais par petites quantités.Un cheval en mouvement continuel sera donc moins sujet au coliques.Les chevaux "domestiques" ont leur nourriture distribuée en 2 ou 3 repas. Ils sont pour la plupart du temps enfermés dans un box, pour ne sortir que pour entrainements, concours etc... donc plus sujets aux coliques car stréssés.Ce que j'ai constaté, j'ai connu une jument de club, sujette aux coliques, autant dire qu'il fallait la surveiller en permanence... la jument à été rachetée par une personne de ma connaissance et s'est retrouvée dans un pré....Curieusement, plus de coliques. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites