Admin-lane 0 Posté(e) le 28 décembre 2010 Ames sensibles : abstenez-vous de la lecture de ce messageSpoiler: Au nom de la tradition et de la religion, des centaines de milliers d’animaux sont cruellement sacrifiés chaque année au Népal. One Voice s’engage aux côtés d’Animal Welfare Network Nepal pour mettre fin à ces rites indignes d’une société aspirant à plus de « démocratie et d’égalité ». Du Népal, on connaît les hippies Occidentaux partis vivre, ou se retirer, dans un pays loin de la société industrielle et consumériste dans laquelle ils vivaient dans les années 70. Le touriste, lui, est captivé par l’intensité des couleurs, la richesse des odeurs, la hauteur des montagnes, ou par la spiritualité qui cohabite avec le quotidien. Le Népal est, entre autres, le pays de Bouddha. A côté de ces réalités qui font le charme et l’attrait de ce petit pays d’Asie, il en existe une autre, moins connue, alors qu’elle place le Népal en tête des pays pratiquant les sacrifices d’animaux de par le nombre des sacrifiés. Pour la fête de Gadhimai, par exemple, pas moins de 250 000 animaux sont égorgés, mutilés et décapités en l’espace de 48 heures. Au-delà du rite sacrificiel, la dévotion à la déesse de la puissance donne lieu à un véritable carnage. Des animaux de cinq espèces sont d’abord égorgés au couteau. Puis 20 000 bovidés, enfermés depuis des jours dans un enclos, sont massacrés à coups de sabre par 200 apprentis bouchers. Les animaux, qui n’ont pas péri de faim et de soif et qui ne tombent pas sous la première lame, sont mutilés de leurs deux pattes arrière avant d’être laminés à coups de sabre jusqu’à ce que leur tête soit tranchée. Parfois, 25 entailles sont nécessaires pour les plus grands bovins. Cette fête d’une cruauté inouïe réunit jusqu’à deux millions de personnes, adultes comme enfants, et est retransmise à la télévision. Si Gadhimai n’est fêtée que tous les cinq ans, tout au long de l’année des rituels similaires ont lieu dans les temples et certaines places publiques. Tous les clans, toutes les ethnies y participent avec parfois la contribution de l’Etat et de l’armée. Une fois par an la célébration de Dashain entraîne, à travers le pays, la mort de centaines de milliers de chèvres, bœufs, canards, poulets… dont une partie est tuée par les militaires. Certains rites imposent de boire le sang directement de la jugulaire de l’animal égorgé (danses de Navadurga). D’autres demandent à neuf adolescents de dépecer une chèvre vivante avec leurs dents (fête de Khokana)… La barbarie envers les animaux ne s’arrête pas aux seuls rites religieux. Dans le divertissement aussi les animaux sont maltraités qu’il s’agisse du polo à dos d’éléphant, des charmeurs de serpents, des montreurs d’ours, etc. Pour parvenir à leurs fins, les hommes usent et abusent de la cruauté et de la peur. En plus des risques pandémiques que fait courir la mise à mort massive non réglementée, la cruauté est néfaste à la société. Toutes les études montrent qu’elle généralise l’insensibilité face à la souffrance des êtres vivants, notamment chez les enfants, et qu’elle banalise la violence y compris envers ses semblables. Les textes sacrés hindous ne prescrivent pas les sacrifices. Pas plus que le bouddhisme qui enseigne la compassion envers les animaux. Seuls les intérêts financiers de ceux qui exploitent les croyances et superstitions ancestrales permettent de perpétuer de telles traditions. Des traditions qui bien souvent ruinent les plus nécessiteux. L’absence de loi de protection des animaux au Népal contribue également à la persistance d’une brutalité d’un autre temps dans une société qui, pourtant, vise à devenir plus démocratique, égalitaire et moderne. Parce que chaque être vivant de la planète a le même droit au respect, une coalition internationale s’organise pour mettre fin aux sacrifices et jeux cruels au Népal. One Voice en est le partenaire pour la France. Initiée et coordonnée par l’ONG népalaise AWNN, cette coalition a vocation, entre autres, à mettre en place des campagnes d’éducation et de sensibilisation de la population, des autorités et des médias ; à faire pression sur les politiques pour l’adoption d’une loi de protection des animaux ; à rassembler une base de données statistiques sur les mises à mort au Népal. Les récentes actions menées par l’AWNN, notamment au cours d’une fête commémorative en l’honneur des animaux sacrifiés à la date anniversaire du dernier « hommage » à Gadhimai, laissent entrevoir une lueur d’espoir. Les autorités religieuses et politiques présentes se sont engagées à soutenir la campagne « Arrêtons le massacre » et à faire leur possible pour éradiquer ces pratiques archaïques. Si la résistance des clans est grande, il faut aussi savoir qu’une vaste majorité de la population hindoue urbaine désapprouve les sacrifices. Engagée pour quatre ans aux côtés de l’AWNN, One Voice invite chacun à agir en diffusant largement le tract édité pour l’occasion et en adressant, en qualité de citoyen de la planète, une lettre à l’ambassade du Népal demandant l’interdiction des sacrifices. Ambassade du Népal45 bis rue des Acacias75017 ParisSource One Voice 20/12/2010L’ambassade du Népal en France Tél: 01 46 22 48 67, Fax: 01 42 27 08 65E mail: nepalinparis@noos.fr L'ambassadeur: M. Mohan Krishna SHRESTHA Le premier secrétaire: M. Jiban Prakash SHRESTHA Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Admin-lane 0 Posté(e) le 28 décembre 2010 Consulat du Népal, Rouen Monsieur Didier BERNARD2, rue Victor Morin 76130 Mont-Saint-Aignan, FranceTél: 02 35 07 18 12Fax: 02 35 07 18 12E-mail: consulat.nepal@wanadoo.fr Site Web: www.consulat-nepal.orgL’ambassade du Népal en Belgique Avenue Brugmann 210 1050 BRUSSELS Tél: 02 346 26 58 Int: +32 2 346 26 58)Fax: 02 344 13 61 E-mail: embn@skynet.be Site Web: www.nepalembassy.beConsulat du Népal à Luxembourg Monsieur Guy AACHRue des Capucins 9L - 1313 LuxembourgP. O. Box 66, L - 2010 LuxembourgTel: 00352 22 7327, Fax: 00352 47 3772E-mail: tapiz-hertz@team.luMissions Permanente à Genève 81, rue de la Servette, 1202 Genève, Suisse Tel: 0041 22 7332 600 ou 7332 2621. Fax: 0041 22 7332 722 E-mail: mission.nepal@bluewin.ch Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Admin-lane 0 Posté(e) le 28 décembre 2012 Début : 09/12/2012 - Fin le 09/06/2013Auteur : JDMCibles : Gouvernement et ambassadeurs NépalaisAvis aux jeunes lecteurs et personnes sensibles, une partie du texte est mise sous spoiler afin d'éviter de vous heurter par les informations qui sont données quant à la manière dont ces animaux sont traités et mis à mort... Les sacrifices d’animaux, les plus terribles sur la planète, se perpétuent tous les ans, lors de la fête de Daishain, et tous les 5 ans, lors de la fête de Gadhimai.Il n’existe aucune loi réglementant ces sacrifices et le gouvernement népalais en subventionne certains. Leur nombre augmente lorsque la situation économique des fidèles s’améliore, leur donnant les moyens d’offrir des animaux. Une grande partie de la population hindoue urbaine les désapprouve. Cependant, les sacrifices d’animaux sont pratiqués à grande échelle. Spoiler: La fête de Gadhimai a lieu tous les cinq ans. En novembre, environ 250 000 animaux y ont été mutilés ou décapités en l’espace de deux jours «pour plaire à Gadhimai », déesse de la puissance.Spoiler: Ce sont les mises à mort des panchhbali (les cinq offrandes) : des buffles, des chèvres, des porcs, des coqs, des rats sont égorgés au couteau. Leur mort est violente et lente. Les animaux sont toujours vivants lorsque les prêtres répandent leur sang.Tout de suite après, des hommes armés de sabres pénètrent dans un enclos à l’intérieur duquel sont enfermés environ 20 000 buffles. Ils commencent à les frapper en visant le cou. Quand ils ne parviennent pas à décapiter l’animal, ils lui tranchent les pattes de derrière. Une fois que l’animal est au sol, il est frappé à coups de sabre. Pour le décapiter, il faut jusqu’à vingt-cinq tentatives.Outre les méthodes usuelles de sacrifice comme l’égorgement et la décapitation, d’autres formes de sacrifices sont pratiquées : Spoiler: serpents brûlés vifs, écorchage à vif des porcs et arrachage du coeur d’animaux vivants.Spoiler: À Bhaktapur, des porcs sont écorchés vifs à mains nues et on leur ouvre la poitrine, toujours à mains nues, pour en arracher le coeur encore palpitant. L’animal ne cesse de hurler et meurt pendant que son coeur encore battant est offert au temple au son d’une musique tonitruante.Il semble qu’il n’existe aucune limite aux différentes sortes de cruauté infligées aux animaux au nom de la religion ou de la culture.Spoiler: Durant la fête annuelle de Khokana, un rite consiste à jeter une jeune chèvre de cinq à six mois dans un bassin où de jeunes hommes vont la dépecer vivante, à mains nues et avec leurs dents.Neuf adolescents se jettent à l’eau et se mettent à la déchiqueter en lui arrachant les oreilles, les sabots, la queue. Celui qui réussit à la tuer devient le «héros». Il lui revient de mener la danse de Shinkali qui succède à ce rituel où la violence se déchaine à l’état brut.Je demande au gouvernement Népalais, ainsi qu'aux ambassadeurs du Népal, l'arrêt de cette monstruosité!CLIQUEZ ICI pour SIGNER la PETITIONMes Opinions.com 9/12/2012 Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Admin-lane 0 Posté(e) le 28 novembre 2014 Des hindouistes ont commencé vendredi à sacrifier des milliers d'animaux dans une zone reculée du Népal, en l'honneur d'une déesse et malgré les protestations d'ONG de défense des animaux. Cette cérémonie doit durer deux jours."La fête" a débuté à minuit sous haute surveillance policière dans le village de Bariyapur, près de la frontière indienne, avec le sacrifice inaugural d'une chèvre, un rat, un poulet, un porc et un pigeon. "C'est très festif, tout le monde est enthousiaste", a dit le prêtre Mangal Chaudhary, qui dirige la cérémonie, depuis le site des sacrifices situé près du temple consacré à la déesse Gadhimai."Les rituels se sont déroulés sans incident toute la matinée et nous avons maintenant commencé les sacrifices", a-t-il ajouté. Les fidèles devaient commencer par sacrifier des buffles, parqués par milliers dans un grand champ adjacent au site, avant de passer à d'autres animaux.Sita Ram Yadav, un paysan de 55 ans qui a voyagé pendant trois heures pour atteindre le village, a estimé que l'ambiance ressemblait à celle d'un "carnaval" avec la présence de milliers de fidèles. "J'offre une chèvre à Gadhimai pour la protection de ma famille. Si l'on y croit, elle exauce vos voeux", a-t-il expliqué.Quelque 1200 policiers ont été déployés dans le village et le champ où les sacrifices ont lieu, afin de contrôler la foule des spectateurs. Des croyants surexcités ont tenté d'escalader un mur haut de 1,50 mètre érigé autour du site et la police s'est activée pour empêcher tout heurt entre les hindouistes et les défenseurs des droits des animaux. La vente d'alcool a été interdite.Quelque 300'000 animaux avaient été décapités ou égorgés lors de la précédente édition en 2009, faisant de l'événement le plus grand sacrifice d'animaux au monde jamais organisé sur un seul site.Les défenseurs des animaux accusent les autorités du temple de "tirer profit de la croyance des gens (...) Elles extorquent de l'argent au nom de droits d'entrée, de parking etc..", dit Manoj Gautam, président de l'ONG Animal Welfare Network Nepal, venu pour protester contre ce rituel.Une campagne avait été lancée pour interdire cette fête avec le soutien de l'actrice britannique Joanna Lumley et le renfort de Brigitte Bardot qui a écrit au président népalais pour qu'il mette fin à "une tradition cruelle".Romandie 28/11/2014 Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites