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POLLUTION de l'air d'insaisissables particules fines

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Paris (AFP) - Un nouveau dispositif pour restreindre la circulation en cas de pics de pollution va être présenté par le gouvernement, annonce François Hollande jeudi dans une interview accordée au Parisien Magazine, qui lui demande s'il est nécessaire d'imposer la circulation alternée.

"Il faut savoir restreindre la circulation quand c'est nécessaire", répond le chef de l'Etat, pour qui les "procédures sont trop lourdes et les esprits pas suffisamment préparés".

 Bouchons sur le périphérique parisien, lors d'un pic de pollution, le 18 mars 2015 à Paris (c) Afp

"Ce n'est pas facile d'annoncer aux automobilistes de laisser leur véhicule chez eux alors qu'ils en ont besoin pour aller travailler", ajoute François Hollande, dans un entretien publié jeudi sur le site internet de l'hebdomadaire. "Le gouvernement va donc présenter un nouveau dispositif", affirme-t-il.

"Cela implique de mobiliser les transports collectifs et d'avoir un système d'alerte plus précoce", indique-t-il. Selon le président, "les Français, les Franciliens en particulier, doivent s'habituer à cette situation compte tenu de la multiplication des pics de pollution".

Ségolène Royal a promis "des mesures extrêmement fermes" contre la pollution de l'air, mais l'annonce de ces mesures initialement prévue en juillet a été reportée à une date ultérieure.

Une journée de circulation alternée avait été déclenchée en mars à Paris et sa proche banlieue, après plusieurs jours de forte pollution. Mais une polémique avait opposé Ségolène Royal à certains élus franciliens, dont Anne Hidalgo, la maire de Paris, qui reprochaient au gouvernement sa réticence à la mettre en place lors d'un fort épisode de pollution. Mme Royal avait alors mandaté deux experts pour faire des propositions pour réformer le processus de décision.

La ministre de l’Écologie a aussi annoncé pour début janvier un système de pastilles de couleurs qui permettra d'identifier les véhicules les moins polluants.

Avec la loi sur la transition énergétique, les maires ont désormais le pouvoir de décider de limiter la circulation à certains véhicules en cas de pollution ou d'établir des zones de circulation restreindre réservées aux véhicules les moins polluants

Enfin, Ségolène Royal s'est dite favorable à la demande formulée par certains maires de pouvoir abaisser la limite de vitesse sur les portions d'autoroutes urbaines.


Sciences et avenir 24/9/2015

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Un reporter de "Cash Investigation" a mesuré la concentration en dioxyde d’azote, un gaz toxique, dans la capitale. Résultat : au pied du palais du Louvre, le taux est cinq fois supérieur à la limite fixée par l’Organisation mondiale de la santé. A voir dans "Cash Investigation. Diesel, la dangereuse exception française" diffusé sur France 2 lundi 28 septembre à 23 heures.

Vous connaissiez le dioxyde de carbone, voici le dioxyde d’azote. Un gaz toxique qui colore le ciel au-dessus de nos villes lors des pics de pollution. Il peut créer de graves troubles respiratoires et il est particulièrement dangereux pour les asthmatiques. Le NO2, c’est son nom, est omniprésent en ville à cause de la "diésélisation" massive du parc automobile français. L’Organisation mondiale de la santé a fixée une limite à ne pas dépasser : 200 microgrammes par mètres cubes et par heure.



L’équipe de "Cash Investigation" est partie à la chasse au dioxyde d’azote, munie d’un appareil pour mesurer sa concentration dans l’air. Sur le boulevard périphérique, mais aussi en plein cœur de la capitale, jusqu’au pied du Louvre. Les compteurs ont explosé, en particulier aux abords du célèbre musée, où le taux a atteint 1 000 microgrammes par mètre cube.

A voir dans "Cash investigation. Diesel, la dangereuse exception française", une enquête d’Edouard Perrin diffusée sur France 2 le lundi 28 septembre à 23 heures.


Le dioxyde d'azote est un composé chimique de formule NO2. Il s'agit d'un gaz brun-rouge toxique suffocant à l'odeur âcre et piquante caractéristique. C'est un précurseur de la production industrielle de l'acide nitrique HNO3 et un polluant majeur de l'atmosphère terrestre produit par les moteurs à combustion interne et les centrales thermiques. Il est responsable à ce titre du caractère eutrophisant des pluies acides non soufrées (le NO2 combiné à l'ozone troposphérique anthropique forme des nitrates très solubles dans l'eau).  C'est une des odeurs que l'on perçoit dans les rues polluées par la circulation automobileWikipedia

Francetv info 25/9/2015

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La ministre de l'Économie, du Développement durable et de l'Énergie était l'invitée de Roland Sicard dans les 4 Vérités mercredi 30 septembre. Elle a détaillé le plan antipollution qu'elle présente aujourd'hui.

Pour Ségolène Royal, le plan antipollution qu'elle présente aujourd'hui comporte trois mesures importantes :

- Tout d'abord, l'indemnité kilométrique vélo : "Elle sera versée par les employeurs volontaires et sera de 25 centimes d'euros du kilomètre. Il n'y aura pas de charges sociales ni d'imposition."



- "La seconde mesure, explique la ministre, c'est la gestion des pics de pollution". La décision de mettre en place une circulation alternée "pourra être prise dès qu'il y a une alerte de pollution, et non plus seulement dès qu'il y a de la pollution constatée". "Chaque fois que les élus demanderont une  limitation de la vitesse, ils l'obtiendront", ajoute Ségolène Royal.


Troisième annonce : "Il y aura des certificats de chaque couleur pour chaque voiture. C'est un peu le retour de la pastille verte." Et elle ajoute : "Les maires pourront créer d'autres avantages pour les voitures propres. Je remets en place le bonus de 10 000 euros."

Concernant le scandale du logiciel fraudeur aux normes antipollution installé par Volkswagen sur ses véhicules, la ministre annonce : "Je vais demain à Montlhéry, et nous allons faire des contrôles au hasard. Les propriétaires de voitures trafiquées seront indemnisés".

Enfin, Ségolène Royal a une position mitigée sur le diesel. Selon elle, "on peut concilier le développement économique et la défense de l'environnement".


Francetv info 30/9/2015

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Paris - Emmanuelle Cosse, secrétaire nationale d'Europe Écologie-Les Verts, a salué jeudi le plan contre la pollution de l'air présenté par Ségolène Royal comme une bonne évolution, mais a regretté qu'il ne comporte aucune mesure pour faire baisser l'utilisation du diesel.

"C'est une bonne évolution, même si j'aurais voulu qu'elle aille plus loin", a déclaré Mme Cosse sur France Inter. "Après des mois de pression avec elle, nous avons enfin des mesures automatiques (de déclenchement de la circulation alternée), et c'est ce que nous demandions".

Maintenant il faut dire les choses franchement: la pollution de l'air dans ce pays ne baissera que si nous avons des véhicules qui sont moins émetteurs de pollution, d'où la question notamment de la place du diesel. Et de ce côté là (...) ce plan ne comporte aucune mesure sur la baisse du diesel dans ce pays.

Emmanuelle Cosse a aussi réagi à la déclaration du ministre de l'Economie Emmanuel Macron qui a appelé à ne pas faire du scandale Volkswagen un scandale diesel, l'accusant de défendre les lobbys du passéMoi j'aimerais surtout savoir quand est-ce qu'on parlera du scandale des enfants, des adultes et des personnes âgées qui sont victimes de troubles respiratoires à cause du diesel, a-t-elle lancé.

Ca nous coûte des milliards dans le budget, mais on préfère continuer sur une industrie polluante qui aujourd'hui est finissante, plutôt que de proposer aux constructeurs automobiles de les aider, sur 10 ans, à changer de production. On a des marchés sur les hybrides, sur les électriques qui sont bien plus prometteurs et je préfèrerais qu'on parle de l'avenir plutôt qu'il défende les lobbys du passé, a-t-elle ajouté.


Romandie 1/10/2015

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Les Parisiens et les banlieusards risquent de tousser un peu plus que d'habitude. Airparif annonce un épisode de pollution aux particules fines sur Paris et la région parisienne, mardi 13 octobre. Pour le réseau qui surveille la qualité de l'air en Ile-de-France, le seuil d'alerte en rouge n'est pas atteint, mais le niveau d'information en orange, lui, l'est.




L'indice de pollution au PM10 était de 68/100, lundi et devrait atteindre 77/100, mardi, selon Airparif. Ces particules PM10 qui polluent l'air francilien sont celles émises par le trafic routier, les rejets industriels, la combustion des ordures, et dont le diamètre est inférieur à 10 micromètres




Afin de limiter le trafic automobile dans Paris et sa région, La mairie de Paris a annoncé la gratuité du stationnement résidentiel.




Les écologistes, à l'instar de la secrétaire nationale d'Europe Ecologie - Les Verts, Emmanuelle Cosse, réclament, eux, la mise en place de la circulation alternée pour réduire encore plus l'impact de la pollution automobile.


Francetv iinfo 13/10/2015

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Paris (AFP) - Neuf véhicules diesel sur 10 "ne respectent pas les nouvelles normes anti-pollution", a assuré mardi Delphine Batho, rapporteure de la mission d’information sur le diesel à l'Assemblée nationale.

"Il ne faut pas mettre tous les constructeurs dans le même panier", a souligné l'ex-ministre PS de l'Ecologie sur LCP, estimant qu'"il y a dans l’affaire Volkswagen quelque chose de très grave qui est un crime contre la santé publique, avec préméditation, une tromperie, une tricherie"
.

Delphine Batho, le 24 août 2013 à La Rochelle (c) Afp


Mais c'est aussi "l’ensemble d’un secteur industriel qui est ébranlé, parce que, au travers de cette affaire Volkswagen, tout le monde a en quelque sorte découvert une information qui n’était pas complètement nouvelle, c’est-à-dire que les nouvelles normes de pollution des véhicules en réalité ne sont pas respectées, non pas de façon délibérée comme l’a fait Volkswagen, mais parce que les tests ne sont pas faits en conditions réelles de conduite", a-t-elle poursuivi.

"On a par exemple 9 véhicules diesel sur 10 qui ne respectent pas les nouvelles normes anti-pollution", a -t-elle assuré

 Sciences et avenir 29/9/2015


La députée des Deux-Sèvres a expliqué que la mission d'information sur le diesel allait "examiner les conséquences sociales et économiques pour tout un secteur industriel, celui de l’automobile qui représente 200.000 salariés en France". Dans un entretien au Parisien-Aujourd'hui en France de mardi, Mme Batho assure que "ce n'est pas une mission pour enterrer le problème, mais bien pour trouver des solutions".



Sciences et avenir 20/10/2015

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Des chercheurs de l’université de Paris-Saclay ont trouvé des nanotubes de carbone dans les cellules des voies respiratoires d’enfants asthmatiques vivant en région parisienne. Ces nanotubes pourraient provenir d’émissions de gaz d’échappement et entrer dans les poumons de chacun d’entre nous.

Parmi les polluants présents dans l’atmosphère, les particules fines qui mesurent moins de 2,5 µm de diamètre (appelées PM 2,5) peuvent pénétrer dans les voies respiratoires et entraîner des effets négatifs sur la santé. Ces particules fines seraient une cause majeure de décès et de maladies dans le monde : des études ont montré une association entre l’exposition à ces particules à long terme et la mortalité, même à des concentrations inférieures à celles recommandées par l'Organisation mondiale de la santé (OMS). L’exposition à long terme à de fortes concentrations de particules fines augmenterait le risque cardiovasculaire, les maladies respiratoires, le diabète et le cancer du poumon ; une exposition à court terme pourrait exacerber ou favoriser l’apparition de maladies respiratoires comme l’asthme.

 Les nanotubes de carbone (indiqués par des flèches rouges) présents dans des gaz d’échappement (à gauche) peuvent se retrouver dans des cellules de poumons (à droite). ©️ Kolosnjaj-Tabi et al., EBioMedicine, 2015, CC by-nc-nd 4.0

Dans un article paru dans EBioMedicine, des scientifiques français et de l’université Rice (Houston, États-Unis) ont caractérisé les particules présentes dans les liquides de lavage broncho-alvéolaire d'enfants asthmatiques. Les chercheurs ont choisi de travailler sur de tels patients car la bronchoscopie est un examen de routine pour le diagnostic de l’asthme en France alors que, du point de vue éthique, il est difficile d'envisager d'utiliser cette technique invasive sur des sujets en bonne santé.

64 échantillons provenant de 36 garçons et 28 filles âgés de 2 mois à 17 ans ont été récoltés entre 2007 et 2011. Ces échantillons de liquides de lavage broncho-alvéolaires étaient congelés à l’hôpital Trousseau, à Paris. Comme la congélation détruit les cellules, les chercheurs ont ensuite analysé des échantillons frais avec des cellules pulmonaires intactes, provenant de cinq garçons âgés de 12 à 58 mois. Tous ces patients ont fait ces examens dans le cadre de leur traitement. Comme les nanotubes sont trop petits pour être détectés par des microscopes optiques, les scientifiques ont utilisé des outils plus sophistiqués : la microscopie électronique à transmission de haute résolution et la spectroscopie X à dispersion d'énergie.

Les chercheurs ont analysé la matière présente dans les cellules de macrophages alvéolaires, qui servent à empêcher l’entrée de matériaux étrangers comme des particules ou des bactéries dans les poumons. Ils ont alors observé dans les cellules des agrégats de nanotubes qui mesuraient de 10 à 60 nanomètres (nm) de diamètre et jusqu’à plusieurs centaines de nanomètres de longueur.

Les particules trouvées dans les poumons des enfants asthmatiques étaient similaires à celles présentes dans les gaz d’échappement de véhicules parisiens, mais aussi dans des poussières provenant de différents endroits de la ville et même d'ailleurs dans le monde : dans l’air ambiant aux États-Unis, dans des toiles d’araignée domestiques à Kanpur, en Inde, et dans des carottes de glace. En définitive, ces nanoparticules pourraient être omniprésentes dans notre environnement.

Comme les nanotubes ont été trouvés dans tous les échantillons de l’étude, ils pourraient bien se trouver chez tout le monde. Or, comme l’explique le chimiste Lon Wilson de l’université Rice, « dans notre laboratoire, lorsque nous travaillons avec des nanotubes de carbone, nous portons des masques pour éviter exactement ce que nous voyons dans ces échantillons ». Ironie du sort : en sortant se promener à l’extérieur, chacun doit récupérer un peu de nanotubes de carbone dans ses poumons.

Les nanotubes de carbone, en raison de leurs caractéristiques chimiques, peuvent adhérer à une grande variété de substances, depuis des gaz et des métaux jusqu’à des molécules plus ou moins grandes. Ils pourraient donc transporter des polluants de l’air. Dans leur article, les auteurs citent également l’hypothèse controversée selon laquelle les fibres de nanotubes de carbone agiraient comme l’amiante.


Futura Sciences 21/10/2015

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Paris (AFP) - La ministre de l'Ecologie Ségolène Royal a demandé à la Commission européenne "une réunion de clarification" sur la décision adoptée mercredi fixant de nouvelles normes d'émissions de gaz polluants pour les moteurs diesel.

 euronews (en français 29/10/2015


Ce projet adopté par un comité technique "a suscité une profonde incompréhension" et "n'est pas satisfaisant", a déclaré Mme Royal dans un communiqué, ajoutant qu'"une décision de cette importance doit être discutée et décidée en réunion des ministres, c’est-à-dire au niveau politique".


Sciences et avenir 29/10/2015

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Paris (AFP) - La maire de Paris Anne Hidalgo et le président de la région Ile-de-France Jean-Paul Huchon ont demandé dimanche à l'Etat "des mesures immédiates", notamment la circulation alternée, face à l'épisode de pollution aux particules fines attendu lundi en région parisienne.

Dans un communiqué commun, les deux élus socialistes "demandent à l’Etat de mettre en place sans attendre la circulation alternée, le contournement de l’Ile-de-France par les poids lourds de transit et la baisse de la vitesse maximale autorisée".







"Dès lundi, la Ville de Paris prendra une première mesure d'urgence, en rendant le stationnement résidentiel gratuit. En fonction de l’évolution de la situation dans les jours qui viennent, elle déclenchera d'autres mesures complémentaires: gratuité d'Autolib’, de Velib’, etc", selon le communiqué.

Cet appel lancé par Mme Hidalgo et M. Huchon intervient alors qu'Airparif, l'association chargée de la surveillance de la qualité de l'air en région parisienne, a annoncé dimanche que le "niveau d'information" (pollution dépassant 50 microgrammes de poussières en suspension par mètre cube en moyenne sur la journée) devrait être dépassé lundi.




La concentration de particules fines PM10 (diamètre inférieur à 10 microns) devrait être comprise entre 55 microgrammes et 65 microgrammes par mètre cube au maximum. La situation devrait toutefois s'améliorer mardi, selon Airparif.

L'Agence régionale de santé recommande aux populations les plus sensibles de réduire leurs activités physiques, en plein air comme en intérieur (personnes âgées, femmes enceintes, jeunes enfants, personnes asthmatiques ou ayant des pathologies cardio-vasculaires...)




La préfecture de police de Paris invite pour sa part les conducteurs à différer leurs déplacements dans la région, à contourner l'agglomération de Paris pour le trafic de transit et à réduire leur vitesse sur l'ensemble de la région.

Dans leur communiqué commun, la maire de Paris et le président de région "rappellent également leur volonté de faire évoluer au plus vite les modalités de réponse des pouvoirs publics en cas d’épisode de pollution, afin d'accélérer et de simplifier la mise en place des mesures d’urgence et d’en informer le plus tôt possible les citoyens".

Ils "réaffirment notamment leur soutien à l’expérimentation à court terme de +certificats de la qualité de l’air+, comme annoncé par (la ministre de l'Ecologie) Ségolène Royal, qui permettront de mettre en place des restrictions de circulation en fonction du niveau d’émission des véhicules en cas d’épisode de pollution".

Les particules fines, qui affectent les systèmes respiratoire et cardiovasculaire, sont une des principales sources de pollution de l'air. En milieu urbain, elles sont émises notamment par le trafic routier et, l'hiver, par le chauffage.



Sciences et avenir 1/11/2015

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La circulation sera alternée à Paris mardi si le pic de pollution continue ce lundi, a indiqué la ministre française de l'écologie Ségolène Royal sur France Info. Le niveau de pollution devrait être particulièrement élevé ce lundi dans la capitale.

"Si le pic de pollution continue aujourd'hui la circulation alternée sera accordée aux élus s'ils la demandent pour demain", a déclaré Mme Royal depuis Pékin où elle accompagne François Hollande. La ministre répondait aux demandes en ce sens de la maire de Paris Anne Hidalgo et du président de la région Ile-de-France Jean-Paul Huchon.




Même sans attendre la circulation alternée, Mme Royal a annoncé qu'elle allait demander au préfet de police de "prendre les mesures qui peuvent être prises immédiatement: le contournement de la ville des poids lourds et l'abaissement de la vitesse de circulation".

Mme Hidalgo et M. Huchon ont demandé dimanche à l'Etat "des mesures immédiates", notamment la circulation alternée, face à l'épisode de pollution aux particules fines attendu lundi en région parisienne. Airparif, l'association chargée de la surveillance de la qualité de l'air en région parisienne, a annoncé que le "niveau d'information" (pollution dépassant 50 microgrammes de poussières en suspension par m3 en moyenne sur la journée) devrait être dépassé ce lundi.




La concentration de particules fines PM10 (diamètre inférieur à 10 microns) devrait être comprise entre 55 microgrammes et 65 microgrammes par m3 au maximum. La situation devrait toutefois s'améliorer mardi, selon Airparif.


----->Cette initiative a peu de chance d'être concrétisée en regard des prévisions d'AirParis qui prévoit une dimunition de la pollution en-Ile-de-France... avec un indice de 39/100 contre 67/100 ce lundi 2 et de 87/100 le 1er novembre... 


Romandie 2/11/2015

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