Admin-lane 0 Posté(e) le 4 février 2013 Début : 24/01/2013 - Fin : ?Auteur : Ophelie DekuypereCible : Monsieur le Président de la RépubliqueJe me permets de vous adresser ce courrier, en y joignant une pétition, afin de vous faire part de mon indignation, et de celle des humains ayant encore un coeur.Je suis indignée, que la France, pratique la vivisection.La vivisection signifie littéralement que l'on découpe un animal vivant ; c'est ce qui se pratiquait effectivement autrefois, notamment au XVIIIeme siècle où la philosophie cartésienne déniait la possibilité de souffrance aux animaux-machines. Dès lors, rien n'empêchait de clouer des chiens vivants et de pratiquer des expériences sur eux.Aujourd'hui, de telles pratiques n'ont plus cours mais les humains continuent à employer un nombre très élevé d'animaux pour des expériences scientifiques. Un pays comme le nôtre sacrifie chaque année plusieurs centaines de milliers de rongeurs, plusieurs milliers de chats et chiens, et plusieurs centaines de primates.Par cette phrase, le Dr Wolfgang Bohn, nous confirme que des méthodes alternatives existent : Nous possédons un grand nombre de méthodes thérapeutiques et de médicaments acquis sans tortures animales, mais ils n’ont pas été employés et diffusés comme ils le mériteraient, uniquement parce que la génération moderne de chercheurs ne connaît pas d’autre méthode que la vivisection.- Pourquoi tester sur les êtres n'ayant que de l'amour à donner et ne connaissant pas la signification du mot "haine" ? - Pourquoi ne pas plutôt choisir les violeurs ou tueurs en série ? Effectivement, c'est plus simple de libérer des monstres après seulement un an de prison...Croyez vous réellement, que la souffrance des animaux sacrifiés, dans de très longues agonies, est le prix de votre abominable coquetterie ? Comme disait ce grand Gandhi, «On peut juger de la grandeur d'une nation par la façon dont les animaux y sont traités.»Doit-on comprendre que notre nation est digne de celle du moyen âge ?La race humaine se comporte comme à l'ère primaire. Et vous vous dites évolué ? Je vous remercie de m'avoir lue, et surtout, d'arrêter ce génocide qui grandit chaque jour. (Ophélie Dekuypère, 17 ans.)CLIQUEZ ICI pour SIGNER la PETITION PETITION CLOSE voir la suivante MES OPINIONS 4/2/2013 Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Admin-lane 0 Posté(e) le 18 avril 2013 Début : 15/04/2013 - FIN : ?Auteur : Teddy D.Cibles : Madame FILIPPETTI, Laboratoires, Grandes marques de cosmétique et la Commission européenne.La vivisection est une pratique abominable qui consiste à mutiler ou à disséquer des animaux vivants, soi-disant à des fins scientifiques.Les animaux sont élevés pour souffrir, ils passent leur pauvre vie enfermés et subissent d'atroces souffrances. - Certains sont ouverts vivants pour que leurs organes soient prélevées. - D'autres ont des boitiers métalliques implantés dans la tête, sans anesthésie, qui servent à je ne sais quoi. - D'autres encore subissent des ablations d'une partie de leur cerveau ce qui les rend incapables de bouger et de réagir, ils sont ensuite diagnostiqués comme légumes et des tests leurs sont faits jusqu'à ce qu'ils en meurent.Ces pratiques sont BARBARES, RÉVOLTANTES ! Elles font souffrir des millions d'animaux à travers le monde, et de plus sont inutiles car les animaux et les hommes ne sont pas faits pareil au niveau de l'organisme ou de l'espérance de vie. Et même si l'homme et l'animal avaient été faits pareils, l'homme n'a pas à massacrer d'animaux. Ils méritent tout autant que nous de vivre et d'être respectés, ce ne sont pas nos cobayes. Il existe d'autres méthodes d'expérimentations scientifiques qui n'utilisent pas d'animaux, mais ils continuent à les utiliser car cela rapporte de l'argent aux personnes qui vendent ces animaux pour expériences aux laboratoires. Il faut STOPPER à tout prix la vivisection, aucun animal ne mérite de vivre cette vie-là.CLIQUEZ ICI pour SIGNER la PETITIONMes OPINIONS 15/4/2013 Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Admin-lane 0 Posté(e) le 1 mai 2013 Début : 25/4/2013 - Fin : 25/12/2013Auteur : Carine C.Cible : Tous nos dirigeantsA l'heure actuelle encore, des milliers d'animaux connaissent d'atroces souffrances dans les laboratoires, les écoles...des actes souvent inutiles car le modèle animal ne correspondra jamais au modèle humain. Exigeons des méthodes de substitutions, plus fiables et plus respectueuses de la souffrance des animaux. Exigeons le changement !Cliquez ICI pour plus d'informationsCLIQUEZ ICI pour SIGNER la PETITIONMES OPINIONS 25/4/2013 Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Admin-lane 0 Posté(e) le 19 octobre 2013 La Fondation 30 Millions d’Amis soutient l'initiative citoyenne européenne « Stop vivisection » qui vise à mettre un terme à l'expérimentation animale en Europe. Un projet auquel chacun peut participer en signant la pétition.Un million de signatures. C’est ce qu’il faut réunir pour que l’expérimentation animale puisse être définitivement abolie en Europe. Tout juste présentée au Parlement européen (26/6/2013), l'initiative citoyenne européenne (ICE) «Stop vivisection» est née grâce à un comité de citoyens, constitués d’activistes, d’universitaires, de scientifiques, d’architectes, d’hommes et de femmes politiques. Son but : abroger la directive 2010/63/UE relative à la protection des animaux utilisés à des fins scientifiques et présenter à la place une nouvelle proposition de directive visant à mettre fin à l’expérimentation animale. «Plus de 60 associations dans toute l'Europe ont rejoint la liste des soutiens, dont la Fondation 30 Millions d'Amis » explique Sonia Alfano, députée européenne et membre du parti politique l'Italie des valeurs (Italia dei Valori), par ailleurs très engagée dans la protection animale.Pour appuyer cette demande, le collectif s’appuie sur l'article 13 du Traité sur le Fonctionnement de l’Union européenne, qui affirme que «l’Union et les Etats membres tiennent pleinement compte des exigences et du bien-être des animaux en tant qu'êtres sensibles». Pourtant, elle autorise toujours les expériences sur les animaux, une pratique inacceptable dans la mesure où elle impose une douleur et une souffrance illimitées à des êtres vivants et sans défense. «Il ne s'agit plus seulement d'une question éthique ou philosophique réservée à ceux qui aiment les animaux, poursuit l’eurodéputée. La science démontre que le modèle animal n'est pas un modèle valide pour l'être humain.»Le texte du collectif ne s’arrête pas là : il souhaite rendre obligatoire, pour la recherche biomédicale et toxicologique, l’utilisation de données pertinentes pour l’espèce humaine. «on constate aujourd’hui que les mêmes tests effectués sur des souris et des rats obtiennent des réponses complètement différentes, jusqu'à 60% des cas, alors que les deux espèces sont très proches, beaucoup plus qu'avec l'Homme, explique Sonia Alfano. Il faut en conséquence investir dans les méthodes substitutives.» Des méthodes qui existent bel et bien, mais qui sont pour l’instant écartées des protocoles de recherche. «Les procédures sont si longues qu'elles nécessitent en moyenne 10 ans d'essais, dénonce la jeune femme. Et après 10 ans, aucune méthode n'est plus valable ou intéressante compte tenu des progrès scientifiques réalisés en permanence.»A la différence d'une pétition «traditionnelle», l'initiative citoyenne européenne est un instrument juridique contraignant qui obligera la Commission européenne à donner suite à cette demande. L'initiative doit être soutenue par au moins un million de citoyens européens issus d'au moins 7 pays sur les 27 que compte l'Union. Un nombre minimum de signataires est requis dans chacun de ces 7 Etats membres. «Plus de 10 000 comités locaux organisent actuellement des collectes de signatures dans toute l'Europe. Si le million de signature est atteint d'ici le 1er novembre 2013, la loi sera changée pour 500 millions d'habitants» se réjouit Sonia Alfano. Si à ce jour, près de 400 000 personnes ont signé l'ICE en ligne sur le site sécurisé de la Commission européenne, un quorum (nombre minimal, NDLR) est requis pour chaque pays européen. Pour la France, 55.500 signatures sont nécessaires.Grâce à la mobilisation des défenseurs des animaux, les instances européennes ont interdit les produits cosmétiques testés sur les animaux depuis le 11 mars 2013. Cette mesure, qui permet d’épargner 240.000 animaux chaque année, demeure néanmoins insuffisante : plus de 12 millions d’animaux sont sacrifiés tous les ans dans les domaines de la recherche, de l’enseignement, de l’armement, de la pharmacologie et de la toxicologie. «L’Union européenne est un levier par définition. Si on réussit à introduire de nouveaux droits dans une loi sur l'expérimentation animale, elle influencera l'ensemble des lois nationales régissant notre relation avec les animaux.»Important : afin de valider la signature, le numéro d'une pièce d'identité est demandé.Signer la pétition sur le site StopvivisectionPour obtenir la version papier, télécharger le formulaire30 millions d'amis 14/10/2013 Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Admin-lane 0 Posté(e) le 10 janvier 2014 Le 23 décembre, la Commission européenne a validé la première initiative européenne concernant l’accès à l’eau potable. Vont suivre la vivisection et la recherche sur l’embryon humain.En 2011, l’Union européenne a adopté un règlement permettant aux citoyens de présenter une proposition législative dans le domaine de compétence de l’Europe, par exemple l’environnement, les transports, l’agriculture, la recherche, la santé publique. En novembre 2013, à Milan, une marche contre la vivisection. Marco Aprile/NurPhoto/SIPAPour ce faire, un comité d’au moins 7 citoyens en âge de voter issus d’au moins 7 pays membres doit organiser une pétition sur une question précise. Les organisations ne peuvent pas gérer une initiative mais peuvent l’appuyer à condition que cette aide soit faite en toute transparence. Le comité doit enregistrer son texte sur un site dédié. À partir de l’enregistrement, les promoteurs ont un an pour recueillir les signatures d’au moins un million d’Européens vivant dans au minimum 7 pays. Le 1er novembre dernier, la Commission a enregistré trois pétitions ayant répondu à ces exigences.L’accès à l’eau potable est la première initiative citoyenne validée. La pétition invite la Commission européenne à proposer une législation qui fasse "du droit à l’eau et à l’assainissement un droit humain au sens que lui donnent les Nations Unies". Pour les pétitionnaires, il s’agit de réaffirmer que selon eux "l’eau n’est pas une marchandise" et doit donc être gérée comme un bien public. La pétition a reçu 1.659.543 signatures validées dans 16 pays. La procédure peut donc continuer.Dans un délai de trois mois, les promoteurs de la pétition seront invités à la Commission pour qu’ils expliquent plus en détail leur proposition et une audition publique sera organisée au Parlement Européen. La Commission peut ensuite décider d’adopter ou non une nouvelle législation. Mais elle doit motiver sa décision. Manuela Mescalchin 26/1/2013... Personnes sensibles, attention...L’arrêt de la vivisection. Les promoteurs de la pétition se sont vus valider fin décembre 1.326.000 signatures mais il reste à vérifier que les quotas par États sont bien respectés. Ce texte demande que soit interdite "l'utilisation d'animaux considérés comme des modèles biologiques de l'homme à des fins scientifiques (recherche fondamentale et appliquée, enseignement de la biologie et de la médecine humaines, toxicologie, etc.)".Ses auteurs estiment que "des méthodes modernes, plus fiables et très souvent plus économiques existent, de nos jours, pour recueillir des données pertinentes pour l'homme".La pétition est soutenue par l’association européenne Antidote dirigée par l’anglais André Ménache, vétérinaire et zoologiste, l’italien Gianni Tamino, professeur de biologie à l’université de Padoue et le français Claude Reiss, biologiste, ex-directeur de laboratoire au CNRS. Ce sont ces hommes que le Parlement et la Commission devraient recevoir au cours de l’année.L’arrêt de la recherche sur l’embryon humain. Le nombre de signatures n’a pas été validé par l’UE mais les promoteurs revendiquent 1,9 million de signatures (107.000 en France). Il s’agit d’imposer à l’Europe l’interdiction de tout financement aux recherches qui impliqueraient la destruction d’embryons humains.Le texte est porté par Un de nous, un collectif rassemblant la frange la plus droitière des églises chrétiennes et les associations anti-avortement : la Fondation Jérôme Lejeune, Alliance VITA, les Associations familiales catholiques, le comité protestant évangélique pour la dignité humaine.Sciences et avenir 9/1/2014 Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Admin-lane 0 Posté(e) le 13 mai 2015 Signée par 1,6 millions d’européens, l’initiative citoyenne contre la vivisection n’a pas convaincu beaucoup d’eurodéputés, lors d’une audition organisée au Parlement européen.Il s’agit seulement de la troisième ICE à avoir franchi le parcours d’obstacle du processus, qui en contient un certain nombre. Il faut en effet déposer un projet qui soit acceptable juridiquement, puis récolter plus d’un million de signature dans un temps relativement court, des contraintes « insurmontables pour les réseaux qui ne sont pas déjà bien installés au niveau international », selon l’organisateur d’une ICE qui n’a pas réussi à rassembler un nombre de voix suffisant, sur le revenu minimum. Les cochons d'Inde font partie des animaux utilisés par la recherche scientifiqueUn débat est ensuite organisé au Parlement européen, avant que la Commission ne prenne une décision sur ce qui est envisageable de faire ou pas. Dans le cas de la vivisection, le débat a eu lieu lundi 10 mai à Bruxelles. Or le soutien politique à l’ICE s’est avéré plutôt maigre, "même si la mobilisation du lobby pour la défense des animaux" s’est montrée importante, à la fois dans la salle et au sein du panel d’experts retenus pour l’audition.« Quand je prépare un médicament pour un cheval, je ne le teste pas sur un perroquet » a expliqué André Ménache, représentant de l’ICE contre la vivisection et médecin vétérinaire. Le docteur estime que la directive actuelle ne permet pas de se tourner vers des solutions alternatives, et que les chercheurs n’ont aujourd’hui aucune contrainte pour ne pas avoir recours aux animaux.Un point de vue partagé par d’autres experts convoqué à l’audition, dont un américain, le Dr Ray Greek. « Aucune étude ne répond à la question de la valeur prédictive du modèle animal. Un centaine de vaccins contre le sida ont donné des bons résultats sur les animaux, et aucun n’a fonctionné sur des êtres humains » a ainsi expliqué le médecin, auteur de plusieurs ouvrages qui remettent en cause l’efficacité des expériences sur les animaux. « Les animaux ne sont pas des modèles prédictifs, et pourtant on continue d’estimer qu’ils le sont » a-t-il ajouté.Les débats ont été plutôt houleux, notamment lorsqu’un chercheur de l’INSERM a accusé les laboratoires pharmaceutiques d’être à l’origine de l’absence de vaccin contre le virus du Sida. « On a trouvé une solution, mais aucun laboratoire n’a souhaité nous épauler, parce que les laboratoires se font des milliards d’euros en vendant des médicaments contre le virus » a-t-il assuré.Un point de vue qui n’a été soutenu que par des élus Verts et gauche radicale. « Je soutiens cette stragtégie de recherche de solutions alternatives à la recherche animale, et je demande à la Commission d’accepter le principe de la fin des expérimentations animales » a demandé l’élu vert britannique Keith Taylor. A l’inverse, les représentants des deux principaux groupes, socialistes et PPE, se sont opposés à l’ICE.L’espagnole Clara Eugenia Aguilera Garcia, s’est interrogée sur les possibilités de remplacer totalement la recherche sur les animaux par d’autres techniques. « Il y a un doute scientifique, donc dans le doute, je pense qu’on ne peut pas abandonner la recherche sur les animaux ». Toujours du côté des sociaux démocrates, le Belge Marc Tarabella s’est même interrogé sur la pertinence des ICE. « Autant on peut avoir du respect pour les animaux, autant il est regrettable qu’il y ait autant d’initiatives pour la défense des animaux au Parlement européen, et aussi peu pour protéger les enfants des pays en voie de développement a-t-il regretté. Il a aussi déclaré que le nombre de signataires de l’ICE ne justifiait rien, estimant qu’il pourrait y avoir une ICE plaidant pour le retour de la peine de mort, ce qui ne justifierait pas que les politiques la suivent.La chercheuse Françoise Barre Sinoussi, prix Nobel en 2008, est venue de son côté effectuer un plaidoyer pour les tests sur les animaux. «Nous évitons 2 à 3 millions de décès par an grâce aux vaccins, qui n’existeraient pas sans les tests sur les animaux» a assuré la scientifique, en estimant qu’en France, 80 % de la recherche utilisant des animaux a auparavant utilisé d’autres modèles. « Si nous arrêtions la recherche sur les animaux maintenant, ce serait un désastre pour la santé humaine, il faut en prendre conscience » .La députée Françoise Grossetête s’est directement opposée à l’ICE. « Je défends les animaux, mais je défends aussi le cadre règlementaire de la directive de 2010. Nous avons eu ces discussions lors de l’élaboration de cette directive ! Ce texte est équilibré et va être réévalué d’ici 2017» a rappelé l’élue UMP. « Je préfère que les expériences sur les animaux soient faites en Europe, où les règles de respect de bien-être animal sont contrôlées » a ajouté l’élue, tout en regrettant que les associations de patients représentant les maladies orphelines n’aient pas été convoquées à l’audition.La Commission européenne a désormais un petit mois pour élaborer une réponse, qui devrait être établie le 3 juin prochain. L’argument juridique de la directive de 2010 devrait être évoqué selon une source à la Commission. Le texte prévoit que les tests sur les animaux soit réduits au maximum et les méthodes de recherche alternatives encouragée. Et le fait qu’il doive être réévalué prochainement pourrait donner un argument à la Commission pour ne pas engager de nouveau processus législatif prévoyant l’élimination des tests sur les animaux en Europe. Pour l’heure, une seule ICE a été validée par la Commission européenne, celle du droit à l’eau.AurActiv 13/5/2015 Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Admin-lane 0 Posté(e) le 25 mai 2015 Deux personnes sont en grève de la faim pour revendiquer la fermeture du centre de primatologie de Fort Foch à Niederhausbergen, près de Strasbourg. Les singes en provenance d’Asie et de l’île Maurice sont revendus aux laboratoires de vivisection et leur nombre va doubler suite à l’autorisation d’extension du centre accordée par le préfet du Bas-Rhin. Photo de Jérémy et Christophe, portant des pancartes expliquant leur action. Cela fait 9 jours que Jérémy et Christophe n’ont plus mangé. Tous les deux sont des militants pour le droit des animaux et Christophe est en plus président du réseau Animavie. Trois personnes les ont rejoints dans leur combat : Katia, Quentin et Christine font la grève de la faim dans leur localité.Jérémy et Christophe racontent leur grève de la faim dans le blog Fermons Fort Foch. Interviewés par Vegactu, ils ont répondu à nos questions :Pouvez-vous nous décrire le projet contre lequel vous êtes en lutte ? Nous désapprouvons totalement cette décision irresponsable favorisant l’import-export de singes car l’expérimentation animale est en recul grâce aux méthodes scientifiques substitutives qui sont sans cruauté, plus fiables pour la santé humaine et beaucoup moins coûteuses. Fort Foch doit donc fermer. Nous désapprouvons aussi l’autorisation du préfet du Bas-Rhin suite à la demande d’extension du centre dit de primatologie de Niederhausbergen, qui verrait le nombre de 800 singes augmenter à 1600 pour les laboratoires de vivisection.Qu’exigez-vous par cette grève de la faim ? Notre requête est la fermeture de cette primaterie car l’expérimentation animale est une gageure, une arnaque et un drame pour la santé humaine. Dans l’immédiat le préfet doit annuler son autorisation de développement de ce centre qui est pure folie à l’heure où les méthodes scientifiques sans le recours aux animaux sont utilisées de plus en plus dans le monde.Parlez-nous de votre condition physique à ce jour : Nous faisons cette grève de façon stricte, nous n’absorbons que de l’eau plate exclusivement, rien d’autre. Nous avons perdu 4,5kg en une semaine, bien sûr nous nous affaiblissons de jour en jour. Mais nous sommes déterminés à aller jusqu’au maximum…Vegactu 24/5/2015 (texte et photo) Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Admin-lane 0 Posté(e) le 6 septembre 2015 La Commission européenne s'est engagée aujourd'hui à agir pour limiter davantage l'usage de l'expérimentation animale dans l'Union européenne, mais elle juge "prématuré" de la bannir comme le demande une initiative citoyenne de 1,1 million d'Européens, baptisée "Stop vivisection". Interview de Thierry Galli, neurobiologiste et directeur de recherche à l'Inserm.Q : Les initiateurs de "Stop vivisection" affirment que le modèle animal est "sans valeur scientifique" pour l’être humain. Qu'en pensez-vous ?Thierry Galli : "Cela n'est pas du tout une réalité. Les pétitionnaires ne prennent que quelques cas où des médicaments mis au point sur l'animal n'ont pas fonctionné sur l'homme. Mais cela est contredit par de très nombreux autres exemples. Le seul médicament qui existe à l'heure actuelle pour traiter l'AVC, le tpA (NDLR : activateur tissulaire du plasminogène), a été mis au point par des expérimentations animales. Autre exemple : en cancérologie, il n’est absolument pas possible de mettre au point les anticorps d'immunothérapie sans expérimentation animale."Q : Dans quel cadre réglementaire sont réalisées les expérimentations animales ?Thierry Galli : "Il y a un cadre très strict posé par une directive européenne de 2010. Il est très bien respecté et les chercheurs y adhèrent parfaitement. Cette directive impose la règle dite des 3R :- Remplacer les modèles animaux, chaque fois que cela est possible,- Réduire au maximum le nombre d'animaux en expérimentation,- Raffiner, c'est-à-dire faire en sorte qu’il y ait le moins de souffrances possible."Et dans ce cadre, il y a un respect très profond de la condition des animaux".Q : Quelles sont les alternatives au modèle animal ?Thierry Galli : "Ce qui est présenté comme des « alternatives » est déjà largement utilisé dans tous les laboratoires du monde, en France comme partout ailleurs en Europe. La recherche animale n'est qu'un maillon entre le travail sur les molécules, sur les cellules et ce qui est fait sur l'homme. Toutes les équipes qui font de la recherche animale travaillent aussi sur des modèles cellulaires. Il ne faut pas instaurer de dichotomie entre recherche animale et méthodes alternatives."Q : Est-ce qu'un jour on pourra se passer complétement de l'expérimentation animale ?Thierry Galli : "On ne peut pas l’anticiper, mais cela semble difficile. Pour reprendre l’exemple de l’AVC, admettons que l'on puisse un jour reconstituer un cerveau in vitro, à ce moment-là, il y aura toujours des gens pour dire « vous ne pouvez pas travailler sur ce cerveau car il est doué d’intelligence, il est sensible… ». Cela ne fera que déplacer le problème. La question primordiale est la sécurité des patients."----->Je suis personnellement contre la recherche animale... Il y a trop de tests ou d'études faites sur les animaux pour des raisons non pas de sécurité humaine, mais pour permettre aux industriels de pouvoir vendre certains de leurs produits car même les plus courants peuvent être testés sur les animaux, tels que le produit à vaisselle ! C'est juste un garde-fou qui permet aux industriels de dire que des tests ont été effectués sans démontrer de danger ou de signaler d'éventuels risques... Francetv info 6/6/2015 Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites