Aller au contenu
Rechercher dans
  • Plus d’options…
Rechercher les résultats qui contiennent…
Rechercher les résultats dans…
Admin-lane

Volontaires recherchés pour compter amphibiens avant la construction de crapauducs

Messages recommandés

PARIS - Natureparif, agence de la biodiversité de la région Ile-de-France, a fait mardi un appel au grand public pour prendre part pendant le mois de mars à une enquête sur les migrations nocturnes d'amphibiens, très exposés lors de la traversée de routes.

Dès que les températures remontent, les amphibiens, qu'ils soient grenouilles, crapauds, tritons ou salamandres migrent de leur lieu d'hivernage vers des mares ou des étangs pour se reproduire, a expliqué à l'AFP Maxime Zucca de Natureparif.

Mais en Ile-de-France, le maillage des infrastructures est tel que pour faire quelques centaines de mètres à plus d'un kilomètre, ils vont forcément traverser une route et auront de bonnes chances de se faire écraser, poursuit le naturaliste.

Le but de Natureparif est de recueillir un maximum d'informations sur les lieux de présence des amphibiens dans l'optique de construire quelques aménagements (crapaudromes ou crapauducs) pour les aider à faire leur migration sans encombre (http://amphibiens.natureparif.fr).

Un crapauduc est un petit tunnel creusé sous un axe routier et un crapaudrome est une sorte de barrière temporaire construite le long d'une route sur laquelle vont venir buter les animaux avant d'être récupérés et transférés vers leur lieu de reproduction.



ROMANDIE 5/3/2013

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Depuis mardi matin, la petite route départementale 86 qui traverse le bois de Soeuvres, à Vern-sur-Seiche (Ille-et-Vilaine) est barrée. Les agents du conseil général y mènent un chantier de voirie pour le moins étonnant


 Une petite grenouille verte dans une mare. - AUSLOOS / SIPA

Pendant trois semaines, des travaux seront menés sur la route pour incruster des caniveaux dans la chaussée. Objectif ? Offrir un passage sécurisé aux nombreux batraciens qui vivent dans le coin.

Ces équipements surnommés « crapauducs » doivent permettre d’éviter le massacre qui se déroule à chaque période de migration. En février et mars, les services du département estiment que près de 1.000 crapauds, grenouilles et tritons meurent écrasés par les voitures et camions. Seule l’association La Parvole se mobilise chaque hiver pour sauvegarder les batraciens et les aider à traverser la route, étape incontournable vers l’étang où les animaux se reproduisent.


20 Minutes 6/10/2015

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Près de Rennes, des aménagements ont été mis en place pour éviter que les amphibiens se fassent écraser sur les routes.

À Vern-sur-Seiche (Ile-et-Vilaine), crapauds, grenouilles et autres batraciens passent l'automne dans les bois de Soeuvres. En janvier, à la saison des amours elles traverseront la route pour rejoindre leurs belles afin de se reproduire dans l'étang. "On a vu des soirs 100 batraciens écrasés lorsque la route est humide et qu'il fait assez doux", s'alarme Arnaud Poulain, président de l'association la Parvole.



Cette année pour éviter l'hécatombe, ils emprunteront un nouveau chemin. Cinq crapauducs sont en construction dans la commune. "C'est un caniveau qui est situé au niveau de la chaussée et qui est ajouré pour permettre aux amphibiens de voir la lumière passer au travers de ce caniveau et de traverser cette route quasiment sans s'en rendre compte", explique Jean François Le Bas, du service espaces naturels au conseil départemental d'Ile-et-Vilaine.

Jusqu'à présent, une association de bénévoles piégeait les batraciens dans des seaux et les aidait à traverser la route. Ces crapauducs vont coûter 65 000 euros au département.

Selon Ouest France, les travaux étaient prévus du mardi 6 octobre au vendredi 23 octobre. En conséquence, ils devraient être terminés.

Francetv info 25/10/2015

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites

×
×
  • Créer...