Admin-lane 0 Posté(e) le 30 janvier 2014 Début : 24/1/2014 - Fin ?Auteur : Sauvons la ForêtCible : M. Jakaya Kikwete, Président de la Tanzanie75 000 éléphants vivaient encore il y a 10 ans dans la Réserve de gibier de Selous en Tanzanie. Aujourd'hui, il n’en reste plus que 13 084, comme en atteste un recensement officiel qui vient de paraitre. Ils ont été tués pour leur ivoire par des braconniers.Le président Kikwete et le gouvernement tanzanien mènent une politique contradictoire pour la survie des éléphants : d’un côté ils essaient de lutter tant bien que mal contre le braconnage mais de l’autre ils lancent des grands projets industriels (notamment l‘exploitation des ressources minières) qui porteraient gravement atteinte aux réserves naturelles dans lesquelles ils vivent.Par exemple, une mine d’uranium est projetée à Selous directement à la limite de la zone naturelle protégée. De son côté, le parc national du Serengeti pourrait être traversé par une route à grande circulation. Prévue pour raccourcir le transport des matières premières de l’intérieur du continent vers la côte, cette voie rapide entraverait la migration annuelle de millions d’animaux.Les éléphants ne sont pas les seuls à être touchés. Dans la baie de Mwambani dans l’océan Indien, un projet de port en eau profonde menace le Parc marin de Tanga et ses rarissimes coelacanthes, des « dinosaures des mers » n’ayant quasiment pas évolué depuis 400 millions d’années.Sur le lac Natron, un projet d’usine d’extraction de soude menace le lieu de vie et de nidification de la plus grande colonie de flamants nains au monde (2,5 millions d’oiseaux).Mobilisez-vous aux côtés de Sauvons la forêt et de l’organisation Serengeti Watch pour demander au président de la Tanzanie d’arrêter les projets industriels destructeurs pour les Réserves naturelles du pays. Il en va de la survie des éléphants !Cliquez ICI pour SIGNER la PETITIONInformations supplémentaires : • Article de la Frankfurt Zoological Society Selous elephants in danger• Articles de l’organisation Serengeti Watch1 - Tanzania’s Selous Game Reserve Tragedy (Tanzania’s largest nature reserve cannibalized for blood ivory and uranium)2 - Tanzania is losing its great natural heritage• Article de National Geographic Elephant Declines Vastly Underestimated• Article d’eTN Tanzania conservationists rejects uranium mining approvals• Article de RFI Flambée du braconnage des éléphants en Tanzanie• Article du Parisien Tanzanie : les massacres d'éléphants se multiplient• Pétitions de Sauvons la forêt1 - Modification des limites de la réserve de gibier de Selous pour l’extraction de l’uranium :UNESCO : réserve sacrifiée pour le nucléaire2 - Protection des cœlacanthes : Cœlacanthe : poisson préhistorique en danger• Article de Sauvons la forêt Deux ans d’engagement pour le Serengeti Des éléphanteaux en train de jouer... Si l'on veut que les générations futures voient aussi de telles images, merci de signer la pétition. travislbogle 26/1/2013SAUVONS LA FORET 24/1/2014 Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Admin-lane 0 Posté(e) le 30 janvier 2014 Monsieur le Président,Vous avez une occasion historique d’assurer la survie du patrimoine naturel exceptionnel de votre pays et d’empêcher les projets qui le détruiraient.Nous vous demandons de :- stopper le massacre massif des éléphants avec des mesures décisives. Leur temps est compté.- protéger l’écosystème du Serengeti de façon permanente en interdisant tout développement qui mettrait en péril les grandes migrations des animaux, y compris l'interdiction de toute circulation routière à vocation commerciale.- choisir une route alternative contournant le Serengeti au sud comme vous l’ont suggéré le gouvernement de la République fédérale d’Allemagne et la Banque mondiale.- protéger durablement le lac Natron, le lieu de reproduction des flamants nains d’Afrique de l’Est, en arrêtant le projet d’usine d’extraction de soude.- travailler en collaboration avec les défenseurs de l’environnement pour protéger la Réserve de gibier de Selous de projets comme l’extraction d’uranium et comme la construction d’un barrage sur le fleuve Rufiji, une source d’approvisionnement en eau vitale pour ce territoire.- vous assurer que les nouveaux ports sur l’océan ne détruiront pas les aires marines protégées comme le Parc marin des coelacanthes de Tanga.- promouvoir la discussion ouverte et soutenir vigoureusement le droit à la contestation publique en matière de conservation de la nature et d’aménagement du territoire.Ne sacrifiez pas la protection de la nature pour le développement du pays, mais remplissez ces deux objectifs de manière harmonieuse…Nous vous demandons d’agir en conséquence. Nous pensons que si votre gouvernement ne change pas le cours actuel des choses, le peuple tanzanien et le monde entier perdront à jamais un patrimoine naturel irremplaçable.Nous vous prions de croire, Monsieur le Président, en l'assurance de notre considération et de notre vigilance citoyenne. Outre les éléphants, près d'un million de gnous et 200.000 zèbres se déplacent des collines du nord vers le sud chaque Octobre et Novembre pendant les courtes pluies. Ils se déplacent ensuite vers l'ouest et le nord d'Avril à Juin. L'instinct de migration est fort. African Safaris Ltd 22/11/2012Cliquez ICI pour SIGNER la PETITION----->A priori, d'après plusieurs vidéos, il semblerait que la Tanzanie autorise la chasse aux éléphants... Préférez le safari au photo à la mise à mort inutile et cruelle... D'autant que les éléphants se raréfient, aussi bien en Tanzanie que dans le reste de l'Afrique... SAUVONS LA FORET 24/1/2014 Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Admin-lane 0 Posté(e) le 22 août 2014 Bonne nouvelle en provenance de la Tanzanie : la Cour de Justice de l'Afrique de l'Est vient de déclarer illégal le projet de route goudronnée traversant le Parc national du Serengeti. Ceci est un succès important dans la lutte contre les différents projets du gouvernement tanzanien qui menacent l’écosystème inestimable du Serengeti.Les juges de la Cour de Justice de l'Afrique de l'Est se sont opposés à la volonté du gouvernement de la Tanzanie de construire une route bitumée traversant le Parc national du Serengeti. Leur jugement est motivé par l’impossibilité de réaliser des travaux à forts impacts environnementaux dans un site inscrit au patrimoine de l’humanité, qui plus est mondialement connu pour son inestimable écosystème.Une autoroute aurait perturbé la migration annuelle de millions d'animaux, en particulier les gnous et les zèbres, une migration dont le «spectacle» attire des touristes et amoureux de la nature par milliers chaque année. En construisant cette route, la Tanzanie aurait enfreint ses obligations vis-à-vis des conventions et traités internationaux pour la conservation de la nature et de la biodiversité.« Aujourd’hui, la nature a gagné ! » se réjouit Josphat Ngonyo, le directeur exécutif du Réseau africain pour la protection des animaux (ANAW). L'organisation, qui considère le Parc national du Serengeti comme une ressource vitale pour le futur des Tanzaniens et des Africains de l'Est mais aussi comme un bien appartenant à l’humanité tout entière, avait déposé une plainte en 2010.Selon son ministre du tourisme, la Tanzanie pays avait déjà « décidé depuis longtemps de ne pas construire de route traversant le Serengeti ». Entre temps, le gouvernement tanzanien a demandé à l’Allemagne de réaliser une étude de faisabilité pour la construction d’une route alternative dont le tracé contournerait l’écosystème du Serengeti.Les menaces persistent, la lutte continue pour le SerengetiL’organisation Serengeti Watch nous met en garde des menaces (à long terme) existant encore pour le Serengeti. - Premièrement, le projet d’extension du réseau routier des régions septentrionales de la Tanzanie prévoit plusieurs routes qui, bien qu’à l’extérieur du Parc national, traverseraient tout de même l’écosystème du Serengeti.- En outre, le gouvernement tanzanien souhaite transformer plusieurs chemins de terre saisonniers en route de gravier malgré le rappel du tribunal sur l’interdiction légale des routes goudronnées à l’intérieur des parcs nationaux. Pour Serengeti Watch, l’augmentation du trafic incitera tôt ou tard à établir la liaison des routes goudronnées à l’intérieur du Parc.Sauvons la forêt a lancé une pétition interpellant le gouvernement tanzanien sur différents projets portant atteinte à la nature comme la construction d’une autoroute traversant le Serengeti ou l’édification d’une usine d’extraction de soude sur le lieu de vie et de nidification de la plus grande colonie de flamants nains au monde. Depuis plusieurs années, notre association agit en collaboration avec Serengeti Watch pour la protection du Serengeti. En ce jour avec succès…Notre action pour la sauvegarde de la nature en Tanzanie n’est pas terminée. Pour celles et ceux qui ne l’ont pas encore fait, il est toujours possible de signer notre pétition et de la diffuser auprès de vos proches:CLIQUEZ ICI pour SIGNER la PETITIONPour plus d'informations : Dépêche de l’Agence de presse Xinhua Tanzanie : suspension du projet d'autoroute dans le Serengeti• Communiqué de Serengeti Watch Serengeti Highway Court Decision – What it means• Article de Friends of Serengeti Court decision bars paved road across Serengeti• Communiqué de l’Ambassade d’Allemagne en Tanzanie "Serengeti shall not die" – German feasibility study for Southern alternative road starts• Blog du New York Times East African Court Blocks Paved Serengeti HighwaySauvons la Forêt 4/7/2014 Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites