Admin-lane 0 Posté(e) le 4 juin 2014 Johannesburg, 20 mai 2014 (AFP) - Un groupe de défense des animaux a porté plainte contre un parc sud-africain proposant des promenades à dos d'éléphant après avoir mis la main sur une vidéo montrant des éléphanteaux torturés, mais le parc mis en cause a démenti mardi toute responsabilité dans cette affaire. Knysna Elephant Park 27/5/2014. Réponse en vidéo par le parc incriminé : Cette vidéo est dédié à ces éléphants - les controversés "Sandhurst orphelins», qui ont été illégalement et inhumainement enlevés à leur mère. Pour un peu de clarté et de perspective sur la question, les gens doivent être conscients de l'histoire et des faits derrière ce qui devient une crise prolongée et injustifiée à Elephant Park Knysna pour ses propriétaires. Les faits sont qu'ils venaient d'un ranch de chasse et devaient être abattus. Avec la permission des autorités compétentes, les autorisations légales ont été accordées pour que ces quatre jeunes éléphants soient placés au lieu d'être abattus. Suite à des allégations de mauvais traitements, de traitements inhumains et de détention dans des espaces confinés, "nous avons estimé, plutôt que de tenter d'expliquer avec des mots, montrer l'environnement dont ces éléphants jouissent en postant une vidéo les montrant" Et comme on dit : une image vaut mille mots ! Le parc de Knysna (sud), directement mis en cause, a rejeté ces accusations et répondu que la vidéo avait été tournée en 2008. Si l'incident s'est effectivement produit dans les installations du parc, les éléphants avaient été vendus à un particulier, et le personnel de cet acheteur en avait alors la charge.Le Knysna Elephant Park accuse à son tour cet acheteur d'avoir monté l'histoire six ans après les faits: il n'a pas payé toute la facture des éléphants et sa propre réserve est actuellement en liquidation, note-t-il. Le parc a soigné les animaux quand sa direction a découvert l'affaire à l'époque, assure-t-il. Il reconnaît tout de même avoir licencié deux employés de ses installations --qu'il a cédées depuis--, situées à 350 km de Knysna. Dans un long communiqué, le Knysna Elephant Park s'est étonné de ce que la SPCA n'ait pas vérifié cette information avant de lancer ses accusations --pas plus d'ailleurs qu'une bonne partie de la presse sud-africaine qui n'a pas cherché à le contacter.30 millions d'amis 20/5/2014 Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites