Aller au contenu
Rechercher dans
  • Plus d’options…
Rechercher les résultats qui contiennent…
Rechercher les résultats dans…
Admin-lane

20 animaux extraordinaires qui ont en commun la couleur bleue

Messages recommandés

Saviez-vous que le bleu est la couleur la plus rare chez les animaux ? Ceci est dû au fait que les pigments responsables de la coloration des animaux sont peu nombreux.

Les caroténoïdes produisent le rouge et l’orange, le noir et le brun sont dus à l’eumélanine, et les pigments jaunes sont produits par la ptéridine.  Mais la plupart des animaux sont incapables de produire des pigments bleus, contrairement aux plantes qui contiennent des anthocyanes.

Quelques animaux présentent tout de même une coloration bleue, partielle ou totale. C’est en général le résultat de phénomènes comme l’iridescence - lorsqu’une surface paraît changer de couleur selon l’angle du regard ou de l’éclairage - ou la réflexion sélective, lorsqu’une surface reflète la lumière de manière différente en fonction des longueurs d’ondes. C’est le plus souvent chez les poissons, les oiseaux ou encore les insectes que l’on peut retrouver la couleur bleue. Mais ils ne sont pas les seuls. Découvrez vingt des plus beaux animaux bleus de la planète.

Maxisciences 4/7/2014

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Ce petit passereau originaire d’Amérique du Nord possède un magnifique plumage bleu lavande à bleu moyen au niveau de sa crête, de son dos, de ses ailes et de sa queue. Sa tête est en revanche blanche. Ses milieux de vie sont les forêts de feuillus et les bois épars.



Son aire de répartition s'étend à l'est de l'Amérique du Nord, du sud du Canada et au golfe du Mexique. C'est un oiseau très bruyant nichant régulièrement au Québec. Sa huppe courte (milieu à l'arrière du vertex) et les parties supérieures de son plumage sont bleues alors que son ventre est gris blanchâtre. Il porte un collier noir, ses ailes et sa queue sont parsemées de points blancs. Cette espèce ne présente pas de dimorphisme sexuel.

Geai bleu à Welland (Canada). Rob Hanson / Flickr CC BY-SA 2.0

Il fait preuve d'un comportement singulier en prenant des bains de fourmis. Il se jette par surprise toutes ailes déployées dans une fourmilière obligeant ainsi les insectes affolés à secréter de l'acide formique pour se défendre. Ce comportement singulier, appelé « formicage », peut s'expliquer par le fait que l'oiseau utilise l'acide formique pour se débarrasser de ses tiques et autres parasites du plumage constituant ainsi pour les fourmis un stock de nourriture en récompense.

Le geai bleu est représenté par 4 sous-espèces :

- Cyanocitta cristata cristata,
- Cyanocitta cristata bromia,
- Cyanocitta cristata semplei,
- et Cyanocitta cristata cyanotephra.

Vidéo du Geai bleu dans toutes les saisons. Il mange beaucoup et se fait des provisions. On voit aussi le Tamia rayé qui vient lui voler des arachides. Le Geai bleu est un des oiseaux les plus intelligents. Il y a aussi un Geai bleu juvénile qui demande de la nourriture aux autres... Martinelolo 5/4/2010


Wikipedia

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites

La Dendrobates azureus, appelée Okopipi en langue indienne Tiriyó, est native du nord de l’Amérique du Sud. Elle est toxique pour les autres espèces animales. Son nom scientifique vient de la belle couleur bleue de sa peau, parsemée de taches noires.

Michael Gäbler CC BY-SA 3.0

Elle mesure de 3 à 4,5 cm et vit environ 5 ans. Sa peau bleue tachetée de noir la signale comme violemment toxique. Mais en réalité, la neurotoxine n'est pas produite par la grenouille elle-même mais récupérée des insectes ingérés : c'est pour cela que les spécimens nés en captivité ne présentent que peu de toxicité par rapport aux spécimens que l'on trouve à l'état naturel.

Kirus von Surik 10/6/2011


Cette grenouille vit dans les endroits sombres et très humides de la forêt. Elle dépose ses œufs directement sur un sol mousseux et ce, une fois par année.

 Dendrobates azureus est une variante morphologique de l'espèce Dendrobates tinctorius. Cette espèce se rencontre en Guyane, au Suriname, en Guyana et au Brésil en Amapá et au Pará. Elle vit dans la forêt tropicale humide jusqu'à 600 m d'altitude.  En français, elle est nommée Dendrobate à tapirer ou Dendrobate teint. La femelle dendrobate à tapirer pond de 4 à 10 œufs dans des endroits sombres et humides comme un creux dans une racine ou le cœur d'une plante. Le mâle dépose ensuite les têtards dans l'eau, un par un. (Photo Dendrobates tinctorius. o.leillinger@web.de CC BY-SA 3.0)

Wikipedia

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Cette petite pieuvre est l’une des créatures marines les plus venimeuses : son venin est suffisamment puissant pour tuer un humain. On la reconnaît à sa peau jaunâtre, couverte de 50 à 60 anneaux qui deviennent bleus lorsqu’elle est en état de stress.

 Hapalochlaena lunulata, en français pouple bleu bagué. Les femelles de poulpe Bleu bagué pondent une seule fois dans leur vie, vers la fin de l'automne. Les œufs sont pondus puis incubés sous les bras de la femelle durant environ six mois. Pendant ce processus, elle ne mange pas. Après l'éclosion des œufs, la femelle meurt. Après leur éclosion, les les jeunes sont capables de s'accoupler dès l'année suivante.  Photo prise à Tasik Ria, près de Manado, dans la province de Sulawesi du Nord (Indonésie). Jens Petersen  CC BY-SA 2.5

Les pieuvres à anneaux bleus, vivant dans le bassin Indopacifique tropical, mesurent une dizaine de cm. Elles sont de couleur généralement claire (beige, brunes...) mais très variable, y compris selon les intentions de l'animal. Quand elles se sentent stressées, elles font apparaître des anneaux bleus très visibles et bien caractéristiques sur leur épiderme.

Hapalochlaena maculosa, en français : pieuvre (ou poulpe) à anneaux bleus, photo prise à Blairgowrie Marina, Victoria, Australie. Saspotato / domaine public

Ce sont les pieuvres les plus dangereuses : leur morsure est extrêmement venimeuse et peut tuer en quelques minutes.

Deux autres représentantes viennent compléter la famille de cette espèce :  Hapalochlaena fasciata. Elle est jaune foncé avec des stries bleu foncé ou noires couvrant tout son corps en dehors de la face interne de ses bras.On la trouve le plus souvent autour de la zone intertidale des rivages rocheux et des eaux côtières jusqu'à une profondeur de 15 mètres entre le sud du Queensland et le sud de la Nouvelle-Galles du Sud en Australie. (Photo Telbp2)

et Hapalochlaena nierstraszi (pas de photo ni d'info trouvées à propos de cette espèce.... Si ce n'est qu'elle aurait été décrite en 1938 à partir d'un seul spécimen trouvé dans la baie du Bengale et que son taxon (nom) serait à revoir car remis en question... (source filmaditimare).



Un seul animal a suffisamment de venin pour tuer 26 humains adultes en quelques minutes. Leurs piqûres sont minuscules et souvent indolores, et nombreuses victimes ne réalisent qu'elles ont été piquées uniquement quand surviennent une détresse respiratoire et un début de paralysie.

Symptômes : L'arrêt respiratoire peut survenir dans les minuites qui suivent, lorsque la toxine bloque les transmissions nerveuses. D'autres symptômes sont des vomissements, une faiblesse musculaire et une paralysie des muscles respiratoires. Les victimes restent éveillées jusqu'à ce que le manque d'oxygène, dû à l'incapacité de respirer, conduise à une perte de conscience.

Traitement : La Tétrodotoxine provoque souvent la paralysie totale du corps; la victime reste consciente et alerte, mais cet effet est temporaire et disparaîtra en quelques heures lorsque la tétrodotoxine sera métabolisée et excrétée par le corps, si toutefois elle survit.

Il n'existe actuellement aucun anti-venin disponible. Les victimes auront de meilleures chances de s'en sortir si la respiration artificielle est lancée et soutenue avant que la cyanose et l'hypotension se se manifestent. Les premiers soins sont de faire pression sur la plaie et pratiquer la respiration artificielle, une fois la paralysie des muscles respiratoires empêche la victime de respirer. Les victimes qui survivent aux premières 24 heures vont généralement se rétablir complètement.

Mais il est essentiel que la respiration artificielle soit poursuivie sans interruption jusqu'à ce que la paralysie disparaisse et que la victime retrouve la capacité de respirer par elle-même. C'est exercice  physique difficile pour une personne seule, mais l'utilisation d'un masque respiratoire et d'une soupape réduisent la fatigue à des niveaux soutenables jusqu'à l'arrivée des secours.

Le traitement hospitalier consiste à placer le patient sous assistance respiratoire jusqu'à ce que la toxine soit neutralisée par l'organisme.

Il est essentiel que les efforts se poursuivent même si la victime ne semble pas être répondre. L'empoisonnement de tétrodotoxine peut faire que la victime soit pleinement consciente de son environnement, mais incapable de respirer. En raison de la paralysie qui survient, elle n'a aucun moyen d'appeler à l'aide ou d'indiquer sa détresse. L'assistance respiratoire, sans discontinuité et avec "assurance", jusqu'à ce que l'assistance médicale arrive donnera à la victime de meilleure chances de s'en sortir. (Source Twofishdivers)



Wikipedia - Wikipedia

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Comme son nom l’indique, ce paon est reconnaissable à la magnifique couleur bleue de sa tête, de son cou et de sa poitrine. Dans son milieu naturel, de manière générale, le paon bleu est inféodé aux forêts décidues ouvertes, sèches ou humides et à proximité des cours d’eau. Comme la majorité des Phasianidés et malgré sa taille imposante, le paon peut voler, mais c'est de préférence un animal terrestre qui marche, grimpe et court plutôt que de prendre son vol. Toutefois, les femelles et les jeunes sont prompts à l’envol, parcourant la forêt d’un bout à l’autre, alors que les mâles volent beaucoup moins.

Photo prise dans le parc du château de Valençay. Manfred Heyde CC BY-SA 3.0

Ce paon est connu pour ses couleurs brillantes et sa queue magnifique qu'il peut déployer en roue. C'est un oiseau originaire d'Asie (plus principalement d'Inde et du Sri Lanka).

 De tous les galliformes, le paon bleu est celui dont les couleurs sont les plus spectaculaires. Le plumage du mâle est particulièrement brillant. La tête, le cou et la poitrine sont bleu-vert et violet avec des reflets métalliques. Autour des yeux se trouve une tache dénudée, et une crête de plumes, munies de barbes uniquement à leur extrémité, orne la couronne. La paonne a des plumes plus ternes que le mâle, comme c'est le cas pour de nombreuses espèces d'oiseaux. (Photo tête d'un mâle Wilfredor CC0)

 Le bec, d'assez grande taille, est brun clair comme l'iris. Les plumes du dos sont vert doré avec des bordures couleur bronze, les couvertures alaires tertiaires blanches avec de fines rayures noires, les couvertures alaires primaires et secondaires d'un bleu-vert métallique et les rémiges et rectrices brunes. (Photo d'une femelle prise dans le jardin zoologique de Tel Aviv (Israël). eman / domaine public)

 Les plumes sus-caudales au nombre de 100 à 150 en moyenne sont beaucoup plus longues que les rectrices et forment la traîne du paon. Ces plumes dites en « terminaison en queue de poisson » peuvent atteindre jusqu'à 1,5 mètre de longueur - elles grandissent jusqu'à la sixième année - mais en principe ne dépassent pas un mètre. Elles possèdent de longues barbes vert métallique avec des reflets bleus et de couleur bronze, formant, près de leur extrémité, une tache évoquant un œil et connue sous le nom d'ocelle (ocelles disposés à l'intersection de deux familles de spirales), dont le centre d'un bleu vif est entouré d'anneaux concentriques brun, jaune d'or et violet. (Photo détail d'une plume ocellé. Beyond silence CC BY-SA 3.0)

Le Paon bleu vit dans au Pakistan à l’est du fleuve Indus, en Inde, au Sri Lanka et au Bangladesh d’où il a peut-être maintenant disparu. De petites populations introduites existent aux États-Unis (sud-est de la Californie), aux îles Hawaï (Maui, Nihao, Oahu, Hawaï), aux îles Bahamas (Petite Exuma), en Afrique du Sud (île Robben), en Nouvelle-Zélande (Ile du Nord) et en Australie (îles du détroit de Bass).

Le Paon bleu est répandu comme oiseau domestique dans une grande partie du monde en raison de ses parures majestueuses. Ils errent en liberté sur les parcours et accompagnent les visiteurs, habitués à leur donner à manger, dans les parcs et jardins d'agglomération et parfois les parcs zoologiques. (Paon se promenant dans le Parc Floral de Paris (Juillet 2012). Patbio CC BY-SA 3.0)

Le cri du paon...dans l'île de Kos en Grèce qui possède une très belle forêt de pins peuplée de nombreux paons, paonnes et paonneaux ainsi que de chats en liberté. rotarbil44 26/7/2013


"Son ramage ne se rapporte pas à son plumage". En effet, son répertoire vocal comprend une série d’appels criards, sonores et claironnants dont le plus connu est le fameux "léon"» qu’il serait plus juste de transcrire par une sorte de « "héhan" que les anglais reproduisent d’ailleurs par "may-awe" ou "mee-ow". Les indiens traduisent ce cri par "minh-ao" qui annoncerait la pluie car, disent-ils, il lance son cri particulièrement avant l’orage. On dit qu'il braille, criaille ou paonne.

 La période de nidification varie à travers son aire mais elle est liée, de façon générale, à la saison des pluies. Au moment de la couvaison, les mâles ne s'éloignent jamais beaucoup du nid et montent la garde en donnant l'alerte par un cri sonore au moindre changement de l'environnement. La durée d'incubation des oeufs est de 15 à 20 jours. (Photo poussin et oeufs. Photo prise au zoo d'Attilly en Seine et Marne. Tangopaso / domaine public)

Wikipedia

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Le Glaucus atlanticus, ou "dragon bleu" est un petit nudibranche à l’allure étonnante. Son dos est gris argenté, mais la majeure partie de son corps varie entre le bleu électrique et le bleu sombre. Il se caractérise également par les deux rayures bleu foncé qui s’étendent de la queue à la tête.

Photo prise sur une plage dans le Queensland, Australie. Taro Taylor CC BY-SA 2.0

 C'est un mollusque gastéropode décrit comme élégant par ses formes et ses couleurs, mêlant le blanc et le gris perle à différents tons de bleu. Il vit dans toutes les eaux tempérées ou tropicales, où il flotte à la surface des eaux parmi le pleuston, la face ventrale tournée vers la surface. Il se nourrit principalement d'hydrozoaires dont il tire son pouvoir urticant, y compris pour l'Homme, en conservant certains de leurs nématocystes. Glaucus atlanticus est hermaphrodite et pond des chapelets d'œufs laissés à la dérive ou fixés sur les cadavres des proies des adultes. (Photo La physalie, figure emblématique du pleuston marin. NOAA / domaine public)

 G. atlanticus se nourrit d'autres organismes pélagiques plus grands que lui, consommant les tentacules d'hydrozoaires qui flottent, comme lui, à la surface des océans (pleuston) et qui forment ce que le biologiste marin Alister Hardy avait décrit sous le nom de « The Blue Fleet » ("la flotte bleue") ; trois types d'espèces urticantes composent ce groupe : les physalies (Physalia physalis et Physalia utriculus), les vélelles (Velella velella et Velella lata) et la porpite (Porpita porpita). G. atlanticus peut se fixer à ses proies à l'aide de ses mâchoires chitineuses ; et la  succion lui suffit à maintenir sa proie. Il s'en prend aussi aux janthines (Janthina janthina), gastéropodes dont le mode de vie est semblable au sien. Il se livre parfois aussi au cannibalisme, lorsque l'occasion se présente. (Photo Janthina janthina (avec des bulles de mucus) qui a été rejeté sur la grève. Rez242 / domaine public).

C'est une limace de mer pélagique, qui se rencontre en eaux tempérées et tropicales, tout autour du monde. Elle a été recensée dans tous les grands océans, Atlantique, Pacifique et Indien, dans le golfe du Mexique, la mer des Caraïbes ou encore la Méditerranée. Il se déplace toujours à la surface et de manière assez passive, allant là où les vents et les courants l'emportent. Les grands déplacements tout au moins sont passifs, mais la limace étant susceptible de se déplacer par ses propres mouvements, il n'est pas totalement déterminé si elle appartient au plancton à la dérive ou si elle est un invertébré aux mœurs pélagiques.

Brittney waters 27/2/2010


Wikipedia

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Ce petit scorpion n’a en apparence rien de bleu : il est naturellement brun. Mais lorsqu’il est exposé à des rayons ultraviolets, il devient fluorescent et prend une couleur bleue. Pratique pour repérer de nuit ce petit arachnide !

Une femelle avec ses bébés  Hdduane / domaine public

Cette espèce se rencontre aux États-Unis en Californie, au Nevada, en Utah, en Arizona et au Nouveau-Mexique et au Mexique au Sonora.

 Le même en version luminescente bleue. Photo Birdernaturalist

Ce membre du genre Centruroides se trouve en Arizona et dans le bas du Mexique. Il est également connu comme "scorpions écorce". Cette espèce est considérée dangereuse pour l'homme et ne doit pas être retenu comme un animal de compagnie.

Ils sont identifiables par leurs longues pinces fines, queue longue et fine, et leur habitude de tenir leur queue sur ​​le côté quand l'animal est au repos. C'est le seul scorpion considéré comme dangereux pour l'homme en Arizona.


Wikipedia - azscorpion

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Comme toutes les murènes, la murène ruban a un corps serpentiforme allongé et comprimé latéralement, avec des nageoires ventrale et dorsale continues. Celle-ci est particulièrement gracile, et présente des appendices nasaux en forme de cornets translucides ainsi que trois barbillons au bout de la mâchoire inférieure. La bouche est très grande, et s'ouvre jusqu'en arrière des yeux. Les dents sont petites, disposées en une rangée unique.

Gros plan. Chika Watanabe (Chika) de Los Altos, USA / Flickr CC BY-SA 2.0

Cette murène arbore trois colorations différentes au cours de sa vie (Hermaphrodisme protandre) : les jeunes sont noirs, avec une bande jaune vif le long de la nageoire dorsale. A partir de 65 cm, ils deviennent mâles et prennent alors une couleur bleue électrique, tout en conservant la bande jaune. Puis, passés 95 cm, ils deviennent femelles, et la couleur jaune s’étend progressivement à tout le corps, qui peut atteindre 1,2 mètre.

Juvénile noir. Steve Childs / Flickr CC BY-SA 2.0


Ces murènes sont très communes dans tout le bassin Indo-Pacifique tropical, des côtes est-africaines aux archipels du Pacifique, et de l'Australie au Japon. On les rencontre principalement vivant dans des trous dans les récifs de corail, entre les premiers mètres et jusqu'à une cinquantaine de mètres de profondeur, appréciant souvent les courants importants. On n'en voit le plus souvent que la tête, dépassant de son trou.

Cette image vous permettra de voir que le nom du murène ruban n'est pas usurpé !. Photo Isabelle et Frédéric

C'est un animal carnivore, qui chasse à l'affut principalement de nuit. Elles vivent isolées ou parfois en couples. Elles ne semblent pas territoriales et changent régulièrement de repaire. Cette espèce n'est pas dangereuse pour les baigneurs, et préférera toujours sa cacher qu'attaquer. Elle est très convoitée en aquariophilie pour ses belles couleurs, mais s'y révèle difficile à acclimater.

Une femelle murène ruban accompagnée d'un mâle juvénile. Photo zoo de Schönbrunn / Daniel Zupanc


Wikipedia

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Agama agama est une espèce de sauriens de la famille des Agamidae. En français, il est nommé margouillat ou agame des colons. Cette espèce se rencontre dans plusieurs pays d'Afrique, aussi bien dans la savane que dans les villages. A La Réunion, où cette espèce a été introduite,  elle est reconnue invasive et susceptible de mettre en danger la population de gecko endémique, Phelsuma inexpectata.

Margouillat mâle (Agama agama). Parc National du Lac Nakuru, Kénya. Chris_huh CC BY-SA 3.0

C'est un agame diurne et terrestre, qui peut atteindre 40 cm de longueur totale, la queue mesurant 26 cm. Il est recouvert d'écailles et de quelques formations épineuses sur la nuque et autour des tympans. Les yeux sont protégés par une écaille transparente, comme chez les serpents ou les geckos. Il a une très bonne ouïe et peut émettre des claquements.

Il y a un grand dimorphisme sexuel chez cette espèce : les mâles ont une couleur allant du brun sombre à l'orange clair, qui peut devenir brun sombre à taches blanches lorsqu’ils sont en posture de combat avec un autre mâle, alors que les femelles sont vert olive avec quelques taches brunes sur le dos et la queue. (Photo Agama femelle en train de pondre. Au moment de la ponte, les femelles creusent un trou dans lequel elle pond de 5 à 7 œufs. Georgette Douwma / naturepl.com / Arkive)

 Un mâle sur un rocher. Atamari CC BY-SA 3.0

Le matin, l’agame des colons prend un bain de soleil pendant lequel sa couleur brune nocturne laisse place à des couleurs vives. Durant la saison de reproduction, le corps des mâles de cette espèce de saurien originaire d’Afrique prend une couleur bleue, tandis que leur tête devient orange vif.

Wikipedia

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Sous ce nom vernaculaire, se cachent plusieurs espèces de papillons iridescents, aux ailes bleues métalliques. Ces insectes vivent dans les forêts tropicales d’Amérique centrale et d’Amérique du Sud. Morpho est un genre de papillons, de la famille des Nymphalidae et de la sous-famille des Morphinae.

Mâle - Vue dorsale. Localité: Pérou. Morpho menelaus didius. Didier Descouens  CC BY-SA 3.0

Ce papillon étonne par les couleurs métalliques de ses ailes. Le revers plus discret est doté d'ocelles, qui imitent les yeux de plusieurs oiseaux, destinés à effrayer les prédateurs. La chenille, quant à elle, dégage une odeur assez repoussante. Il peut vivre jusqu'à deux mois, et se nourrit principalement de jus de fruits mûrs. 

 Chenille du papillon Morpho menelaus. Photo Mongabay


Il survole les cours d'eau où il a la place de voler librement et où il évite au maximum les prédateurs. C'est l'un des plus grands papillons existant avec 12 à 20 cm d'envergure.


Wikipedia

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites

La méduse commune (Aurelia aurita) appelée aussi Aurélie, méduse bleue ou méduse lune, est un cnidaire de la super-classe des Scyphozoaires.

Aurélia Aurita : sur ce cliché, où l'on a pris la méduse vue d'en bas, les tentacules, les gonades, la bouche, la cavité gastrique et l'anneau de muscles sont bien visibles. BS Thurner Hof / domaine public

Cette méduse caractéristique est dotée d'un corps circulaire, en forme de coupe. Son endoderme est blanc et transparent, et son ectoderme, transparent lui aussi, est souvent légèrement bleuté ou rosâtre. Son ombrelle est entourée de centaines de longs et fins tentacules blancs filamenteux et urticants, qui capturent et paralysent le petit zooplancton dont elle se nourrit, pour le porter jusqu'à sa bouche. Elle possède aussi quatre tentacules buccaux translucides, entourant le manubrium, et souvent rangés sous l'ombrelle.

Méduse aurélie à l'aquarium du parc pairi daiza (Belgique). Luc Viatour CC BY-SA 3.0

Cette méduse bleue et translucide peut atteindre 25 à 40 centimètres de diamètre. On la retrouve dans la plupart des océans de la planète, sauf dans les eaux très froides des pôles sud et nord.

Banc de méduses lune. Miketsukunibito CC BY-SA 3.0

Wikipedia

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Cette abeille fait partie de la catégorie des abeilles connues pour être attirées par la transpiration humaine. Elle présente une coloration à l’aspect métallique bleue et verte .  


Photo Augochloropsis sumptuosa, mâle. Smithsonian Institution


Distribution : du Maine à la Floride, à l'ouest du Dakota du Sud, Colorado et Texas, d'avril à octobre, tout au long de l'année en Floride.


Photo Augochloropsis sumptuosa, femelle. Smithsonian Institution


Fleurs / plantes de prédilection : Asclepias, Berlandiera, Bidens, Clethra, Crataegus, Eriogonum, Eryngium, Helianthus, Hypericum, Melilotus, Silphium, Stachys et Vaccinium.

Cette belle espèce d'abeille ou de guêpe vert métallique pollinise de nombreuses espèces de la flore locale, ce sont des pollinisateurs spécifiques de nombreuses espèces d'orchidées. Ce sont des animaux solitaires qui sont généralement actifs pendant les heures les plus chaudes de la journée.

Discover Life - ProjectNoah

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Certaines espèces de chats, comme les Siamois et les Birmans par exemple, ont les yeux bleus.  En principe, la plupart des chatons naissent avec les yeux bleus, mais leur couleur définitive ne se dévoile qu’au bout de quelques semaines.

Le Sacré de Birmanie ou Birman, est une race de chats originaire de France. Ce chat de taille moyenne à grande est caractérisé par sa robe à poil mi-long, qui présente le même patron colorpoint que le siamois mais ses pieds sont d'un blanc pur, comme s'il possédait des gants. Le sacré de Birmanie est un chat imposant. La couleur de la robe, sur la photo, est appelée seal point. .grapheum.de CC BY-SA 3.0


Chat Siamois Dès les années 1950, le Siamois connaît une grande popularité et son physique change. Le corps et les pattes s'allongent et s'affinent, la queue également, les oreilles s'agrandissent. Dès les années 1980 le Siamois dit "traditionnel" est de moins en moins populaire et le standard s'adapte au nouveau physique du Siamois moderne (la photo). Certains chats siamois modernes, aux traits exagérément affinés, rencontrent des difficultés pour se nourrir, notamment de préhension et de déglutition.... (Source une amie éleveuse). (sur la photo, la robe du cat est appelée bleu point. Edenvane CC BY-SA 3.0)

 Cependant, quelques éleveurs militent pour la préservation du Siamois originel. À la fin des années 1980, la création de la race Thaï permet aux éleveurs de présenter des Siamois plus proches du physique originel, d'où le surnom de siamois ancien ou traditionnel attribué fréquemment au Thaï.


----->Personnellement, je vois pas pour quelle raison les chats aux yeux bleus sont intégrés à cet article....

Wikipedia - Wikipedia

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Cet échassier, natif des régions du sud des Etats-Unis, d’Amérique Centrale, des Caraïbes, du Pérou et de l’Uruguay, présente un plumage bleu-gris lorsqu’il atteint l’âge adulte, excepté pour son cou et sa tête, de couleur plutôt mauve.

Egretta caerulea. Photo prise à  São Paulo (Brésil). Dario Sanches / Flickr CC BY-SA 2.0)

L'aigrette bleue mesure 51 à 76 cm pour une masse de 350 g environ. Sa coloration générale est bleu mauve. Le bec grisâtre présente une large base et une extrémité plus sombre. Il apparaît légèrement incurvé. Le jeune est tout blanc avec les extrémités des rémiges primaires grises et les pattes verdâtre pâle.

Photo aigrette bleue (Little Blue Heron) Egretta caerulea dans les Llanos, au Venezuela. NundaFoto

Cet oiseau fréquente principalement les zones humides intérieures : étangs, lacs, marais, prés inondés et rizières. Il se rencontre aussi dans les milieux saumâtres et côtiers, mangroves par exemple. Il monte en altitude jusqu'à 3 000 m dans les Andes, exceptionnellement jusqu'à 3 750 m. Son alimentation est surtout composée d'arthropodes aquatiques (crabes et insectes aquatiques) mais aussi de coléoptères, de grillons, de criquets et d'araignées.

 Photo aigrette bleu juvénile. Marais-Kaw


Wikipedia

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Cette petite espèce de coccinelle se retrouve en Australie et en Nouvelle Zélande, et se caractérise par sa jolie coloration bleue et verte.

La coccinelle Ladybird Steelblue (en anglais) semble être commune en Nouvelle-Zélande. Ici, elle est sur une feuille de chêne. Raewyn / Flickr CC BY-SA 2.0

Comme d'autres espèces de coccinelles, celle-ci est également prédatrices d'autres insectes (pucerons, entre autres). Elle est originaire d'Australie orientale (Queensland, Nouvelle Galles du Sud) et a été introduite en Nouvelle Zélande et peut-être en Australie occidentale, pour combattre une cochenille responsable de maladies sur les arbres d'agrumes.

Lorsque ces coccinelles chassent les pucerons, elles rencontrent sur leur route des fourmis attirées par les miellées de pucerons. La forme particulière d'Halmus chalybeus, les mettent à l'abri de toute attaque des fourmis à leur encontre.


Wikipedia - Brisbane Insects - OZ Animals

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Endémique de l’île Grand Cayman, dans l’archipel des Caïmans (c'est le plus grand animal terrestre endémique de Grand Caïman), ce grand iguane terrestre peut mesurer 1,5 mètre de long . Les mâles sont habituellement gris sombres, pour se camoufler dans les rochers. Mais pour se signaler et marquer leur territoire en présence d’autres spécimens, ils prennent une couleur bleu turquoise. C'est une espèce menacée, classée en danger par l'IUCN.

 Igane bleu adulte. Photo prise à Grand Caïman, BIRP / CC BY-SA 3.0

L'iguane bleu fréquente les lieux rocailleux et ensoleillés, les clairières des forêts sèches ou les abords de rivage.

Les comparaisons avec les autres espèces de Cyclura des Caraïbes laissent penser qu'il s'agissait initialement d'une population qui occupait la côte de l'île, mais qui en a été peu à peu chassée par les constructions humaines et l'apparition de routes. On ne trouve plus aujourd'hui l'Iguane bleu que dans les terres dans des zones de buissons  et à l'interface entre les forêts denses et les terres cultivées, les routes et les jardins. L'iguane bleu occupe les trous dans les rochers et les cavités dans les arbres, et est principalement terrestre, mis à part les jeunes qui passent le plus clair de leur temps dans les arbres.

 Auparavant considéré comme une sous-espèce de l'iguane terrestre de Cuba, il a été reclassé en 2004 comme une espèce distincte. Photo Reptiland

Ils semblent attirés par les terrains agricoles, qui leur permettent d'avoir des zones ouvertes pour se chauffer au soleil, de l'herbe à brouter, des fruits tombés à terre à manger et des terrains pour nicher. Ce régime est occasionnellement complété par des larves d'insectes, des crabes, des petits poissons, des oiseaux morts et des champignons. Les femelles migrent souvent vers la côte pour nicher.

Le mâle est un tiers plus gros que la femelle et le bleu est plus prononcé chez les mâles.

Iguane bleu dans la forêt du Queen Elizabeth II Botanic Park, à Grand Caïman. Lhb1239 CC BY-SA 3.0

L'iguane bleu a développé au cours de son évolution un organe photosensible blanc sur le sommet de sa tête appelé œil pinéal. Cet "œil" ne fonctionne pas comme les deux autres car il n'a qu'une rétine rudimentaire et ne peut pas visualiser d'images. Toutefois il est sensible au changement de lumière et peut détecter un mouvement.



Cet iguane est en danger critique de disparition.

Des fossiles indiquent que les iguanes bleus étaient nombreux avant la colonisation européenne, mais en 2003 moins de quinze animaux vivaient à l'état sauvage, et cette population est sujette à disparaitre dans la première décennie du XXIème siècle. Le déclin de l'espèce est principalement dû à leur chasse par les animaux sauvages tels les chiens et les chats et indirectement par la destruction de leur habitat naturel, les exploitations fruitières étant converties en pâturages pour le bétail.

Depuis 2004, 219 animaux élevés en captivité dans la réserve de Grand Cayman ont été relâchés dans une tentative de sauver l'espèce dans le cadre d'un partenariat dirigé par le Durrell Wildlife Conservation Trust. Au moins cinq associations à but non lucratif travaillent avec le gouvernement des îles Caïmans pour assurer la survie de l'iguane bleu.



Wikipedia - Reptiland.net

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites

L'Ara hyacinthe (Anodorhynchus hyacinthinus) est une espèce d'oiseau appartenant à la famille des Psittacidae. Il est le plus grand de tous les psittacidés, sa taille atteint 1 mètre a l'âge adulte. C'est une espèce répertoriée en danger d'extinction (EN) par l'UICN.

Photo prise à Aquarium of the Americas in New Orleans, Louisiane, USA. Derek Jensen / Flickr CC BY-SA 2.0

Plumage bleu-cobalt, zone nue jaune autour de l'œil et de la mâchoire inférieure du bec, le bleu est légèrement plus foncé sur les ailes, dessous de queue et ailes noirâtres. Anodorhynchus hyacinthinus possède une voix est très puissante. C'est une espèce robuste une fois bien acclimatée. L'ara bleu possède un bec très puissant voire destructeur (pression du bec: 15 kg/cm²). 1/3 de ses muscles se situent dans sa tête. Adulte il a une envergure de 1,30 à 1,50 m pour un poids allant de 1,4 à 1,7 kg.

Cédric Loury 5/6/2014


Il vit dans la forêt tropicale et se tient souvent loin des villes. Appelé aussi Grand ara bleu, il est sujet de commerce, de chasse et de braconnage, ce qui a réduit sa population. Il est notamment chassé pour ses plumes qui servent notamment à faire des chapeaux... Plusieurs programmes sont en cours pour tenter de préserver l'espèce et la population des Aras hyacinthes qui, il faut le dire, a fait, en quelques décennies une chute drastique : sa population est passé de 100.000 à environ 2.000.

Wikipedia

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Cette limace très colorée est un nudibranche que l'on peut rencontrer dans des gammes de teintes vives : dans les tons violet, bleu et orange. C'est un mollusque gastéropode marin dans la famille Flabellinidae.

Ed Bierman from CA, usa / Flickr CC BY-SA 2.0

Le corps des Flabellinidae est allongé et fini en pointe. Les Flabellinidae sont hermaphrodites, mais ils ne se fécondent pas eux-mêmes. 


Ses couleurs vives avertissent les prédateurs de son mauvais goût. Il peut nager en faisant une série de virages latéraux rapides, en forme de U, d'abord d'un côté, puis de l'autre, comme on le voit ici. Il se nourrit d'hydraires. Photo Jerry Kirkhart from Los Osos, Calif. Flickr CC BY-SA 2.0

 Ici un autre Flabellina iodinea avec encore des couleurs différentes. DrKjaergaard CC BY-SA 25.5

Wikipedia  - Wikipedia

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Le Goura de Scheepmaker (Goura scheepmakeri) est une espèce d'oiseau appartenant à la famille des Columbidae.

Luc Viatour www.Lucnix.be CC BY-SA 3.0

Ce gros pigeon de Nouvelle Guinée arbore une belle crête bleue et un plumage dont la teinte varie entre le gris et le bleu et son iris est rouge. Cet oiseau se distingue des deux autres espèces du genre par le ventre et la poitrine marron. Outre la Nouvelle Guinée, on le trouve aussi en Indonésie et en Papouasie Nouvelle-Guinée.

Thurner Hof CC BY-SA 3.0

Ce pigeon couronné est confiné au sud des basses terres des forêts de Nouvelle Guinée. Mâle et femelle ne sont guère dissemblables. Ils mesurent en moyenne 70cm pour un poids de 2,250 kg. Ses plus proches parents sont le pigeon couronné de Victoria et le pigeon couronné de l'ouest.

C'est une espèce assez sociable, malheureusement très chassée pour sa viande et ses plumes. Elle est évaluée comme vulnérable (VU) sur la liste rouge des espèces menacées par l'UICN.espèces menacées. Il est inscrit à l'Annexe II de la CITES.

On peut apercevoir des groupes composés de 3 à 7 oiseaux, bien que des volées jusqu'à 30 individus aient été observées. Dans la forêt (sèche ou humide), ils se nourrissent de fruits et graines tombées au sol et aussi de petits crabes trouvés sur les rives boueuses des rivières. Pour échapper à la chaleur tropicale, pendant la partie la plus chaude de la journée, ils se réfugient dans des abres à forte densité de feuillage.

Un poussin goura de Scheepmaker ou pigeon couronné du sud, âgé d'un jour. photo John Chellman - Getty images / Arkive

Le nid, construit de bâtons, de tiges mortes et de feuilles de palmier est en général situé entre 4 et 15m au-dessus du sol. Dans ce nid, il sera pondu un seul oeuf par la femelle. Tout comme les autres pigeons, le petit est nourri d'un liquide nutritif que l'on a l'habitude d'appeler "lait de pigeon" (en fait il s'agit de la régurgitation des aliments absorbés par les adultes).  

Wikipedia - Arkive

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Rendu célèbre par le dessin animé Le Monde de Nemo (Dory, la poisson femelle amnésique est un chirurgien bleu), ce poisson plat et circulaire présente une belle coloration bleue royale, ainsi qu’une queue jaune et des rayures noires.  

Photo prise à l'aquarium de Monterey bay. Tewy CC BY-SA 2.5

Le Chirurgien bleu (Paracanthurus hepatus), également appelé Chirurgien Palette, est un poisson uniquement présent dans la région Indo-Pacifique. Sa taille maximale connue est de 31 cm.

OceanLife2008 20/5/2011


Véritable best seller de l'aquariophilie marine avec Zebrasoma flavescens et Amphiprion ocellaris, il est cependant assez sensible aux maladies de peau et à ce titre déconseillé aux débutants malgré sa présence fréquente en animalerie.



Wikipedia

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Bleue vif, cette étoile de mer peut atteindre 40 centimètres de diamètre. On la rencontre dans les eaux tropicales du bassin Indo-pacifique, sur les fonds rocheux ou dans les récifs de corail entre la surface et une trentaine de mètres de fond (parfois jusqu'à 60 m), mais plus souvent à faible profondeur.

Papakuro CC BY-SA 3.0

Linckia laevigata est une espèce d'étoiles de mer tropicale de la famille des Ophidiasteridae, caractérisée par ses longs bras et sa couleur bleu vif, teinté de points légèrement plus sombres, mais peut dans certains cas tirer vers le violet ou le brun clair. Les juvéniles peuvent porter des taches plus sombres.

Photo prise à Batu Batu Putih site de plongée, Bali,Thomas Hubauer / fLICKR cc by-sa 2.0

Ces étoiles portent un unique madréporite. Sur la face orale, les sillons ambulacraires sont bien visibles au centre de chaque bras, et protégés de chaque côté par une rangée de petits piquants. Certains spécimens ont parfois plus ou moins de 5 bras, du fait de la prédation et de la défense par autotomie ; des étoiles à 4 ou 6 bras sont ainsi fréquentes. Pour les mêmes raisons, les bras peuvent être de longueurs inégales. Ces étoiles sont connues pour leur remarquable capacité régénératrice, leur permettant de se défendre contre leurs prédateurs par autotomie. Ainsi, à partir d'un seul bras, l'étoile peut se régénérer complètement.

Etoile de mer Lunckia Laevigata à la grande barrière de corail dans le Queensland, Australie. Dr. Dwayne Meadows NOAA / domaine public

Ces étoiles ont un régime microphage relativement omnivore à tendance herbivore, à base d'algues filamenteuses, de détritus, et de débris organiques. Elles deviennent donc plus abondantes après les blooms algals ou les événements biologiques favorables au développement de micro-algues, comme les invasions d'Acanthaster planci.

Maximilian Weinzierl 15/10/2011 (en accéléré)



Wikipedia - Source originale Maxisciences 4/7/2014 pour les 20 espèces d'animaux. Contenu aménagé par moi-même...

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites

×
×
  • Créer...