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La cigüatera est en train de devenir un fléau mondial

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Auparavant la maladie ne touchait que les régions tropicales, aujourd’hui elle concerne aussi les zones tempérées.

Un atelier régional a débuté lundi à l’Institut Louis Malardé de Papeete. 23 pays de la région et du monde y participent. Il s'agit pour les chercheurs d’échanger leurs connaissances. L’atelier sur la cigüatera se poursuit jusqu’au 13 mars. Le docteur Mireille Chinain, responsable du laboratoire des micro-algues à l’Institut Louis Malardé au micro de Tauarii Lee : écoutez son interview sur le site de Polynésie 1ère, indiqué à la fin de l'article, en bas à gauche.

 ©️ POLYNÉSIE 1ÈRE Ciguatera


De son côté, l’association Tamarii pointe des pêcheurs et met en garde contre cette maladie liée à l’intoxication alimentaire consécutive à la consommation de poissons de récif.

En Polynésie française , la cigüatera  affecte principalement les populations des îles éloignées fortement dépendantes sur le plan alimentaire et économique des ressources lagonaires. Dans le cadre des actions de lutte menées pour protéger les ressources maritimes de la commune de Punaauia, le président de l'association reste en alerte.


Polynésie 1ère 3/3/2015

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Entre 300 et 500 cas de cette infection sont répertoriés chaque année dans toute la Polynésie. Certaines îles sont plus touchées que d’autres, comme Mangareva. Pour faire avancer la recherche, l’institut Louis Malardé a mis en place un site internet dédié à la ciguatera.

 ©️ INSTITUT MALARDÉ


Ce site est destiné à la population mais aussi aux médecins fraîchement débarqués en Polynésie et peu au courant de cette maladie. Sa particularité est qu'il sera justement alimenté par les gens eux-mêmes et les taote. Leur participation apportera des données utiles à l'avancée des programmes. De plus, le site comporte une cartographie des zones où les poissons toxiques pêchés ont provoqué des cas de ciguatera.

Ecoutez Clémence GATTI, est chargée de recherche à l’institut Louis Malardé : Pour écouter, cliquez sur le lien source, indiqué à la fin de l'article, en bas à gauche.



Polynésie 1ère 19/2/2015

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