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Journée mondiale de la Terre : 22 avril

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Cet évènement a été célébré pour la première fois le 22 avril 1970. le Jour de la Terre est aujourd'hui reconnu comme l'événement environnemental populaire le plus important au monde.

Le fondateur de cet événement est le sénateur américain Gaylord Nelson. Il encouragea les étudiants à mettre sur pied des projets de sensibilisation à l'environnement dans leurs communautés. 

 Là où je t'emmènerai 22/4/2015





Journée mondiale - Action earthday

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Une espèce de mammifères sur quatre, une sur huit d’oiseaux, et plus d’une sur trois d’amphibiens sont actuellement menacées de disparaître de la surface de la Terre. Tour d'horizon en images des animaux en danger.

  Les LycaonsCes chiens sauvages d'Afrique ne sont plus que 6600 adultes. Considérés comme des animaux nuisibles, comme les loups en France, ils ont été persécutés pendant des années par l'homme. Un virus mortel qui s'est propagé au sein de l'espèce a également contribué à cette hécatombe. (Photo Michael Gäbler CC BY/SA 3.0) 
 EN = en danger


Plus d'une espèce sur trois est menacée de disparition dans le monde, selon WWF. La situation actuelle, critique, l'est d'autant plus que le phénomène s'accélère. En l'espace d'un demi-siècle seulement, "la taille des populations des espèces de vertébrés a fondu de moitié", précise le rapport Planète vivante 2014 publié en septembre dernier. Plus globalement, les espèces végétales et animales s'éteignent au moins 1000 fois plus vite qu'elles ne le faisaient avant que les humains ne peuplent la planète.

 L'Orang outan : Endémique des îles de Bornéo et Sumatra, la population de ces primates a chuté de 80% durant ces 75 dernières années. Sa disparition s'est accélérée avec la destruction de son habitat pour remplacer les forêts par des plantations de palmiers à huile et d'hévéas pour récolter le caoutchouc, comme l'exploitation de mines. La plupart de ces activités responsables de l'accélération de la destruction de leur habitat, sont illégales. S'ajoutent à ce tableau : le braconnage. De 12.000 en 1993, il en reste moins de 6.000 ! (Photo Eleifert CC BY-SA 3.0)  

À tel point que l'on parle actuellement de "sixième extinction massive (voire 7ème)", succédant à celle qui a vu disparaître les dinosaures il y a 65 millions d'années. Sauf que, pour la première fois, le processus est causé par une seule espèce : l'homme.

  Le putois à pieds noirs (Mustela nigripes) habitant de la prairie d'Amérique du Nord et d'Amérique centrale, est la seule espèce de putois indigène en Amérique du Nord. Il a la taille et l'aspect d'un furet. La quasi-extinction de cette espèce serait due aux menaces pesant sur leur principale ressource alimentaire, le chien de prairie sauvage, à la maladie de Carré et à une maladie appelée « peste sylvide» (sylvan plague) similaire à la peste bubonique. Les efforts de conservation se poursuivent pour sauver cet animal. (Photo USFWS / domaine public)


Des scientifiques sont d'ailleurs allés encore plus loin dans l'analyse et la qualification du monde actuel. Selon une étude parue en janvier dans le journal The Anthropocene Review, l'homme serait entré dans une nouvelle époque depuis les années 1950, passant de l'holocène (époque géologique) à l'anthropocène (époque entièrement régie par l'homme). Il serait en effet devenu le seul et l'unique acteur de l'évolution de la planète, même si cette théorie, validée par le monde scientifique, n'a pas encore été actée par la Commission internationale de stratigraphie, précise Le Monde.

 Le Napoléon (Cheilinus undulatus) : Malgré leur large répartition, les populations du Napoléon semblent en déclin. L'âge tardif de leur maturité sexuelle, rend l'espèce plus sensible à la pêche. La réduction probable d'au moins 50% de la population sur les 30 dernières années est basée sur un index d'abondance et sur l'exploitation commerciale actuelle et potentielle de l'espèce. Ce déclin va surement perdurer et s'accélérer à cause de la croissance de la demande pour l'exportation de poissons vivants (Photo fir0002 | flagstaffotos.com.au GDFL 1.2)

Conséquences de son activité néfaste, détaillée par l'ONU, une espèce de mammifères sur quatre, une espèce d’oiseaux sur huit et plus d’une d’amphibiens sur trois sont menacées, d'après la dernière édition de la Liste rouge mondiale, à l'origine de l'inventaire de la biodiversité. Au total, 22.413 espèces sont classées comme telles, sur les 76.199 étudiées. Et le phénomène ne concerne pas uniquement les tigres du Bengale ou les pandas géants. La France figure parmi les dix pays qui hébergent le plus grand nombre d'animaux en danger.

 Hau hele'ula (Kokia drynarioides) : est un arbuste endémique en voie de disparition dans les forêts sèches de l'île de Hawaii. Le surpâturage par le bétail, la concurrence des mauvaises herbes envahissantes et les perturbations de son habitat, dues au développement humain, ont réduit cette espèce à moins de 10 plantes en seulement trois populations naturelles. Cet arbuste étant une source de nectar pour certains oiseaux appelés "honeycreepers", ceux-ci voient aussi leur population en forte baisse. Les agences fédérales s'efforcent de réduire les menaces. 
 CR = en danger critique d'extinction




Source : MetrOnews 22/4/2015 (voir d'autres photos sur le site source)

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