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#France : Des villes interdisent les #cirques avec #animaux_sauvages

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Ronq (Nord) est la quinzième commune à interdire les cirques qui présentent des animaux sauvages, relayant ainsi l'appel de la Fondation 30 millions d'amis.

 Animal Defenders International 4/12/2012


Les dompteurs ont du mouron à se faire. « Ours haltérophiles, éléphants acrobates, tigres cascadeurs, singes cyclistes… Il n'est pas dans la nature de l'animal de faire des numéros de clowns et le public est encore loin de s'imaginer les techniques qui sont utilisées pour amener un animal à exécuter un ordre demandé », s'insurge une pétition lancée par la fondation 30 millions d'amis adressée au président de la Commission européenne.

De plus en plus de communes renoncent à accueillir des cirques qui produisent des animaux sauvages : Bagnolet (Seine-Saint-Denis), Bessancourt (Val-d'Oise), Chassieu (métropole de Lyon), Creil (Val-d'Oise), Fontenay-sous-Bois (Val-de-Marne), Ilkirch (Bas-Rhin), La Trinité-sur-Mer (Morbihan), Montreuil (Seine-Saint-Denis), Portes-lès-Valence (Drôme), Roquebrune-sur-Argens (Var), Vernaison (métropole de Lyon), Villeneuve-lès-Avignon (Gard), Vourles (Rhône) et Yerres (Essonne).

Dernière en date, Ronq, commune de 13 666 habitants située dans le département du Nord. Le maire Vincent Ledoux a pris récemment un arrêté « interdisant strictement sur le territoire de la Ville de Ronq tout cirque détenant des animaux sauvages ». Le maire s'appuie sur le Code général des collectivités territoriales qui stipule que les animaux sauvages doivent être placés « dans des conditions compatibles avec les impératifs biologiques des différentes espèces et qui garantissent leur sécurité, leur bien-être et leur santé ».

Or, pour Vincent Ledoux, ces conditions ne sont pas réunies dans les cirques. Le maire de Ronq juge que « les conditions de détention et de dressage des animaux sauvages leur occasionnent des pathologies avérées – troubles cardiaques, arthrite, stéréotypies, troubles du comportement – et que les normes minimales requises ne peuvent pas être respectées du fait de la nature itinérante de ces établissements ».


Ouest France 20/11/2015

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