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Équipe d'administration-calomania

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Musique : Johannes Brahms
Texte : Françoise Hardy
Musique créée en 1865 par Johannes Brahms

En 1935, Georges Guétary chante à la façon d'autrefois un texte de Louis Poterat sur la mélodie.
En 2006, Françoise interprète un texte de sa composition sur cette même musique

L'orgue de la nuit
Au clair de lune gémit
La brise fait
De son archet
Chanter la valse des regrets
Ma belle enfant
Du bois dormant
Quittez vos rêves troublants
Vous éveillant
Pour un instant
Venez à moi qui vous attends
Le fils du roi n'est qu'un manant
Ce n'est que moi
Pauvre passant
Chantant l'émoi
D'une prière vaine...
L'ombre s'alanguit
Des formes glissent sans bruit
Et du passé
Couples lassés
Les souvenirs s'en vont danser
Les doigts frileux
Du saule bleu
Dressés au ciel
Comme un appel
Au sort cruel
Rythment au vent ma peine...
Ah loin du château
Loin de l'austère repos
Venez, venez
Vous qui dormez
Voici pour vous l'instant d' aimer
Ce château-là
C'est mon cœur las
Ce doux concert
Passant dans l'air
Ce n'est que l'air
De tendres souvenances...
la,la,la,la,la,la
Vous c'est l'espoir
Dans le ciel noir
C'est le soleil
D'un jour vermeil
C'est le réveil
D'une ancienne romance...
L'orgue de la nuit
Au clair de lune gémit
Gémit toujours
Dans mon cœur lourd
Qui n'attend plus que votre amour...

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Le texte chanté par Georges Guétary


L'orgue de la nuit
Au clair de lune gémit
La brise fait
De son archet
Chanter la valse des regrets

Ma belle enfant
Du bois dormant
Quittez vos rêves troublants
Vous éveillant
Pour un instant
Venez à moi qui vous attends

Le fils du roi n'est qu'un manant
Ce n'est que moi
Pauvre passant
Chantant l'émoi
D'une prière vaine...

L'ombre s'alanguit
Des formes glissent sans bruit
Et du passé
Couples lassés
Les souvenirs s'en vont danser

Les doigts frileux
Du saule bleu
Dressés au ciel
Comme un appel
Au sort cruel
Rythment au vent ma peine...
Ah loin du château
Loin de l'austère repos
Venez, venez
Vous qui dormez
Voici pour vous l'instant d'aimer
Ce château-là
C'est mon cœur las
Ce doux concert
Passant dans l'air
Ce n'est que l'air
De tendres souvenances...
la,la,la,la,la,la
Vous c'est l'espoir
Dans le ciel noir
C'est le soleil
D'un jour vermeil
C'est le réveil
D'une ancienne romance...
L'orgue de la nuit
Au clair de lune gémit
Gémit toujours
Dans mon cœur lourd
Qui n'attend plus que votre amour...
. .
Le texte chanté par Françoise Hardy


L'orgue de la nuit
Au clair de lune gémit
La brise fait
De son archet
Chanter la valse des regrets

Mon bel amour
Au bois dormant
Quittez vos rêves troublants
Vous éveillant
Tout doucement
Venez vers moi qui vous attends

Venez vers moi
Il est grand temps
Calmer l'émoi d'un cœur qui bat
Devant l'effroi
D'une prière vaine

L'ombre s'alanguit
Des formes glissent sans bruit
Et du passé
Vestiges usés
Nos souvenirs s'en vont danser

Comme l'Arc en ciel après la pluie
Comme le soleil après la nuit
Serais-je celle
Qui chassera vos peines?




















L'orgue de la nuit
Au clair de lune gémit
Gémit toujours
Dans mon cœur lourd
Qui n'attend plus que votre amour...




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L'écharpe de soie

Maurice Fanon
L'ÉCHARPE
Paroles et musique: Maurice Fanon, 1963


Si je porte à mon cou
En souvenir de toi
Ce souvenir de soie
Qui se souvient de nous
Ce n'est pas qu'il fasse froid
Le fond de l'air est doux
C'est qu'encore une fois
J'ai voulu comme un fou
Me souvenir de toi
De tes doigts sur mon cou
Me souvenir de nous
Quand on se disait vous

Si je porte à mon cou
En souvenir de toi
Ce sourire de soie
Qui sourit comme nous
Sourions autrefois
Quand on se disait vous
En regardant le soir
Tomber sur nos genoux
C'est encore une fois
J'ai voulu revoir
Comment tombe le soir
Quand on s'aime à genoux

Si je porte à mon cou
En souvenir de toi
Ce soupir de soie
Qui soupire après nous
Ce n'est pas pour que tu voies
Comme je m'ennuie sans toi
C'est qu'il y a toujours
L'empreinte sur mon cou
L'empreinte de tes doigts
De tes doigts qui se nouent
L'empreinte de ce jour
Où les doigts se dénouent

Si je porte à mon cou
En souvenir de toi
Cette écharpe de soie
Que tu portais chez nous
Ce n'est pas qu'il fasse froid
Le fond de l'air est doux
Ce n'est pas qu'il fasse froid
Le fond de l'air est doux.

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