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LES PARENTS ET LE CHIEN

GARDEZ A L’ESPRIT QUE LE CHIEN CONSIDERE LES ENFANTS NON PUBERES COMME DES CHIOTS. CE SONT DONC DES PARTENAIRES DE JEUX TANT QU’ILS NE REPRESENTENT PAS UNE MENACE HIERARCHIQUE.

A NOTER :
1) Si les enfants grandissent lentement, les chiens sont pour la plupart pubères dans les mois de leur première année : ils cherchent alors leur place d’adulte pour laquelle les enfants peuvent devenir des obstacles ou compétiteurs.

2) Plus l’espace est restreint, plus les risques de conflit hiérarchique sont forts d’autant plus si le chien ne peut s’enfuir ou si il est régulièrement envahi (enfants, visiteurs, autres chiens…).

3. ASSURER LA COHESION DU GROUPE

· Il faut absolument respecter les rythmes de vie qui ont été mis en place avec et autour du chien (promenades, heures de repas, rituel familial).
· La maison dans son ensemble ne doit pas être accessible au chien : on devrait interdire les lieux symboliques (cuisine) et privés (chambre d’enfant, salle de bain) non en fermant la porte mais en les interdisant au chien quand il essaye d’y rentrer.
· Si le chien mange avant vous et assiste à votre repas, l’idéal est de décaler son repas après vous et de retirer la gamelle (aussi par sécurité pour l’enfant qui voudrait jouer avec).
· Ne laissez pas le chien décider des activités communes. C’est vous qui solliciterez les moments de jeux, aux heures qui vous arrangent afin de pouvoir vous occuper des enfants sans négliger l’attention délivrée au chien : cette routine devra être conservée par la suite.
· Aidez le chien à se situer dans votre groupe en le rendant autant utile que dépendant de vos décisions. Mettez en place des rituels positifs auxquels participe toute la famille : brossage, promenade à pied ou à vélo, partie de foot, etc…

On ne peut TOUT contrôler : mieux vaut parfois « compartimenter », isoler le chien lorsque l’on doit donner une attention particulière ponctuelle à l’enfant ou qu’on n’est pas sûr de pouvoir surveiller correctement.

3. PLACER L’ENFANT DANS UNE POSITION SUPERIEURE AU CHIEN

3. Evitez le piège de l’anthropomorphisme (projeter des sentiments humains sur le chien) : le chien ne connaît pas le sentiment de « jalousie » ou de « protection du plus faible ». Tout comportement du chien dans ce sens reflète une difficulté à se placer dans la hiérarchie du groupe et doit nous inquiéter : le chien qui aboie sur nous quand on joue avec l’enfant ou qui se place devant le lit ou le berceau vise à contrôler les rapports de la famille, à s’approprier un rôle qui n’est pas le sien.
4. Si le chien paraît nerveux à l’approche de l’enfant, évitez de chercher à le rassurer : il confirmerait cette situation comme anormale. Laissez-le se retirer si il le désire et empêchez l’enfant de le retenir.
5. Appelez régulièrement le chien pour une caresse quand vous portez votre enfant dans les bras : sa position hiérarchique au même niveau que la votre sera renforcée. Cette coalition doit aussi être utilisée pour donner des ordres ou chasser le chien à sa place.
6. En cas de manque de respect du chien vis-à-vis de l’enfant, former une coalition épaule contre épaule, regard sur le dos pour chasser le chien par un ordre clair est un message très fort et efficace.
7. Organisez les repas du chien de manière à ce qu’ils se déroulent toujours APRES ceux de l’enfant ou du bébé.
8. Partez toujours du principe que LE CHIEN A TORT, même si c'est l'enfant qui l'agresse. Si vous devez disputer l’enfant si il a fait une bêtise, faites sortir le chien : celui-ci évitera de jouer un rôle éducateur (par morsure) par imitation en votre absence. De même, ne consolez jamais le chien si l’enfant lui a fait du mal : envoyez-le au contraire fermement à sa place car il n’y a pas de notion de « justice » chez le chien et vous devez absolument le dissuader de penser qu’il est en droit de se défendre puisqu’il aurait une position importante dans la meute.
9. Associez votre enfant à toutes les activités que votre chien apprécie : l’idéal est de les pratiquer uniquement en présence de l’enfant afin de l’associer à la notion de plaisir.
10. Appliquer les conseils hiérarchiques valables pour tous: lors des jeux avec l'enfant, évitez les activités de tirage et mordillements qui sont source d'accident et encouragent le chien à obtenir quelque chose de ce comportement. De même, LE CHIEN NE DOIT JAMAIS GAGNER: l'enfant doit toujours récupérer le jeu et mettre fin à l'action quand il le décide. De même, évitez les jeux qui couinent quand on les presse car ils encouragent le chien à maintenir sa morsure malgré une plainte sonore: on annule alors l'inhibition de la morsure lorsqu'il entend un cri que lui a apprise sa mère.
11. Si des contacts sont autorisés entre l'enfant et le chien, soyez vigilant à ce que l'enfant n'envoie pas de messages « à risque »: caresser le chien sur la tête ou serrer son cou entre ses bras (attitude de domination), embrasser sur le museau (menace), fixer longuement dans les yeux (provocation).

N.B : AVANT 5 ANS, L’ENFANT EST INCAPABLE DE CONCEVOIR LE CHIEN COMME AUTRECHOSE QU’UN JOUET OU PARTENAIRE DE JEUX , NI DE RECONNAITRE LA MENACE EXPRIMEE PAR LE CHIEN (GROGNEMENT, EXHIBITION DES CANINES INTERPRETE COMME « SOURIRE »). NOUS RECOMMANDONS PAR CONSEQUENT D’EVITER AU MAXIMUM LES CONTACTS AVANT 3 ANS (PERIODE D’EXPLORATION TACTILE « JE TIRE, JE FRAPPE ») ET D’ENCADRER STRICTEMENT LES RENCONTRES JUSQU'A 10 ANS.

Les bénéfices pour le développement de l'enfant liés à la présence d'un chien, ou plus généralement d'un animal de compagnie ne sont plus à prouver.(1)
Il est par contre important de rappeler que cette relation peut néanmoins présenter des aspects beaucoup moins bénéfiques pour l'enfant. Une publication récente du SCHIRPT (2) permet de mieux appréhender les causes de ce drame que constitue à chaque fois la morsure d'un enfant. En effet l'étude ne se limite pas à une collecte de cas et à la gravité des morsures, y sont inclus des renseignements tels que :
- Qui s'est fait mordre ?
- Qui a mordu ?
- A quel moment ?
- A quel endroit ?
- Dans quelles circonstances ?
Voici quelques résultats de cette étude :
.64,7 % des victimes de morsure ont moins de 10 ans.
.29,1 % ont moins de 4 ans.
.22,3 % ont entre 10 et 14 ans.
.Dans 71,2 % des cas le chien agresseur est connu de l'enfant et vit dans son environnement proche.
.Les chiens le plus souvent impliqués, dans l'ordre de la fréquence décroissante : le Berger Allemand, le Cocker, l'Épagneul, le Rottweiller, le Golden Retriever, le Colley.
.Les morsures sont le fait de toutes les races, de la plus petite à la plus grande, de celle réputée "la plus gentille" à celle réputée "très agressive".
.38,5 % des morsures ont eu lieu au cours d'interactions habituelles avec l'enfant (caresses, jeux ..)
.32,7 % des morsures au cours d'interactions inhabituelles (taquineries ou pendant le repas du chien...)

Les conclusions de cette étude rejoignent celle d'une étude Française (3), à savoir que la plupart de ces accidents sont prévisibles et peuvent être évités si les parents adoptent un comportement adéquat et cohérent. La majorité des parents dont les enfants ont été mordus par le chien "proche" pensaient pouvoir faire totalement confiance à l'animal, celui-ci étant bien connu et sans passé d'agression.
Cette prévention passe impérativement par le respect de certaines règles dont les plus importantes sont :
.Une bonne hiérarchisation du chien. Celui-ci doit être amené à considérer tous les membres de la famille comme ses supérieurs hiérarchiques.
.La présence des parents quand l'enfant est en bas âge ou turbulent. Il y a malheureusement suffisamment de faits d'actualité dus à la dérogation à cette règle.
.L'interdiction aux enfants de le taquiner sans cesse, de le toucher quand il mange, s'isole ou dort. Un animal de compagnie n'est pas un jouet et n'est pas corvéable à merci !
Enfin, il faut savoir que si morsure il y a eu, la solution du problème ne passe pas forcément par l'abandon ou l'euthanasie. Il existe des thérapies comportementales efficaces dans la mesure où l'agressivité n'est pas d'origine pathologique, ce qui ne représente qu'un infime pourcentage, et que le bilan vétérinaire permettra de confirmer ou d'infirmer.

(1)H. Montagner et Coll. "Données récentes sur les interactions entre l'enfant et son animal familier" Bulletin académique national de médecine, 172 (7), p. 951-955, 1988.
(2) Étude sur les morsure de chien, Bulletin du SCHIRPT n°11, juillet 1997. Système Canadien Hospitalier d'Information et de Recherche en Prévention des Traumatismes.
(3) J-C Filiatre et Coll. "Agressions d'enfants par les chiens : étude des facteurs de risque." Annales de Pédiatrie 1990, Laboratoire de Psychophysiologie et centre antirabique. Besançon.


Seconde étude rétrospective menée au service des urgences pédiatriques de l'hôpital Saverne (67) de Mars 2002 à Février 2005:
· Les enfants âgés de 1 à 6 ans constituent le groupe à risque à 55%
· 20% des accidents surviennent chez les garçons de 5 à 6 ans
· 64% des morsures ont pour localisation la face
· Les enfants âgés de 1 à 6 ans se font mordre au visage dans 80% des cas
· La lésion est généralement bénigne, la plaie punctiforme sans perte de substance (75%), de gravité moyenne.
· Dans 85% des cas le chien est connu de l'enfant.
· Dans 60% des cas le chien appartient à la famille, aux voisins ou aux amis.
· Dans78% des cas le chien est de sexe mâle, âgé de moins de 4 ans (60%) et de grand poids (61%). Les américains insistent sur le fait qu'une grande majorité des mâles mordeurs n'avaient pas été stérilisés (facteur encore à l’étude).
· Pas de résultats significatifs quand à la race du chien.
· Dans 59% des cas les morsures surviennent lors d'interactions inhabituelles entre enfants et chiens, dans des circonstances pouvant être évités.

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Invité
LE CHIEN « PEUREUX »

Syndrome de Privation Sensorielle (P.S)

Le cerveau du chiot termine de se construire vers l’âge de 6 mois. Les expériences vécues par le chiot dans ses 3 premiers mois sont enregistrées définitivement et lui donneront la capacité de s’adapter pour le reste de sa vie, en particulier les stimulations reçues avant 8 semaines. Au-delà de ces 3 mois, toute nouvelle expérience sera naturellement vécue avec appréhension, mais sa qualité d’adaptation dépendra du contexte dans lequel le chien évolue.
En effet, dès les premiers jours (et même durant la gestation) toute stimulation du chiot, comme chez l’être humain, crée des connexions électriques (synapses) permettant d’envoyer des informations aux neurones qui se multiplient : le cerveau se développe en qualité et volume, seules les liaisons déjà stimulées seront conservée à la fin de la croissance du cerveau.
Plus le cerveau est développé à la fin de sa croissance, plus le chien démontrera des capacités à s’adapter à de nombreuses situations variées et nouvelles ainsi qu’à l’exploration sans peur de son environnement.
La Privation Sensorielle est représentée par des chiens dont le cerveau n’a pas été suffisamment développé : c’est le cas de beaucoup de chiots d’animaleries par exemple (retirés trop tôt de leur mère) ou encore de certains chiens de chasse (enfermés tout petits).
Le cas récurrent est celui du chien issu d’un élevage en campagne qui grandit dans un milieu HYPOstimulant, dont l’éleveur ne prépare pas l’adoption par des stimuli divers (bruits de klaxons, véhicules, circulation de foule, marche en laisse) correspondant au futur milieu de vie souvent HYPERstimulant : en ville, par exemple.

PROFIL VARIABLE DU CHIEN EN PRIVATION SENSORIELLE :
Ces chiens sont décrits comme craintifs, donnant parfois l’impression d’avoir été « battus ». Ils se soumettent à toute élévation de voix ou déplacement d’objet. Ils aboient parfois sans raisons perceptibles.
Ce sont des chiens collants, se cachant dans les jambes de leur maître, explorant l’environnement « en étoile » sans jamais trop s’éloigner : les propriétaires sont parfois satisfaits que ces chiens ne partent pas seuls. Ils souffrent d’ailleurs d’un hyper attachement anxiolytique qui leur fait mal vivre la solitude (destructions, souillures, vocalises) : les maîtres leur servent en effet de « filtre », de « béquille affective » afin d’appréhender le monde effrayant qui les entoure. L’hyper attachement aux êtres qui les apaisent donnent en effet parfois lieu à des destructions en leur absence (objets portant leur odeur), des vocalises, surtout si le départ est ritualisé (paroles rassurantes, préparatifs devant le chien).
Le chien en PS ne vit pas : il cherche à survivre. Il va la plupart du temps s’enfuir pour échapper à la source de sa peur, sans chercher à l’analyser. Paradoxalement, le chien va être relativement normal dans son milieu d’origine. Il peut aussi recourir à des agressions de distancement (aboiements incessants et agressifs, attaques dirigées, rituels d’intimidation) afin d’éloigner la source de sa peur, parfois en geignant en même temps qu’il aboie. On tombe parfois dans l’hyper agressivité secondaire : le chien ne communique plus qu’en attaquant.
S’il ne peut s’enfuir ou ne comprend pas une situation, il prendra souvent une position de profil, patte avant relevée (position d’expectative) avec parfois miction de soumission. C’est dans cette situation qu’on a le plus fort risque de morsure de défense. Lorsqu’il cherche à explorer, le chien en PS reste campé sur ses 4 pattes et c’est seulement sa tête qui s’avance « à se dévisser le cou » (exploration statique).
L’activité nerveuse et sensorielle du chien en PS peut apporter chez certains des troubles digestifs (diarrhées intermittentes à permanentes, selles généralement molles, gaz) avec difficultés à l’apprentissage de la propreté : le chien soit se soulage de façon spontanée et incontrôlable soit ne peut se soulager tant qu’il est tendu nerveusement et se soulage dans un endroit calme et rassurant (souvent la maison, à l’abri des regards avec parfois coprophagie).
Cette anxiété permanente l’amène à des comportements auto-centrés : léchages ou grattages compulsifs interminables allant jusqu’à la blessure. Ces rituels permettent de dégager des endorphines, drogue naturelle apaisante du cerveau.
On assiste parfois à une immaturité comportementale : retard sexuel, difficulté relationnelles avec les autres chiens, incapacité à exprimer des positions de communication correctes (soumission, prise de contact) ou bien l’ invitation au jeu est le seul répertoire connu, même au-delà de la puberté.

PRONOSTIC :
Un chiot de 2 mois entouré d’un attachement de qualité et évoluant dans un milieu suffisamment stimulant peut récupérer.
Au-delà de 3 à 4 mois, le chiot a des séquelles, mais il garde des capacités adaptatives qui permettent l’amélioration.
Après la puberté, on peut uniquement espérer une amélioration et les rechutes(situations de panique, difficiles à vivre) sont fréquentes.

On doit comprendre que la PS est DEFINITIVE une fois la croissance du cerveau achevée : le chien peut encore apprendre mais restera « sensible » toute sa vie. En l’absence de guérison, on peut seulement trouver des alternatives pour une vie relativement normale, lorsque cela est possible.
En effet, la PS compte 3 niveaux de gravité :


1. STADE PHOBIQUE

· La source de la peur reste IDENTIFIABLE : une voiture, une personne avec un chapeau, un sac plastique qui vole au vent, un bruit fort, quelqu’un qui essaye de l’approcher.
· Cette phobie peut dans des cas extrêmes donner lieu à des mictions ou défécations émotionnelles, la fuite « comme s’il n’entendait plus rien », des agressions par irritation ou de distancement.

2. STADE ANXIEUX
Les phobies sont multiples, étendues et difficilement identifiables : par exemple, la peur des voitures empêche de prendre le chemin qui mène à la route, puis empêche de sortir de la maison sur le chemin.
Les postures caractéristiques de la PS sont observables : position d’expectative et exploration statique.
La prise de nourriture est souvent cachée et nocturne. La malpropreté est fréquente, par peur de sortir.
Le chien est incapable de s’habituer à toute modification de sa routine, aux stimuli de son environnement (lieu, objets, personnes) même présents en permanence.

3. STADE DEPRESSIF
L’inhibition du chien l’empêche d’explorer ou de jouer.
L’élimination se fait près du lieu de couchage voire à l’intérieur (énurésie et encoprésie) avec parfois coprophagie.
Le sommeil est irrégulier et troublé.
Le chien mange de nuit et boit sans bruit. Tout changement de l’environnement (une chaise déplacée par ex) rend la sortie impossible.
On remarque des activités substitutives importantes : dermatites provoquées par le léchage par ex.

COMMENT AIDER ET VIVRE AVEC UN CHIEN EN PS ?

Les premiers fruits de votre travail doivent être envisagés sur le long terme (au moins 6-12 mois) et les rechutes fréquentes doivent être envisagées.
L’apaisine canine (phéromone apaisante anti-stress) et son utilisation en collier pour l’extérieur ou en diffuseur uniquement pour l’intérieur (marque D.A.P. chez votre vétérinaire) peut se révéler une certaine aide, de façon intermittente ou permanente, toujours en parallèle à un travail comportemental autour du chien.
Vous devez garder à l’esprit la « ROUTINE DE LA BONNE HUMEUR » : tout nouveau stimulus doit être banalisé, sans anticipation ni tension de laisse par exemple et on ne doit surtout pas chercher à rassurer le chien, ni l’aider à éviter les situations difficiles mais encore gérables sous peine de renforcer son comportement. On exposera par un travail comportemental guidé petit à petit le chien à des stimuli croissants, on favorisera la rencontre avec d’autres chiens (en particuliers chiens équilibrés servant de co-thérapeutes) et les activités qui permettent de le valoriser (jeu gagnant).
On doit fixer des limites d’attachement au chien : l’empêcher de suivre en permanence, moins le regarder dans les yeux, utiliser les caresses surtout en récompense d’un comportement attendu, éviter les rituels de départ et de retour pour limiter l’hyperémotivité.
L’aider par un cadre hiérarchique clair et rassurant, des règles et des horaires routiniers, l’utilisation du NON ! comme seule punition. On évitera la confrontation avec un certain nombre de personnes en particulier sur son territoire. Pour son bien-être et par sécurité, mieux vaut isoler le chien en PS des enfants, au moins dans les premiers temps.

EN CONCLUSION, PATIENCE, BON SENS ET AMOUR SONT LES PILIERS DE CETTE REUSSITE.

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J'avoue ne pas avoir tout lu (pas trop le temps ce soir)...

Mais y'a un truc avec lequel je suis completemnt d'accord : Partez toujours du principe que le chien a tort (appartition d'un comportement négatif du chien, même sur provocation de l'enfant).

Idem pour : le chien ne doit JAMAIS gagner...

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Invité
merci de nous faire partager sa
c'est vraiment super

j'apprend encore plein de truc

merci beaucoup

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Invité
je le fait partager car je trouver qu'on apprend plein de chose qui sont très importent a savoir surtout avec les enfants

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Invité
oui c'est vrai tu as resond
moi je suis pas une specialiste

d'ailleur avant d'arrivé sur le forum je ni connaissait pas grand chose

et d'ailleur je savais pas que le chien devais toujours avoir tord meme si c'est l'enfant qui a chercher

merci
car dans tout les cas moi sa m'aide

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aline a écrit:


et d'ailleur je savais pas que le chien devais toujours avoir tord meme si c'est l'enfant qui a chercher


Ca semble logique, même sans être spécialiste.

Le chien, dernier de la meute, doit théoriquement TOUT accepter de ses supérieurs hiérarchiques...

Cela ne veut pas dire qu'il faut en profiter pour lui faire subir tout et n'importe quoi (l'enfant doit aussi apprendre à respetcer le chien), mais c'est une règle de sécurité essentielle...

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Invité
mais moi non plus je savais pas tous sa c'est depuis que j'ai vu un comportementaliste que j'ai appris plein de chose et qui on réussi a changer le comportement de mon chien je pensais au début que se serai impossible car il a 6 ans et maintenant cava beaucoup mieux donc si sa marche avec mon chien sa marchera pour les autres qui on les même problème que niousky.

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Invité
Zazou a écrit:
aline a écrit:


et d'ailleur je savais pas que le chien devais toujours avoir tord meme si c'est l'enfant qui a chercher


Ca semble logique, même sans être spécialiste.


c'est peut être logique pour toi mais beaucoup ne pense pas a sa ou le savent pas!

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Invité

peut etre logique pour toi zazou moi je le voyais pas comme sa
c'est un membre de la famille
alors si un enfant lui tire un grand coup sur la queue sa fais mal au coeur de gronder ton chien alors qu'il a eu mal

mais je le ferais vue vaut conseil
car je veus pas avoir un chien mechant


enfin rien de mechant contre toi zazou Very Happy je suis un peu blonde on va dire pliéderire

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Disons que, ayant été élevée au milieu des chiens, j'ai une certaine connaissance de la chose, même si on en sait jamais assez... Et je fréquente les clubs canins, éducateurs, terrains de concours depuis que j'ai 14 ans... De quoi se forger sa propre opinion.

Et le chien n'est pas un membre de la famille ! C'est un CHIEN !!!!!!! pliéderire

(même si je comprend ce que tu as voulu dire, moi aussi mes chiens sont tout pour moi, mais à leur place!).

Si le gamin tire sur la queue du chien et que le chien le mord :
1/ engueulade du chien, et panier avec un bon hurlement primaire
2/ vérification de l'état du gamin (ca saigne?!)
3/ sans être devant le chien, explication au gamin que le chien n'est pas un jouet et qu'on doit le respecter (tu refais ca sinon je te mets une fessée sale gosse ! Lol2 )

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Invité

ok ok
lol!

mais quand je vois ma niece de 2ans qui depuis toujours nous lui expliquons et rien a faire elle cour toujours apres la chienne a mes parents
se couche sur elle ( ce n'est qu'un caniche)

je me dit pauvre chienne j'en aurai marre a la fin

mais non je serai stricte avec daisy

sinon je vais me faire taper!!!!!
pliéderire

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AVANT 5 ANS, L’ENFANT EST INCAPABLE DE CONCEVOIR LE CHIEN COMME AUTRECHOSE QU’UN JOUET OU PARTENAIRE DE JEUX , NI DE RECONNAITRE LA MENACE EXPRIMEE PAR LE CHIEN (GROGNEMENT, EXHIBITION DES CANINES INTERPRETE COMME « SOURIRE »). NOUS RECOMMANDONS PAR CONSEQUENT D’EVITER AU MAXIMUM LES CONTACTS AVANT 3 ANS (PERIODE D’EXPLORATION TACTILE « JE TIRE, JE FRAPPE ») ET D’ENCADRER STRICTEMENT LES RENCONTRES JUSQU'A 10 ANS.

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Invité
les gamins sont parfois terribles avec les chiens, une fois j'en ai vu une qui fesait semblant de balancer sa jambe, et en regerdant deux minutes je me suis aperçu que mine de rien elle essayait discrètement de mettre des coups de pied au chien!!!
heureusement que je lui ai dit d'arrêter avant qu'elle ne réussisse à lui en mettre un bon.

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veronik_44 a écrit:
AVANT 5 ANS, L’ENFANT EST INCAPABLE DE CONCEVOIR LE CHIEN COMME AUTRECHOSE QU’UN JOUET OU PARTENAIRE DE JEUX , NI DE RECONNAITRE LA MENACE EXPRIMEE PAR LE CHIEN (GROGNEMENT, EXHIBITION DES CANINES INTERPRETE COMME « SOURIRE »). NOUS RECOMMANDONS PAR CONSEQUENT D’EVITER AU MAXIMUM LES CONTACTS AVANT 3 ANS (PERIODE D’EXPLORATION TACTILE « JE TIRE, JE FRAPPE ») ET D’ENCADRER STRICTEMENT LES RENCONTRES JUSQU'A 10 ANS.


heu la je suis pas super d'accord hein...

Je connais pleins d'enfants élevés avec des chiens, et bien avant 5 ans, ils savent qu'il ne s'agit pas d'un jouet.

Effectivement, sur les signes d'agressivité, ils ne comprennent pas tout petits, mais le reste, ils peuvent le comprendre bien avant.

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je suis puericultrice je travail avec les enfants toute la journée et j'en vois beaucoup les enfants avant 3 ans voir 5 ans son incapable de savoir qu'un chien peut mordre il s'aperçoivent même pas du danger que sa soit avec un chien un chat un lapin il sentent pas leur force!

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Je reitere ma question qui est passée à l'as :

As tu l'autorisation de ton comportementaliste de diffuser publiquement ses fiches ?

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Il y a une différence entre ne pas sentir sa force, et ne pas avoir le droit de faire quelque chose.

Et à 3 ans, ils sont capables de savoir qu'ils n'ont pas le droit de tirer sur la queue du chien.

Mais je suis ok pour dire qu'ils n'ont pas conscience du danger, et ne savent pas reconnaitre les signes d'agressivité.

Comme le demande Patjulie, tu as le dreoit de mettre les fiches de ton comportementaliste sur internet ? C'est étonnant quand même... scratch

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se son pas ses fiche se sont tous les explication qu'il ma donner que j'ai fais en texte en faisant un récapitulatif de tous!

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Citation :

se son pas ses fiche se sont tous les explication qu'il ma donner que j'ai fais en texte en faisant un récapitulatif de tous!


Avec toutes les stats et tout ? Je ne veux pas mettre ta parole en doute, mais par respect pour son travail et la formation qu'il a faite, je pense qu'il serait plus convenable de lui demander l'autorisation, qu'en penses tu ?

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Invité
je suis d'accord, il vaudrait mieux demander l'autorisation avant

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Invité
je vois pas pourquoi lui demander son autorisation car ses moi qui a fait ses fiches si tu veux supprimé le sujet c'est pas grave mais c'est dommage car j'ai fait sa pour aider d'autre personnes car moi aussi j'ai eu des problèmes avec mon chien et actuellement trouver un bon comportementaliste est très compliquer.

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C'etait une question... je ne parlais pas de supprimer le sujet.
D'ailleurs j'ai lu tes notes avec beaucoup d'interet !

L'ideal c'est quand meme que le comportementaliste se deplace à domicile pour cerner concretement le probleme..
Tu sais où il a fait ta formation le tien ?

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Invité

Euh...Je ramène ma science pour une fois MDR

Je suis bien d'accord avec Zazou, interdire tout contact entre le chien et l'enfant avant les 3 ans, c'est pas bon du tout.
Ils vont avoir peur l'un de l'autre, dans le sens où ils n'ont pas le droit au contact, et le risque est que le chien perçoive par ce fait l'enfant comme un danger. Et vice versa : " l'autre est un danger potentiel pour moi"
==> D'où cet empêchement au contact.
Et la méfiance risque de s'installer.

Et l'enfant, c'est pareil pour lui. De plus en grandissant, la transgression de l'interdit parental est très attirant. Il veut découvrir ce qu'il y a autour de lui...

Du coup l'enfant n'ayant eu que très peu de contacts avec l'animal s'y prendra mal, ou fera peur sans le vouloir. De même pour l'animal...


Ma nièce a 2 ans et demi, (et on ne prend qu'un chien à la fois quand on la voit), on lui apprend à respecter le chien, à aller doucement vers lui. Elle aura 3 ans en janvier, et elle a bien compris que les maîtres mots sont :
--> accord de ses parents
--> approche en douceur
--> et le chien est un être vivant, il peut avoir mal et faire mal du coup + explication du pourquoi. Avec des mots simples.

Le principal est qu'il fassent tous 2 l'expérience l'un de l'autre SOUS surveillance bien sur, cela va de soi. Car bien sûr l'enfa,t conçoit l'animal comme un compagnon de jeu.


Et je peux vous dire que c'est une bombe à gaz entre Phil et son frère ( papa de ma nièce)... Car la petite n'avait pas le droit d'approcher Boston au début, et il venait la retirer vite fait, ou il courrait vers elle dès que le chien s'approchait.
Euh... bon chacun fait ce qu'il veut, mais là ni le chien ni l'enfant ne comprenait ce qui se passait. Ils étaient perdus, et ne comprenaient pas nos réactions, enfin les réactions du père, et Boston finissait la queue entre les pattes.
C'était un gros n'importe quoi... Là on progresse, enfin le père progresse ...mdr...la petite a le droit sur autorisation du papa de toucher au chien.

L'interdiction formelle est pas la meilleure des solution, si elle n'est pas expliquée, il faut que l'enfant comprenne que le chien peut être dangereux, et pourquoi.

Ca me fait penser que la dernière fois que j'ai vu ma nièce, elle m'a dit en me voyant arriver avec Boston : " Boston méchant ". son père a du lui dire que les chiens étaient méchants, donc pas toucher.

Bon je vais le faire piquer mon boston, j'avoue c'est un pitt déguisé qui mord les fesses des gens dans la rue pliéderire

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Invité
oui sab mais ta niece ne doit pas etre une petite peste
car la mienne elle ne fais pas semblant

on va dire que sa depend de l'enfant aussi je pense...

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Je vais également ramener ma science... Embarassed en fonction de ce que j'ai vécu.

Voila, Bart n'a pas du tout l'habitude des enfants, de plus il est assez peureux avec les personnes qu'il ne connait pas, quand il a été en présence d'enfant agés de 1 an à 8 ans(petits cousins), il avait très peur, surtout que ces derniers ne connaissaient pas trop les animaux et des qu'ils le pouvaient tapaient Bart.. Or cela a été très difficile à pouvoir les laisser ensemble jouer, même quand Bart se prenait des coup, il n'a jamais essayer de les mordre, juste un petit pincement avec les dents pour leur faire comprendre d'arrêter.

Au final, ce qui a été le plus long, c'est d'expliquer aux enfants qu'il faut respecter l'animal et que si il veut jouer avec, ce n'est pas en le tapant qu'il va jouer.

Auj, ca va beaucoup mieux entre eux même si de temps en temps Bart se prend encore des tapes mais il considére ça comme un jeu venant de ses enfants.

Tout ça pour dire, que je pense qu'il faut mettre des que possible en relation un chien et des enfants sous surveillance bien entendu, pour que chacun puisse respecter l'autre.
Auj, je sais que si un jour j'ai des enfants, je peux faire confiance à mon Bart.

Oula petit roman!!! Rolling Eyes

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Oh tu sais aline, j'ai un pote qui a une fille de 6 ans, une vraie peste, elle fait tellement mal à Boston et Cahuète que j'en suis malade !!!

Et les parents ne disent rien, et la dernière fois, ils lui ont montré tous les 2 les dents, en grognant, et avec un geste franc : "je vais te mordre". Déjà je stressais grave, mais j'avais jamais vu mes loustiques comme ça. Et elle le sait, qu'elle a pas le droit, elle le sait, mais dès que je hausse la voix, elle pleure et va dans las bras de ses parents qui la cajolent ! grrrrrrrrr...

Je vais pas faire l'éducation de leur fille, mais elle les prend vraiment pour des esclaves, c'est le terme juste je pense, vu ce qu'elle leur fait subir.
Et bien je peux te dire, qu'elle ne peut les toucher que sous ma haute surveillance, et je lui fais bien comprendre que c'est moi qui décide ...et pas elle. Et je l'ai à l'oeil !

D'ailleurs Boston et Cahuète se cachent derrière moi dès qu'elle arrive. Heureusement maintenant leurs visites sont rares.

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De toute facon, vous verrez que l'approche de votre chien envers "les enfants" et "votre" enfant n'est pas du tout la meme, tout simplement car si vous faites bien les choses, votre enfant ne sera pas vu comme un individu quelconque, mais bien un membre de la meute de votre chien, et qui plus est, hierarchiquement au dessus de lui.

Je le vois tous les jours avec Kaly. Je ne peux pas dire qu'elle n'aimait pas les enfants, mais elle les fuyait.
A partir de 2/3 ans si ils lui jettent des batons pour jouer, elle a un temps de mefiance et d'adaptation, acceptent de jouer mais ne cherche pas les caresses.

Un jour on a failli aller à la catastrophe car mon conjoint a eu l'excellente idée (mais il ne pouvait pas savoir et je n'ai pas reagi assez vite) de maintenir ma chienne pour qu'une petite lui fasse une caresse.
Elle a grogné et claqué des dents vers le visage de la petite, ne pouvant s'enfuir.
Plus de peur que de mal mais gros stress et beaucoup de pleurs.

Aujourd'hui Kaly s'asseoit à coté de Mewenn volontiers, et se laisse tordre la peau, les yeux et les oreilles dans tous les sens sans bouger (et dieu sait que les bébés aux ongles bien acérés ne sont pas des tendres !).
C'est comme si elle en redemandait et je dois souvent mettre fin à ces seances de papouillages sado maso pliéderire

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Invité
Je n'ai pas forcement une bonne conception de la relation avec les enfants, mais je pars du principe qu'un animal n'est pas un jouet, a partir du moment qu'on a préciser a l'enfant qu'il ne doit pas toucher au chien ou etre brusque avec, ou qu'il doit se calmer il doit le faire au meme titre que le chien. Un enfant qui frappe un chien doit se prendre une doudoune, je ne concoit pas qu'un chien puisse se faire frapper par un enfant.

J'ai eu le cas a un noel chez mes parents, un des mes petit cousin a mis au coup de pied a théa sans aucune raison apparente moralité la chienne s'est retourné contre guillaume elle lui a pincé le mollet, j'ai appelé thea pour qu'elle aille dans son panier et j'ai precisé a guillaume qu'il l'avait cherché et que desormais il n'approche plus théa. J'aurai ete l'un de ses parents, je n'aurai pas laisser passé.

Pour ma part j'ai toujours ete élevé avec des chiens (certe pas des jacks) de cocker plus précisement je n'ai jamais eu aucun souci avec eux sauf quand je les embettais réellement, elles grognaient un coup, et la seconde fois elle pincait (j'ai quand meme eu un coup de pincement a la bouche) mais bon si je n'avais pas embetté la chienne jamais elle ne m'aurait chopé.

quand on connait le comportement de son chien on sait ce qu'il faut faire, je sais qu'avec théa je fais attention car elle n'est pas habitué aux enfants, et maintenant elle a guillaume dans le nez ...donc a chaque fois que jel le voit je lui demande de ne pas courrir quand théa est dehors car sinon elle prend sa pour une attaque (enfin disons qu'elle veut jouer mais guillaume ne comprend pas donc forcement ca coince et ensuite elle grogne donc il a peur...)

Docn juste pour finir je ne vois pas pk un enfant devrait etre séparer d'un chien ou tout du moins eloigné il doivent apprendre a viivre ensemble

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patjoulie a écrit:
C'etait une question... je ne parlais pas de supprimer le sujet.
D'ailleurs j'ai lu tes notes avec beaucoup d'interet !

L'ideal c'est quand meme que le comportementaliste se deplace à domicile pour cerner concretement le probleme..
Tu sais où il a fait ta formation le tien ?


il vient a domicile car il est venue chez moi et pour sa formation non je sais pas du tous

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Voilà un bon résumé de l'attitude de mon chien, mis à part la propreté et le repas, c'est tout elle.
Elle vient d'un elvage, enfin plutot d'une usine à chiot, parqué comme des poulets d'èlevage, entassé, pas de contact, juste deux tuyaux pour manger et boire. Pas très cool.

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Intéressant, merci veronik_44. Smile

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veronik_44 a écrit:
Evitez le piège de l’anthropomorphisme (projeter des sentiments humains sur le chien) : le chien ne connaît pas le sentiment de « jalousie » ou de « protection du plus faible ».


Merci beaucoup véro pour ces infos!!! Par contre je ne suis par sur pour les sentiment de jalousie et de protection du plus faible (dans mon cas les enfants de la famille) Je m'explique;

A la maison nous avon aussi une golden d'environ 6 ans.. et si je joue avec mon frère chady vient vers nous comme pour dire moi ausssi... Si on l'ingnore elle va se coucher (laisse tomber plutot) avec un grand soupir... Aussi quand je flatte mes chat elle ne m'enpeche pas mais elle va en desous de mon autre bras de facon a ce que veut veut pas elle ai l'impression de recevoir un calin... Toujours sans en vouloir au chat

et pour ce qui est de la protection du plus faible c'est spécial.... Nous sommes 3 enfant a la maison ( mes 2 frères 12 et 16 ans et moi 20 ans) et si quelqu'un s'approche de nous méchament (en criant ou un homme qu'elle ne connait pas... bizzare pas avec les femmes) elle se met entre nous et jappe et grogne pas beaucoup mais comme signe toi tu touche pas meme avec notre père quand il nous engeule Surprised pourtant elle le connait. Mais elle n'est pas du tout dominatrice avec nous on peut lui faire n'importe quoi (tirer les poil. se coucher dessus lui enlever sa bouffe) Jamais elle nous jappe apres au pire si c,est trop elle s'en va ou elle tourne la tete rapidement vers nous c'est tout...
Aussi quand on est malade aussi minime soit-il elle nous suit ou si c'est plus pire qu'on soit chouché sur le divant ou a nos lit en haut elle se plante a coté de nous et reste la si on va au toilette elle reste devant la porte (tres bizzare car elle ne monte jamais en haut)

En gros je me demande si ce n'est pas de la jalousie ou de la protection c'est quoi alors??? confusedconfused

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Non , mais c'est quoi cette histoire ???
il sort d'où ce comportementaliste ??? parce que le "pas de contact avec les enfants de moins de 5 ans", je trouve ça non seulement idiot, mais carrément dangereux !!!!
Comment un chien qui n'a jamais eu de contact avec un enfant pourra savoir comment se comporter avec lui quand il en croisera un (parce qu'il en croisera forcément un jour, ne serai-ce que dans la rue !) et si on le tire loin de l'enfant ou le porte à chaque fois qu'il en croise un, il va assimiler les enfants à un danger, donc risque d'attaque !
Et c'est valable dans l'autre sens : un enfant qui n'a jamais été en contact avec un chien ne saura pas comment se comporter face à lui : il le considérera soit comme un jouet à qui on peut faire n'importe quoi, soit comme un danger (ça ça vient souvent des parents !!).

Aux enfants, si on a pas de chien chez soi, il faut leur expliquer qu'il faut demander d'abord au maître du chien si on peut le caresser (très important), puis faire des caresses tout doucement (comme pour un câlin). Un enfant est capable de comprendre ça très tôt (vers 15 mois !cf cours de psycho de l'enfant). Les parents qui refusent que leur enfant caresse mon chien alors que je l'ai autorisé m'énervent.

moi, je n'hésite pas à disputer un enfant brutal avec un chien, même si les parents sont à côté et ne disent rien. Si les parents ne sont pas contents, tant pis pour eux: ils mettent eux-même leur enfant en danger !(et ils ne sont pas près de me revoir) !

Cet été, Dadès a été pendant quelques jours en contact avec 2 enfants de 15 mois et une de 6 ans. Ils ont beaucoup joué ensemble, toujours sous la surveillance d'un adulte, bien sûr. ça s'est très bien passé et pourtant, aucun des 3 enfants n'a de chien chez lui! Dadès avait la possibilité d'aller se planquer dans son dodo ( dans une pièce où les enfants n'avaient pas le droit d'aller ), quand il n'en pouvait plus.

Bien sûr qu'il faut punir le chien même s'il s'est défendu : il n'a pas le droit de mordre ou de grogner après un humain quoi qu'il arrive !!

quand à la jalousie, quand arrêterons-nous de croire que tous les sentiments humains sont"supérieurs" ou différents des comportements animaux ? La jalousie humaine c'est "tu donne une meilleure place à machin en lui donnant plus quelque chose qu'à moi !". ça ne ressemble pas à un problème de domination/soumission, ça ????

Les loups protègent les petits de la meute comme les chiens protègent nos "petits" qui font partie de la meute. après, si le chien est équilibré, je ne pense pas que ça pose un réel problème si il continue à protéger quand l'enfant grandit.
J'ai été élevée avec un briard de 50kg dominant. Mais un amour avec les enfants et les animaux autres que "gros chien mâle dominant" (à part le caniche de mon grand-père, mais c'est une autre histoire...). Il aboyait si on criait pour jouer "aie" en chahutant avec mon père. mais jamais il n'a montré les dents à qui que ce soit (sauf 2 fois : a des cambrioleurs et à un huissier !!!!) et il nous a toujours obéit au doigt et à l'oeil.

Arretons de généraliser : chaque chien à son caractère et son comportement !

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