Mors en cuire...

[Sotefie 0]

Bonjour,
J aimerais savoir si vous connaissez les mors en cuire? Avez vous une expérience avec?
Avantages/inconvéniant? Pour quel type de chevaux?

[K-roline 0]

connais pas vraiment, juste une fois vu en concour
je pense que c'est un mors très souple et donc doux (si bien utilisé)
ça pourrais peut-etre convenir à des chevaux qui ont une bouche très délicate ou qui n'accepte pas les mors dit "classique" en metal

maintenant, je suis un peu sceptique qd au 'long terme', est-ce que le cuir ne cassera pas trop vite, etc ?

c'est juste une idee, pour le reste je n'en ai jamais vu de très pret

[orev 0]

Le mors en cuir est utilisé en débourrage. C'est effectivement un mors doux, souple, que le poulain peut machouiller dans faire de dégâts et qui est chaud lorsqu'il est mis en bouche.
C'est vraiment un très chouette mors pour apprendre au poulain à se relaxer et à accepter d'avoir qqch en bouche. JE n'en connais que des droits puisqu'il n'y a aucune pièce métallique, c'est juste un rouleau de cuir.

Mais à ma connaissance ce mors n'est pas utilisé une fois que le jeune accepte facilement le mors, il est juste utilisé pour la période de débourrage puis si la bouche est sensible on se dirige vers un droit en résine qui reste souple et chaud en bouche.

[Fehlynn111 0]

J'ai connu un cheval il y a des années (du temps où j'avais encore ma DP) qui ne supportait pas le contact du métal dans sa bouche et qui, franchement, était un pur danger en licol... Donc il fallait un mors absolument.
A l'époque je ne me souviens pas qu'on en parlait en Belgique, donc le proprio l'avait acheté en Amérique.
Le cheval était monté quotidiennement avec, il pouvait le mâchouiller et en effet ce mors avait l'avantage qu'en hiver, il n'était pas glacial.
Mais sur le long terme, franchement c'est pas terrible... Au bout de genre 2/3 ans, le mors était mort de chez mort (je rappelle, utilisation quotidienne hein, donc pour "notre cas" ça pourrait faire 5/7 ans lol).

Mais l'idée était pas mal. Le gars en avait acheté quelques uns et il pouvait monter sa "baïte sauvage" autant qu'il le voulait.