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nathalie40

-1-la coprophagie (chien mangeur de crotte)

Messages recommandés

tres interessant pour comprendre le pourquoi, un peut long certe, mais tres bien expliqué. :bye: bonne lecture

La coprophagie


DEFINITION ET GENERALI TES:

Au sens étymologique du terme, la coprogphagie se définit comme l’ingestion (-phagie) d’excréments (copro-). Ce comportement s’avère normal et même vital pour certaines espèces comme les rongeurs et les lapins chez qui certains nutriments essentiels (vitamines du groupe B notamment) sont produites par les synthèses bactériennes de la flore du côlon. Les capacités d’absorption et d’assimilation de ces nutriments étant très limitées au niveau des portions postérieures du tube digestif, ces animaux doivent nécessairement ingérer leurs propres déjections (ou celles des congénères) sous peine de carence alimentaire grave.

La coprophagie s’observe également chez d’autres animaux comme le porcelet, le poulain, les chiens et les singes mais de façon beaucoup moins systématique (6).

Hormis le léchage normal des selles des jeunes chiots par leur mère qui permet un toilettage et une stimulation périnéale du réflexe de défécation, la coprophagie régulière est considérée comme un trouble du comportement alimentaire chez les carnivores domestiques. Ce vice admet souvent des causes favorisantes qu’il convient d’explorer avant toute tentative de traitement diététique, médical ou comportemental.


FACTEURS FAVORISANT LA COPROPHAGIE:

En règle générale, un excrément dans lequel persistent des nutriments peu ou pas digérés (matières grasses, fibres musculaires, amidon) reste « appétissant » aussi bien pour l’excréteur que pour ses congénères. C’est la raison pour laquelle il ne faut pas toujours rechercher la cause d’une coprophagie chez le mangeur mais parfois chez son colocataire… La persistance d’éléments non digérés dans les selles peut être liée aux origines suivantes :

Parasitoses digestives:

De nombreux parasites digestifs du chien (helminthes ou protozoaires) peuvent être à l’origine d’un phénomène de malabsorption-maldigestion chez le chien en perturbant l’assimilation glucidique, protéique ou lipidique de la ration : ascarides, ankylostomes, trichures et Giardia sont les principaux parasites digestifs fréquemment retrouvés lors de coproscopies parasitaires collectives effectuées dans les chenils confrontés à la coprophagie. La coproscopie parasitaire est donc l’examen à effectuer en priorité lors de coprophagie. Le mélange d’échantillons de selles provenant de plusieurs chiens permet d’augmenter les « chances » d’identifier le ou les parasites en cause. Notre bilan effectué sur l’année 1999 montre que 90 % des chenils confrontés à de la coprophagie ont présenté une coproscopie parasitaire collective positive à au moins un parasite digestif. Signalons également que ce trouble du comportement alimentaire participe à l’accomplissement des cycles parasitaires en chenil et donc à la contagion et à l’auto-entretien du cercle vicieux « maldigestion – coprophagie ».

Troubles du comportement


Compétition alimentaire
Le fait de nourrir plusieurs chiens en même temps (chiens de meute par exemple) provoque une « concurrence alimentaire » (peur de manquer) qui peut entraîner non seulement une accélération de la vitesse d’ingestion des repas mais également une surconsommation. Cette dernière peut être seule à l’origine d’une accélération du transit digestif conduisant à une mauvaise assimilation des nutriments. Par voie de conséquence, certains éléments non digérés peuvent se retrouver intacts dans les selles qui présentent alors une appétibilité résiduelle.

Ennui, claustration, stress
Certains chiens particulièrement anxieux ou insuffisamment stimulés par leur environnement peuvent présenter, par exemple au cours d’un séjour en pension, un épisode transitoire de coprophagie.

Le stress, qu’il soit lié aux conditions d’élevage ou à un événement extérieur (orage, circulation nocturne de renards errants etc.) peut également initier ce trouble de comportement qui, par imitation, se propage rapidement à tous les pensionnaires.

Troubles hiérarchiques
Les chiens dominés sont enclins à se rouler dans les excréments de chiens dominant à l’occasion, par exemple, d’une promenade en forêt, ceci afin de s’imprégner des messages chimiques (« phéromones ») qu’ils véhiculent. Ces mêmes individus sont également prédisposés à la coprophagie.

Enfin, les réprimandes infligées par un propriétaire ou un éleveur à un chien à la suite d’un épisode de malpropreté, risquent d’inciter l’animal à faire disparaître ses méfaits par un comportement coprophage.

Atavisme
Certaines races rustiques comme les Beaucerons, les chiens de chasse ou les chiens Nordiques sont plus fréquemment atteints de déficits en amylases (enzymes digérant l’amidon) et donc plus volontiers coprophages que d’autres. Le chiens de ces races, lorsque toutes les autres causes de coprophagie auront été exclues, pourront bénéficier d’une ration restreinte en amidon ou ayant subi des traitements thermiques (cuisson) et/ou mécaniques (écrasement) améliorant sa digestibilité. Si les chiens de grandes races semblent prédisposés aux troubles de la digestion ou de l’assimilation (la longueur de leur tube digestif étant proportionnellement plus réduite que chez les chiens de petit format), les petites races de type Shih-Tzu, Lhassa-Apso, Cavalier King Charles, Pékinois, Caniche, Cocker présentent paradoxalement plus souvent de la coprophagie en collectivité.
Déficits enzymatiques

De nombreux déficits enzymatiques, qu’ils soient d’origine pancréatique, hépatique, biliaire ou encore intestinale, favorisent l’excrétion d’éléments non digérés dans les selles, les fermentations et putréfactions au niveau du côlon (à l’origine de borborygmes et de flatulences) et les proliférations bactériennes.

Parmi ces déficits, l’insuffisance pancréatique exocrine congénitale (fréquente chez certains chiens de grandes races prédisposées comme les Bergers Allemands) ou acquise (à la suite d’une pancréatite aiguë par exemple) est certainement l’affection la plus répandue dans l’espèce canine.

L’insuffisance pancréatique exocrine se traduit au plan clinique par une polyphagie (augmentation de l’appétit), un amaigrissement et l’émission fréquente de selles bouseuses, d’aspect gras, mastic et décoloré. Ces symptômes s’observent également lors d’infestation du duodénum par des parasites unicellulaires nommés Giardia qui perturbent l’activité des enzymes pancréatiques qui se déversent dans le duodénum.

D’après une étude datant de 1995 (2), environ 20 % des insuffisants pancréatiques présenteraient des symptômes de coprophagie et, parmi les chiens souffrant de cette affection, environ 60 % cesseraient d’ingérer leurs propres excréments après traitement aux enzymes pancréatiques. Toutefois, ces résultats ne peuvent être obtenus dans les collectivités canines au sein desquelles le comportement d’imitation entretient ce vice de comportement, même après traitement de la cause primaire.

Gastrite chronique

Le « pica » est un trouble du comportement alimentaire qui se traduit par une propension à l’ingestion d’herbe, de terre (tellurophagie), de cailloux ou au léchage des matériaux environnants (sols, murs, etc.). Ce trouble du comportement est parfois lié à une carence d’apport ou d’absorption. Les biopsies de muqueuse gastrique réalisées sur les carnivores (chats ou chiens) souffrant de pica ont montré que ces animaux souffraient plus fréquemment de « gastrite chronique » que les individus indemnes. Ainsi, contrairement à une idée répandue, le comportement de pica ne serait pas majoritairement lié au parasitisme (l’on croit que l’animal « se purge » en mangeant de l’herbe) ou à une carence alimentaire mais plus souvent à un phénomène que l’on pourrait qualifier « d’irritation stomacale » incitant l’animal à ingérer ou à lécher toute sorte de matières a priori non comestibles et de préférence riches en fibres insolubles (lignine du bois par exemple) pour se « gratter » l’estomac. La coprophagie pourrait alors être incluse dans le syndrome « pica » et certains chiens coprophages classés parmi les patients potentiellement atteints de gastrite chronique. Ceci est important lorsque l’on sait que la gastrite chronique est une affection prédisposant au syndrome dilatation-torsion de l’estomac chez les chiens de grande taille.

Mauvaise digestibilité de l’aliment

Bien que rare dans nos régions, l’ingestion d’aliments peu digestibles de piètre qualité (affection appelée « generic dog food disease » par les anglo-saxons) conduit soit à un déséquilibre de la flore bactérienne du colon d’origine glucidique (céréales, fibres végétales) responsable de la production d’acides gras volatils par fermentation dans les matières fécales, soit à la production de déchets putrides par mauvaise digestion protéique (cas des aliments contenant du collagène mal cuit des tendons ou de la kératine de poils, de cuir, de cornes ou de plumes) (5). Bien que répugnantes pour l’homme, ces matières fécales altérées peuvent présenter une appétibilité résiduelle pour les chiens et donc inciter à la coprophagie.

Carences vitaminiques

Expérimentalement, la carence en vitamine B1 (Thiamine) commence par provoquer chez le jeune chien Beagle une baisse d’appétence, puis des retards de croissance. Dans une seconde phase, la carence plus prolongée se traduit par un amaigrissement et de la coprophagie. Enfin, le dernier stade de carence laisse apparaître des troubles nerveux et se termine par une mort subite (9). Notons que, dans ce cas, la coprophagie n’est pas, loin s’en faut, le premier symptôme à apparaître et que la carence en thiamine est exceptionnelle de nos jours compte tenu de son omniprésence à concentration variable dans les tissus animaux et végétaux. L’adjonction systématique de vitamines B aux rations alimentaires de chiens coprophages ne se justifie donc pas si ces derniers sont par ailleurs en bon état général, même si cet apport supplémentaire ne présente généralement aucun risque de toxicité et semble jouer un certain rôle répulsif en modifiant l’odeur des selles.

Excrément d’animaux d’espèces différentes

Une étude récente datant de 1998 (1) estime à 45 % la proportion de chiens sains qui consommeraient volontiers, s’ils en avaient l’occasion, des selles de … chats ! La consommation occasionnelle de selles de chats ne doit donc pas être considérée comme un trouble du comportement alimentaire chez le chien. De même, l’ingestion de bouses de vaches ou de crottin de cheval par des chiens de ferme s’apparenterait plus à un comportement de pica qu’à une coprophagie vraie.

RISQUES LIES AU COMPORTEMENT DE COPROPHAGIE

La coprophagie présente peu de risques sanitaires chez le chien qui bénéficie d’une acidité gastrique capable de neutraliser la majorité des bactéries potentiellement pathogènes. C’est d’ailleurs l’une des raisons pour lesquelles les toxi-infections alimentaires collectives sont exceptionnelles en chenil, contrairement aux risques rencontrés dans l’espèce humaine en restauration collective.

Le risque majeur à prendre en compte lors de coprophagie en chenil reste celui de la transmission des parasites. En effet, la coprophagie, qu’elle soit involontaire (souillure des gamelles par des contaminations fécales) ou spontanée, facilite notamment la transmission féco-orale de kystes de Giardia ou de formes de résistance rapidement infestantes (ookystes de coccidies ou cryptosporidies).

Un auteur (4) signale toutefois le cas clinique rare d’un Berger Allemand mâle de 4 ans souffrant d’une occlusion gastrique faisant suite à l’ingestion répétée de bouses de vaches et de crottins de cheval utilisés comme engrais dans un champ…


TRAITEMENT DE LA COPROPHAGIE

Le choix du traitement dépend naturellement de la cause primaire lorsque celle-ci a pu être identifiée. En effet, avant de choisir un traitement, il faut tenir compte non seulement des conditions d’élevage (mode de distribution des repas, composition de la ration, comportement alimentaire des chiens, nature de l’environnement) mais aussi des résultats d’une véritable « enquête » visant à identifier l’individu qui a le premier présenté ce trouble du comportement qui, par la suite, s’est étendu à l’ensemble de l’élevage. Il devient ainsi possible, par exemple, de faire la différence entre une enzootie de giardiose (extension progressive des troubles), une insuffisance pancréatique isolée (tous les chiens consomment les selles provenant du même individu) ou une diarrhée de surconsommation (accélération du transit digestif liée à une concurrence alimentaire ou à un stress collectif).

Toutefois, quelle que soit l’origine des troubles, certaines mesures peuvent être systématiquement mises en œuvre en cas de coprophagie en chenil :


Traitement du parasitisme digestif:

Si la coproscopie parasitaire collective fournit des résultats positifs, quels que soient les parasites digestifs identifiés, il importe de considérer l’ensemble de l’élevage comme potentiellement infesté et de traiter simultanément tout l’effectif (parfois pendant 5 jours consécutifs en cas de trichurose) sans négliger l’assainissement de l’environnement et les possibilités de portage d’éléments infestant par le pelage des animaux (cas de la giardiose notamment). Le choix des produits dépend du cycle de développement du parasite en cause et de son mode d’action. Une vermifugation « en aveugle » (sans coproscopie parasitaire préalable) est, pour cette raison, fortement déconseillée en cas de coprophagie en élevage non pas à cause d’une éventuelle toxicité mais surtout à cause des risques d’inefficacité.

Lors de coproscopie parasitaire positive, le seul traitement antiparasitaire suffit parfois à atténuer la coprophagie en moins d’une semaine. Toutefois, il importe de poursuivre le traitement médical par une thérapie comportementale pour "déshabituer" progressivement les animaux qui auraient pris goût à ce vice.

Traitement des excréments :

Le retrait rapide des excréments dès leur émission réclame beaucoup de temps et de disponibilité de la part de l’éleveur au cours de la thérapie de déconditionnement. Il est également possible de provoquer une aversion chez les chiens vicieux afin qu’ils associent l’ingestion d’excréments à une sensation désagréable immédiate (collier actionnable à distance, pistolet à eau, etc.). A cet effet, l’éleveur pourra recourir à divers stratagèmes tels que le saupoudrage des excréments à l’aide de poivre ou de répulsifs (moutarde, piment, quinine, For-Bid ®️) pour dissuader les chiens de recommencer. Par ailleurs, l’adjonction de levure de bière à la ration alimentaire pourrait, dans certains cas, atténuer les phénomènes de coprophagie, sans doute par modification de l’odeur des selles.

suite au poste "-2- la coprophagie...suite"

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Invité
Kitty le faisait étant petite.....
Heureusement, c'est terminé...
Quoi que parfois... elle lèche certaine crotte dehors !!!

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Biki le faisait bébé aussi... et de temps en temps je les trouve le nez dans une crotte bien fraiche :pouh: mais j'interviens souvent à temps

Ayleen pourquoi ce poste ? tu as ce souci dans ta meute ?

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c'est surtout, que pour une fois j'ai trouver des choses interessante et clairement expliqué sur le sujet.
j'ai pensé que ca pouvait eventuellement rendre service.

alors oui quand ils etaient plus petit, c'etaient assé recurant chez moi de la part de certain de mes chiens, maintenant ca va mieux, sauf pour les crottes de chat, alors la...je n'ai pas encore trouver la solution, a part les surveiller de pres et de veiller a ce qu'il n'y ai pas d'endroit meuble dans le jardin qui pourrait attiré les chats pour faire leurs besoins.

a croire que c'est du caviar, ses crottes de chat, :MDR:
remarquez ca ne m'etonne qu'a moitier, elles ne sentent pas pareil, ca sens le vomis les crottes de chat...et les chiens aime le vomis. :pouh:

eh! oui, desolé pour ses petites remarque, mais c'est aussi avoir le nez dans la merde tout les jours quand on ce lance dans l'elevage :smilegreen:



nath

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Invité

Ahhhhh c'était la suite ?? comme il n'y avait pas de réponse j'ai cru que c'était un doublon... c'était le même titre... Embarassed je l'ai supprimé...

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Haworthia a écrit:
Ahhhhh c'était la suite ?? comme il n'y avait pas de réponse j'ai cru que c'était un doublon... c'était le même titre... Embarassed je l'ai supprimé...






:MDR:

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Ben Chipie si elle a le malheur de voir un caca d'oiseau ou une limace crevée, y a pas faut qu'elle se roule dedans. Après elle revient toute fière dans le style "vas y fait moi des câlins maintenant" :MDR:

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Haworthia a écrit:
Ahhhhh c'était la suite ?? comme il n'y avait pas de réponse j'ai cru que c'était un doublon... c'était le même titre... Embarassed je l'ai supprimé...


:MDR::MDR:

ben je vais le remettre, lisez au moins la conclusion... Wink

nath

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:mortderire::mortderire:

remarque quand tu vois la longueur de la partie 1, tu te dit 'ah! non il y en a encore... "

c'est surement pour ca qu'il n'y a vait pas de reponse

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chipie54 a écrit:
Ben Chipie si elle a le malheur de voir un caca d'oiseau ou une limace crevée, y a pas faut qu'elle se roule dedans. Après elle revient toute fière dans le style "vas y fait moi des câlins maintenant" :MDR:


Oui, Gad aussi pense qu'elle va séduire après s'être roulée dans les charognes! :smilegreen:

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ayleen a écrit:
Haworthia a écrit:
Ahhhhh c'était la suite ?? comme il n'y avait pas de réponse j'ai cru que c'était un doublon... c'était le même titre... Embarassed je l'ai supprimé...


:MDR::MDR:

ben je vais le remettre, lisez au moins la conclusion... Wink

nath

Pourquoi tu ne les mets pas tous les 2 à la suite ?

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florence a écrit:

Pourquoi tu ne les mets pas tous les 2 à la suite ?


Je viens d'essayer de copier/coller à la suite et ça dépasse la longueur autorisée, il aurait fallu le mettre juste à la suite dans le même post Wink

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ah oui je n'y avais pas penser... :smilegreen:

c'est pour ca que j'avais fait deux poste justement , parce que ca ne rentrait pas Wink

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lol moi calia depuis qu'elle est arrivé elle jouait avec les crottes sèchent alors comme j'accelerai le pas pour lui retirer, elle la pris pour le jeux et depuis dès qu'elle a un truc dans la bouche elle les prend dans sa geule me regarde et court
ensuite elle s'arrête et les mangent dans son coin
ça fait un ptit moment que je ne lais pas vu en manger on verra bien par la suite

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Invité
je pense que Diana mange les siennes aussi beurkkk mais j'ai remarqué ça ce matin, à coté d'elle des tous petits morceaux, comment faire pour l'empecher de faire ça la nuit ? à part ne pas dormir et veiller lolllll

sinon elle a essayé hier aprem', mais je l'en empeche à chaque fois.

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J'avais une chienne westie qui faisait ça aussi. Beurkkkk.
Heureusement Lylo et Playboy ne font pas ça.

Bon on devrait mettre ce post dans la rubrique REGIME. :MDR::MDR:

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bb shayane le faisait ac les crottes de chat
mais croyez moi j ai sévi .........mais vraiment sévi et au bout d une semaine c était fini

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C'est vrai que c'est dégueu !!!! Mes 2 chihuahuas plus agés mangent les crottes des 2 petites...Mais à certaines périodes seulement....çà me rend dingue...Il parait quesi on donne de l'ananas ou du bleu de bresse au chien cela modifie l'odeur de l'excrément et du coup les autres chiens ne sont pas attirés ...Jen'ai pas encore essayer !!! (Encore faudrait il que les petites mangent çà !!!!)

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Ca me rappelle Rocky, je vais faire un peu hors sujet mais en été il mangeait les cerises tombées au sol, ses crottes me faisait rire, il y avait plein de noyaux :MDR:

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Pour rester sur le sujet à l'heure du repas, Bon appétit tout le Monde....
L'article que tu as mis en ligne est très complet.
Personnellement, je sais qu'il y a aussi des soucis avec des croquettes très connues, les chiens mangent les excréments du petit copain, qui en plus sont vraiment très malodorantes, et de surcroit les toutous ont des flatulences nauséabondes....
Comme qui dirait "CA PUIRE !!!!!!!!" :pouh:

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avant la gestation d'ayleen, j'ai diminué sa ration et lui ai fait un drainage hépatique pour que son foie fonctionne mieux.

j'ai trouver le resultat plutot satisfaisant. au niveau de son attirence pour les crottes.

oui, les croquettes connues qui on un effet gazeux, j'ai vite compris... et arreter.

je pense que pour un chiot a part le lui interdir quand c'est possible, il n'y a pas grand chose a faire. c'est meme normal.

bien que sa soit repugnant, le principal c'est que ca ne soit pas dangereux pour leur santé.

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Invité
chez moi,chanel a mangée ses petites crottes jusqu'à l'âge de 6 mois,maintenant elle a 8 mois et elle ne le fait plus

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