odile05 0 Posté(e) le 18 juillet 2010 voila ce que j'ai vu en désherbant derrière les tuyas, pouvez vous me dire si elles sont dangeureuses pour mes chiens. Merci Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
lisiane 0 Posté(e) le 18 juillet 2010 je ne sais pas mais elles sont jolies Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
odile05 0 Posté(e) le 18 juillet 2010 t'es gentille Lisiane il y avait eu un post à ce sujet mais je ne le retrouve pas, je ne suis pas douée pour les recherches. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
lisiane 0 Posté(e) le 18 juillet 2010 j'ai regardé sur internet mais il ne dise pas grand chose sur cette belle chenille carterpillar Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Invité Posté(e) le 18 juillet 2010 il vaudrait mieux qu ils n y touchent pas Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
lisiane 0 Posté(e) le 18 juillet 2010 je serais à ta place et bien je les mets dans une boite et je leur donne à manger et ainsi je verrais quel genre de papillons celà donnent Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Invité Posté(e) le 18 juillet 2010 C'est une Jocheaera alni (Linnaeus, 1767)C'est apparemment dangereux : lire ceci : http://users.telenet.be/couleurdune/pages/4incontournables.htm Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
lisiane 0 Posté(e) le 19 juillet 2010 merci pour le documentaire Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Béa et Gadgette 0 Posté(e) le 19 juillet 2010 J'ai retrouvé ça :/sante-f7/piege-pour-vaincre-les-chenilles-proscessionnaires-t15158.htm?highlight=chenillesMais elles sont blanches celles-ci...Heureusement que tu les as trouvées avant eux... Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Invité Posté(e) le 23 juillet 2010 Chenilles ravageuses des crucifères cultivées Agdex : 252/625 Date de publication : 09/99 Commande no. 99-036 Dernière révision : 09/99 Situation : (En remplacement de la fiche no 96-138, qui porte le même titre) Rédacteur : Jim Chaput - spécialiste en lutte intégrée dans les légumes/MAAO Table des matièresDescriptionPiéride du chouFausse-arpenteuse du chouFausse-teigne des crucifèresBiologie Piéride du chouFausse-arpenteuse du chouFausse-teigne des crucifèresDommagesDépistage et lutte En Ontario, trois genres de chenilles causent des dégâts d'importance chez les crucifères cultivées : la piéride du chou, Artogeia rapae (L.), la fausse-arpenteuse du chou, Trichoplusia ni (Hübner), et la fausse-teigne des crucifères, Plutella xylostella (L.). Seule la piéride hiverne en Ontario, tandis que la fausse-arpenteuse du chou et la fausse-teigne des crucifères ne font leur migration vers l'Ontario qu'au printemps. Toutefois, preuve a été faite que la fausse-teigne des crucifères peut, dans certaines circonstances, hiverner dans le sud de l'Ontario et entraîner ainsi des infestations larvaires plus tôt qu'à l'habitude au printemps. Les rebuts de récoltes laissés en tas durant tout l'hiver constituent une source possible de larves, et l'on sait que la clémence de certains hivers permet une plus grande survie hivernale. Description Piéride du chou L'adulte est un papillon de couleur blanc cassé, aux ailes ornées de deux ou trois taches noires (figure 1). Le jour, on voit souvent voler ce papillon, dont l'envergure des ailes est d'environ 4,4 cm, dans les champs de choux ou aux alen-tours. Les femelles adultes peuvent pondre plusieurs cen-taines d'oeufs, qu'elles collent individuellement à la face in-férieure des feuilles. Au début, les petits oeufs en forme de balle de fusil sont blancs, mais ils virent graduellement au jaune jusqu'à leur éclosion (figure 2). Les larves sont des chenilles aux mouvements lents, d'un vert velouté, qui peu-vent grossir rapidement si la température est favorable. Une mince bande jaune longe le milieu de leur dos, et une autre bande jaune, segmentée, parcourt chacun des côtés (figu-re 3). Douées d'un excellent camouflage, ces larves mesu-rent environ 3 cm de long à maturité, moment où elles se transforment en pupe. Fuselée à une extrémité et de couleur vert pâle à brun pâle, la pupe, ou chrysalide, se fixe aux feuilles inférieures, aux bâtiments ou aux poteaux de clô-tures à l'aide d'un coussinet de soie (figure 4) Figure 1. Adulte de la piéride du chouFigure 2. Oeuf de la piéri-de du chou Figure 3. Larve de la piéri-de du chou| Haut de la page | Fausse-arpenteuse du chou Les adultes de cette fausse-arpenteuse sont des papillons nocturnes tachetés d'un brun grisâtre. Leurs ailes anté-rieures sont ornées d'un motif argenté caractéristique en for-me de « 8 », et une petite touffe de poils se dresse à l'arrière de la tête (figure 5). Le papillon, dont les ailes déployées atteignent environ 3,8 cm, est généralement nocturne, mais on le retrouve parfois au repos sous les feuilles de choux pendant la journée. Les femelles adultes pondent plusieurs centaines d'oeufs, qu'elles répartissent en général par petits groupes sur la bordure inférieure des feuilles. Les oeufs sont très petits, ronds et de couleur blanche (figure 6). Les jeunes larves éclosent au bout de quelques jours et commencent aussitôt à se nourrir du revers des feuilles. Vert pâle et mar-quées d'une bande blanche longeant chaque côté du corps, les larves se déplacent en formant des « boucles », ce qui les distingue des autres chenilles qui ravagent les crucifères (fi-gure 7). Elles mesurent 4 cm à maturité; elles traversent ensuite le stade pupal, à l'intérieur de cocons de soie, sou-vent tissés sur la plante-hôte (figure 8).| Haut de la page |Fausse-teigne des crucifères Les adultes sont de petits papillons nocturnes brun gri-sâtre, caractérisés par des motifs jaune ou crème en losanges qui apparaissent sur les ailes repliées (figure 9). De plus, le bout des ailes s'élargit en une frange de longs poils. Ces pe-tits papillons, d'un peu moins de 1 cm de long, volent rapi-dement d'une plante à l'autre à l'aube et au crépuscule. La femelle pond de très petits oeufs, ronds et jaunâtres, sur les deux faces des feuilles de la plante-hôte. Les larves sont de petites chenilles vert pâle aux extrémités légèrement fuselées (figure 10). Les larves de la fausse-teigne se distin-guent des autres chenilles ravageuses des crucifères par l'ha-bitude qu'elles ont de se tortiller rapidement et de se laisser tomber d'une feuille par un long fil de soie quand elles sont dérangées. À maturité, les larves atteignent une longueur de 8 mm; à la pupaison, elles fixent leur cocon délicat et lâ-chement tissé aux feuilles et à la tige de la plante-hôte (figure 11).| Haut de la page |Biologie Piéride du chou La piéride du chou hiverne au stade de pupe dans les champs de choux et aux alentours. Les adultes sortent entre la mi-mai et la fin mai, puis commencent à pondre leurs oeufs. Les papillons sont surtout actifs pendant les journées chaudes, ensoleillées et peu venteuses. Selon la tempéra-ture, les oeufs mettent de trois à sept jours à éclore. Les larves, qui commencent aussitôt à s'alimenter, arrivent à maturité en aussi peu que deux semaines environ. À maturité, les larves se transforment en pupes, puis en adultes, quelque deux semaines plus tard. En Ontario, les piérides du chou donnent naissance à trois générations par année.| Haut de la page |Fausse-arpenteuse du chou La fausse-arpenteuse du chou n'hiverne pas en Ontario, mais migre plutôt du sud. Les adultes arrivent en Ontario en juillet ou en août, selon la direction des vents et la tem-pérature. Les oeufs éclosent trois à cinq jours après la pon-te, et les larves s'alimentent aussitôt. Elles arrivent à maturité en deux semaines environ. Les papillons adultes sortent au bout de deux à trois semaines. Selon la date d'arrivée des adultes et les températures des mois d'août et de septembre, il peut y avoir une ou deux générations par année dans le sud de l'Ontario.| Haut de la page |Fausse-teigne des crucifères Pendant longtemps la fausse-teigne des crucifères ne pouvait pas hiverner dans le sud de l'Ontario. Cependant, on a maintenant la preuve que dans certains cas, lorsque l'hiver est doux, certaines fausses-teignes peuvent survivre en Ontario. La plupart des papillons adultes arrivent du sud pendant les mois de mai et juin et pondent leurs oeufs sur une grande variété de crucifères. De très petites larves éclosent au bout de cinq à dix jours; celles-ci se nourrissent des tissus des faces supérieure et inférieure des feuilles. Se-lon les températures, la maturation des larves et la pupaison durent de deux à trois semaines. En Ontario, il peut exister de deux à quatre générations par année.| Haut de la page |Dommages La piéride et la fausse-arpenteuse causent toutes deux de graves dommages en se nourrissant des feuilles de chou pommé, de chou-fleur, de brocoli, de chou de Bruxelles et d'autres crucifères (figure 12). La fausse-arpenteuse s'atta-que aussi à la laitue, au céleri, aux tomates et au rutabaga. Chez la fausse-arpenteuse et la piéride, les petites larves s'alimentent en général des tissus de la face inférieure des feuilles, alors que les larves plus âgées dévorent des portions plus importantes sur toute la plante, laissant des gros trous de forme irrégulière. En outre, de grandes quantités de dé-jections foncées risquent de tacher les pommes de chou-fleur et de rendre le chou et le brocoli invendables. On peut tolérer davantage de dommages sur le chou pommé destiné à la transformation, car plusieurs feuilles externes lui sont enlevées. Ces chenilles s'attaquent aussi à bon nombre de crucifères d'origine asiatique. Il n'est pas rare que des lar-ves de fausse-teigne causent des dommages importants au chou nappa (siew choy, da bai cai). Il arrive aussi parfois que le bok choy soit endommagé par des larves de la fausse-teigne du chou ou de la piéride du chou. À moins que la population ne soit élevée, les dommages causés par l'alimentation de la fausse-teigne des crucifères sur les feuilles externes du chou ont peu d'effet sur les rendements. Par contre, les pertes peuvent s'élever davan-tage si les larves se nourrissent des feuilles du centre avant la pommaison. Les dommages causés par les jeunes larves de la fausse-teigne ressemblent à de petites fenêtres de for-me irrégulière sur les feuilles. Les larves plus âgées laissent plutôt un agencement irrégulier de trous ressemblant à des trous de chevrotine (figure 13). Les larves de la fausse-teigne des crucifères creusent aussi des galeries dans les choux de Bruxelles en formation.| Haut de la page |Dépistage et lutte Quoiqu'on puisse utiliser les pièges à lumière noire et les pièges à phéromones pour évaluer les populations adultes de la fausse-arpenteuse du chou et de la fausse-teigne des cru-cifères, le prélèvement des larves sur les plantes donne une image plus exacte des risques de dommages. Il s'agit de compter les larves sur au moins 25 plantes choisies au ha-sard dans le champ en examinant minutieusement le des-sous des feuilles et en écartant les feuilles externes moins serrées. Des dégâts et des excréments récents révèlent la présence de larves plus âgées. Choisir 5 endroits dans cha-que bloc, et examiner 5 plantes à chaque endroit. Il faut aussi in-clure 2 endroits situés dans le pourtour du champ. Figure 4. Pupe (chrysalide) de la piéride du chou Figure 5. Adulte de la fausse-arpenteuse du chou Figure 6. Oeuf de la fausse-arpenteuse du chou Figure 7. Larve de la fausse-arpenteuse du chou Figure 8. Pupe (chrysalide) de la fausse-arpenteuse du chou Figure 9. Adulte de la fausse-teigne des crucifères Figure 10. Larve de la fausse-teigne des crucifères Figure 11. Pupe (chrysalide) de la fausse-teigne des crucifères Figure 12. Dommages causés au chou par la piéride et la fausse-arpenteuse Figure 13. Dommages caractéristiques des larves de la fausse-teigne des crucifères Figure 14. Larve de la fausse-arpenteuse du chou infectée par une maladie virale Figure 15. Cocons du parasite Apanteles glomeratus accolés à la larve morte de la piéride du chou Puisque chaque larve de fausse-arpenteuse peut causer plus de dom-mages que celle de la piéride ou de la fausse-teigne, un sys-tème d'unités larvaires a été élaboré pour mieux représenter les risques potentiels de dommages. Après avoir fait le compte des larves de chacune des trois espèces, il faut mul-tiplier le nombre de larves de la fausse-arpenteuse par 1, ce-lui des larves de piéride par 1/2 et le nombre de larves de fausses-teignes par 1/5. La somme de ces trois nombres correspond alors au nombre total d'unités larvaires (en équi-valents de larves de la fausse-arpenteuse). En divi-sant ce nombre par le nombre de plantes, on obtient le nom-bre d'unités larvaires par plante. Les seuils d'interventions recommandés sont : pour le chou, 0,3 unité larvaire par plante; pour le chou-fleur et le brocoli, 0,2-0,3 unité larvaire par plante. Une autre méthode, plus simple, consiste à calculer le pourcentage de plantes infestées par des chenilles : on compte le nombre de plantes qui portent au moins une che-nille parmi les 25 plantes choisies, et on multiplie ce nom-bre par 4 pour obtenir le pourcentage de plantes infestées. Les seuils d'intervention sont les suivants : pour le chou, 20-30 % avant la pommaison, 10-15 % après la pom-maison; pour le chou-fleur et le brocoli, 20-30 % avant la pommaison, 5-10 % après la pommaison. Il existe en Ontario un certain nombre de prédateurs naturels pour réduire les populations de fausses-arpenteuses, de piérides et de fausses-teignes, par exemple les carabes, les araignées, les larves de chrysopes et les oiseaux. La fausse-arpenteuse et la piéride sont toutes deux prédisposées à une maladie virale qui fait virer les chenilles au jaune ou brun laiteux quand elles meurent (figure 14). Les chenil-les mortes contribuent à la propagation de la maladie en li-bérant des particules virales au cours de leur décomposition.Figure 16. Parasite Diadegma insularis pondant des oeufs dans une larve de la fausse-teigne des crucifères En Ontario, la piéride du chou est aussi parasitée par plusieurs espèces d'insectes. Cotesia glomerata est une petite guêpe qui s'attaque aux larves de la piéride : à maturité, la larve de la guêpe sort de la larve morte de la piéride du chou pour se transformer en pupe (figure 15). Pteromalus puparum est une autre petite guêpe qui parasite les larves de la piéride et empêche le papillon adulte de se développer. La mouche Phryxe vulgaris parasite aussi les larves de la piéride dont elle finit par causer la mort pendant le stade pupal. Le principal parasite des larves de la fausse-teigne des crucifères est une petite guêpe, Diadegma insularis (figure 16). Diadromus plutellae (pupe) et Microplitis plutel-lae (larve) sont d'autres parasites de la fausse-teigne des cruci-fères qu'on trouve en Ontario. Il existe également d'au-tres mouches tachinaires et guêpes qui parasitent à un degré moindre, les larves de la fausse-arpenteuse, de la piéride et de la fausse-teigne. Le parasitisme chez la fausse-arpenteuse du chou est plus limité en Ontario en raison de son comportement migratoire. La lutte contre les chenilles ravageuses des crucifères comprend aussi l'utilisation de produits utilisés en pulvéri-sations foliaires. Parmi ces derniers, on retrouve des formu-lations commerciales d'une solution contenant Bacillus thu-ringiensis, bactérie inoffensive pour les ennemis naturels de ces ravageurs. Comme il est plus facile de combattre les petites (jeunes) larves que les grosses (plus agées), il faut s'assurer de bien humecter la face inférieure des feuilles pour obtenir de bons résultats. Au cours des dernières années, la fausse-teigne est devenue très difficile à combattre au moyen d'insecticides. On sait que certaines populations de la fausse-teigne des crucifères ont acquis une résistance élevée, de sorte que pendant les étés très chauds il est souvent peine perdue de les combattre. Aussi recommande-t-on fortement d'utiliser en alternance les différents insecticides préconisés. Il est essentiel d'utili-ser un pulvérisateur en bon état, de bien régler le volume et la pression de pulvérisation, et de s'assurer du bon état des buses. Il a été prouvé qu'on peut améliorer la lutte contre les chenilles ravageuses dans les cultures de crucifères en cir-culant à basse vitesse, et en utilisant un volume de pulvéri-sation d'au moins 50 gal/acre et une pression de 100-300 lb/po2. Pour la liste des produits recommandés, se réfé-rer à la publication 363F du MAAO, Recommandations pour les cultures légumières, ou à la publication 701F, Lutte intégrée contre les ennemis des cultures de crucifères en Ontario. Nous remercions le Secrétariat d'État pour sa contribution financière à la réalisation de la présente fiche technique. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Invité Posté(e) le 23 juillet 2010 L'écaille du séneçon (Tyria jacobaeae)Tyria jacobaeae est un papillon de nuit,La chenille a des couleurs caractéristiques (aposématiques) qui rebutent ses prédateurs : jaune avec une bande noire et une touffe de poils dorsale sur chaque segment.http://domenicus.malleotus.free.fr/a/ecaille_du_senecon.htm?reload_coolmenusintoxication pour le cheval :http://oatao.univ-toulouse.fr/1237/1/debouch_1237.pdfhttp://fr.wikipedia.org/wiki/Goutte_de_sang#Menaceon les trouve sur ce genre de fleurs :L'adonis autonnaleL'adonis d'été Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Invité Posté(e) le 23 juillet 2010 DescriptionForme ailée : de début juillet à septembre. Une seule génération.Dispersion géographique : Europe, Asie.Envergure : entre 3,5 et 4,5 cm.Biotope : landes, prés.Epoque du vol : avril à juillet.Chenille : jaune et noire (« zébrée »), on la trouve sur la jacobée.Hibernation : sous forme de chrysalide, dans le sol. ChenilleChenille de Tyria jacobaeae sur séneçon jacobéeLes chenilles se nourrissent de juillet à septembre des feuilles et des inflorescences du Séneçon Jacobée. En montagne, on les trouve aussi sur les pétasites et les tussilages.Malgré leurs vives couleurs, ces chenilles sont rarement capturées par les oiseaux car elles ont un goût très désagréable. Paradoxalement, les couleurs voyantes les protègent de leurs prédateurs. Les jeunes oiseaux attaquent ces chenilles, mais apprennent rapidement à associer les couleurs au goût désagréable et ne s'y attaquent plus par la suite.Un parfait équilibre naturel existe entre chenille et plante nourricière. L'année où ces chenilles pullulent, elles dévorent abondamment les séneçons qui fructifient mal. De ce fait, l'année suivante, il y aura peu de séneçons et donc peu de chenilles. Ainsi l'année suivante, de nouveau, la plante pourra reproliférer et nourrir les chenilles en abondance et ainsi de suite. MenaceLe papillon se raréfie dangereusement dans la plupart de ses stations. Ci dessus, les deux types de fleurs : périphériques à ligule etcentrales tubulaires Le séneçon jacobée ou senecio jacobaea est une plante vivace qui pousse dans les prés, les terrains vagues, les bords de bois ou de chemins ; il appartient à la famille des composées ou astéracées. Il passe une ou deux années sous forme de rosette de feuilles découpées en lobes pennés et plus ou moins crépus. La tige qui se forme ensuite peut atteindre 1,50 m de haut, sa section est cannelée, elle se ramifie souvent dans sa partie supérieures, ses feuilles sont sessiles et légèrement embrassantes. A partir de juin, la floraison attire le regard par son abondance et sa couleur jaune lumineux. a ce moment, les feuilles de la base sont en train de se faner. Les capitules sont réunis en inflorescence de type corymbe ; les bractées de l'involucre sont étroites et terminées par une pointe noire. Les fleurs périphériques du capitule sont prolongées par une ligule et les autres sont de type tubulaire. Les fruits sont des akènes munis d'une aigrette de soies. Chaque plante peut produire plusieurs dizaines de milliers de graines ce qui rend la dispersion efficace. Ce séneçon est une plante toxique pour les bovins et les chevaux chez qui elle peut provoquer une altération mortelle du foie. Cette plante est difficile à éliminer, la solution consisterait à faire appel à des insectes parasites naturels de ce séneçon comme par exemple le longitarsus jacobaeae qui élimine la plante à part les graines enfouies. Le senecio jacobaea s'hybride naturellement avec d'autres espèces comme - senecio aquaticus très voisin mais les bractées florales n'ont pas de pointe noire - senecio cineraria aux feuilles argentées et très découpées ; il est utilisé pour la décoration. Le genre senecio est riche d'environ 2000 espèces.http://isaisons.free.fr/senecio%20jacobaea.htm Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Invité Posté(e) le 23 juillet 2010 En fait la grande majorité de ces espèces sont souvent toxiques ou ont très mauvais goût, il faut laisser un mauvais souvenir au prédateur pour qu’il associe la parure avec une mauvaise expérience.La contrepartie c’est que certains individus se sacrifient involontairement pour sauver les autres. Il faut bien que le prédateur apprenne !Par contre, cette toxicité est rarement mortelle sinon, l’apprentissage serait impossible. Ce séneçon est une plante toxique pour les bovins et les chevaux chez qui elle peut provoquer une altération mortelle du foie. Les jeunes oiseaux attaquent ces chenilles, mais apprennent rapidement à associer les couleurs au goût désagréable et ne s'y attaquent plus par la suite. petite precision mais qui a son importance. la plante hote de la chenille goutte de sang est le seneçon jacobaeae, celui ci est TOXIQUE pour les animaux surtout les chevaux, mais cette chenille peut se rabattre sur le seneçon vulgaris qui lui n'est pas toxique pour les animaux. c'est bien sur ce dernier que je donne aux cochons d'indeje n'ai rien trouvé pour les chiens et chats !Chris Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites