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Article paru dans bulletin Coactions.... pour placer dans notre rubrique "Élevage Intensif....

"La bête à viande"

Poules caquetant et picorant dans la basse-cour, canards s'ébrouant joyeusement en sortant de la mare, cochons se rafraîchissant dans un bain de boue, agneaux broutant paisiblement, jeunes veaux allongés près de leur mère dans de vastes prés bordés d'arbres prodiguant ombre et fraîcheur... Ah ! Que voilà de belles scènes ! Cependant la réalité des animaux de ferme d'aujourd'hui est tout autre puisque la plupart d'entre eux subissent un enfer quotidien. Depuis une quarantaine d'années, des changements drastiques se sont produits autant dans l'agriculture canadienne que dans celle de plusieurs pays industrialisés. Le nombre d'éleveurs a diminué, pourtant chacun produit considérablement plus qu'auparavant. Pour les animaux, l'accélération de cette productivité est à l'origine de bien des souffrances. Des animaus sont sélectionnés pour produire moins de gras et davantage de viande. Ils sont modifiés génétiquement, inséminés artificiellemenet et à répétition, dopés aux hormones, aux antibiotiques et autres produits chimiques et plusieurs espèces sont encore nourries de farines animales. Dans ces fermes d'élevage intensif, à l'intérieur d'immenses bâtiments, les "bêtes de viande" végètent, coincées dans des cages de bois ou de métal alignées et superposées les unes au-dessus des autres, ou dans des stalles de contention, sanglées ou attachées, allongées leur vie durant sur des sols de béton ou bien debout les pattes sur du grillage, sans perchoir, sans paille ni endroit le moindrement confortable pour bouger, se reposer ou dormir.

Ces animaux sont entassés, enchaînés, par dizaines, par centaines ou par milliers, dans des espaces réduits et sombres ou sous des lumières artificielles pour influencer la production. Ils sont aussi victimes de mutilations diverses et cruelles effectuées sans anesthésie, comme la coupe du bec, de la queue, le rognage ou l'arrache des dents, la castration ou l'hystérectomie à froid. L'environnement malsain dans lequel ils sont maintenus est la plupart du temps pollué de méthane et d'ammoniac qui provoquent de sérieux problèmes respiratoires et autres problèmes de santé. La seule sortie, hors de ces lieux sordides, consistera à monter, malades ou blessés, dans des camions qui les conduiront parfois des jours durant, sans eau ni nourriture, vers la mort.

La bête à viande ... sa vie, sa mort

Au Canada, de plus en plus d'animaux sauvages inadaptés pour vivre dans des bâtiments clos ou en enclos, font partie des animaux élevés en captivité pour leur viande: autruches, émeus, nandous, bisons, gnous, sangliers, cerfs Rouge, cerfs de Virginie, wapitis, etc., alors que d'autres sont élevés de la même manière, ceux-là pour le plaisir des chasseurs et restaurateurs: faisans, dindons sauvages, antilopes, caribous, orignaux, mouflons, chèvres de montagne, etc. etc. etc. Certains poissons, et des mollusques et crustacés, sont également élevés dans des conditions artificielles totalement contraires à leur milieu naturel et à leurs besoins.

Encore au Canada, l'industrie du lait et de la viande commercialisent les animaux "tombés". - Il s'agit d'animaux blessés pendant le transport ou d'animaux qui, au départ de la ferme, étaient déjà blessés ou malades et trop faibles et incapables de se relerver en raison de leurs blessures. En cours de transport, il n'est pas rare non plus que des femelles en gestation donnent naissance à des petits qui se retrouvent écrasés sous le poids d'autres animaux. D'autres bêtes ont les membres cassés, des sabots déformés, déchirés, d'autres souffrent de graves blessures à la tête, aux yeux, à l'abdomen ou souffrent d'infections sévères et diverses. À leur arrivée à l'abattoir ou à l'encan, les animaux "tombés", sont débarqués des camions avec brutalité et sans ménagement. Traînés par la tête, happés par la peau du cou ou du dos, par les oreilles, les pattes ou la queue, piqués avec des aiguillons électriques pour les forcer à se relever, battus à coups de bâtons, frappés à coups de poings ou à coups de pieds, tirés par des chaînes ou poussés par des tracteurs, ils sont jetés vivants dans des conteneurs à vidanges ou abandonnés à leur sort, sans aucun soin, alignés ou empilés dans un coin par-dessus un tas d'autres animaux n'ayant pas survécu au transport.

Les animaux d'exploitations industrielles sont traités comme de la viande en devenir, comme de la matière première, de la marchandise. Ils ne sont pas considérés comme des êtres vivants pourvus de conscience, capables de ressentir la peur, l'inconfort, la souffrance. Contrairement à ce que cette industrie vopdrait laisser croire, le bien-être de ces animaux ne lui importe pas; ce qui compte c'est la production rapide et "bon marché", et la surveillance et le contrôle par les autorités et les vétérinaires pour assurer le bien-être de ces animaux sont inadéquats pour ne pas dire inexistants. Les quelques lois et règlements en vigueur ne sont ni respectés ni pris au sérieux. Même si au Canada, 650 millions animaux sont tués annuellement pour leur chair, aucune loi ne les protège contre la cruauté car ils sont considérés comme faisant partie de l'industrie canadienne. En toute légalité, cette industrie est responsable de grandes atrocités qui se répètent quotidiennement, derrière des portes closes ou accessibles à tous lors des encans, envers des êtres sensibles et vivants dont la malchance, dès la naissance, est d'être d'abord perçus et classifiés viande et source de revenus.


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L'homme a rendu les animaux malades et à leur tour les animaux le rendent aussi malade. Les consommateurs s'interrogent maintenant sur la qualité de leur nourriture et sur la façon dont celle-ci est produite. Leur confiance a été ébranlée par la maladie des vaches folles. Le SRAS, la fièvre aphteuse, l' e.Coli, les listérioses, les salmonelloses, les brucelloses, les organismes génétiquement modifiés, le clonage, la résistance aux antibiotiques, tout cela les inquiètent. On craint également la dégradation de l'environnement, la pollution des cours d'eau, l'utilisation des pesticides et insecticides dans l'agriculture, le fumier et le purin qui affectent la qualité de l'air. Les informations et reportages consacrés à ces actualités sont nombreux et leur diffusion auprès du public est importante mais d'autre part les grands quotidienes, les stations de radio et les chaînes de télévision compriment leurs effectifs jouralistiques afin de ne mettre en évidence et disposer d'espace que pour ceux qui défendent leur "bout de gras" ! - Est-il étonnant alors que l'on continue malgré tout à s'alimenter de viande sans trop faire le lien qui permettrait de remettre ses habitudes en cause ?


La bête à viande ... qui la défend ?

Pendant que les consommateurs se plaignent des coûts trop élevés pour se procurer leur chair animale ou se plaigent des odeurs de purin qui les dérangent, les grosses associations de producteurs et éleveurs d'animaux de "boucherie" expriment leur inquiétude quant à la rentabilité de leur industrie ou lesdifficultés d'exportations et ne savent plus comment se débarrasser des " surplus " d'animaux qu'elles ont elles-mêmes créés et exigent toujours plus d'aide financière de la part des gouvernements.

Bref, on parle beaucoup des animaux de " boucherie ", mais quand parlons-nous des mavaises conditions dans lesquelles on les maintient et des souffrances qu'on leur inflige ? Qui parle "pour" eux et se soucie de ce qu'ils endurent ? Qui dénonce les mauvais traitements auxquels ils sont confrontés tous les jours, par milliers, par millions ? Qui dénonce les transports d'animaux affamés, assoiffés, déshydratés ou transis de froid, dans des camions surchargés sillonant les routes pendant des heures interminables, voire des jours et des nuits ? Qui s'inquiète du sort de ces chevaux transportés des États-Unis ou d'Amérique du Sud dans des conditions effroyables jusqu'aux abattoirs du Québec ? De celui de ces milliers d'agneaux, de moutons, transportés les pattes ligotées dans des coffres de voiture et saignés vivants dans des sous-sols, des cuisines ou des garages résidentiels au nom de la tradition et de la religion ? Qui se soucie de ces millions d'oies et de canards gavés de force, le foie atrophié, rendus malades pour le plaisir des amateurs de ce foie en pâté ? Qui se préoccupent de ces veaux enfermés dans des caissons de bois et anémiés afin que leur chair reste blanche *, de ces truies prisonnières dans des stalles métalliques et dans l'impossibilité de bouger, de leurs porcelets qui naissent sur des sols durs et sans litière, de ces homards aux pinces attachées par des élastiques et exposés vivants, entassés les unes sur les autres dans de minuscules aquariums ? De ces milliers d'animaux qui à chaque année meurent brûlés vifs dans les incidents de leurs bâtiments concentrationnaires ?
La liste des souffrances infligées aux animaux consommés par les hommes est sans limite, et pourtant non seulement les souffrances des animaux de boucherie sont-elles étouffées mais malgré les nombreuses preuves accumulées par des scientifiques établissant des rapports directs entre l'alimentation carnée, certains cancers et plusieurs autres maladies, nos gouvernements continuent de débourser des millions de dollars pour promouvoir la consommation de chair animale et multiplier les publicités trompeuses !

Nous devons refuser l'inhumanité avec laquelle sont traités les animaux et refuser de consommer cette chair mutilée et martyrisée au nom du profit de l'industrie. Ces animaux ont droit à leur dignité et au bien-être. Et si la vie des animaux élevés en plein air est plus enviable, ils n'en connaîtront pas moins aussi le calvaire du transport, l'effroi et le choc de l'abattoir et il n'en restera pas moins injustifiable d'élever des êtres vivants pour s'approprier leur vie et les manger alors que tant d'alternatives alimentaires plus saines, savoureuses et éthiques, s'offrent à nous et nous permettent d'être solidaires de ces millions de bêtes innocentes atrocement sacrifiées au nom du profit et pour le plaisir des sens des consommateurs soigneusement maintenus dans leurs habitudes et leurs illusions.

* Au Canada, près de 300,000 bébés mâles sont élevés pour la viande de veau.

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Pour notre information personnelle (NE PAS PLACER DANS NOTRE TEXTE):

All Saskatchewan domestic game farm operators are licensed and regulated according to The Domestic Game Farm Animal Regulations under The Animal Products Act. The following species are farmed as domestic game farm animals: antelope, caribou, elk, fallow deer, moose, mule deer, reindeer, white-tailed deer, bighorn sheep, thinhorn sheep, mouflon sheep, musk deer, and mountain goats.

http://www.agr.gov.sk.ca/apps/lims/operators.asp

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Article paru dans bulletin Coactions.


Socialement considérés comme des loisirs, le piégeage et la chasse sportive sont des formes de violence pratiquées par plus de 8 300 trappeurs et 408 000 chasseurs québécois.


Au Québec, les chasseurs "sportifs", peuvent tuer en une seule période de chasse automnale, environ 100 000 orignaux,cerfs de Virginie, caribous et ours Noirs. Des centaines d'autres sont braconnés ou blessés ( captures acccidentelles) et meurent au bout de leur sang. Chaque chasseur du Québec a également le droit d'abattre 11 caribous par année dans la province, dont 8 durant l'hiver ! Mis à part cette chasse aux gros gibiers, tous les ans, des centaines de milliers d'autres animaux et oiseaux migrateurs périssent également sous les balles et les flèches des chasseurs ...

Quant à eux, les trappeurs du Québec massacrent en une seule saison, près de 300 000 animaux sauvages à fourrure, principalement des castors (Note 1) (l'emblème de notre pays), des rats musqués et des martres, mais aussi des ours Noirs, des loups, des renards,des lynx, des mouffettes, des marmottes, des pékans, lièvres, écureuils, et bien d'autres encore. (note 2) Au Québec, les exportations de fourrures sont de 160 millions de dollars, soit près de la moitié du revenu canadien d'exportation de fourrure !

Chaque année au Québec, des forêts sont déboisées pour implanter des pourvoieries récréo-touristiques afin d'attirer toujours plus d'adeptes de la chasse, de la pêche et du piégeage, et ce, des quatre coins du monde. De plus en plus d'Européens, mordus de la chasse sportive et amateurs de " trophées " déboursent des sommes énormes rien que pour pouvoir s'adonner à leur activité favorite au Québec. Toutes les armes sont permises: carabines, poudre noire, arbalètes, arcs, etc. La majorité des animaux est préalablement appâtée ce qui en facilite la capture et bien des centres de ce type garantissent même le "succès de chasse ou argent remis".

La faune du Québec est une source de revenu et le gouvernement prend tous les moyens pour rendre cette activité lucrative. Afin d'assurer une relève, des trappeurs et chasseurs du Québec, appuyés par le gouvernement, vont même dans certaines écoles primaires afin d'inciter de jeunes enfants québécois au trappage et à la chasse.

Pourtant, la faune québécoise et les animaux sauvages qui l'habitent font partie de notre patrimoine. Ils jouent un rôle important dans l'équilibre de notre écosystème et contribuent à eux seuls à attirer des chasseurs d'images qui rapportent eux aussi beaucoup d'argent au Québec.

Chacun de nous doit s'impliquer contre la destruction massive de notre patrimoine faunique ! Chacun de nous doit dénoncer le pillage sytématique de notre bien commun ! Il y va de l'intérêt de tous les êtres vivants de notre Belle Province !

Source: www.faunenatureenchiffres.gouv.qc.ca

(Note 1)Les millions de castors qui se trouvaient sur le territoire canadien devinrent le principal attrait commercial lorsque les premiers explorateurs francais et anglais arrivèrent au pays. A la fin du XVIIe siècle et au début du XVIIIe, le roi de France Henri IV établit une colonie française en Amérique du Nord et les commerçants en fourrures vendirent en Europe leurs peaux de castor qui servaient à confectionner des chapeaux haute forme. 100 000 peaux de castors étaient expédiées chaque année en Europe. Avant le début du commerce des fourrures, on estimait qu'il y avait six millions de spécimens au pays mais au milieu du XIXe siècle, le castor canadien était en voie d'extinction. Comme ces chapeaux haute forme devinrent moins à la mode, la demande de peaux se fit moins forte ce qui donna une chance aux castors de se repeupler.

Depuis 1975, le castor est l'emblème officiel du Canada.

(Note 2) 80% de toutes les fourrures vendues au Canada proviennent de fermes d’élevage (Selon Statistiques Canada, il y aurait au Québec, 42 fermes d'élevage de renards et 22 fermes d'élevage de visons. )

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Premier article: Je ne crois pas qu'il s'agissait du texte final, Do, car il y a une erreur dans la première phrase: les premières images "qu'ils leurs viennent" ... Je pense qu'on doit dire "qu'il leur vient" (= il leur vient des images à l'esprit).

Pour le dernier texte, j'ai l'original et je l'afficherai, mais je dois vérifier s'il est sur l'ordinateur de la maison ou du bureau. J'enlèverai ensuite celui-ci. De cette façon, nous n'aurons pas besoin de vérifier s'il y a des corrections à y faire. En même temps, j'afficherai l'article des animaux de compagnie et des rodéos.

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Voici l'article qui fût publié dans le Bulletin. Je ne sais pas s'il y a des différences avec celui affiché ci-haut.



CHASSE ET PIÉGEAGE AU QUÉBEC
Dominic Gauthier

Socialement considérés comme des loisirs,
le piégeage et la chasse sportive sont des formes de violence
pratiquées par plus de 8 300 trappeurs et 408 000 chasseurs Québécois.

Au Québec, les chasseurs "sportifs" peuvent tuer en une seule période de chasse automnale, environ 100 000 orignaux, cerfs de Virginie, caribous et ours Noirs. Des centaines d'autres sont braconnés ou blessés (captures accidentelles) et meurent au bout de leur sang. Chaque chasseur du Québec a également le droit d'abattre 11 caribous par année dans la province, dont 8 durant l'hiver ! Mis à part cette chasse au gros gibier, tous les ans, des centaines de milliers d'autres animaux et oiseaux migrateurs périssent également sous les balles et les flèches des chasseurs ...

Quant à eux, les trappeurs du Québec massacrent en une seule saison, près de 300 000 animaux sauvages à fourrure, principalement des castors (emblème de notre pays)(note 1), des rats musqués et des martres, mais aussi des loups, des ours Noirs, des renards, des lynx, des mouffettes, des marmottes, des pékans, lièvres, écureuils, et bien d'autres encore (note 2). Au Québec, les exportations de fourrures sont de 160 millions de dollars, soit près de la moitié du revenu canadien d'exportation de fourrure !

Chaque année au Québec, des forêts sont déboisées pour implanter des pourvoieries récréo-touristiques afin d'attirer toujours plus d'adeptes de la chasse, de la pêche et du piégeage, et ce, des quatre coins du monde. De plus en plus d'Européens, mordus de la chasse sportive et amateurs de " trophées " déboursent d'énormes sommes afin de pouvoir pratiquer leur activité favorite au Québec. Toutes les armes sont permises: carabines, poudre noire, arbalètes, arcs... La majorité des animaux est préalablement appâtée, ce qui en facilite la capture et bien des centres de ce type garantissent même le "succès de chasse ou argent remis".

La faune du Québec est une source de revenu et le gouvernement prend tous les moyens pour rendre cette activité lucrative. Afin d'assurer une relève, des trappeurs et chasseurs du Québec, appuyés par le gouvernement, vont même dans certaines écoles primaires afin d'inciter de jeunes enfants québécois au trappage et à la chasse.

Pourtant, la faune québécoise et les animaux sauvages qui l'habitent font partie de notre patrimoine. Ils jouent un rôle important dans l'équilibre de notre écosystème et contribuent à attirer des chasseurs d'images qui rapportent aussi beaucoup d'argent au Québec.

Chacun de nous doit s'impliquer contre la destruction massive de notre patrimoine faunique ! Chacun de nous doit dénoncer le pillage systématique de notre bien commun ! Il y va de l'intérêt de tous les êtres vivants de notre Belle Province !

Source: www.faunenatureenchiffres.gouv.qc.ca

(Note 1) Les millions de castors qui se trouvaient sur le territoire canadien devinrent le principal attrait commercial lorsque les premiers explorateurs français et anglais arrivèrent au pays. A la fin du XVIIe siècle et au début du XVIIIe, le roi de France Henri IV établit une colonie française en Amérique du Nord et les commerçants en fourrures vendirent en Europe leurs peaux de castor qui servaient à confectionner des chapeaux haut de forme. 100 000 peaux de castors étaient expédiées chaque année en Europe. Avant le début du commerce des fourrures, on estimait qu'il y avait six millions de spécimens au pays mais au milieu du XIXe siècle, le castor canadien était en voie d'extinction. Comme ces chapeaux haut de forme devinrent moins à la mode, la demande de peaux se fit moins forte ce qui donna une chance aux castors de se repeupler.

(Note 2) 80% de toutes les fourrures vendues au Canada proviennent de fermes d’élevage
(Selon Statistiques Canada, il y aurait au Québec, 42 fermes d'élevage de renards et 22 fermes d'élevage de visons.)

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Concernant le premier article Cé, il ne s'agit effectivement pas du texte final...
Le texte final de 3 pages a été publié dans le bulletin Coactions numéro 3 et je l'avais intitulé " La Bête à Viande." Je ne crois pas en avoir conservé de copies... Shit Si tu crois que nous pourrions l'utiliser dans notre page "Élevage Industriel", je pourrais toujours le recopier... (?)

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Certainement, Do que nous devrions l'utiliser mais ce n'est pas nécessaire de tout le réécrire mot à mot (si c'est ce que tu voulais dire quand tu disais le recopier?); il te suffira de faire les corrections à partir du bulletin sur le texte affiché ici. Cela te prendra moins de temps.

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OK Cé, je m'en occupe dans les prochains jours.... :lol:

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"La bête a viande" est un très beau texte.
Et la photo est très émouvante.

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