Animal 0 Posté(e) le 6 janvier 2005 P.S. les images seront moins grosses lorsque je ferai la mise en page.... ----------------------------------- LE PIÉGEAGE COUREUR DES BOIS DES SIÈCLES DERNIERS Bien avant l’arrivée des Européens, les Autochtones exploitaient la faune et la flore pour assurer leur subsistance. Ils chassaient, piégeaient et pêchaient en ne prenant que ce dont ils avaient réellement besoin pour vivre. Les échanges de pelleteries avec les Amérindiens remontent au XVième siècle, soit dès les premiers contacts établis avec les Européens. Déjà, en 1560 des expéditions régulières de navires européens venaient collecter des fourrures et, pour rentabiliser l'utilisation de ces navires, on y faisait également selon les régions, la pêche à la morue et la chasse à la baleine. Au XVIIième et XVIIIième siècles, l'Europe démontrant un besoin croissant de "produits de luxe", le commerce de la fourrure se développa rapidement et devint une activité très bien structurée. De jeunes commerçants français, provenant surtout de La Rochelle, Saint-Malo et Rouen, commencèrent à pénétrer dans la « Nouvelle-France » et à s'y installer. Commerçant avec les tribus autochtones, ces « coureurs des bois » agissaient comme de petits entrepreneurs. Ils finançaient des expéditions, achetaient des canots d'écorce et des vivres, et embauchaient pour chaque canot, des équipages de dizaines d'hommes: guides, interprètes, commis, etc. Partant pendant de longs mois, à l'aide de couteaux, de haches, de pièges et d'appâts, ils dépouillaient des forêts entières de leurs animaux et étaient constamment à la recherche de nouveaux territoires de chasse. La vie de ces "coureurs des bois" était ardue et plusieurs mouraient en forêt. De nombreux trappeurs, avides de liberté, optèrent pour un mode de vie moins contraignant et se mirent à travailler pour leur propre compte. Fabriquant leur canot d'écorce et leur cabane en bois rond, ils piégeaient et échangeaient leurs fourrures pour acquérir des biens qu'ils ne pouvaient produire eux-mêmes. À la fin du XVIIIième siècle, la demande accrue de fourrure et de cuir pour l'enveloppage des peaux, amena l'extinction quasi-totale du castor et du bison. COUREUR DES BOIS DES TEMPS MODERNES Difficile d'imaginer que des centaines d'années plus tard, la pratique du piégeage des animaux soit encore aussi répandue et l'industrie de la fourrure encore aussi présente... et pourtant... ! L'homme, continue de piéger, mutiler et tuer de façon barbare, des animaux qui ne font de mal à personne et dont le seul "défaut" se trouve sur leur dos. Toujours aussi insatiable, ce grand prédateur, tout en refusant de rompre avec ses traditions ne veut pas non plus perdre aucun des avantages que la civilisation lui offre. Si les pièges et les méthodes de piégeage ont bien peu changé depuis le début de la Colonie, les bateaux motorisés, aéronefs, hélicoptères, véhicules tout terrain et motoneiges ont depuis longtemps remplacé les canots d'écorce et permettent aujourd'hui aux trappeurs de se déplacer facilement et rapidement sur leurs divers sites de piégeage. Qu'il soit jeune ou à la retraite, le piégeage représente pour le "coureur des bois" moderne, non pas un moyen de subsistance mais un loisir qui lui procure un revenu supplémentaire. Au Canada, seule une infime proportion de la population piège et chasse pour se nourrir et subvenir à ses besoins. Du plus petit au plus gros, des millions d'animaux sauvages sont piégés tous les ans au Canada. Au Québec, c'est plus d'une vingtaine d'espèces animales qui est concernée: Ours noirs, ours polaires, lynx, loups, renards, coyotes, ratons-laveur, pékans, castors, rats musqués, martres, belettes, loutres, visons, mouffettes, lièvres, écureuils, etc. - s'il porte de la fourrure, aucun animal n'est épargné et de nombreux animaux peuvent être piégés sans qu'aucune limite de prises ne soit imposée aux trappeurs. Durant la seule saison de piégeage 2001-2002, 8 300 trappeurs ont piégé 263 700 animaux sur le territoire québécois. (1) Ces statistiques n'englobent pas ces milliers d'autres animaux capturés accidentellement qui n'ont aucune valeur commerciale et sont tout simplemement considérés comme des "déchets", ni de tous ces autres piégés et tués dans le cadre de "recherches scientifiques", ni même de tous ces autres piégés et tués par des braconniers. (2) LES MENSONGES POUR JUSTIFIER LE PIÉGEAGE Aujourd'hui, l'argument le plus populaire pour valoriser l'activité du piégeage est que les Autochtones en dépendent. Pourtant, ce ne sont pas ces derniers qui effectuent les prises les plus importantes puisque seulement 5% environ des animaux à fourrure piégés au Canada le sont par des Autochtones et que d'autre part, 80% de toutes les fourrures canadiennes proviennent de fermes d'élevage d'animaux à fourrure. De plus, les trappeurs autochtones ne pourraient pas vivre uniquement de la "trappe" puisque cette activité est saisonnière (3) et qu'elle ne leurs rapporte que quelques centaines de dollars par année. La situation difficile des peuples autochtones n'est pas liée à l'industrie de la fourrure, une preuve étant que les conditions de vie de ces peuples n'étaient guère meilleures pendant le "boum" que connut cette industrie dans les années "80". Cette industrie profite majoritairement à des négociants et à des détaillants, et, pour pouvoir continuer de remplir ses coffres, l'industrie se sert de ce prétexte en utilisant un stratagème publicitaire qui exploite la sympathie qu'éprouve la majorité des gens à l'endroit des peuples autochtones. Ceux à qui l'industrie de la fourrure profitent, clament haut et fort que le piégeage est un outil indispensable pour assurer une saine gestion de la faune - que le piégeage se fait de façon à maintenir les populations d'animaux à fourrure en équilibre avec leur milieu naturel. À cet égard, on peut d'ailleurs se demander, si le fait de manipuler des habitats fauniques pour rendre une espèce animale convoitée pour sa fourrure, plus prolifique, fait aussi partie d'une saine gestion de la faune !! L'industrie clame également que cette activité sert à contrôler des animaux nuisibles et à prévenir les maladies animales. Les trappeurs affirment que sans leurs interventions, les animaux mourraient de toutes façons. Pourtant, les chances qu'un animal faible et malade se retrouve dans le piège d'un trappeur sont minimes, si l'on considère que la majorité des animaux qui sont capturés sont des animaux qui sont actifs, donc sains et en santé. L'industrie de la fourrure tente également de faire croire que la fourrure est plus écologique que les vêtements synthétiques alors que les coûts énergétiques (dont plusieurs proviennent du prétrole) utilisés pour produire un vêtement à partir de la peau d'un animal sont 4 fois plus élevés que ceux utilisés pour produire un vêtement synthétique, et que pour confectionner des vêtements provenant d'animaux de fermes d'élevage d'animaux à fourrure, on utilise 66 fois plus d'énergie que pour la confection de vêtements synthétiques. Le piégeage ne contrôle pas non plus les maladies animales comme la rage par exemple, puisque lorsque des animaux sont éliminés sur un territoire donné, d'autres arrivent et se battent pour s'y établir, les morsures contribuant ainsi largement à propager la maladie. (4) De nombreux facteurs écologiques, tels la température, l'abondance ou le manque de nourriture ainsi que l'habilité naturelle des animaux à limiter leur population sont suffisants pour créer un équilibre entre les animaux et leur habitat. La nature n'a pas besoin de l'homme pour se gérer: elle le fait très bien sans son aide ! Plus l'homme empiète sur les territoires fauniques, plus les chances augmentent que des animaux sauvages, désorientés et en quête de nourriture, se retrouvent dans des quartiers habités. Des poubelles à découvert attirent parfois des animaux sauvages affamés. L'installation de pièges dans des milieux fréquentés par des humains est non seulement dangereuse, mais totalement inadmissible alors qu'il existe de nombreuses méthodes qui n'impliquent ni cruauté ni mort et qui permettent de déplacer ces animaux sauvages sur d'autres territoires. D'ailleurs, dans ce domaine, la tolérance et la compréhension devraient guider nos actions puisque nous sommes les seuls responsables de la destruction de nos forêts et conséquemment de l'habitat des animaux sauvages qui y habitent. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
catou1111 0 Posté(e) le 7 janvier 2005 Bonjour Do! J'imagine que tu as passé une bonne nuit... Tout comme Cé, j'ai lu d'une traite ton texte hier soir. Je ne me suis pas attardée aux menues fautes d'orthographes (je ne les ai même pas vues, sauf celles mentionnées hier relatives au nom francisé des pays) ou de ponctuation. J'ai donc décidé de faire une seconde lecture plus attentive afin de vous aider dans la correction. Pour chacune des parties de ton texte, je te transmets les petites corrections à apporter s'il y a lieu. XVII ième (coller ces deux parties) De jeunes commerçants Français ("f" minuscule) tribus Autochtones ("a" minuscule) Ils finançaient des expéditions, achetaient des canots d'écorce et des vivres et embauchaient pour chaque canot, des équipages de dizaines d'hommes: (mettre une virgule après "vivres") véhicules tout terrains (sans "s" à terrain) moto-neige (motoneiges) Au Québec, c'est plus d'une vingtaine d'espèces animales qui est concernée: Ours Noirs (ours noirs), ours Polaires (polaires), lynx, loups, renards, coyotes, ratons-laveur, pékans, castors, rats musqués, martres, belettes, loutres, visons, mouffettes, lièvres, écureuils, etc., (enlever la virgule après etc.) ni même de tous ces autres piégés et tués par des braconniers (2) (mettre un point avant l'appel de note) De plus, les trappeurs Autochtones ("a" minuscule) assurer une saine gestion de la faune- que le piégeage (un espace avant le tiret) un vêtement synthétique et que pour confectionner des vêtements provenant d'animaux de fermes d'élevage d'animaux (mettre une virgule avant "et") les maladies animales comme la Rage par exemple ("r" minuscule) De nombreux facteurs écologiques, tels la température, l'abondance ou le manque de nourriture ainsi que l'habilité naturelle des animaux à limiter leur population est (sont) suffisante (suffisants) pour créer un équilibre entre les animaux et leur habitat. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Animal 0 Posté(e) le 7 janvier 2005 Que c'est gentil de t'être donné le mal de corriger tout le texte !! UN IMMENSE MERCI CHÈRE CATOU. Ton aide est des plus appréciée! Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
catou1111 0 Posté(e) le 7 janvier 2005 Cela me fait plaisir chère Do. :) Je serai absente du forum jusqu'à lundi. Phil et moi partons demain matin faire un petit tour visiter mes parents et notre ami Stéphane Groleau (celui qui est allé s'enquérir de ce qui se faisait en agriculture végétalienne en Europe l'an dernier). Nous n'avons pas bougé d'un iota durant la période des fêtes pour toutes sortes de raisons: nos chats que nous ne pouvons confier à personne pour l'instant, nos convictions (nous ne partageons plus le repas des viandards à moins de force majeure), les distances assez longues à parcourir avec une vieille voiture pas très fiable et qu'il faut ménager. Mes salutations à vous toutes, Catou X X X Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Animal 0 Posté(e) le 7 janvier 2005 Bon voyage à vous deux et profitez bien de ces quelques jours de congé À très bientôt, do xxx p.s.. Saluez Stéphane pour moi, même si je n'ai pas encore eu la chance de faire sa connaissance Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
animo-aequoanimo 0 Posté(e) le 7 janvier 2005 Bon voyage à vous deux, Catou & Phil. Je me proposais de faire les corrections au texte de Do, alors qu'une fée est passée le faire :) Après avoir pelleté hier soir et encore aujourd'hui, je suis tombée au lit cet après-midi et je ne suis que de passage car je viens de me lever et maintenant c'est l'heure d'aller préparer le souper... Il me restera mes 2 ou 3 propositions de modification à faire, cequi devrait être dans le courant de la soirée. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Animal 0 Posté(e) le 7 janvier 2005 Coucou Cé, :D Je vais sûrement envoyer le texte au serveur (ce soir ou demain) même si tu veux y apporter quelques ajouts ou faire quelques changements, car ça sera plus simple pour moi de faire ces transformations directement dans le site plutôt que dans le forum.... Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
animo-aequoanimo 0 Posté(e) le 8 janvier 2005 Il n'y a pas de problème. Fais ce qui est le plus simple pour toi, Do. Est-ce que tu préfères que j'attende que ce soit sur le site ou je te fais part des suggestions sous les posts des parties concernées? De toutes façons, il faut que je relise pour les retracer. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Animal 0 Posté(e) le 8 janvier 2005 Allo Cé, Tu pourras le faire sous les posts et je viendrai les copier à partir de là- Ne te presse pas Cé - cette mise en page me prendra un peu plus de temps que j'avais prévu, car je dois emmener mon père faire l'épicerie aujourd'hui et qu'il y a une de me soeurs qui doit venir avec son mari aujourd'hui ou demain... A+ do xx Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
animo-aequoanimo 0 Posté(e) le 8 janvier 2005 Ah! Parfait Do, car il faut que je me mette aux sempiternelles tâches domestiques et ménagères :) Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
animo-aequoanimo 0 Posté(e) le 8 janvier 2005 Ok! Do, voici mes suggestions pour cette première partie. -De jeunes commerçants français, provenant surtout de La Rochelle, Saint-Malo et Rouen, commencèrent à pénétrer dans la « Nouvelle-France » et à s'y installer. Je pense qu'il vaudrait mieux dire venant de ou originaires de car il me semble que le verbe "provenir de" s'applique plutôt aux choses. Il me semble qu'on peut dire d'une personne qu'elle est originaire d'un lieu mais qu'on ne peut pas dire qu'elle provient d'un lieu. -Partant pendant de longs mois, à l'aide de couteaux, de haches, de pièges et d'appâts, ils dépouillaient des forêts entières... Partant pendant de longs mois, et à l'aide de couteaux, de haches, de pièges et d'appâts, ils dépouillaient des forêts entières... OU "Partant pendant de longs mois, ils dépouillaient à l'aide de couteaux, de haches, de pièges et d'appâts, des forêts entières..." -Qu'il soit jeune ou à la retraite, le piégeage représente pour le "coureur des bois" moderne, non pas un moyen de subsistance mais un loisir qui lui procure un revenu supplémentaire. Que le "coureur des bois" moderne soit jeune ou à la retraite, le piégeage ne représente pas pour lui un moyen de subsistance, mais plutôt un loisir qui lui procure un revenu supplémentaire. Cette phrase n'est pas non plus parfaite. Il faudra la revoir. De plus, les trappeurs autochtones ne pourraient pas vivre uniquement de la "trappe" puisque cette activité est saisonnière (3) et qu'elle ne leurs rapporte que quelques centaines de dollars par année. ...et qu'elle ne leur rapporte -À cet égard, on peut d'ailleurs se demander, si le fait de manipuler des habitats fauniques pour rendre une espèce animale convoitée pour sa fourrure, plus prolifique, fait aussi partie d'une saine gestion de la faune !! Je déplacerais plus prolifique à cet endroit de la phrase: À cet égard, on peut d'ailleurs se demander, si le fait de manipuler des habitats fauniques pour rendre plus prolifique une espèce animale convoitée pour sa fourrure, fait aussi partie d'une saine gestion de la faune !! -Pourtant, les chances qu'un animal faible et malade se retrouve dans le piège d'un trappeur sont minimes, si l'on considère que la majorité des animaux qui sont capturés sont des animaux qui sont actifs, donc sains et en santé. Est-ce que sain ne veut pas dire en santé? Il vaudrait peut-être mieux écrire tout à fait sains, ou préciser la différence ou si c'est pour accentuer écrire parfaitement sains et en santé. -L'industrie de la fourrure tente également de faire croire que la fourrure est plus écologique que les vêtements synthétiques alors que les coûts énergétiques (dont plusieurs proviennent du prétrole) utilisés pour produire un vêtement à partir de la peau d'un animal sont 4 fois plus élevés que ceux utilisés pour produire un vêtement synthétique, et que pour confectionner des vêtements provenant d'animaux de fermes d'élevage d'animaux à fourrure, on utilise 66 fois plus d'énergie que pour la confection de vêtements synthétiques. -(dont plusieurs proviennent du prétrole) = pétrole dont plusieurs sont dus à l'utilisation du pétrole ou résultent- de l'utilisation du pétrole ? et que, = mettre une virgule après que. -alors que les coûts énergétiques (dont plusieurs proviennent du prétrole) utilisés ... sont 4 fois plus élevés que ceux utilisés pour produire un vêtement synthétique { les coûts utilisés } A ces 2 endroits, il serait peut-être mieux de dire générés à la place d'utilisés. L'industrie de la fourrure tente également de faire croire que la fourrure est plus écologique que les vêtements synthétiques alors que les coûts énergétiques générés (dont plusieurs résultent de l’utilisation du pétrole) pour produire un vêtement à partir de la peau d'un animal sont 4 fois plus élevés que ceux générés pour produire un vêtement synthétique, et que, pour confectionner des vêtements provenant d'animaux de fermes d'élevage d'animaux à fourrure, on utilise 66 fois plus d'énergie que pour la confection de vêtements synthétiques. -D'ailleurs, dans ce domaine, la tolérance et la compréhension devraient guider nos actions Ne serait-il pas mieux de dire ici "nos actes" ? Dernière suggestion -L'homme, continue de piéger, mutiler et tuer de façon barbare... Peut-être qu'il serait mieux de dire primitive pour débuter et ne pas employer immédiatement le mot "barbare" afin d'emmener d'abord le lecteur à constater qu'effectivement le piégeage est barbare, car à cette étape-ci de l'introduction, on n'a pas encore décrit en quoi consistent ces méthodes justement barbares (?) Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Animal 0 Posté(e) le 8 janvier 2005 Allo Cé, Merci beaucoup pour tes suggestions qui sont tout à fait appropriées. Citation :Est-ce que sain ne veut pas dire en santé? Il vaudrait peut-être mieux écrire tout à fait sains, ou préciser la différence ou si c'est pour accentuer écrire parfaitement sains et en santé. En ce qui a trait aux mots "sain" et "en santé", j'ai vérifié dans mon dico et le mot "sain" veut dire: Qui a une constitution non viciée d'éléments morbides.... --- qui n'est point gâté.... qui contribue à la santé.... donc je crois qu'un animal peut être considéré comme "sain" s'il n'est pas blessé par exemple ... et en santé, s'il n'a pas de "maladie" .... (?) Qu'en penses-tu Cé ? Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
animo-aequoanimo 0 Posté(e) le 9 janvier 2005 Comme je n'avais jamais vu les 2 associés, je me suis posé la question, mais ça fait bien du sens, Do Je m'en vais maintenant lire la partie 2. A + :D Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites