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Animal

Bovins vivants du Canada exportés au Liban/Tunisie, etc....

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Saviez-vous qu'on envoyait des bovins et des génisses vivants (moins de 30 mois) au Liban, à St-Pierre-et-Miquelon et enTunisie pour abattage ???

http://www.inspection.gc.ca/english/anima/heasan/export/bovine/ha2149_e.pdf

Ces animaux doivent d'abord voyager par camion pendant des jours, puis ils sont embarqués sur des bateaux ... un calvaire qui doit durer plus d'une semaine, peut-être même 2.... !!!!!!!!!!!!!!!!! C'est tellement horrible!!!!!!!!! MadMadMadCrying or Very sadCrying or Very sadCrying or Very sad :evil: :evil:

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Dossier d'information- Consultations nationales sur le bétail non ambulatoire

http://www.inspection.gc.ca/francais/anima/heasan/transport/informationf.shtml#A5

L’Agence canadienne d’inspection des aliments a récemment conduit deux enquêtes nationales, non statistiques, qui se sont concentrées sur les postes d’inspection des installations d’abattage et des marchés aux enchères de tout le Canada. Une partie seulement de toutes ces installations soumises à l’inspection fédérale est représentée dans les études. Il s’agissait de se faire une idée générale de l’incidence des bovins et des porcs non ambulatoires acheminés vers les abattoirs et les marchés aux enchères soumis à l’inspection fédérale. Pendant l’année civile 2001, ces établissements ont reçu 7 382 bovins non ambulatoires, dont 89,8 % ont été classés de race laitière et 10,2 % ont été classés de boucherie. En 2001, le nombre total de bovins abattus dans les 31 abattoirs soumis à l’inspection fédérale a été de 3 235 517. Les données portent fortement à croire que la très grande majorité des bovins n’étaient pas ambulatoires à la ferme, tandis que moins de 1 % le sont devenus pendant le transport ou accidentellement. L’inspection a mené à la saisie de la carcasse de 37 % des animaux non ambulatoires de race laitière.

L’enquête sur les porcs de marché et les truies de réforme s’est concentrée sur 35 postes d’inspection dans tout le Canada (22 installations d’abattage et 13 marchés aux enchères et points de rassemblement). En deux mois, en 2003, on a inspecté 3 433 823 porcs et truies, parmi lesquels 4 684 se sont révélés non ambulatoires à leur arrivée (322 truies et 4 362 porcs de marché). Après l’inspection, il a fallu saisir 1 284 animaux non ambulatoires (47 truies, 1 237 porcs de marché). On a ensuite saisi partiellement 1 508 carcasses des animaux non ambulatoires (49 truies, 1 459 porcs de marché). Cela signifie que sur dix porcs non ambulatoires reçus dans les installations susmentionnés, il a fallu saisir au moins en partie la carcasse de six d’entre eux. D’après les données, les porcs sont devenus non ambulatoires en proportions à peu près égales à la ferme et pendant le transport. À la ferme, 1 547 porcs de marché et 117 truies étaient non ambulatoires. Dans les parcs de rassemblement, 32 porcs de marché et 2 truies se sont révélés être devenus non ambulatoires ; pendant le transport, 1 236 porcs de marché et 136 truies.

Outre les deux enquêtes susmentionnées, il n’y a à peu près pas de données canadiennes détaillées, si ce n’est les données se rapportant aux certificats vétérinaires délivrés conformément aux règlements de l’Ontario sur le transport du bétail non ambulatoire. En 1999, aux États-Unis, Roeber, Mies, Smith et al. (3) ont constaté que 1,5 % des bovins de race laitière et 0,6 % des bovins de boucherie reçus dans les installations auditées étaient non ambulatoires. 12,9 % des bovins de boucherie et 14,7 % de bovins de race laitière souffraient de boiterie grave. Grandin (4) a conclu que les vaches boiteuses risquent davantage de devenir non ambulatoires et il a observé qu’environ 10 % des vaches laitières représentent 90 % des « vaches couchées ». Speer, Slack et Troyer (5) mentionnent que, chaque année, aux États-Unis, 80 000 porcs de marché meurent pendant le transport. 70 % des pertes surviennent dans le camion et 30 % après l’arrivée à l’abattoir.

MadMadMadMadMadMadMadMadMad

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