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Animal

Chevreaux...

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Allo ma belle Cé, j'ai tenté à 2 reprises de t'envoyer ce message par mail, mais il m'est revenu les deux fois... Ché pas pourquoi !!!
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Je crois que tu auras toutes les informations nécessaires ma belle Cé...
DÉ COU RA GEANT !! OU PLUTÔT DÉCOU RAGEANT!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

http://www.bergerechevrier.qc.ca/via_chevreau.html
LA FÉDÉRATION DES PRODUCTEURS D'AGNEAUX ET DE MOUTONS DU QUÉBEC S'EN OCCUPENT !!!


À chaque année, au printemps et à l'été, les brebis donnent naissance à leurs agneaux et les chèvres, à leurs chevreaux. Environ 4 à 5 mois plus tard les agneaux et chevreaux de consommation sont disponibles.
Malheureusement, nous ne pouvons pas tous garder les bébés de nos mères puisque les troupeau prendrait une proportion inimaginable. Nous devons donc sélectionner les rejetons de nos meilleures femelles laitières et utiliser les autres pour la consommation de la viande.
Toutefois, comme nous aimons beaucoup nos animaux, même ceux qui serviront à nous nourrir et donc qui ne seront avec nous qu quelques mois, auront droit à tout autant d'attention et de caresses. Ils n'auront pas d'antibiotique sauf s'ils risquent de mourrir
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voir aussi

Syndicat des producteurs de chèvres du Québec

http://www.chevreduquebec.com/accueil/

Les biquettes sont branchées !
On en entend de plus en plus parler... Faites connaissance avec le monde de la chèvre et découvrez la passion qui anime les producteurs de chèvres du Québec. Vous découvrirez que les produits de la chèvre se démarquent par leur côté santé, leur goût raffiné ou leur texture soyeuse... En fait, cet animal curieux et sympathique aide les producteurs à vous fournir 3 types de produits : le lait, la viande et la fibre mohair. Bonnes découvertes et n’hésitez à venir nous visiter régulièrement : le site évoluera, tout comme la production caprine !

et

http://www.agrireseau.qc.ca/default.aspx?operator=apropos

et aussi:

Visite d'une chevrerie
Journaliste : Errol Duchaine
Réalisateur : Denis Roberge 30 mai 2004

« C'est un marché en pleine expansion. Le produit final, le produit laitier de la chèvre, est excellent pour la santé. C'est reconnu pour être très bon, en plus d'être bon au goût. Je pense qu'il y a un bon avenir de ce côté. »





Louis Jolin et Micheline Larrivée sont d'anciens éleveurs de vaches laitières reconvertis dans l'élevage de chèvres. Ils ont un troupeau de 600 animaux, dont environ 400 chèvres laitières. Pour garantir que chacune sera en gestation annuellement, ils ont aussi une douzaine de boucs.

Les accouplements ont lieu à l'automne et au printemps. Les femelles ont leurs petits après cinq mois de gestation. Par la suite, elles donnent du lait pendant 10 mois, comme les vaches. Après deux mois de tarissement, le cycle recommence.

La besogne est énorme, pour seulement deux personnes. Pour en venir à bout, il faut avoir une très bonne organisation.


« Étant donné qu'il y a beaucoup d'animaux, ça prend un système qui roule rapidement. Il y a l'alimentation, la gestion des mises bas, la naissance des bébés. C'est beaucoup de travail. »

- Micheline Larrivée




La traite

Les bêtes doivent être traites deux fois par jour.

Pour permettre à Micheline de s'acquitter seule de cette tâche, le couple a acheté un carrousel importé d'Espagne, le seul dans son genre au Québec, qui permet de traire les animaux de deux à trois fois plus rapidement que l'équipement traditionnel.

L'alimentation

Louis et Micheline ont mis à profit les connaissances et l'équipement hérités de leurs années d'élevage de vaches laitières. Ils nourrissent les chèvres avec le même aliment qu'ils donnaient aux bovins : un peu de foin sec, mais aussi de la nourriture humide. Ce mélange complet de grains, de suppléments alimentaires et d'ensilage de foin et de maïs doit être de très bonne qualité pour que les chèvres n'attrapent pas de maladies.

Les naissances

Des centaines de cabris naissent chaque année sur la ferme, une quinzaine par jour, en moyenne, dans la période de mise bas. Quelqu'un doit être là tout le temps pour surveiller les chèvres et prendre soin du cabri naissant.

Il doit être réchauffé sous les lampes, bien essuyé et amené en pouponnière.


Louis et Micheline gardent les femelles dans leur troupeau. Les mâles, eux, partent vers une autre ferme, où on les engraisse pour la viande.

Les éleveurs préfèrent ne pas s'occuper du travail d'engraissement, qui exige beaucoup plus d'espace et de main-d'œuvre. Ils se concentrent plutôt sur la production de lait, en espérant qu'un jour, leur fils viendra, à son tour, se joindre à l'équipe.

http://www.radio-canada.ca/actualite/semaineverte/ColorSection/vieRurale/040530/chevres.shtml

Voir aussi exportation de chèvres vivantes:

Commerce

Aux termes de l'ALENA, les exportations canadiennes de viande de chèvre à destination du Mexique sont assujetties à un droit d'importation de 1 % en 2002 et bénéficieront d'un accès en franchise de droits en 2003. Les produits du lait de chèvre canadien sont exclus de tout traitement préférentiel en vertu de l'ALENA

http://sea.agr.gc.ca/latin/f3425.htm

voir aussi: L'industrie de la chèvre -Un portrait canadien

http://www.dairyinfo.gc.ca/pdf_files/goatprofilef.pdf

En 2001, le Québec a déclaré 11 536 chèvres laitières réparties dans 175 fermes, soit 42 p. 100 du

cheptel canadien indiqué dans le Recensement de l’agriculture. Cependant, le nombre d’élevages de

chèvres laitières s’élevaient à 90 et comprenaient environ 10 500 chèvres.3 Le Québec compte

actuellement sept transformateurs détenteurs d’un permis fédéral, sans compter les petits producteurs

qui transforment le lait à la ferme même.

Parallèlement à l’expansion du secteur dans la province, la production de lait ne cesse d’augmenter (voir

figure 5). Avec sa plus forte hausse en 1996, qui a alors presque doublé, la production de lait a crû de

plus de 300 p. 100 depuis 1994, atteignant 5,8 millions de litres en 2001. Cela représente un bond de

30 p. 100 par rapport à 2000, ou de 1,3 million de litres. Depuis août 2002, le prix de base pour le lait de

chèvre a été fixé à 91,31 $/hl auquel s’ajoute une prime de 7 $/hl en hiver. Les prix subissent des

pressions à la baisse sous l’effet de la concurrence livrée à la fois par l’Ontario et la France.

et pour terminer, cet article:

Premier cas de chèvre folle


Mise à jour le vendredi 28 janvier 2005 à 14 h 46
La maladie de la vache folle a été identifiée, pour la première fois, chez une chèvre.


La Commission européenne a confirmé, vendredi, qu'une chèvre, abattue en France en 2002 avait contracté l'encéphalopathie spongiforme bovine.
Alain Franco rapporte que la Comission européenne tente de se faire rassurante

Les chercheurs jugeaient possible qu'un animal, autre qu'un bovin, puisse contracter la maladie, mais c'est la première fois que le phénomène est observé.


Le troupeau de 300 têtes auquel appartenait l'animal malade avait aussitôt été abattu et retiré de la chaîne alimentaire. En France, le cheptel compte 1 200 000 chèvres.

L'alimentation des ruminants au moyen de farines de viande et d'os est généralement considérée comme le vecteur de transmission de l'ESB. La Commission européenne a souligné que l'interdiction de nourrir l'ensemble des ruminants avec des farines animales a été étendue à tous les animaux d'élevage en janvier 2001.

Bruxelles propose toutefois d'intensifier les tests pour déterminer si le cas confirmé vendredi est un incident isolé ou non.

Le délai entre l'abattage de la chèvre et la confirmation de sa contamination s'explique par le fait que les tests comportaient un essai biologique sur souris qui demande deux ans.

Trois autres cas suspects sont actuellement en dernière phase d'examen.

http://www.radio-canada.ca/nouvelles/Santeeducation/nouvelles/200501/28/002-chevrefolle.shtml

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