Chasse au phoque- VOIX DES ANIMAUX- NOUVELLES EN BREF

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Voila où j'en suis ce soir ma belle Cé!!!!!! C'est peut-être trop long (?) .. Il me resterait à finaliser le texte, en demandant aux membres de signer la lettre ci-jointe et la faire parvenir à l'adresse indiquée sur cette lettre
....
Je vais la relire demain, car je ne vois plus clair!! N'hésites pas à me faire tes commentaires ma belle Cé, ... qu'ils soient bons ou mauvais...
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La voix des Animaux - Nouvelles en Bref

Chasse aux phoques du Canada

Le 3 février 2003, le Ministère des Pêches et Océans Canada annonçait dans son plan triennal, que le quota de la chasse aux phoques serait augmenté à 975 000 en trois ans, sur une population de phoques qu’il évalue à 5,2 millions. Selon ce ministère, l’objectif est d’abaisser la population à 3,8 millions pour la ramener à un niveau moins susceptible de nuire au rétablissement des stocks de poissons, en particulier la morue. De nombreuses études scientifiques n’ont pourtant pas permis de conclure que les phoques sont responsables de la raréfaction des poissons de fond mais en viennent plutôt à la conclusion que la surpêche en est la cause. Des scientifiques, écologistes et groupes de défense animale se posent des questions sur la viabilité du niveau actuel des prises, de même que sur les motivations réelles de l’intensification de cette chasse, considérant d’autant plus, qu’au Canada, seule une infime minorité de gens chassent le phoque pour s’en nourrir et s’en vêtir.

Il semble de plus en plus évident que l’intensification de la chasse aux phoques de ces dernières années, sert à faire fonctionner à pleins régimes, des usines de délardage pour l’extraction d’huile de phoques – usines, éparpillées ici et là, au Québec et ailleurs au Canada, et grassement subventionnées par les gouvernements. Ces usines agissent à titre d’intermédiaires entre les chasseurs de phoques et les tanneurs, mais aussi avec les laboratoires de recherches qui tentent constamment de trouver de nouveaux débouchés pour les produits issus du phoque, produits principalement axés vers le marché de l’exportation. Le 14 mars dernier, on apprenait d’ailleurs qu’une entente venait d’être conclue entre une compagnie pharmaceutique canadienne située à Terre-Neuve, la North Atlantic Biopharma et une entreprise chinoise, le Guangzeng Pharmaceutical Group, qui ont mis au point une solution préparée à base d’huile de phoques, un soluté qui sera destiné aux patients qui se remettent d’une chirurgie dans des hôpitaux asiatiques. L’entreprise Guangzeng investira de 8 à 10 millions de dollars afin de compléter des tests cliniques sur des animaux, (un processus qui pourrait durer de 3 à 4 ans) en échange des droits de distribution exclusifs. Dès la première année, la vente de ce produit, pourrait se chiffrer à 180 millions de dollars.

Pour continuer le massacre des phoques et apaiser l’inquiétude des citoyens, les chasseurs, appuyés par les autorités gouvernementales, affirment que la chasse au phoque a évolué depuis les années l970, lorsqu’il était encore permis d’abattre les blanchons, mais ils évitent bien sûr de mentionner que les blanchons commencent à perdre leur fourrure blanche dès leur douzième jours de vie, et que ces bébés de quelques semaines à peine, qui n’ont ni encore commencé à s’alimenter de nourriture solide ou même ni encore appris à nager, constituent à eux seuls pour près de 96% de toutes les captures annuelles.

Malgré quelques modifications récentes apportées par le Ministère des Pêches et Océans Canada qui imposaient entre autres des techniques pour mieux déterminer que l’animal soit bien mort avant de le saigner, malgré que ce Ministère ait rendu illégal l'abattage pour le prélèvement de certaines parties du corps seulement (ie. nageoires, pénis), malgré le fait qu’il ait instauré une courte session d’apprentissage des chasseurs avant qu’ils puissent obtenir leur permis de « chasse professionnelle », malgré le fait qu’une surveillance accrue sur les sites de chasse devait assurer le respect des règlements, cette chasse demeure toujours aussi horrible et hors de contrôle. L’étendue des territoires de chasse est tellement vaste et le nombre de surveillants tellement limité, que ces règlements ne peuvent pour ainsi dire pas être appliqués.

Tous les ans, de nombreuses vidéos et photos prises par des groupes de défense animale, viennent d’ailleurs confirmer que les méthodes pour tuer les phoques n’ont pas changé et que près de 50% de tous les phoques abattus sont d’abord blessés à coups de gourdins et/ou d’hakapiks, puis écorchés alors qu’ils sont encore en vie.

Depuis le l5 mars dernier, de nombreuses manifestations ont eu lieu dans une quarantaine de pays, des milliers de lettres de protestation et de pétitions ont été envoyées au gouvernement canadien, mais dès l’aube du 29 mars 2005, tel que prévu, la chasse aux phoques s’est ouverte dans le golfe du Saint-Laurent, à une vingtaine de milles marins à l’est des Iles-de-la-Madeleine (Québec) et une flottille de 70 navires de pêche attendait le troupeau de jeunes phoques. La température pluvieuse et les glaces fondantes ont eu raison d’un de ces navires de pêche qui a coulé, et d’autres navires se sont retrouvés en difficulté et ont dû être secourus par la Garde côtière. Les chasseurs du Québec ont quand même réussi en 5 jours, à atteindre le quota qui leur était alloué, soit l'abattage de
89 000 phoques.

Comme à tous les ans, de nombreux journalistes et de nombreux représentants de diverses associations de défense animale filment et documentent la chasse au phoque. Cette année encore, IFAW est présent, de même que la HSUS (Humane Society of the United States) ainsi que l’équipage du navire le Sea Shepherd. Depuis l’ouverture de la chasse, il y a quelques jours seulement, plusieurs altercations ont déjà eu lieu entre chasseurs de phoques et défenseurs des animaux. Des chasseurs de phoques auraient perdu patience lorsque trois hélicoptères transportant des opposants à la chasse et des journalistes se sont posés sur la glace près de leur navire. Des chasseurs ont agressé verbalement une douzaine de protestataires et d'observateurs, parmi lesquels des membres du Fonds international pour la protection des animaux (IFAW). Les manifestants, en possession de permis d'observation les obligeant à demeurer à au moins 10 mètres des chasseurs, ont alors été approchés par des chasseurs agitant des gaffes, (perches munies d'un crochet qui servent à tuer les phoques). Une motoneige transportant deux chasseurs s'est même dirigée vers les manifestants, avant de s'en éloigner au tout dernier instant. Des chasseurs ont tiré des coups de feu dans les airs, d’autres ont tenté de faire fuir les observateurs en les menaçant de leurs gourdins. Par voie de communiqué, l'IFAW a indiqué que l'incident avait été filmé par une équipe de la télévision italienne. Le défenseur des droits des animaux Paul Watson, capitaine du Farley Mowat, navire de la Sea Shepherd Conservation Society et son équipage, ont également été agressés par des chasseurs de phoques. Des agents du ministère fédéral des Pêches et des Océans ont même arrêté 11 collègues de M. Watson, leur reprochant de ne pas avoir respecté la zone tampon établie. Les 11 membres de l’équipage ont finalement tous été remis en liberté.

La chasse reprendra le 12 avril sur la côte est de Terre-Neuve, où plus de 235 000 phoques seront capturés.


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p.s.: Pour les membres, nous pourrions peut-être utiliser une de nos anciennes lettres que nous n'aurions qu'à légèrement modifier...

[animo-aequoanimo 0]

D'accord Do, je ne peux la lire maintenant car la routine du bureau du lundi matin et du début de mois m'en empêche pour le moment.... A + ma belle Do. Je te reviens vers les 11 hres.

[Animal 0]

Citation :

A l'avant dernier paragraphe, je ne comprend pas non plus ceci : .... Est-ce qu'on peut enlever ces mots ?afin de protéger chasseurs et protestataires

OK Cé, je l'ai enlevé, car ça n'est pas vraiment nécessaire...

[animo-aequoanimo 0]

Finalement j'avais cru comprendre qu'il s'agissait de la ligne fictive de séparation et j'ai changé "protéger" pour "séparer". Dis-moi si c'est correct sinon j'enlèverai tout simplement ce bout de phrase.

J'ai mis le document sur le canevas du bulletin et il fait une page sauf que le caractère n'est pas très gros mais si je grossis les caractères, je me retrouve avec 5 ou 6 lignes en trop, ce qui ne ferait pas de sens de les mettre ces quelques lignes seules sur une autre page. Finalement, il resterait donc encore 3/4 de page pour des nouvelles... je ne sais pas si buteo s'occupera vraiment de celles sur la vivisection puisqu'elle n'en a encore proposé aucune depuis les 2 fois où tu lui en as parlé... c'est embêtant...

[Animal 0]

Citation :

Finalement j'avais cru comprendre qu'il s'agissait de la ligne fictive de séparation et j'ai changé "protéger" pour "séparer". Dis-moi si c'est correct sinon j'enlèverai tout simplement ce bout de phrase.

C'est parfait ma belle Cé !

Citation :

J'ai mis le document sur le canevas du bulletin et il fait une page sauf que le caractère n'est pas très gros mais si je grossis les caractères, je me retrouve avec 5 ou 6 lignes en trop, ce qui ne ferait pas de sens de les mettre ces quelques lignes seules sur une autre page. Finalement, il resterait donc encore 3/4 de page pour des nouvelles... je ne sais pas si buteo s'occupera vraiment de celles sur la vivisection puisqu'elle n'en a encore proposé aucune depuis les 2 fois où tu lui en as parlé... c'est embêtant...

Je ne sais pas trop pour buteo Cé et ça me gêne de lui redemander à nouveau... Ça m'a tout l'air qu'on ne pourra pas trop se fier sur elle... Pour l'instant, elle a l'air "boquée" elle aussi sur l'histoire du pape et de l'homophobie..
Ce que je pourrais faire, serait de rajouter un texte sur le rapport que Greenpeace a rendu public le mois dernier et qui démontre "que les données scientifiques utilisées par le gouvernement canadien pour justifier la chasse commerciale aux phoques sont inexactes, incomplètes et désuètes. Le rapport conclut que la seule solution écologiquement et scientifiquement justifiable est de suspendre immédiatement toute chasse commerciale." ... (?)

[animo-aequoanimo 0]

Non, ça ne sert à rien de lui redemander, Do, c'est seulement qu'il serait bon de savoir si elle ne s'en chargera pas car à ce moment on ne se fierait justement pas sur ça. Ça me semble bien intéressant ce que tu veux faire et comme ça fait 6 jours que tu lui as (re)demandé pour les nouvelles et qu'elle ne nous tient pas du tout au courant depuis ce temps, je suppose qu'on peut présumer qu'elle n'en fera pas ????

[Animal 0]

OK Cé ! Peux-tu me dire, combien de paragraphes ça prendrait à peu près pour faire 3/4 de page ??

[animo-aequoanimo 0]

Pour te donner une idée, Do, voici un exemple avec le compte-rendu. Ça peut être plus ou moins: je peux réduire ou augmenter le caractère en fonction de la longueur du document et du nombre de paragraphes.
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Chasse aux phoques du Canada

Le 3 février 2003, le Ministère des Pêches et Océans Canada annonçait dans son plan triennal, que le quota de la chasse aux phoques serait augmenté à 975 000 en trois ans, sur une population de phoques qu’il évalue à 5,2 millions. Selon ce ministère, l’objectif est d’abaisser la population à 3,8 millions pour la ramener à un niveau moins susceptible de nuire au rétablissement des stocks de poissons, en particulier la morue. De nombreuses études scientifiques n’ont pourtant pas permis de conclure que les phoques sont responsables de la raréfaction des poissons de fond mais en viennent plutôt à la conclusion que la surpêche en est la cause. Des scientifiques, écologistes et groupes de défense animale se posent des questions sur la viabilité du niveau actuel des prises, de même que sur les motivations réelles de l’intensification de cette chasse, considérant d’autant plus, qu’au Canada, seule une infime minorité de gens chassent le phoque pour s’en nourrir et s’en vêtir.

Il semble de plus en plus évident que l’intensification de la chasse aux phoques de ces dernières années, sert à faire fonctionner à pleins régimes, des usines de délardage pour l’extraction d’huile de phoques – usines, éparpillées ici et là, au Québec et ailleurs au Canada, et grassement subventionnées par les gouvernements. Ces usines agissent à titre d’intermédiaires entre les chasseurs de phoques et les tanneurs, mais aussi avec les laboratoires de recherches qui tentent constamment de trouver de nouveaux débouchés pour les produits issus du phoque, produits principalement axés vers le marché de l’exportation. Le 14 mars dernier, on apprenait d’ailleurs qu’une entente venait d’être conclue entre une compagnie pharmaceutique canadienne située à Terre-Neuve, la North Atlantic Biopharma et une entreprise chinoise, le Guangzeng Pharmaceutical Group, qui ont mis au point une solution préparée à base d’huile de phoques, un soluté qui sera destiné aux patients qui se remettent d’une chirurgie dans des hôpitaux asiatiques. L’entreprise Guangzeng investira de 8 à 10 millions de dollars afin de compléter des tests cliniques sur des animaux, (un processus qui pourrait durer de 3 à 4 ans) en échange des droits de distribution exclusifs. Dès la première année, la vente de ce produit, pourrait se chiffrer à 180 millions de dollars.

Pour continuer le massacre des phoques et apaiser l’inquiétude des citoyens, les chasseurs, appuyés par les autorités gouvernementales, affirment que la chasse au phoque a évolué depuis les années l970, lorsqu’il était encore permis d’abattre les blanchons, mais ils évitent bien sûr de mentionner que les blanchons commencent à perdre leur fourrure blanche dès leur douzième jours de vie, et que ces bébés de quelques semaines à peine, qui n’ont ni encore commencé à s’alimenter de nourriture solide ou même ni encore appris à nager, constituent à eux seuls pour près de 96% de toutes les captures annuelles.

Malgré quelques modifications récentes apportées par le Ministère des Pêches et Océans Canada qui imposaient entre autres des techniques pour mieux déterminer que l’animal soit bien mort avant de le saigner, malgré que ce Ministère ait rendu illégal l'abattage pour le prélèvement de certaines parties du corps seulement (ie. nageoires, pénis), malgré le fait qu’il ait instauré une courte session d’apprentissage des chasseurs avant qu’ils puissent obtenir leur permis de « chasse professionnelle », malgré le fait qu’une surveillance accrue sur les sites de chasse devait assurer le respect des règlements, cette chasse demeure toujours aussi horrible et hors de contrôle. L’étendue des territoires de chasse est tellement vaste et le nombre de surveillants tellement limité, que ces règlements ne peuvent pour ainsi dire pas être appliqués.

Tous les ans, de nombreuses vidéos et photos prises par des groupes de défense animale, viennent d’ailleurs confirmer que les méthodes pour tuer les phoques n’ont pas changé et qu'au moins 42 % de tous les phoques abattus sont d’abord blessés à coups de gourdins et/ou d’hakapiks, puis écorchés alors qu’ils sont encore en vie.

Depuis le l5 mars dernier, de nombreuses manifestations ont eu lieu dans une quarantaine de pays, des milliers de lettres de protestation et de pétitions ont été envoyées au gouvernement canadien...

[Animal 0]

OK ma belle Cé, je vais m'occuper de préparer ce texte... Ça sera encore sur la chasse aux phoques, mais comme nous sommes en pleine période de cette chasse immonde, nos articles sur le sujet seront bien "de saison"... Je vais tenter de faire le plus vite possible...


Bye ma belle Cé,
do XXXXXXXXXXXX

[animo-aequoanimo 0]

Ne te presse pas, Do car j'entamerai ensuite le feuillet pour la SMAL. Il me reste encore un peu de travail à faire sur le bulletin d'ici là mais je crois que je devrais avoir terminé le bulletin d'ici 2 jours. S'il ne reste ensuite que ton texte à ajouter dans son espace, ce ne sera pas un problème. Il me faudrait terminer le feuillet d'ici la fin de semaine car je dois en faire parvenir des copies à Roselyne de Drummondville qui va en distribuer pour nous par là-bas.

[Animal 0]

Tous les ans, de nombreuses vidéos et photos prises par des groupes de défense animale, viennent d’ailleurs confirmer que les méthodes pour tuer les phoques n’ont pas changé et qu'au moins 42 % de tous les phoques abattus sont d’abord blessés à coups de gourdins et/ou d’hakapiks, puis écorchés alors qu’ils sont encore en vie.

Allo ma belle Cé, j'ai changé le pourcentage "près de 50%" pour (au moins 42%) .. C'est plus précis

[animo-aequoanimo 0]

Ok! Pas de problème Do, je ferai le changement.

[Animal 0]

Qu'en penses-tu ma belle Cé? Je me suis servie de plusieurs extraits des textes de Greenpeace, quelques-uns que j'ai traduits... Des petits ajustements seront sûrement nécessaires...
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Citation :

La voracité des humains qui a causé l’effondrement des stocks de poissons ne devrait pas être une excuse pour pousser une autre espèce d’un même échosystème au bord de l’extinction.(Il s'agit d'une phrase de Greenpeace que j'ai traduite...)

En 1968, au large de la côte Nord de Terre-Neuve, le volume des prises de morues atteignait environ 800 000 tonnes et après des décennies de pêche industrielle, ce n’est qu’au début des années 1990, que le gouvernement canadien et les pêcheurs ont commencé à s’inquiéter de la baisse des stocks de morues et qu’ils commençèrent à augmenter les quotas de la chasse aux phoques à 275 000. En 1992 le gouvernement déclarait que les stocks de morues du Nord étaient dans un état grave et il imposait un moratoire sur la pêche à ce poisson. Puis en 2003, il augmentait à nouveau et de façon phénoménale la capture de 975 000 phoques sur 3 ans. Malgré ce moratoire et cette chasse intensive au phoque, les stocks de morues ne se sont jamais reconstitués.

Les phoques n’ont jamais été la cause du déclin de la morue du Nord, puisque ce poisson ne compte que pour 3% de leur diète. Les phoques consomment aussi des poissons qui consomment eux-mêmes de jeunes morues. Et déjà, en l995, une équipe de 97 scientifiques de Greenpeace International concluait que la surpêche demeurait le seul facteur scientifiquement prouvé au déclin de la morue.

Après avoir « fermé les yeux » et subventionné, à même l’argent des contribuables canadiens, la destruction des Grands Bancs de pêche de Terre-Neuve, alors qu’il subventionne toujours à même l’argent des payeurs de taxes canadiens, des milliards de dollars pour faire vivre des petites communautés de pêcheurs de la province de Terre–Neuve, et alors qu’il continue toujours d’accuser les « vilains phoques » d’être la cause du déclin de la morue, le gouvernment canadien, subventionne toujours et encore, à même l’argent des contribuables canadiens, une industrie qui prend de plus en plus d’ampleur : la recherche de nouveaux débouchés pour l’exportation des « produits » du phoque!

REMPLACÉ PAR:
Après avoir « fermé les yeux » et subventionné, à même l’argent des contribuables canadiens, la destruction des Grands Bancs de pêche de Terre-Neuve, le gouvernement continue toujours d’accuser les « vilains phoques » d’être la cause du déclin de la morue, pendant qu’il injecte des milliards de dollars pour faire vivre des petites communautés de pêcheurs de la province de Terre–Neuve, de même qu’une industrie qui prend de plus en plus d’ampleur : la recherche de nouveaux débouchés pour l’exportation des « produits » du phoque! :


Greenpeace vient de rendre public un rapport qui a été rédigé par deux scientifiques des laboratoires de recherche de Greenpeace de l’Université d’Exeter, au Royaume-Uni, rapport qui démontre clairement que les données scientifiques utilisées par le gouvernement canadien pour justifier la chasse commerciale aux phoques sont inexactes, incomplètes et désuètes.

Le Plan de gestion sur la chasse au phoque de l'Atlantique (plan triennal pour les années 2003 à 2005) du gouvernement canadien autorise les plus importants quotas de chasse commerciale aux phoques du Groenland jamais établis depuis 1971 et même si toutes les dispositions de ce plan étaient respectées à la lettre, Greenpeace affirme que la chasse entraînera, au fil des ans, une importante réduction de la population de phoques du Groenland.

Selon, Mhairi Dunlop de Greenpeace International "la décision du gouvernement canadien est irresponsable et injustifiable d'un point de vue scientifique. Le gouvernement permet qu'on tue presque un million de phoques sur trois ans alors que ses propres scientifiques ne peuvent estimer précisément ni la taille du troupeau actuel, ni le nombre de phoques tués pendant la chasse, ni les conséquences de facteurs externes, comme les changements climatiques, sur la santé des phoques. Par le passé, le gouvernement canadien a souvent mal géré ses écosystèmes marins. Ce n'est pas la première fois qu'il privilégie les intérêts à court terme des industries de la pêche et de la chasse aux phoques, au détriment de la vie marine et du développement d'emplois durables. Par le passé, le gouvernement canadien a souvent mal géré ses écosystèmes marins."

Ce rapport de Greeepeace International met en lumière plusieurs lacunes, comme par exemple, le fait que Pêches et Océans Canada n'est pas en mesure de déterminer le nombre réel de phoques tués lors de cette chasse commerciale, puisque le total autorisé des captures (975 000, de 2003 à 2005 ne comprend pas les phoques blessés ou tués et non capturés, ni les phoques chassés illégalement, ni les phoques tués ou jetés parce que leur peau était endommagée. De plus, les « plans de gestion du phoque » sont toujours réalisés en assumant que les paramètres environnementaux et biologiques demeureront les mêmes, alors que de plus en plus, les changements climatiques ont un impact grandissant sur les océans et l’étendue des glaces. Les quotas sont également établis à partir de recensements qui sont réalisés aux 5 ans. Si l’on considère que la chasse commerciale aux phoques vise surtout les petits phoques âgés de 12-14 jours à moins d’un an, dans 95% des cas, et que l’âge de reproduction des phoques est de 5 ans, cela signifie qu’il faudrait attendre jusqu’à 10 ans avant de mesurer l’impact de la chasse sur le troupeau et jusqu’à 15 ans, avant d’identifier une tendance nette.

Ce rapport, qui sera bientôt consultable en français sur le site Internet de Greenpeace Canada *, conclut finalement que la seule solution écologiquement et scientifiquement justifiable est de suspendre immédiatement toute chasse commerciale aux phoques. (Mars 2005)

www.greenpeace.ca/f

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Ok Do; j'ai lu ce message après ma réponse à celui concernant les News de buteo. Bon, ce que je pense que je vais faire sera d'enlever la News sur la pandémie et de mettre les News de buteo à la place. Il s'ajoutera certainement d'autres faits par rapport à la pandémie dans les prochaines semaines et nous pourrons conserver cette news sur la pandémie pour le 2ième bulletin en y ajoutant les faits nouveaux qui pourront être survenus entretemps.

Pour les ajustements au texte, on pourrait raccourcir le 3 ième paragraphe sur les subventions en ne mentionnant qu'une fois que ces subventions se font à même les fonds des contribuables canadiens.

Les 2 phrases suivantes sont répétées en double, donc en les enlevant, on aura aussi un gain d'espace:

Par le passé, le gouvernement canadien a souvent mal géré ses écosystèmes marins. Ce n'est pas la première fois qu'il privilégie les intérêts à court terme des industries de la pêche et de la chasse aux phoques, au détriment de la vie marine et du développement d'emplois durables.

Comment aimerais-tu intituler ce travail sur ce rapport de Greenpeace, Do ?

[animo-aequoanimo 0]

PS: N'y a-t-il pas une erreur dans l'adresse avec ce f de la fin qui est tout seul ?
www.greenpeace.ca/f

[Animal 0]

Ok Do; j'ai lu ce message après ma réponse à celui concernant les News de buteo. Bon, ce que je pense que je vais faire sera d'enlever la News sur la pandémie et de mettre les News de buteo à la place. Il s'ajoutera certainement d'autres faits par rapport à la pandémie dans les prochaines semaines et nous pourrons conserver cette news sur la pandémie pour le 2ième bulletin en y ajoutant les faits nouveaux qui pourront être survenus entretemps.

AUCUN PROBLÈME MA BELLE CÉ! EXCELLENTE SUGGESTION!

Pour les ajustements au texte, on pourrait raccourcir le 3 ième paragraphe sur les subventions en ne mentionnant qu'une fois que ces subventions se font à même les fonds des contribuables canadiens.

BONNE IDÉE CÉ !

Les 2 phrases suivantes sont répétées en double, donc en les enlevant, on aura aussi un gain d'espace:

Par le passé, le gouvernement canadien a souvent mal géré ses écosystèmes marins. Ce n'est pas la première fois qu'il privilégie les intérêts à court terme des industries de la pêche et de la chasse aux phoques, au détriment de la vie marine et du développement d'emplois durables.

OUPS JE NE M'EN ÉTAIS PAS RENDUE COMPTE...

Comment aimerais-tu intituler ce travail sur ce rapport de Greenpeace, Do ?

JE NE SAIS PAS TROP CÉ ! QUELQUE CHOSE COMME "LES PHOQUES OU BOUCS ÉMISSAIRES"... (?)

p.s.: J'ai essayé l'adresse de Greeenpeace telle qu'elle est indiquée, et elle fonctionne Cé.. Il y a un "f" parce que c'est la version française du site...

Je m'en vais dehors un peu avec ma Fanie ma belle Cé...

A+ tard,
do XXXXXXXXXX

[animo-aequoanimo 0]

Citation :

J'ai essayé l'adresse de Greeenpeace telle qu'elle est indiquée, et elle fonctionne Cé.. Il y a un "f" parce que c'est la version française du site...

:lol: Ah bon, parfait alors!

Citation :

JE NE SAIS PAS TROP CÉ ! QUELQUE CHOSE COMME "LES PHOQUES OU BOUCS ÉMISSAIRES"...

Ok ! J'aurais bien aimé les boucs émissaires pour renchérir le récit d'Anthony Marr mais ça pourrait porter à confusion. Que penserais-tu de "Non-Coupables" puisque c'est ce que prouve le rapport de Greenpeace?

[Animal 0]

:thumright: