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Bulletin Oct 2005/ Activist Paul Watson

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Septembre 2005- Sans honte et sans regret

Paul Watson se considère comme un traître envers la race humaine. « Je ne suis pas ici pour gagner un concours de popularité … Si je mets des gens en boule, tant pis ! »
dit-il, en tournée dans une des villes canadiennes où il donne présentement une série de conférences sur la défense des baleines, des phoques, des dauphins et des poissons.

En tant que président de la Sea Shepherd Conservation Society, un groupe de défense de la nature (?) basé dans l’État de Washington, Watson sanctionne la chasse au phoque dans son pays natal, le Canada et dans le monde entier. Toujours présent sur la banquise, Watson accuse le Canada d’avoir abattu, encore cette année, plus de 300 000 bébés phoques.

À leurs risques et périls, Watson et son équipage n’hésitent pas à couper des filets de pêche, s’ils jugent qu’une pêche illégale est en train de se produire - ils n’hésitent pas non plus à tamponner des bateaux de chasse à la baleine (baleiniers). Co-fondateur de Greenpeace, cet activiste passionné a organisé dans les années 70, une série de campagnes très réussies contre la chasse au phoque du Canada. C’est lui qui, en 1977, pour attirer l’attention internationale, avait invité l’actrice Française Brigitte Bardot sur la banquise canadienne lors d’une chasse au phoque. Trente ans plus tard, Watson est toujours catalogué par ses détracteurs, comme étant un « radicaliste », mais ceux qui le défende arguent que Watson n’a jamais blessé personne, que son activisme se résume d’abord et avant tout à faire mal, là où ça fait réellement mal: dans le porte-monnaie !

Durant les 30 dernières années, Watson s’est surtout concentré sur le terrible sort réservé aux baleines et aux phoques, mais aussi sur celui des dauphins, des requins, des tortues de mer, etc. etc.

La mission de Watson est claire comme de l’eau de roche ! « Un marin japonais m’a un jour demandé : “Si vous aviez le choix entre sauver la vie d’un dauphin et sauver la vie d’un pêcheur, lequel des deux sauveriez-vous en premier ? » « Je lui ai répondu : Je suis venu au Japon pour protéger les dauphins, pas les pêcheurs » !

Pour en savoir plus sur le Capitaine Watson et sa fondation « The Sea Shepherd Conservation Society », visitez son site Internet à cette adresse :

http://www.seashepherd.org/

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Voila un petit résumé en français, mais qui ne va pas du tout dans le même sens que l'article anglais qui dénonce le radicalisme du Capt. Watson....!! Le mien est au contraire plutôt élogieux à son égard Mr. Green

(à réviser)....
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Septembre 2005-

Sans honte et sans regret

Paul Watson se considère comme un traître envers la race humaine. « Je ne suis pas ici pour gagner un concours de popularité … Si je mets des gens en boule, tant pis ! » dit-il, en tournée dans une des villes canadiennes où il donne présentement une série de conférences sur la défense des baleines, des phoques, des dauphins et des poissons.

En tant que président de la Sea Shepherd Conservation Society, un groupe de défense de la nature (?) basé dans l’État de Washington, Watson sanctionne la chasse au phoque dans son pays natal, le Canada et dans le monde entier. Toujours présent sur la banquise, Watson accuse le Canada d’avoir abattu, encore cette année, plus de 300 000 bébés phoques.

À leurs risques et périls, Watson et son équipage n’hésitent pas à couper des filets de pêche, s’ils jugent qu’une pêche illégale est en train de se produire - ils n’hésitent pas non plus à tamponner des bateaux de chasse à la baleine (baleiniers(?). Cofondateur de Greenpeace, cet activiste passionné a organisé dans les années 70, une série de campagnes très réussies contre la chasse au phoque du Canada. C’est lui qui, en 1977 avait invité l’actrice française Brigitte Bardot sur la banquise canadienne lors d’une chasse au phoque. Trente ans plus tard, Watson est toujours catalogué par ses détracteurs, comme étant un « radical », mais ceux qui le défende arguent que Watson n’a jamais blessé personne, que son activisme se résume d’abord et avant tout à faire mal, là où ça fait réellement mal: dans le porte-monnaie !

Durant les 30 dernières années, Watson s’est surtout concentré sur le terrible sort réservé aux baleines et aux phoques, mais aussi sur celui des dauphins, des requins, des tortues de mer, etc. etc.

La mission de Watson est claire comme de l’eau de roche ! « Un marin japonais lui a un jour demandé : “Si vous aviez le choix entre sauver la vie d’un dauphin et sauver la vie d’un pêcheur, lequel des deux sauveriez-vous en premier ? » Il lui a répondu: "Je suis venu au Japon pour protéger les dauphins, pas les pêcheurs " !

Pour en savoir plus sur le Capitaine Watson et sa fondation « The Sea Shepherd Conservation Society », visitez son site Internet à cette adresse :

http://www.seashepherd.org/

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Voici une photo du Capitaine Watson, si jamais on décidait de l'inclure avec le petit article pour le bulletin content

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Citation :
En tant que président de la Sea Shepherd Conservation Society, un groupe de défense de la nature (?)


Pour ce terme sur lequel tu avais des doutes, je crois que "de la faune aquatique" serait bien, Do ?

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