Grippe aviaire: les pigeons dans le collimateur

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Grippe aviaire: les pigeons dans le collimateur

Grippe aviaire: appel à lutter contre la prolifération des pigeons


Le président de la commission des Affaires sociales du Sénat Nicolas About (UDF, Yvelines) a appelé mercredi à des "actions pour contrôler la prolifération" des pigeons, "susceptibles de devenir des agents puissants de contagion et de propagation" de la grippe aviaire.

Dans un communiqué, M. About, médecin de profession, préconise "la mise en oeuvre de mesures de précaution supplémentaires, face au risque d'épidémie de grippe aviaire, au moment où des cas avérés d'oiseaux infectés par le virus grippal d'Asie du Sud-Est sont enregistrés sur le territoire européen"."Au-delà du plan d'action du gouvernement, qui fera l'objet d'une question orale avec débat devant le Sénat le 10 novembre", le sénateur attire l'attention des autorités sur le "problème que pose la présence de dizaines de milliers de pigeons dans les villes françaises".Ceux-ci, affirme-t-il, "sont en effet susceptibles de devenir des agents puissants de contagion et de propagation de la maladie, notamment auprès des enfants qui fréquentent les jardins publics"."Il conviendrait donc, à titre préventif, d'engager immédiatement des actions pour contrôler la prolifération de cette population animale et s'assurer du respect de la réglementation sur l'interdiction de la nourrir", ajoute-t-il.Les services vétérinaires de la ville de Venise, qui compte des dizaines de milliers de pigeons, ont assuré mercredi que ce volatile possédait des "caractéristiques physiologiques" qui le rendait réfractaire à la grippe aviaire et que les touristes pouvaient continuer sans danger à fréquenter la place Saint-Marc.
(Source AFP)

Publié le 21/10 à 09:46
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On a aussi parlé hier à la télé, des pigeons canadiens qui pourraient être d'éventuels porteurs du virus... Ça va bientôt être la panique !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

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VOICI LA NOUVELLE EN QUESTION:


Canada-Australie: les pigeons de la discorde


Mise à jour le samedi 22 octobre 2005 à 7 h 09

Le gouvernement australien a fermé vendredi sa frontière aux oiseaux vivants canadiens, après la découverte d'anticorps de l'influenza aviaire chez trois pigeons dans un lot de 102 en provenance de l'Ontario.

Canberra a obtenu ces résultats à l'issue de tests sérologiques. Il s'est dit très préoccupé par ce qu'il considère comme une faille du système de certification canadien, mais a admis que les trois volatiles n'étaient pas porteurs de la maladie et étaient en parfaite santé.




Le reportage d'Emmanuelle Latraverse suivi des explications du Dr Jean-Pierre Vaillancourt, vétérinaire et épidémiologiste.



Ils devront cependant subir d'autres examens, car la présence d'anticorps indique que les animaux ont été en contact avec un virus dont la souche reste à déterminer.

Selon le coordonnateur du plan d'urgence canadien pour l'industrie de la volaille et des oeufs, le Dr Jean-Pierre Vaillancourt, il s'agirait d'un des nombreux virus de la famille de la grippe aviaire, pour la plupart bénins, mais probablement pas de la souche mortelle H5N1.

Un malentendu technique, selon Ottawa

L'Agence canadienne d'inspection des aliments (ACIA) a immédiatement réagi à cette annonce et a assuré que les exportations canadiennes de volaille répondent aux normes internationales, qui exigent que des tests soient menés pour déterminer l'absence du virus de la grippe aviaire et non pas celle d'anticorps.

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Le ministre des Affaires étrangères, Pierre Pettigrew
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L'ACIA a dit regretter que l'Australie ait péché par excès de prudence, voire cédé à la panique, et a affirmé que cette découverte ne menaçait en rien la sécurité des Canadiens ni celle des Australiens. L'agence a par ailleurs invité les autorités australiennes à revenir sur leur décision.

Pour leur part, les ministres canadiens des Affaires étrangères et de la Santé n'ont pas souhaité jeter de l'huile sur le feu. Ils ont plutôt appelé les pays à tirer des leçons de cet « incident technique » pour mieux coordonner leurs efforts de lutte contre la maladie.

Chaque jour de nouveaux foyers

Si le Canada se trouve encore préservé de la propagation du virus de par sa situation géographique - la souche H5N1 suivrait pour l'instant une courbe migratoire vers l'ouest, le sud-ouest et le sud - de nouveaux foyers apparaissent quasi quotidiennement en Asie et en Europe.

Après la Russie, la Turquie, la Roumanie, la Macédoine et la Grèce, la Grande-Bretagne a révélé vendredi qu'un perroquet mort pendant qu'il était en quarantaine portait bien le virus de la grippe aviaire. Des tests complémentaires devront déterminer s'il s'agit ou non de la souche H5N1, la plus virulente.

La Croatie a aussi indiqué vendredi que des cygnes sauvages retrouvés morts dans l'est du pays ont eu un diagnostic d'influenza aviaire.

Enfin, la Russie a fait part de l'apparition d'un nouveau foyer dans la région de Tcheliabinsk, en Oural. Les services sanitaires soupçonnent désormais l'extension de la maladie à 24 localités, dont 23 situées en Sibérie. Au total, sept régions russes se retrouvent aux prises avec la grippe aviaire depuis les débuts de l'épizootie dans ce pays en juillet.

À ce jour, le virus a tué 60 personnes dans le monde parmi les 118 qui ont été infectées depuis 2003, date de son apparition en Asie.


http://radio-canada.ca/nouvelles/Index/nouvelles/200510/22/001-grippe-canada-australi.shtml

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Hier soir j'écoutais les news à la télé, par Sophie Thibault. Il y avait un médecin qui répondait aux questions des gens interviewés sur la rue ainsi qu'à celles par internet. Les questions :est-qu'il y aura un vaccin ? Est-ce que mon chat qui mange un oiseau peut me transmettre le virus ? Est-ce qu'on pourra continuer à manger du poulet sans risque. Le doc a répondu qu'à la condition qu'il soit cuit à plus de 70 degrés, il n'y avait aucun danger. Et en terminant, l'animatrice Sophie Thibault lui a souhaité un "bon coq au vin" Cette animatrice est réputée très sensible à la cause des animaux, mais on voit bien jusqu'à quel point les mentalités sont encrassées en ce qui concernent de se nourir autrement qu'en mangeant des animaux.

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Les animaux, pour la majorité des gens, se résument aux animaux domestiques ! Les autres sont des produits de consommation! C'est navrant !!!!!!!!!!

Ce qui m'inquiète, c'est que le pigeons et les goélands qui sont déjà tellement maltraités (considérés comme des rats volants), vont l'être encore bien + après cette nouvelle! Ça va être la panique générale !