Animal 0 Posté(e) le 6 novembre 2005 Grippe aviaire et Nouvel Ordre Mondial 2005-10-31 Article du Dr Leonard G. Horowitz. L'original peut être consulté en Anglais à l'adresse suivante : http://educate-yourself.org/cn/lenhorowitzdebunksavianfluhysteria11oct05.shtml Reproduction de la traduction française autorisée, pourvu qu’elle soit intégrale, et que les sources soient indiquées. Si la grippe aviaire devient réellement une pandémie redoutable, ce sera à la suite d'une volonté politique délibérée. Par cet article, nous pouvons être mieux informés sur le prochain génocide "médicalement assisté", tout en nous confiant dans le Seigneur pour notre protection ! En avril 2003, nous avons déjà connu le SARS (Severe Acute Respiratory Disease, SRAS en Français), ou pneumonie atypique. Cette maladie nous venait également d'Asie, et frappa lourdement la région de Toronto. J'étais sur place pendant presque toute la durée de cette épidémie, qui annonçait la grippe aviaire actuelle. On a dit à l'époque que le SRAS était la dernière venue de toute une série de maladies nouvelles, provoquées par une série de mystérieux "super germes" mutants qui devaient frapper l'humanité. Une étude scientifique attentive des caractéristiques médico-sociologiques et des antécédents de cette épidémie a révélé quelque chose de bien plus insidieux que le SRAS proprement dit. J'ai considéré la réaction des médias comme doit la considérer tout diplômé de Harvard, expert en problèmes de santé publique et en techniques psychologiques de persuasion mentale. Car cette épidémie possédait toutes les caractéristiques d'une nouvelle expérimentation sociale conduite par des "bioterroristes" en blouse blanche. Il me parut clair que cette manipulation humaine sans précédent était destinée à endoctriner les masses populaires et à les manipuler subtilement, pour qu'elles soutiennent une politique de santé publique parfaitement inadaptée à la venue d'une pandémie massive, malgré toute la législation existante (1). Tout au long de l'épidémie de "pneumonie atypique," les médias n'ont cessé de faire référence à des "agents bactériologiques" nouveaux, qui pouvaient provoquer la disparition du tiers à la moitié de la population mondiale. Ayant étudié à fond tout ce qui a été publié récemment en matière de contrôle de la population, ainsi que les objectifs actuels des principales sociétés industrielles multinationales, j'ai remarqué que ces "prédictions" correspondaient étroitement à certains objectifs officiels en matière de réduction de la population mondiale (2). En 2003, la lutte menée au Canada contre le SRAS, pour la première fois de l'histoire de ce pays, fut dirigée directement par les Nations Unies et par l'Organisation Mondiale de la Santé (OMS). Pour avoir découvert les liens étroits qui existaient, sur les plans financier et administratif, entre les organisations suivantes, j'ai constaté que la famille Rockefeller, la Fondation Carnegie, et les principaux dirigeants de l'industrie pharmaceutique mondiale, ont contrôlé la recherche canadienne et la lutte menée au Canada contre cette épidémie. Aucune grande pandémie, ou épidémie à l'échelle mondiale, n'a jamais pu être séparée de son contexte économique et politique. L'épidémie de pneumonie atypique a fait avancer le programme politique du Nouvel Ordre Mondial beaucoup plus vite que tout autre problème de santé publique. Si les responsables politiques de la santé publique voulaient réellement prévenir ces épidémies nouvelles qui se produisent régulièrement, ou s'ils voulaient vraiment les traiter à la source, ils ne pourraient manquer de remarquer que ces agents bactériologiques dévastateurs sont toujours mystérieusement apparus au sein de structures secrètes associant certains milieux militaires, médicaux et de la biotechnologie. Il suffit simplement d'étudier la sociologie médicale pour s'en rendre compte. Cela fait des décennies que certains "experts" nous prédisent l'arrivée prochaine d'une super épidémie dévastatrice. Ce qui a aussitôt éveillé mes soupçons, en ce qui concerne la pneumonie atypique, fut le moment où elle est survenue. Elle survint au moment même où était lancée la guerre totale contre le terrorisme, et la guerre Anglo-Américaine contre l'Irak. Il m'a semblé qu'il s'agissait là d'une occasion rêvée de "distraire" l'opinion publique du fait que l'administration Bush avait accusé Saddam Hussein d'accumuler un arsenal impressionnant d'armes bactériologiques, dont l'anthrax et le virus du Nil. L'épidémie de pneumonie atypique était donc caractéristique de ce que j'avais déjà annoncé dans l'un de mes livres au titre prophétique, publié avant les attaques du 11 septembre. Plusieurs mois avant ces attaques, je les avais annoncées dans ce livre, en présentant l'analyse conceptuelle qui nous permet de comprendre les liens qui existent entre ces épidémies et le Nouvel Ordre Mondial (Death in the Air : Globalism, Terrorism and Toxic Warfare, Tetrahedron Publishing Group, 2001 - "Mort dans l'air : Globalisme, Terrorisme et Guerre chimique"). Pour résumer l'essentiel de ce livre, j'y expliquais comment une certaine forme de "bioterrorisme" d'Etat était parfaitement compatible avec une guerre bactériologique officiellement menée par un Etat. Saddam Hussein avait lui-même fait subir à certaines des populations de l'Irak et des Etats voisins les effets destructeurs des armes chimiques et bactériologiques. Pour moi, il est clair que la pneumonie atypique, tout comme la grippe aviaire actuelle, se sont produites avec le consentement et l'appui de certains milieux des industries médicale, pharmaceutique, pétrochimique et militaire, opérant de manière illégale. C'est ce que j'ai pu prouver maintes fois. Ayant eu l'occasion de témoigner devant le Congrès Américain, j'ai pu me rendre compte directement de quelle manière l'industrie pharmaceutique influence et contrôle nos représentants économiques et politiques au niveau du gouvernement. Les épidémies émergentes complètent les effets de la guerre politique contre le terrorisme, et correspondent à notre culture actuelle influencée par le bioterrorisme. Un tel programme secret répond à deux objectifs essentiels : la recherche du profit, et la réduction de la population mondiale. Réalité politique, contre mythes véhiculés par les médias. La folie croissante du monde qui nous entoure correspond étrangement aux recommandations des penseurs du Nouvel Ordre Mondial, qui favorisent les "désastres sans guerre." De quoi s'agit-il exactement ? Dès la fin des années 60, dans les principaux milieux industriels, on a commencé à réfléchir à des "substituts économiques à la guerre classique." Comparés aux effets des première et seconde guerres mondiales, les dégâts qui pouvaient être provoqués par les désastres naturels, les super ouragans, les épidémies, ou la guerre bactériologique et génétique, ont commencé à apparaître comme politiquement et économiquement "rentables." Ces "désastres sans guerre" étaient manifestement beaucoup plus "gérables" politiquement, et plus "rentables" économiquement. Pour ces raisons, et tout particulièrement pour leur rentabilité économique, les dirigeants politiques Anglo-Américains du Nouvel Ordre Mondial ont considéré ces "désastres sans guerre" comme des options de tout premier choix. Par exemple, le protégé de Nelson Rockefeller, Henry Kissinger, en tant que Conseiller pour la Sécurité Nationale sous Richard Nixon, a dirigé en fait la politique extérieure des Etats-Unis, tout en considérant la réduction de la population mondiale comme une "nécessité" pour les Etats-Unis, la Grande-Bretagne et leurs alliés. C'est ce même Kissinger qui a été nommé par George W. Bush pour présider le comité d'enquête sur les événements du 11 septembre. Kissinger est pourtant un criminel de guerre avéré, qui avait ordonné au CIA de développer des armes bactériologiques, selon les archives du Congrès Américain de 1975. Parmi ces armes bactériologiques fabriquées par l'homme, il existe des germes bien plus mortels que celui de la grippe aviaire ! Pour lire la suite, ici: http://www.bethel-fr.com/afficher_info.php?id=15115.1 Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites