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Animal

Encore une autre porcherie "à côté de chez nous" !

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Saint-Jean-Valleyfield (C'est sur la rive-sud de Montréal)
La porcherie de Richelieu obtient son permis

10 mai 2006

redaction@laterre.ca


Après plusieurs rebondissements, manifestations, élections municipales et délais, la porcherie des frères Lareau de Richelieu a finalement obtenu son permis de construction de la municipalité le 10 mai.

«Le permis a été émis tel que prévu», a déclaré David Lareau, qui confirme que les cinq mesures d’atténuation des odeurs prévues par la loi seront exigées. Le traitement du lisier ne fait pas partie des conditions.


Rappelons que la consultation publique du 18 octobre dernier avait été très houleuse alors que 700 personnes, dont une majorité d’opposants, avaient chahuté les frères Lareau.

«Tout est prêt», indique aujourd’hui M. Lareau, qui pense commencer à construire dès la mi-juin puisque la majorité des fournisseurs est déjà trouvée. Le producteur se dit «très satisfait» de la fin de cette saga et semblait soulagé.

Il n’est pas impossible que des opposants tentent un ultime recours devant les tribunaux, mais la ferme Notre-Dame tient mordicus à son projet. «Tant que ça ne sera pas bâti, on n’arrêtera pas», a déclaré David Lareau.

Il est intéressant de noter que le ministère de l’Agriculture (MAPAQ) se serait engagé à réaliser des essais d’enfouissement simultané du lisier lors de l’épandage. Le permis des Lareau stipule qu’ils doivent incorporer le lisier au sol dans les 24 heures, ce pourrait donc être encore plus rapide. L’enfouissement simultané qui se réalise en même temps que l’épandage, avec une machinerie spécialisée, est une pratique courante dans certains pays d’Europe.

Mad

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et encore un autre projet de porcherie au Québec... (qui sera sûrement accepté...)


Abitibi-Témiscamingue
Élevage porcin à Chazel

4 mai 2006

redaction@laterre.ca
Des citoyens s’inquiètent des répercussions environnementales du projet et demandent des études.

Le projet d’élevage porcin d’engraissement de 1200 têtes à Chazel, tout près de Mont-Brun en Abitibi, continue d’inquiéter les résidants de ce secteur. Bien que le promoteur se montre rassurant, les habitants des environs estiment que les risques sont difficiles à évaluer puisqu’il n’existe pas d’étude.

En début de semaine, une rencontre publique a rassemblé au moins 200 personnes en quête de réponses.

Un rapport de la MRC d’Abitibi sur ce projet doit être rendu public à la mi-juin.
Ailleurs sur le territoire québécois, la MRC du Témiscouata s’apprête à adopter un règlement de contrôle intérimaire (RCI) contraignant pour l’installation de nouveaux élevages porcins.

L’UPA du Bas-Saint-Laurent a réagi en demandant à la MRC «d’apporter des changements significatifs» à ce projet de RCI sans quoi des actions syndicales pourraient être enclenchées.

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