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Projet de loi pour l'interdiction de la vivisection à Rio

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Un conseiller municipal de Rio de Janeiro, Claudio Cavalcanti, a déposé un projet loi pour l’interdiction de l’expérimentation animale à Rio.

Le projet avait d’abord été approuvé par le conseil, et finalement le maire y a mis son véto.

Mardi 2o juin, le projet de loi sera à nouveau débattu.

Les activistes brésiliens espèreraient bien sûr avoir le soutien des militants et associations pour les droits des animaux.


Courrier type de soutien ici :
/viewtopic.forum?p=18047#18047

merci content


****************

Appel de Claudio Cavalcanti :



To all anti-vivisection and animal rights activists in Brazil and
the world:


I hereby, make an appeal to all animal rights and anti-vivisection
activists from Brazil and worldwide to please express their support
in favor of the law to which I am the author, which prohibits
vivisection and scientific experiments on animals in the city of Rio
de Janeiro.

This law was approved by the City Council in March of this year, but
was vetoed by the Mayor. It will return to the City Council of Rio
de Janeiro, following official procedures, when the Mayor's veto
will be evaluated and either endorsed or rejected by the majority
voting. We will need 26 votes to overturn the Mayor's veto.

In case the Mayor's veto is overturned, this law will represent the
liberation of animals from laboratories in the city of Rio de
Janeiro, and this will set a national and international precedent to
end the systematic and continuous torture of millions of animals
worldwide.

This is urgent. The voting is scheduled for June 20.


Claudio Cavalcanti,
City Counselor
May 25, 2006

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J'espérais avoir des nouvelles par une personne qui vit au Brésil mais pour l'instant, je n'ai pas pu la contacter.

J'ai trouvé un truc sur le sujet sur le site du conseil municipal de Rio, que j'ai passé au travers des traducteurs en ligne Confused bon :

Je n'ai pas l'impression qu'il y ait eu vote, mais je le jurerais pas non plus. Doit-on comprendre que le débat doit se poursuivre...ou pas ? scratch J'ai pu faire des confusions, rater quelquechose...

Alors, sous réserve, je crois comprendre que :



Cavalcanti a lu des lettres de soutien à son projet de loi, a fait une comparaison entre l'abolition de l'expérimentation des animaux et celle de l'esclavage. Un cardiologue de l'université de Sao Paulo,Marcelo Andrade Ribeiro et Márcio Bomtempo, Docteur en Santé Publique ont parlé d'une tendance mondiale à cesser d'utiliser des animaux (en tout cas en ce qui concerne les principales universités)
( Ils vont un peu vite en besogne, non ? Shocked Dans certaines universités de médecine, il y a quelques avancées en ce sens, mais dans la recherche... )


Sérgio Greif biologiste a affirmé que l'augmentation de l'espérance de vie n'était pas dûe à l'expérimentation animale, mais à l'amélioration des conditions de vie...

Il a été relevé qu'un article dans la législation traitant de la protection de la faune, condamnait les actes de cruauté sur les animaux...



Un conseiller, Sílvia Ponts, (biologiste) s'est dit opposé à la proposition de loi, et une biochismiste d'uen université de Rio aurait fait un discours enflammé qu'il aurait conclu en demandant aux opposants à l'expérimentation animale s'ils seraient volontires pour être eux-mêmes sujets de recherche. Claudio Cavalcanti a répondu oui.



Je mets le texte du site de la mairie, au cas où quelqu'un parlerait portugais...


Câmara realiza audiência sobre a utilização de animais em experiências científicas




Foi realizada na manhã de hoje (20/03) uma audiência pública para discutir o projeto de lei, de autoria do vereador Cláudio Cavalcanti (PFL), que proíbe a utilização de animais em experiências científicas. Durante a audiência o parlamentar informou que foi eleito com a plataforma única de lutar em defesa dos direitos dos animais, e chegou a comparar seu projeto com a abolição da escravidão no Brasil: "a libertação do uso de animais em pesquisa vai ser um grande feito para o crescimento da humanidade".
Cláudio Cavalcanti leu cartas de apoio à sua lei que, segundo o próprio, vieram de várias partes do mundo. Após seu discurso a palavra foi passada a cientistas de várias partes do país que são contrários ao uso de animais em experiências. O cardiologista do Instituto do Coração da Universidade de São Paulo (Incor/USP), Marcelo Andrade Ribeiro, que destacou que as principais universidades do mundo já aboliram o uso de animais em pesquisa. De acordo com o médico a matança de animais continua em escolas de medicina sem qualquer necessidade.

Ética na ciência

Em seguida foi o doutor em Saúde Pública pela Universidade de São Camilo de São Paulo, Márcio Bomtempo, que falou da tendência mundial de abolir a utilização de animais. Citando o artigo 225 da Constituição Federal, que trata da proteção da fauna e da flora e incrimina a submissão de animais à crueldade, o médico perguntou: "O que vamos fazer? Mudar a Constituição?". O Professor Thales de Astrogildo e Tréz, da Universidade de Alfenas (MG), tratou da questão sob o ponto de vista da ética no campo científico. "A ciência erra ao tornar indesejáveis valores como a emoção e a compaixão", disse Thales.

A seguir, o presidente da Comissão de Direito Ambiental da Ordem dos Advogados do Brasil (OAB/RJ), Dr. Wanderlei Rebello, citou outra legislação que trata dos cuidados com animais, a Lei Federal nº 9605/98. O advogado questionou ainda a origem do suposto direito de maltratar animais e terminou parafraseando Fernando Pessoa: "Maltratar animal sob qualquer pretexto não vale a pena e é coisa de quem tem alma pequena". João Epifânio Régis, professor de Filosofia Biológica da Universidade Metodista de São Paulo, apresentou um balanço dos argumentos utilizados por defensores e contrários à Lei. A seguir, o Dr. Sérgio Greif, biólogo da Companhia de Tecnologia de Saneamento Ambiental (CETESB), ligada à Secretaria do Meio Ambiente do Governo de São Paulo, afirmou que o aumento da expectativa humana não é fruto das experiências com animais, mas da melhoria das condições de vida da população.

Posições contrárias

A vereadora Sílvia Pontes (PFL), bióloga de formação, mostrou-se contrária à proposta. De acordo com a parlamentar a ausência na audiência de representantes de órgãos importantes como a Agência Nacional de Vigilância Sanitária (Anvisa) e de pesquisadores da cidade demonstra a contrariedade dos cariocas com relação ao projeto. A posição da parlamentar foi endossada por Pedro de Oliveira, Professor de Bioquímica Médica da Universidade Federal do Rio de Janeiro, que num discurso inflamado convocou os defensores do fim da vivisecção a se candidatarem como voluntários nas pesquisas. O convite foi prontamente aceito por Cláudio Cavalcanti.

Participou ainda da sessão o vereador Sebastião Ferraz (PMDB).

Por Elaine Dourado e Roseane Almeida, da Ascom/ CMRJ.






http://www.camara.rj.gov.br/noticias/2006/06/20.htm

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Merci hop ! Je ne parle pas portugais mais c'est assez semblable au français et ta traduction me semble fidèle d'après ce que je lis.

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Très intéressant hop ! Une histoire à suivre ...

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Hello tout le monde,

bon, j'avais tout compris de traviolle moi ! Je me disais comment ça se fait qu'il n'est pas question de vote dans ce compte rendu ? Shocked

Mais c'est que ce texte date bien du 20/06, jour du débat, mais qu'il rend compte du débat qui a eu lieu en mars (y'a même 20/03 dans le texte et je l'avais pas vu) Rolling Eyes

j'ai pas besoin de alatienne pour geek , moi !

En attendant, toujours pas de nouvelles. Il me semble que ça se saurait si l'abolition avait été votée...

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Citation :
Mais c'est que ce texte date bien du 20/06, jour du débat, mais qu'il rend compte du débat qui a eu lieu en mars (y'a même 20/03 dans le texte et je l'avais pas vu)


Je n'avais pas fait attention à cette date, non plus, mais faut dire que j'avais une bonne excuse, là .... alatienne ... bon, tout de même anonyme

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Les nouvelles : Cette fois elles proviennent d'un mail (en anglais ouf! ) du
Frente Brasilera para Aboliçao da vivissecçao



Finalement, le vote n'a pas encore eu lieu . C'était un débat public avec, des interventions de personnalités (médecins, biologistes, et avocats) en faveur de l'abolition de la vivisection.

Le vote pourrait avoir lieu en juillet.

A part ça, il pourrait y avoir de la corruption dans l'air !

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C'est en août que le conseil municipal va devoir se prononcer sur ce projet de loi.



NB : merci de re-contacter les membres du conseil, voir ici pour courrier-type et adresses e-mail :
/viewtopic.forum?t=4416

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Le vote concernant le projet de loi pour l'abolition de l'expérimentation animale à Rio pourrait avoir lieu la semaine prochaine.

Pour trouver les mails des conseillers municipaux à (re)contacter et la pétition à signer ordi , voir ici :

/viewtopic.forum?p=19599#19599


Merci content

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Après la Coupe de Monde, ce sont les élections présidentielles, sénatoriales etc. qui vont retarder le vote pour annuler le véto du maire -qui était prévu ce mois-ci.
Selon Maria Lucia Frota Cavalcanti (conseillère municipale et épouse de l'auteur du projet de loi) ça pourrait ne pas avoir lieu avant octobre.

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Un article trouvé sur un site scientifique

Rio research and animal rights: compromise needed

Marcelo Leite
14 July 2006
Source: SciDev.Net


Now that the World Cup is history, the Brazilian city of Rio de Janeiro is getting back to normal. But in one area at least, Rio remains poised on a knife-edge — and that is biomedical research.

If approved in a final round of votes within the next few weeks, a bill banning animal research within the city limits would put entire departments of renowned biomedical research institutions — such as the Oswaldo Cruz Foundation (Fiocruz) and the Federal University of Rio de Janeiro (UFRJ) — out of business.

Biomedical investigators working in Rio have reason to be concerned. Fiocruz and UFRJ have been directly involved in efforts to boost the country's public health capacities, developing vaccines against tropical diseases and participating in a successful anti-AIDS programme. Both would be unthinkable without animal research facilities.

The new legislation, proposed by Rio's former television-star councillor Cláudio Cavalcanti, prohibits "vivisection as well as the use of animals in experimental procedures which cause physical or psychological suffering". Cavalcanti was elected on the basis of his stand for animal rights. Legislation previously initiated by his office includes the banning of the production of animal furs, which did not become law, and banning the use of animals to power vehicles, which did.

The bill currently under scrutiny passed a second round of votes, but was vetoed in April by Mayor César Maia. The city council can, however, overturn the veto, and the outcome of a new vote is therefore rather uncertain.

Cavalcanti is raising support through activities such as a mock public hearing, held on 20 June, gathering the majority of testimony from those who favour the ban, with protests from a group of scientists in the gallery. Idle discussions like this tend to prevail in many Brazilian city councils where TV and radio celebrities often figure prominently.

Ill-conceived move

Although the bills subject is relevant — humane limits to animal use — and has the laudable goal of preventing suffering, it is ill conceived. It is not rational to let every city or town in any given country decide whether to allow the use of animals in research simply to satisfy local and narrow constituencies such as Rio's animal rights activists.

It is doubtless wise to look for alternatives to animal models for testing new drugs and treatments, such as cell cultures and computer simulations. These methods, however, are still far from capable of replicating the complex dynamics of a living body. In order to ascertain the toxicity of a new medicine or vaccine, or to determine how an organism processes them, it is almost impossible to avoid animal trials.

But it would be unreasonable to give biomedical researchers total freedom to decide if and when sentient organisms should be used for research. The notion of societal control over research is strange to most Brazilian scientists, who perhaps do not see that pressure to publish or patent could lead to the unnecessary use of animals. At least, it could lead to a level of suffering that non-scientists consider inadmissible, despite the possible benefits to society offered by the research.

But banning all forms of animal experimentation, even those necessary to license drugs and treatments for veterinary purposes (after all, medicines and surgical procedures for pets have to be tested as well), is going too far. In creating this bill, Cavalcanti has promoted animal welfare to the position of a supreme good, well above human needs.

Cavalcanti himself volunteered as a replacement for animals in drug trials, which hints at a lopsided value scale and an unsettling lack of understanding of how biomedical research actually works. Thousands of mice are used in big facilities and preclinical trials each year, and it would not be feasible — nor acceptable — to replace them with human beings.

The bill is also unenforceable (alors si c'est vraiment le cas, un article de 4,5 lignes aurait suffit non ? ) . Rio can barely take care of its population's basic needs, from education to health care, and would not have the resources to routinely control dozens of labs. It would amount to a waste of time and funds. Most probably, it will fade away along with the other Brazilian laws that 'do not stick', but only after a cumbersome series of court appeals that drain resources from research institutions.

Time, ink and spit

Unfortunately, Rio's city council is not alone. The controversy sparked by Cavalcanti's bill risks replication in São Paulo state, where representative Palmiro Menucci presented a similar bill to the state legislature on 6 May. Its chances of survival in the political jungle look rather slim, but much time, ink and spit are sure to be spent before reasonable arguments prevail.

The research community has an obligation to prove itself more enlightened. It is time for the grand public gesture, and for finding more effective ways of engaging society at large in scrutinising science's 'mysterious ways'.


Marching to a holy war against science's alleged 'enemies' — those who want to regulate what has to be regulated in research — in Brazil will always risk defeat.

Each and every important ethical dilemma involves the choice between two desirable outcomes. The best solutions to such dilemmas are usually those that involve a compromise.


www.scidev.net/content/opinions/eng/rio-research-and-animal-rights-compromise-needed.cfm

Battle in Brazil over animal experiments

5 June 2006
Source: SciDev.Net

The Brazilian Society for the Advancement of Science is calling on researchers to unite to oppose a law banning the use of experimental animals in Rio

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Les dernières nouvelles, selon Maria Lucia Frota, la femme de Claudio Cavalcanti, sont que le vote de cette loi est renvoyé aux calendes grecques. Rolling Eyes J'exagère un peu, mais en tout cas, il n'aura sans doute pas lieu avant 2007, tout étant retardé cette fois cause du vote du budget !

A part cela :

"NOUS AVONS BEAUCOUP D´ESPOIR. L´APPUI À LA LOI CONTINUE DE GRANDIR. LES POLITICIENS SONT ETOURDIS AVEC L´AMPLEUR DU MOUVEMENT. IL EST ARRIVÉ JUSQU´À LA OAB ( ORDEM DOS ADVOGADOS BRASILEIROS) ."

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N'ayant pas de réponses à mes courriers de demande de nouvelles, je suis allé jeté un oeil sur la page concernant le projet de loi, sur le site de la mairie de Rio et j'ai vu ceci :

Discussão do Veto
Data: 08/03/2007

EM REGIME DE URGÊNCIA. EM DISCUSSÃO ÚNICA. EM VOTAÇÃO. O VETO É MANTIDO E O PROJETO SEGUE AO ARQUIVO.
Status: Veto Total Mantido

via un traduction automatique :
EN RÉGIME D'URGENCE. EN DISCUSSION SEULE. À VOTE. Le VETO EST
MAINTENU Et le PROJET SUIT à l'ARCHIVE
Statut : Veto Total Maintenu


http://cmrj3.cmrj.gov.br/ofc/scripts/tramitproj.asp?tipo=Lei&numero=325&ano=2005


pale

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Si je comprends bien suite au vote, l'opposition est maintenue et le projet est archivé ? Donc il y a bien eu vote mais si l'opposition contre le projet demeure comment cela peut-il être archivé ? Cela voudrait dire alors que les votes étaient plus forts que ceux qui s'opposaient ? confused

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Ben , j'ai juste compris que les conseillers municipaux avaient voté pour le maintient du veto du maire contre le projet de loi... Je n'avais pas prété attention à cette histoire d'archive.. embara Il faut ?

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Non, non, pas dans ce cas-ci. Je cherchais à comprendre de quelle opposition on parlait. De quel veto exactement. De celui des opposants à la vivisection ou des autres. Ton explication actuelle me situe parfaitement, maintenant. Merci.

Mais quelle déception, n'est-ce-pas ! Une affaire classée pour le maire.

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J'ai reçu un petit mail de Maria Lucia Frota. Elle ne m'explique pas pourquoi ils n'ont pas à nouveau fait appel aux soutiens de militants d'autres pays. Peut-être que ce vote s'est décidé vraiment au dernier moment ("régime d'urgence").

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Il est fort possible que le vote se soit fait en catimini pour éviter d'être renversé par les opposants à la vivisection sinon pourquoi donc en faire tout à coup une affaire d'urgence. Shit

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Vraiment décourageant ! Shit Quelque chose n'est pas clair dans cette histoire ! What the fuck ?!?

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Oui, c'est décourageant.

Dans son mail, Maria Lucia fait allusion à quelque chose comme "une guerre terrible où les coups les plus sinistres étaient permis".

J'imagine que les labos ont dû mettre en avant toutes sortes d'arguments persuasifs....

Je me dis : Bon ! Quelqu'un a été assez culotté pour proposer l'abolition de la vivisection -ne serait-ce qu'au niveau municipal. Le sujet a été débattu. ça n'a pas été rejetté d'office, comme une proposition aberrante.
Alors, peut-être qu'une prochaine fois, avec un autre maire...ou dans une autre ville...une loi similaire pourra être votée.

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Citation :
Alors, peut-être qu'une prochaine fois, avec un autre maire...ou dans une autre ville...une loi similaire pourra être votée.

voeu
Malheureusement, c'est bien le seul espoir qu'il nous reste Shit

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