Trouves-tu que ça fait quétaine ??

[Animal 0]

Comme j'avais commencé à préparer mon texte pour le questionnaire de Brigit, j'ai quand même décidé de le terminer...

Crois-tu qu'il serait montrable Cé ou est-ce que tu trouves au contraire qu'il fait quétaine ?
Si tu décides qu'il serait présentable, peut-être, ... mais seulement lorsque tu auras (ou si tu réussis à trouver) un peu de temps libre ( ) pourrais-tu y passer un petit coup de ta baguette magique...


Si je lui envoie, j'ai pensé inclure cette photo, prise à Kanawakee l'hiver dernier... Qu'en penses-tu ma belle Cé ?

Qu'est-ce qui vous a décidé à devenir Veg* ?

Mon amour pour les animaux.
D’aussi loin que je me souvienne, j’ai toujours eu énormément d’empathie pour les animaux, les oiseaux et même les insectes. Toute petite, je recueillais des petits « malheureux» qui avaient été abandonnés ou maltraités – j’allais caresser de pauvres chiens enchaînés et leur apportait des restes de table- J’aimais observer à la loupe des insectes butinant dans les fleurs. L’endroit densément boisé où j’ai passé mon enfance n’en était qu’à ses débuts de défrichement, et nous étions en contact direct avec des animaux sauvages de toutes sortes. N’ayant jamais vu l’homme, ils ne nous craignaient pas, mais étaient simplement curieux par notre présence. Ainsi, lors de nos longues et fréquentes cueillettes de bleuets, dont nous remplissions de pleines taies d’oreiller, il nous arrivait souvent, mes petites sœurs et moi, de nous retrouver en compagnie de chevreuils, de renards, de lièvres… et parfois même aussi d’ours. Les livres consacrés aux animaux me fascinaient et j’étais bouleversée lorsque je voyais des images de mes « amis », blessés ou tués. À l’école primaire, durant les cours de catéchisme ou d’Histoire du Canada, mes questions insistantes concernant l’immolation des agneaux, ou encore la traite des fourrures me valaient souvent des visites au bureau de la mère supérieure ou des retenues après les classes. Le « bon dieu » avait créé les animaux pour que les hommes s’en servent. C’était comme ça et on ne pouvait rien y changer !

Issue d’une famille pauvre, à la maison, les repas composés de viande étaient plutôt rares. Maman, qui quelques années auparavant avait vécu la guerre et souffert de la faim, avait appris à être très débrouillarde et savait nous concocter de délicieux repas sans viande. Et si les moyens le lui permettaient, ou si lors d’occasions spéciales elle nous préparait des repas composés de viande, je voulais toujours savoir de quel animal il s’agissait … si c’était un « bébé»… pourquoi et comment on l’avait tué…

J’ai vécu toute ma vie d’adulte, en venant en aide à un grand nombre d’animaux dans le besoin se trouvant sur mon chemin. Tous ceux que j’ai recueillis et que j’ai pu sauver, ont vécu chez moi jusqu’à leur mort. Plus les années passaient et plus les souffrances des animaux me touchaient, m’empêchant même souvent de dormir. La culpabilité me rongeait chaque fois que j’achetais ou consommais de la viande et la viande crue me répugnait à un point tel qu’il m’était devenu impossible d’y toucher à mains nues.

(ici, j’aimerais bien, pour faire comme la marge, indiquer la fondation de notre organisme en telle année) … As-tu une idée de comment je pourrais ajouter cette info, ce qui ferait en sorte de nous un lien…. ) C’est suite à la création d’une page Web en mémoire de mon fils en 1993, puis d’une autre de cartes postales électroniques, que je m’attaquai à la création d’une autre page pour dénoncer la chasse barbare des phoques. Au fil de mes recherches, je découvris avec stupeur toutes les atrocités inimaginables dont les animaux étaient victimes, incluant ceux que je mangeais. C’est à partir de toutes ces découvertes insoupçonnées que je fis la promesse à tous les animaux, que jamais plus je ne les mangeraient, jamais plus je ne porterais leur peau, jamais plus je ne les exploiteraient d’aucune façon. Ce fut pour moi une libération totale.

[animo-aequoanimo 0]

Quétaine ???? Mais tu veux rire, ma belle Do. C'est tout simplement MAGNIFIQUE.

Bonne idée que la photo !

Je reviendrai vérifier + tard, s'il y a des corrections à faire car l'homme ne va pas tarder à rentrer pour la soupe ...

Citation :

(ici, j’aimerais bien, pour faire comme la marge, indiquer la fondation de notre organisme en telle année) … As-tu une idée de comment je pourrais ajouter cette info, ce qui ferait en sorte de nous un lien…. ) C’est suite à la création d’une page Web en mémoire de mon fils en 1993, puis d’une autre de cartes postales électroniques, que je m’attaquai à la création d’une autre page pour dénoncer la chasse barbare des phoques. Au fil de mes recherches, je découvris avec stupeur toutes les atrocités inimaginables dont les animaux étaient victimes, incluant ceux que je mangeais. C’est à partir de toutes ces découvertes insoupçonnées que je fis la promesse à tous les animaux, que jamais plus je ne les mangeraient, jamais plus je ne porterais leur peau, jamais plus je ne les exploiteraient d’aucune façon. Ce fut pour moi une libération totale.

Je mettrais la mention du site suite à ce paragraphe, comme quoi, de fil en aiguille tu en es venue à t'impliquer de façon plus active par la création d'un organisme.

[Animal 0]

T'es trop fine ma belle Cé !!!!!!!

[animo-aequoanimo 0]

Animal a écrit:

Qu'est-ce qui vous a décidé à devenir Veg* ?

Mon amour pour les animaux.
D’aussi loin que je me souvienne, j’ai toujours eu énormément d’empathie pour les animaux, les oiseaux et même les insectes. Toute petite, je recueillais des petits « malheureux» qui avaient été abandonnés ou maltraités – j’allais caresser de pauvres chiens enchaînés et leur apportait (apportais) des restes de table- J’aimais observer à la loupe des insectes butinant dans les fleurs. L’endroit densément boisé où j’ai passé mon enfance n’en était qu’à ses débuts de défrichement, et nous étions en contact direct avec des animaux sauvages de toutes sortes. N’ayant jamais vu l’homme, ils ne nous craignaient pas, mais étaient simplement curieux par (de) notre présence. Ainsi, lors de nos longues et fréquentes cueillettes de bleuets, dont nous remplissions de pleines taies d’oreiller, il nous arrivait souvent, mes petites sœurs et moi, de nous retrouver en compagnie de chevreuils, de renards, de lièvres… et parfois même aussi d’ours. Les livres consacrés aux animaux me fascinaient et j’étais bouleversée lorsque je voyais des images de mes « amis », blessés ou tués. À l’école primaire, durant les cours de catéchisme ou d’Histoire du Canada, mes questions insistantes concernant l’immolation des agneaux, ou encore la traite des fourrures me valaient souvent des visites au bureau de la mère supérieure ou des retenues après les classes. (je dirais après la classe) Le « bon dieu » avait créé les animaux pour que les hommes s’en servent. C’était comme ça et on ne pouvait rien y changer !

Issue d’une famille pauvre, à la maison, les repas composés de viande étaient plutôt rares. Maman, qui ( Maman qui, ) quelques années auparavant avait vécu la guerre et souffert de la faim, avait appris à être très débrouillarde et savait nous concocter de délicieux repas sans viande. Et si les moyens le lui permettaient, ou si ( ou si, ) lors d’occasions spéciales ( , ) elle nous préparait des repas composés de viande, je voulais toujours savoir de quel animal il s’agissait … si c’était un « bébé»… pourquoi et comment on l’avait tué…

J’ai vécu toute ma vie d’adulte, en venant en aide à un grand nombre d’animaux dans le besoin se trouvant sur mon chemin. Tous ceux que j’ai recueillis et que j’ai pu sauver, ont vécu chez moi jusqu’à leur mort. Plus les années passaient et plus les souffrances des animaux me touchaient, m’empêchant même souvent de dormir. La culpabilité me rongeait chaque fois que j’achetais ou consommais de la viande et la viande crue me répugnait à un point tel qu’il m’était devenu impossible d’y toucher à mains nues.

C’est suite à la création d’une page Web (en 1993) en (à la )mémoire de mon fils, puis d’une autre de cartes postales électroniques, que je m’attaquai à la création d’une autre ( j'enlèverais "autre" ) page pour dénoncer la chasse barbare des phoques. Au fil de mes recherches, je découvris avec stupeur toutes les atrocités inimaginables dont les animaux étaient victimes, incluant ceux que je mangeais. C’est à partir de toutes ces découvertes insoupçonnées que je fis la promesse à tous les animaux, que jamais plus je ne les mangeraient (mangerais), jamais plus je ne porterais leur peau, jamais plus je ne les exploiteraient (exploiterais) d’aucune façon. Ce fut pour moi une libération totale. (Ici il te restera à faire ton petit ajout)

[Animal 0]

Un très grand MERCI ma belle Cé ! J'essaierai de terminer son questionnaire dans le courant de la journée, et si ça te te dérange pas trop, je viendrai poster le tout ici, avant de le faire parvenir à Brigit...

[animo-aequoanimo 0]

Pas de problème, Do. Je viendrai occasionnellement dans mes pauses bulletin-ménage.

[Animal 0]

OK ma belle Cé ! Je dois aussi continuer mon rangement d'armoires... Alors, on se retrouve entre nos pauses

[animo-aequoanimo 0]

Ok ! Bye, ma belle Do !

PS: Marie vient de me tél. pour me demander si j'allais à la manif anti-cirque de Global ce matin mais je lui ai dit qu'il me fallait rester surveiller mes toutous. J'en ai profité pour lui demander si elle avait reçu mon email pour la table de samedi dernier. Elle a dit que non. A mon avis, elle l'aura effacé par mégarde...

[Animal 0]

C'est possible qu'elle l'ait effaçé sans s'en rendre compte... C'est bien dommage Cé ! Ça sera peut-être pour la prochaine fois ...

[Animal 0]

Si tu trouves ça correct, je l'enverrai à B. dans le courant de la soirée ou demain matin...
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Végétarien(ne), Végétalien(ne) ou Vegan(e) ?

Vegan(e) à 99%

Depuis combien de temps ?

Plus d’une dizaine d’années

Qu'est-ce qui vous a décidé à devenir Veg* ?

Mon amour pour les animaux.
D’aussi loin que je me souvienne, j’ai toujours eu énormément d’empathie pour les animaux, les oiseaux et même les insectes. Toute petite, je recueillais des petits « malheureux» qui avaient été abandonnés ou maltraités – j’allais caresser de pauvres chiens enchaînés et leur apportais des restes de table- J’aimais observer à la loupe des insectes butinant dans les fleurs. L’endroit densément boisé où j’ai passé mon enfance n’en était qu’à ses débuts de défrichement, et nous étions en contact direct avec des animaux sauvages de toutes sortes. N’ayant jamais vu l’homme, ils ne nous craignaient pas, mais étaient simplement curieux de notre présence. Ainsi, lors de nos longues et fréquentes cueillettes de bleuets, dont nous remplissions de pleines taies d’oreiller, il nous arrivait souvent, mes petites sœurs et moi, de nous retrouver en compagnie de chevreuils, de renards, de lièvres… et parfois même aussi d’ours. Les livres consacrés aux animaux me fascinaient et j’étais bouleversée lorsque je voyais des images de mes « amis », blessés ou tués. À l’école primaire, durant les cours de catéchisme ou d’Histoire du Canada, mes questions insistantes concernant l’immolation des agneaux, ou encore la traite des fourrures me valaient souvent des visites au bureau de la mère supérieure ou des retenues après la classe. Le « bon dieu » avait créé les animaux pour que les hommes s’en servent. C’était comme ça et on ne pouvait rien y changer !

Issue d’une famille pauvre, à la maison, les repas composés de viande étaient plutôt rares. Maman qui, quelques années auparavant avait vécu la guerre et souffert de la faim, avait appris à être très débrouillarde et savait nous concocter de délicieux repas sans viande. Et si les moyens le lui permettaient, ou si, lors d’occasions spéciales, elle nous préparait des repas composés de viande, je voulais toujours savoir de quel animal il s’agissait … si c’était un « bébé»… pourquoi et comment on l’avait tué…

J’ai vécu toute ma vie d’adulte, en venant en aide à un grand nombre d’animaux dans le besoin se trouvant sur mon chemin. Tous ceux que j’ai recueillis et que j’ai pu sauver, ont vécu chez moi jusqu’à leur mort. Plus les années passaient et plus les souffrances des animaux me touchaient, m’empêchant même souvent de dormir. La culpabilité me rongeait chaque fois que j’achetais ou consommais de la viande et la viande crue me répugnait à un point tel qu’il m’était devenu impossible d’y toucher à mains nues.

C’est suite à la création d’une page Web en 1993 à la mémoire de mon fils, puis d’une autre de cartes postales électroniques, que je m’attaquai à la création d’une page pour dénoncer la chasse barbare des phoques. Au fil de mes recherches, je découvris avec stupeur toutes les atrocités inimaginables dont les animaux étaient victimes, incluant ceux que je mangeais. C’est à partir de toutes ces découvertes insoupçonnées que je fis la promesse à tous les animaux, que jamais plus je ne les mangerais, jamais plus je ne porterais leur peau, jamais plus je ne les exploiterais d’aucune façon. Ce fut pour moi une libération totale.
http://www.aequoanimo.com/

Votre plus belle découverte Veg* ?

Des ami(e)s Veg*

Au resto, que commandez-vous ?

Je n’y vais qu’en de très rares occasions, mais la dernière fois où je suis allée au resto VG, le Commensal, j’ai mangé un très bon « pâté chinois » et une assiette de salades variées.

Repas Veg* favori ?

De la soupe aux poireaux, aux pâtes à la sauce tomates et légumes, aux riz au cury, aux salades à la vinaigrette bien assaisonnée, j’aime tout ce qui a du goût et qui est bien épicé.

La chose la plus cocasse que vous ayez entendue à propos du Végéta*isme ?

Manger de la viande est indispensable pour rester en vie et en santé

Produit Veg* préféré ?

Les hummus de « Fontaine Santé » ou les petits puddings « Tofuti »

Avez-vous un livre Veg* préféré ?

J’adore les succulentes recettes de Corinne et Jean-Pierre « Cuisinez Végétalien » (Indiquer le lien)

Votre citation Veg* préférée ?

« Jusqu'à ce qu'il étende le cercle de sa compassion à toutes les créatures vivantes, l'homme lui-même ne trouvera pas la paix.» Albert Schweitzer - 1875-1965

Qu'avez-vous mangé pour souper hier soir ?

Des courgettes farcies aux champignons servies avec du riz et une salade de tomates, persil et basilic, récoltés dans mon petit jardin potager

Le mot de la fin (commentaires personnels ou autre)

Nous ne sommes pas supérieurs aux animaux, nous sommes seulement différents !

[animo-aequoanimo 0]

C'est un récit magnifique, Do

Tout me semble parfait sauf :

mes « amis », blessés ou tués : il faudrait enlever la virgule.

[Animal 0]

Merci beaucoup ma belle Cé ! J'aurais pu l'améliorer un peu- je trouve qu'il ne coule pas limpidement... mais j'en ai un peu marre de raconter mon histoire- Je lui enverrai sûrement demain

[animo-aequoanimo 0]

Arrête-moi ça, Do ! Ce récit ne se lit pas, il se déguste. Mon étoile sera blafarde à côté de la tienne !

Au fait, B m'a dit hier que Pat Tul. lui avait complété le questionnaire mais qu'A-M ne lui avait pas répondu. Elle m'a demandé si j'avais des noms à lui suggérer et je lui ai dit Stéphane de Vegan Qc et David R.

[Animal 0]

Citation :

Arrête-moi ça, Do ! Ce récit ne se lit pas, il se déguste. Mon étoile sera blafarde à côté de la tienne !

Au contraire ma belle Cé ! Ton étoile brillera de tous ses feux, comme je te connais


Au fait, B m'a dit hier que Pat Tul. lui avait complété le questionnaire mais qu'A-M ne lui avait pas répondu. Elle m'a demandé si j'avais des noms à lui suggérer et je lui ai dit Stéphane de Vegan Qc et David R.

C'est parfait ma belle Cé !

[Animal 0]

Cé, pourrais-tu m'indiquer encore une fois l'adresse de courriel de B....?

[animo-aequoanimo 0]

b_heartsmart_gv@3web.net

[Animal 0]

Cette fois, je viens de la rajouter dans ma liste d'adresses.
Un gros MERCI ma belle Cé

[animo-aequoanimo 0]

Citation :

Au contraire ma belle Cé ! Ton étoile brillera de tous ses feux, comme je te connais

Je n'ai rien que du banal à dire, Do, mais ce n'est pas grave.

Citation :

Cette fois, je viens de la rajouter dans ma liste d'adresses.

Je ne l'ai pas encore fait; je prend son adresse sur les messages précédents. Je vais l'inscrire aussi. Ce sera plus simple.