Animal 0 Posté(e) le 4 septembre 2006 Et pourquoi pas des oeufs de cane? 4 sepembre 2006 Par Jacques Légaré Hervé Roy et Erika Da Trindade cherchaient une production originale et rentable afin d’ajouter une corde à leur arc. Ils croient l’avoir trouvée avec les oeufs de cane. Nous nous sommes rendus à la ferme Sam-Clyde de Saint-Gédéon, afin de rencontre ce couple d’agriculteurs qui sort de l’ordinaire. Diversifiée La ferme du couple trahit leur sens de l’originalité. Ils y produisent à la fois des chevaux de race Clydesdale ,des chats (surtout des Siamois), et des veaux de boucherie, en plus des oeufs de cane. Selon Hervé Roy, les marchés sont maintenant tellement volatiles qu’il faut savoir se diversifier. «Quand les prix ont baissé dans le boeuf et le cheval, ce sont les chats qui nous ont sauvés», raconte-t-il. Mais la diversification n’est pas seulement un choix économique, indique Érica, qui aime vivre avec plusieurs sortes d’animaux. «Il n’y en a jamais assez sur une ferme», s’exclame-t-elle. Avec les oeufs de cane, ils ont le sentiment d’avoir trouvé un produit qui a de l’avenir. Comparable à l’oeuf de la poule, celui de la cane a cependant un blanc plus clair et un jaune plus grand. Son goût est légèrement différent, nous indique Hervé Roy. Selon lui, le fait que ces oeufs contiennent de la vitamine B-12 et moins de cholestérol que l’oeuf devrait les rendre populaires, notamment chez les végétariens, qui ne peuvent trouver leur B-12 dans la viande. Expérimentation Mais de son propre aveu, on en est encore au stade de l’expérimentation, avec un cheptel de 120 canes. À sa connaissance, une seule autre ferme produit ce type d’oeufs au Québec, et il s’agit d’un élevage biologique. Quelle moulée sera la plus appropriée? Quelle sorte de cane sera la meilleure pondeuse en cage? C’est à ce genre de questions qu’on veut répondre avant d’acheter les volailles en grand nombre et commencer pour de bon. On envisage d’en acheter 1200 en mai prochain, et autant six mois plus tard. «On veut en changer la moitié à tous les six mois, et faire du foie gras avec celles qui ne pondent plus», indique Hervé Roy. On pourra ainsi assurer une production d’oeufs constante, ce qui est un «must» pour la mise en marché. http://www.hebdosquebecor.com/ecl/09012006...12006_A11.shtml Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
animo-aequoanimo 0 Posté(e) le 4 septembre 2006 Citation :La ferme du couple trahit leur sens de l’originalité. Ils y produisent à la fois des chevaux de race Clydesdale ,des chats (surtout des Siamois), et des veaux de boucherie, en plus des oeufs de cane. Selon Hervé Roy, les marchés sont maintenant tellement volatiles qu’il faut savoir se diversifier. «Quand les prix ont baissé dans le boeuf et le cheval, ce sont les chats qui nous ont sauvés» L'exploitation animale dans tous les cas. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Animal 0 Posté(e) le 4 septembre 2006 Je me ferais un plaisir de lui tordre le cou à celui-là ! Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites