hop 0 Posté(e) le 9 septembre 2006 Le rêve est finalement devenu réalité. Après plus d’une vingtaine d’années d’attente, le secteur caprin québécois est maintenant doté d’un centre de recherche qui prend des allures d’unicité au Québec et même au Canada. ...L’unité de recherche caprine du CRSAD * a accueilli ses premiers pensionnaires cet été. Un joli troupeau exubérant de 99 chevrettes laitières et de huit jeunes boucs de race alpine dont l’âge varie de trois à six mois. ...Bientôt, 70 autres chevreaux s’y ajouteront. * Centre de recherche en sciences animales de Deschambault Un centre de recherche sur les chèvres - 05/09/06 www.cyberpresse.ca/article/20060905/CPSOLEIL/60905190/5217/CPSOLEIL Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
animo-aequoanimo 0 Posté(e) le 9 septembre 2006 On ne sait pas trop précisément ce qu'ils veulent en faire. Il y a quelques années un laboratoire de recherche faisait pousser des toiles d'araignées dans des chèvres pour en faire des cottes de mailles pare-balles. On croirait une joke mais il s'agissait pourtant de la réalité. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Animal 0 Posté(e) le 9 septembre 2006 Oui je me souviens animo ! Je me demande pourquoi ils n'expliquent pas au public quels genres de recherches ils veulent faire sur ces animaux ! Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Animal 0 Posté(e) le 11 septembre 2006 Voila notre réponse: Les recherches qui seront alors menées porteront sur la viande caprine. Depuis quand les Québécois mangent-ils de la viande de chèvre ???? On n'attend plus que les chercheurs. Déjà certains spécialistes sont à pied d'oeuvre. Marie Vachon, secrétaire exécutive et agronome au CRSAD souligne qu'au Centre, on voulait obtenir un troupeau exempt de la fameuse arthrite encéphalite caprine (AEC) qui hypothèque grandement le cheptel caprin. Afin d'offrir aux chercheurs des chèvres ayant un bon potentiel génétique et à faible risque de développer l'AEC, les quatre producteurs fournisseurs de chevreaux au CRSAD ont dû se soumettre à un protocole rigoureux afin de réduire au minimum les risques de contamination de l'AEC. Pour atteindre cet objectif, on a séparé les chevreaux de leur mère dès la naissance et on les a nourris avec du colostrum et du lait non contaminé par le fameux virus. Les éleveurs qui ont fourni des chevrettes au Centre ont dû transmettre les données génétiques et de régie nécessaire à la tenue des registres du troupeau de recherche. L'article: http://www.lapresseaffaires.com/partenaires/nouvelles/reference/index.php?id=8,2004,0,092006,1294181.html&ref=reference Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
animo-aequoanimo 0 Posté(e) le 11 septembre 2006 Citation :Depuis quand les Québécois mangent-ils de la viande de chèvre ???? On veut la rendre à la mode, comme pour l'autruche, par exemple. Un moyen de plus de se faire de l'argent facile. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites