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Animal

Émoi pour une bête martyrisée

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Émoi pour une bête martyrisée
Jessica Nadeau
Le Journal de Montréal
05/12/2006 08h04
...

La triste histoire d'un chien battu et laissé pour mort a créé une vague de compassion à Trois-Rivières, où les citoyens se bousculent aux portes de la SPA pour adopter la pauvre bête qui se remet péniblement de ses blessures.

...
La pauvre bête avait été sauvagement frappée à l'aide d'un marteau et laissée pour morte sous la pluie glaciale de novembre. Comble de cruauté, on lui avait solidement attaché le cou à la clôture d'une école primaire à l'aide d'un fil de téléphone.


...

«C'est un jeu bien macabre, absolument cruel et horrible... le genre d'événement qu'on n'aime pas rattacher avec une école fréquentée par de jeunes enfants», confie la directrice, Manon Rocheleau.

La police a ouvert une enquête criminelle pour cruauté envers un animal mais ne possède que très peu d'éléments pour faire avancer le dossier, le propriétaire de l'animal ne s'étant jamais manifesté.
http://www2.canoe.com/infos/societe/archives/2006/12/20061205-080400.html
jnadeau@journalmtl.com

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c'est quand même bizarre qu'il ne se soit pas encore manifesté... What the fuck ?!?

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1er décembre 2006


Trois-Rivières


Cruauté envers un chien : une récompense pour l’arrestation du responsable


La pauvre bête, un chien appartenant à la race bull mastiff, n'a pas idée de tout l'intérêt qu'elle suscite. A la Société protectrice des animaux de la Mauricie (SPAM) où elle est en convalescence, les messages de compassion affluent sous une forme ou sous une autre.
L’animal a été attaché à une clôture et frappé à coups de marteau plus tôt cette semaine dans la cour de l'école Saint-Paul à Trois-Rivières. L'indignation que provoque ce geste de cruauté a spontanément amené un propriétaire de trois animaux de compagnie à offrir, de sa poche, 500$ en récompense pour toute information qui conduira à l'arrestation des bourreaux.
Les 500$, plus un autre 300$ recueillis pour la cause, seront remis à la SPAM et pourraient éventuellement être utiles pour les soins de l'animal. Parmi les appels reçus, quelques-uns offraient d'accueillir l'animal. Pour la SPAM, il est toutefois un peu tôt pour y songer.

La police, de son côté, tentera d'arriver à quelque chose à partir notamment du marteau récupéré sur les lieux du crime.

Les cas rapportés de cruauté animale sont rares. A la police de Trois-Rivières, c'est le second seulement en trois ans. (LC)

tva/canoe

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Cruauté envers un chien : Une journaliste de Paris veut les détails

L'affaire du chien battu à Trois-Rivières prend une dimension internationale. Une journaliste de Paris a contacté mercredi la Société protectrice des animaux de la Mauricie pour obtenir tous les détails et les publier en France.
Parmi les derniers messages d'indignation se trouve aussi celui d'un avocat qui offre ses services afin de poursuivre les auteurs de cet acte de cruauté.
Pour ce qui est de la bête, on indique qu'elle est pratiquement remise des coups qu'elle a reçus. (LC)

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CHIEN BATTU SAUVAGEMENT DANS UNE COUR D'ÉCOLE

Cruauté animale : un homme accusé

Trois-Rivières

Les policiers de la Sécurité publique de Trois-Rivières ont possiblement mis la main sur celui qui avait battu sauvagement un chien dans la cour de l'école Saint-Paul, le 28 novembre dernier. Armand Grenier, 54 ans, de Trois-Rivières, a été formellement accusé d'avoir blessé et fait souffrir inutilement un animal.

C'est lundi qu'un mandat d'arrestation a été émis contre Grenier. La même journée, il s'est présenté au palais de justice de Trois-Rivières où il a comparu. Il a été remis en liberté et devra revenir devant la cour le 13 février.

Ensanglanté et à peine conscient, le bull mastiff avait été retrouvé attaché avec une corde à linge à la clôture de l'école Saint-Paul. Il avait été laissé pour mort après avoir été brutalement frappé à la tête et au scrotum à l'aide d'un objet contondant, possiblement un bâton ou un marteau.

Il se trouve toujours à la Société protectrice des animaux de la Mauricie (SPAM) où il continue à prendre du mieux. Le directeur général de l'organisme, Serge Marquis, espère lui trouver une famille d'ici la fin du mois de janvier. Il a fait l'objet d'examens comportementaux au cours des dernières semaines. Il ne semble pas agressif, mais la SPAM veut quand même choisir sa prochaine famille avec attention.


Tous les détails dans l'édition papier du Nouvelliste du 11 janvier 2007.
http://www.cyberpresse.ca/article/20070111/CPNOUVELLISTE/701110735/5409/CPNOUVELLISTE

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Cet homme meriterai le meme traitement qi'il a fait subir a cette pauvre bete puker et la prison Mad

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Cruauté envers les animaux
Un Trifluvien se livre à la police


Mise à jour le jeudi 11 janvier 2007, 13 h 43 .




Un Trifluvien de 54 ans, Armand Grenier, s'est livré à la police après avoir appris qu'il était recherché pour une sordide histoire de cruauté envers un animal.

Grenier a été formellement accusé d'avoir blessé un bull mastif de trois ans et de l'avoir fait souffrir inutilement le 29 novembre dernier.

Il aurait sauvagement battu l'animal avant de l'attacher à une clotûre de l'école Saint-Paul où il a été laissé pour mort.

L'animal est toujours soigné par la Société de protection des animaux.

http://www.radio-canada.ca/regions/mauricie/2007/01/11/003-cruaute_grenier.shtml

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Le jeudi 11 janvier 2007


Le chien qui avait été battu sauvagement dans la cour de l'école Saint-Paul, le 28 novembre dernier, se porte beaucoup mieux, grâce notamment aux bons soins de Marie-Eve Thivierge, technicienne à la SPAM.
Photo: Stéphane Lessard

CHIEN BATTU SAUVAGEMENT DANS UNE COUR D'ÉCOLE

Cruauté animale : un homme accusé

Marie-Eve Lafontaine

Le Nouvelliste

Trois-Rivières

Les policiers de la Sécurité publique de Trois-Rivières ont possiblement mis la main sur celui qui avait battu sauvagement un chien dans la cour de l'école Saint-Paul, le 28 novembre dernier. Armand Grenier, 54 ans, de Trois-Rivières, a été formellement accusé d'avoir blessé et fait souffrir inutilement un animal.

C'est lundi qu'un mandat d'arrestation a été émis contre Grenier. La même journée, il s'est présenté au palais de justice de Trois-Rivières où il a comparu. Il a été remis en liberté et devra revenir devant la cour le 13 février.

Ensanglanté et à peine conscient, le bull mastiff avait été retrouvé attaché avec une corde à linge à la clôture de l'école Saint-Paul. Il avait été laissé pour mort après avoir été brutalement frappé à la tête et au scrotum à l'aide d'un objet contondant, possiblement un bâton ou un marteau.

Il se trouve toujours à la Société protectrice des animaux de la Mauricie (SPAM) où il continue à prendre du mieux. Le directeur général de l'organisme, Serge Marquis, espère lui trouver une famille d'ici la fin du mois de janvier. Il a fait l'objet d'examens comportementaux au cours des dernières semaines. Il ne semble pas agressif, mais la SPAM veut quand même choisir sa prochaine famille avec attention.

Tous les détails dans l'édition papier du Nouvelliste du 11 janvier 2007.

http://www.cyberpresse.ca/article/20070111/CPNOUVELLISTE/701110735/5409/CPNOUVELLISTE

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Condamné pour avoir frappé son chien avec un marteau


1 an de probation, mais aucune interdiction de posséder à nouveau un animal Mad Pas de prison et aucune amende à payer. Thumb down

Mise à jour le mardi 13 février 2007, 16 h 54 .


Palais de justice de Trois-Rivières (archives)

À Trois-Rivières, Armand Grenier a condamné à un an de probation pour avoir blessé son chien à la tête et l'avoir fait souffrir inutilement. Il devra respecter un couvre-feu pendant trois mois.

Cette affaire avait soulevé une vague de compassion et d'indignation.

Le 29 novembre dernier, Grenier aurait donné sept coups de marteau à l'animal de trois ans avant de l'abandonner dans la cour de l'école Saint-Paul, à Trois-Rivières.

Deux mois plus tard, le suspect a été identifié par les policiers de Trois-Rivières qui ont lancé un mandat d'arrestation contre le Trifluvien. Grenier s'était alors rendu aux policiers.

Des dons ont permis d'amasser quelque 1 700 $ pour la SPA Mauricie puisse soigner le chien qui se porte mieux maintenant. Il devrait être adopté prochainement.

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J'avais consommé des peanuts

Claude Savary
Le Nouvelliste
Trois-Rivières

Armand Grenier, un homme de 54 ans qui avait battu sauvagement un chien le 28 novembre dernier et qui l'avait abandonné en l'accrochant à une clôture alors que l'animal était sérieusement blessé, s'en sort finalement avec un sursis de sentence assorti d'une assignation à résidence. Madpuker

Le juge Guy Lambert a pris en compte la situation personnelle de l'accusé, il est invalide et il est pratiquement sans le sou, pour surseoir au prononcé de sa sentence. Il a plutôt choisi de décréter un couvre-feu de 18 h à 6 h du matin pour le premier mois, et de 21 h à 6 h du matin pour les deux mois suivants. Il ne pourra par ailleurs fréquenter les bars pendant un an. Aucune interdiction de posséder un animal n'a toutefois été prononcée.

Une correction

Selon la version fournie par l'accusé, il avait acquis le pitt-bull mastiff trois mois auparavant. Il n'était rien arrivé de fâcheux avant le 28 novembre. Ce jour-là, l'animal s'en est pris à un plus petit chien de la maisonnée et l'a tué. "Comme il y avait un petit enfant dans la maison, j'ai sorti le chien dehors pour le calmer et pour lui donner une correction", a confié le quinquagénaire en soulignant qu'il avait téléphoné à la SPAM où on lui aurait répondu qu'on ne pourrait s'occuper du chien que le lendemain.


En fait, au moment des événements, l'accusé n'avait pas toute sa tête. "J'avais consommé des peanuts", a-t-il dit dans son langage imagé. Il avait pris quelques comprimés d'ectasy et un peu de pot de son propre aveu. Au juge, hier, Grenier a raconté qu'il avait asséné deux coups de poing à son chien sans plus. Le juge Lambert a réagi en demandant à l'accusé de dire la vérité puisque la police avait découvert un marteau maculé de sang. Du bout des lèvres, l'accusé a dit qu'il avait effectivement utilisé un marteau pour corriger son animal et s'en débarrasser.

Lorsque des policiers de la Sécurité publique de Trois-Rivières se sont présentés près de l'école Saint-Paul, ils y ont vu une scène difficile à supporter. Le chien portait de multiples blessures et plusieurs plaies suintaient le sang. L'animal était attaché à une clôture de l'école de manière tellement serrée qu'il avait peine à bouger. Il fut aussitôt confié aux bons soins de la Société protectrice des animaux de la Mauricie (SPAM). Un examen a permis de constater que l'animal avait été frappé au niveau du front et d'un oeil de même qu'au scrotum. Heureusement, aucune blessure interne n'a été décelée.

Le directeur général de la SPAM, M. Serge Marquis, n'a pu être joint hier mais il y a quelques semaines il déclarait que l'animal s'est remis physiquement de ses blessures. Mais il a précisé qu'il ne sera probablement jamais confié à une famille avec des enfants. Le chien n'est pas agressif mais seuls des gens ayant déjà pris soin d'animaux battus ont la capacité de s'en occuper, avait indiqué M. Marquis. L'examen clinique avait d'ailleurs révélé qu'avant d'appartenir à Armand Grenier, l'animal avait probablement été battu par d'autres propriétaires.

"Ça ne se fait pas"

Au moment de rendre sentence et après avoir entendu la procureure de la Couronne, Me Joanne Tourville, expliquer ce qui s'était passé, le juge Lambert a dit que des choses comme celles-là ne se faisaient pas. Le magistrat aurait souhaité imposer des travaux communautaires mais l'invalidité de l'accusé l'a fait changer d'idée. Le procureur d'Armand Grenier, Me Yvan Braun, avait pour sa part proposé que son client remette mensuellement une somme d'argent pour payer en partie les soins prodigués au chien mais le juge a conclu que l'accusé n'avait pas la capacité de payer.


Être responsable

Mme Stéphanie Corbeil, une femme qui a été fortement touchée par le sort fait au chien et qui a fourni personnellement quelques centaines de dollars en plus d'organiser une collecte de fonds pour défrayer les soins médicaux, a dit souhaiter que les gens prennent leurs responsabilités lorsqu'elles ont la charge d'un animal. "Il ne s'agit pas de bannir les pitt-bulls mais de rendre plus responsables leurs maîtres", a-t-elle précisé à la sortie de la salle d'audience. Quant à Armand Grenier, il se disait content de ne pas avoir d'amende à payer.

Trouvé ici:
http://www.cyberpresse.ca/article/20070214/CPNOUVELLISTE/702140883/5663/CPACTUEL03

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Armand Grenier, la SPAM et la cruauté animale

Marie-Eve Lafontaine
Le Nouvelliste
Trois-Rivières

La Société protectrice des animaux de la Mauricie (SPAM) se dit déçue et étonnée de la sentence imposée à Armand Grenier, qui avait violemment battu son chien en novembre dernier. Elle déplore particulièrement le fait que le Trifluvien puisse encore être propriétaire d'un animal.

"Considérant les mauvais traitements qu'il a infligés au chien, on est étonné qu'il n'ait pas eu une interdiction de posséder un animal, explique M. Serge Marquis, directeur général de la SPAM. Je crois comprendre que le juge a voulu prendre en considération sa situation personnelle, sauf que je ne pense pas qu'une interdiction aurait eu un impact financier pour ce type-là."

Rappelons que Grenier s'en est sorti avec un sursis de sentence assorti d'une assignation à résidence. Le juge Guy Lambert a pris en compte que l'homme de 55 ans est invalide et sans le sou. Par ailleurs, l'accusé avait déclaré au tribunal qu'il avait contacté la SPAM après avoir battu son chien, mais on lui aurait alors répondu qu'il n'était pas possible d'aller chercher l'animal avant le lendemain matin. M. Marquis mentionne que rien ne lui démontre que le quinquagénaire a réellement téléphoné à son organisme.

"Le soir nos bureaux sont fermés, donc il serait tombé sur une boîte vocale. Il n'y a personne ici qui m'a indiqué que ce monsieur aurait pu appeler ici. Mais je crois comprendre que monsieur était peut-être dans un état pour ne pas tout à fait se souvenir de ce qu'il a pu faire."

Rappelons que sous l'effet de la drogue, Armand Grenier avait violemment battu son chien, un bull mastiff, avec un marteau. Il l'avait laissé pour mort, attaché à la clôture de la cour de l'école Saint-Paul, dans les vieux quartiers. Il avait agi ainsi parce que son animal avait tué un petit chien plus tôt dans la journée. Le bull avait subi d'importantes blessures à la tête et au scrotum.

Heureusement, il s'en est tiré. Il a même été adopté il y a quelques jours. "Il se porte très bien. On va assurer un suivi quasi quotidien sur une période de 21 jours et après, il y aura un suivi régulier qui sera fait jusqu'à temps qu'on considère que l'adoption a été un succès. Mais il est certain qu'il se trouve dans une famille qui va être en mesure de lui donner l'affection, la compréhension et le respect qu'il n'a pas trouvés dans le passé", se réjouit le directeur général.

Toute cette histoire a soulevé un vent de sympathie et environ 1700 $ ont été amassés par des gens émus par les malheurs de cet animal. Cet argent servira à constituer un fonds pour les animaux maltraités. "Tous les témoignages d'appui et de solidarité qu'on a reçus sont un baume pour nous. On voudrait que plus jamais des histoires comme celles-là se produisent, c'est trop horrible.", confie M. Marquis.

Trouvé ici: http://www.cyberpresse.ca/article/20070215/CPNOUVELLISTE/702150930/5409/CPNOUVELLISTE

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Citation :
le juge a voulu prendre en considération sa situation personnelle, sauf que je ne pense pas qu'une interdiction aurait eu un impact financier pour ce type-là."


Exactement ! Mad

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Animal a écrit:
Citation :
le juge a voulu prendre en considération sa situation personnelle, sauf que je ne pense pas qu'une interdiction aurait eu un impact financier pour ce type-là."


Exactement ! Mad


Incroyable ce minable pourra encore refaire la même chose à un autre animal, néanmoins cette fois-ci, parions qu'il sera prudent, le tout se fera bien discrètement dans sa maison et un jour on retrouvera une pauvre bête morte dans les ordures de ce gros minable. Sad

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ça me fait penser à cet autre minable qui tuait les chats du voisinage en les noyant dans un baril rempli d'eau (il me semble que c'était dans le bout de Cap-Rouge à Québec). À ma connaissance, lui non plus n'a pas été puni pour ses actes Mad

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Trois-Rivières

Un an de probation pour avoir battu son chien

Un homme qui avait sauvagement battu un chien à Trois-Rivières écope d'une peine d'une année de probation. Armand Grenier, qui avait plaidé coupable, a avoué avoir agi sous l'effet de l'ecstasy.
Il avait battu son chien à coups de marteau, en novembre dernier. La bête venait de s'attaquer à un chien au point de le tuer. L'accusé affirme aussi avoir agi pour protéger un enfant qui se trouvait à proximité.

Malgré sa condamnation, Armand Grenier peut toujours posséder un chien. Le juge ne lui a pas posé cette interdiction, ce qui déplaît à la SPCA.

Le chien, qui a été placé dans une famille d'accueil, se porte bien aujourd'hui.

En vidéo, écoutez les explications de Chantal Carignan
http://lcn.canoe.com/lcn/infos/faitsdivers/archives/2007/02/20070213-194232.html

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