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Animal

Pickton donnait ses victimes à manger aux cochons

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Le mercredi 24 janvier 2007




Rob Papin, cousin de Georgina Papin, une des victimes alléguées de Robert Pickton.
Photo Reuters




RÉVÉLATIONS TROUBLANTES

Pickton donnait ses victimes à manger aux cochons

Presse Canadienne

New Westminster


Une connaissance du présumé tueur en série Robert Pickton a déclaré à la police que Pickton lui avait déjà dit qu'il avait tué des femmes par derrière, les avait saignées et données en pâture à ses cochons.

http://www.cyberpresse.ca/article/20070124/CPACTUALITES/70124188/6392/CPACTUALITES

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Il reconnaît avoir un fusil de calibre 22, mais uniquement pour abattre des porcs, dit-il. « Il faut parfois tirer trois, quatre, cinq fois, car ils ont le crâne très dur. Et il faut mettre un sac de plastique comme silencieux, ajoute-t-il. Oh, je ne devrais pas parler… »

http://www.cyberpresse.ca/article/20070125/CPACTUALITES/70125032/6392/CPACTUALITES

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A l'époque de la découverte des crimes, il a été dit qu'il y aurait eu de cette chair humaine vendue à travers celle des cochons et que les consommateurs auraient donc mangé ainsi de la chair humaine.

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Tu as raison animo ! Je me souviens également avoir lu ça dans les journaux...

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Canada : Pickton donnait les corps des victimes à manger aux cochons
publié le jeudi 25 janvier 2007


Le Canadien Robert Pickton, accusé d’avoir tué 26 femmes, donnait les dépouilles de ses victimes à manger à ses cochons, a affirmé un ancien employé de sa ferme. Le témoignage, dont une vidéo a été diffusée lors du procès, remontait à 2002.

"Il les amenait dans une pièce et les donnait à manger aux cochons", déclare Andy Bell, ex-employé de Pickton dans un extrait vidéo montré à Pickton lors de son interrogatoire par la police, au lendemain de son arrestation en février 2002. Pickton réagit en s’exclamant "Oh ! Ça alors !", avant de rire et de dire : "en voila une drôle d’histoire".

En 2004, les autorités sanitaires de Colombie-Britannique avaient mis en garde la population contre la consommation de saucisses fabriquées dans la région, de crainte que la viande provenant de la porcherie Pickton ne contienne des restes humains.

Les jurés ont poursuivi mercredi l’écoute de l’enregistrement de l’interrogatoire de 11 heures de l’ancien éleveur de porcs âgé de 57 ans dans lequel celui-ci qualifie de "foutaises" les accusations contre lui. Dans cet enregistrement réalisé alors qu’il n’était accusé que de deux meurtres et que la police n’avait pas encore découvert de restes humains chez lui, Pickton affirme "être un simple éleveur de porcs", victime d’un "coup monté".

Dans la partie diffusée mercredi, Pickton déclare notamment au policier l’interrogeant qu’il se servait de son pistolet recouvert d’un godemiché en guise de silencieux pour faire moins de bruit lorsqu’il abattait les porcs qu’il élevait. A l’ouverture du procès lundi, le procureur Derrill Prevett avait présenté le pistolet et le godemiché découverts sur le terrain de la ferme de Pickton comme une importante pièce à conviction contre lui. Il avait indiqué que le godemiché portait des traces d’ADN de Pickton et d’une des six femmes qu’il est accusé d’avoir tuées.

Robert Pickton, qui a plaidé non-coupable, est accusé d’avoir tué 26 femmes, mais il n’est jugé dans le procès actuel que pour six meurtres.

SDA-ATS

http://www.armees.com/Canada-Pickton-donnait-les-corps-des-victimes-a-manger-aux,15286.html

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Ferme de Robert Pickton
Une policière parle d'animaux négligés
Presse Canadienne (PC) Greg Joyce
19/02/2007 20h29


Une policière d'expérience, les larmes aux yeux et la voix brisée par l'émotion, a décrit aujourd'hui le triste spectacle d'animaux négligés et mourant à l'extérieur de la roulotte où vivait le présumé meurtrier Robert Pickton.

L'agente Daryl Hetherington, membre du service de police de Vancouver depuis 26 ans, a été envoyée à la propriété de Port Coquitlam, en Colombie-Britannique, le 7 février 2002, un jour après que la police eut investi les lieux à la suite de la découverte d'éléments de preuve liés à l'enquête menée sur la disparition de nombreuses femmes dans le centre-ville de Vancouver.

Mme Hetherington a affirmé lundi au procureur de la Couronne, Mike Petrie, avoir passé 22 mois sur le site. Sa première impression, une fois arrivée sur place, était que rien ne semblait en ordre ou à sa place.

À côté de la roulotte de Pickton se trouvait une remorque bétaillère. Une truie gisait au fond de cette remorque, a raconté la policière, qui a alors dû cesser de parler un moment afin de retrouver son calme, tenant à la main un mouchoir tendu par un greffier de la cour.

«Cela semblait être une portée avortée», a affirmé Mme Hetherington.

«Elle (la truie) était dans un tel état qu'elle ne pouvait se lever», a ajouté l'agente, avant de s'interrompre de nouveau.

La policière a ensuite raconté que les foetus étaient tombés sous la remorque, dans la boue. Un pit-bull s'amusait avec eux, a-t-elle précisé.

Devant la remorque se trouvaient quatre porcs affamés, chacun d'entre eux pesant seulement environ 12 kilogrammes.

Mme Hetherington a dit avoir vu un autre porc, d'un poids de quelque 70 kilos et montrant «des signes évidents de détresse».

La voix une fois de plus brisée par l'émotion, elle a raconté que la patte avant gauche de l'animal paraissait avoir été «sévèrement blessée et semblait être en train de pourrir».

«Aucun des animaux n'avait de l'eau ou de la nourriture», a déclaré la policière.

Robert Pickton subit son procès pour les assassinats de six femmes de Vancouver -Mona Wilson, Brenda Wolfe, Marnie Frey, Sereena Abotsway, Andrea Joesbury et Georgina Papin. Il est aussi accusé des meurtres de 20 autres femmes, pour lesquels il fera face à la justice plus tard.

Trouvé ici:
http://www2.canoe.com/infos/societe/archives/2007/02/20070219-202946.html

Dossiers
• Procès de Robert Pickton
http://www.canoe.com/infos/dossiers/archives/2007/01/20070126-144800.html

Un policière témoigne de la découverte de restes humains chez Pickton


NEW WESTMINSTER, C.-B. (PC) - Une policière d'expérience qui a passé près de deux ans à effectuer des fouilles sur la propriété du présumé meurtrier Robert Pickton a affirmé mardi que la tête coupée en deux de Mona Wilson ainsi que ses mains, ses pieds et d'autres parties du corps en décomposition avaient été découverts dans l'abattoir utilisé par l'accusé.
La policière Daryl Hetherington, de la police de Vancouver, a indiqué dans le cadre de son témoignage au procès de Pickton qu'elle figurait au nombre des douzaines de policiers ayant procédé à des fouilles dans plusieurs bâtiments de la propriété appartenant à Pickton, à Port Coquitlam, en Colombie-Britannique, à partir de février 2002.

En juin 2002, elle a été appelée à saisir des éléments de preuve qui avaient été découverts par deux autres enquêteurs dans l'abattoir.

Mme Hetherington a alors vu deux seaux à ordures, placés l'un dans l'autre. L'un d'eux contenait les restes humains.

Interrogée par le procureur de la Couronne, Mike Petrie, la policière a affirmé avoir constaté dans le seau du bas la présence des deux moitiés d'un crâne humain, un pied droit et un pied gauche, une main droite et une main gauche, de même que des dents et un certain nombre de morceaux de tissus humains en voie de se décomposer.

Ces restes humains ont été retirés du seau et envoyés à des spécialistes pour autopsie. Ils ont été identifiés comme étant ceux de Mona Wilson.

Lundi, Mme Hetherington avait raconté à la cour avoir vu sur la propriété de Pickton des animaux dans un évident état de détresse.

Les larmes aux yeux et la voix brisée par l'émotion, la policière avait décrit de quelle façon elle avait vu une truie qui semblait avoir avorté et une autre truie qui paraissait avoir une patte en état de putréfaction.

Robert Pickton subit actuellement à New Westminster, en Colombie-Britannique, son procès pour les assassinats de six femmes - Mona Wilson, Brenda Wolfe, Marnie Frey, Sereena Abotsway, Andrea Joesbury et Georgina Papin. Il est aussi accusé des meurtres de 20 autres femmes, pour lesquels il fera face à la justice plus tard.

Toutes ces femmes ont été portées disparues dans le centre-ville de Vancouver.

Trouvé ici:
http://www.info690.com/nouvelle-policiere_temoigne_decouverte_restes-79542-2.html

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Des ressemblances entre la façon dont Pickton abattait les porcs et le traitement réservé aux cadavres de femmes


Presse Canadienne (PC)
16/05/2007 21h47



Plus tôt mercredi, un vieil ami de la famille de l'accusé, qui le connaît depuis environ 50 ans, a raconté que Pickton débitait les porcs de façon traditionnelle après les avoir tués avec une arme à feu de calibre .22.

Robert Korac, qui gagnait sa vie comme boucher commercial, a indiqué aux jurés qu'il connaissait la famille de Pickton depuis des décennies et qu'il en avait été assez proche pour porter le cercueil de ses deux parents.

M. Korac a expliqué que Pickton tuait d'abord les porcs d'un coup de feu dans le front, avant d'en chauffer la carcasse dans de l'eau bouillante pour en retirer les poils et les pendre ensuite par une patte arrière.

«Il les levait dans les airs pour les saigner», a précisé Robert Korac. Pickton utilisait un couteau de boucherie, qu'il plantait sous le cou des animaux. Parfois, il utilisait un grattoir ou un chalumeau pour retirer les poils les plus rudes.

La Couronne espérait, avec ce témoignage, souligner des ressemblances entre la façon dont Pickton abattait les porcs et le traitement réservé aux cadavres de femmes retrouvés sur sa propriété.

Pickton est accusé du meurtre au premier degré de six femmes. Il sera jugé plus tard pour le meurtre de 20 autres femmes.

http://www2.canoe.com/infos/societe/archives/2007/05/20070516-214738.html

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Une amie de Robert Pickton a remarqué du sang dans sa maison

NEW WESTMINSTER, C.-B. (PC) — Une bonne amie du présumé meurtrier en série Robert Pickton a changé son témoignage mercredi et indiqué avoir vu du sang dans sa roulotte résidentielle.

Pendant six mois, autour de 1996 ou 1997, Ingrid Fehlauer a fait le ménage chez Pickton. Elle passait l'aspirateur, lavait les planchers et faisait la lessive. Elle a dit qu'elle était une bonne amie de l'accusé, mais qu'ils n'ont jamais entretenu une relation intime.

Dans son témoignage mercredi matin, Mme Fehlauer avait dit n'avoir rien remarqué d'anormal dans sa roulotte résidentielle ou son abattoir, sauf de la saleté sur la moquette.

Toutefois, durant le contre-interrogatoire en après-midi, elle a déclaré au procureur de la Couronne que le récit précédent n'était pas véridique.

Le procureur, Me Mike Petrie, a rappelé que par deux fois, la défense lui avait demandé si elle avait relevé quelque chose d'anormal et elle avait dit non.

"En fait, à une occasion, vous avez vu beaucoup de sang partout", a souligné Me Petrie.

"Oui", a-t-elle rétorqué.

Il lui a demandé pourquoi elle avait donc livré un autre témoignage en matinée.

"J'avais compris que cela ne serait pas mentionné ici", a-t-elle argué. Elle a expliqué que les deux avocats de la défense lui avaient assuré, avant qu'elle n'aille à la barre, que le sujet ne serait pas abordé.

La Couronne lui a demandé si le premier témoignage, sur la saleté, était faux. Elle a acquiescé.

"Vous saviez que cela n'était pas vrai au moment (où vous avez témoigné)", a-t-il lancé.

"Oui", a-t-elle admis.

Avant que le procureur n'enchaîne avec d'autres questions, le juge s'est adressé aux jurés. Il leur a souligné que l'avocat de la défense ne s'était pas conduit de façon inappropriée en disant à Mme Fehlauer qu'il ne fallait pas faire mention du sujet.

"Je pense que les questions et les réponses que nous venons d'entendre permettent d'établir qu'elle a faussement répondu à des questions ce matin", a-t-il ajouté.

Plus tôt, Mme Fehlauer avait dit qu'elle avait cinq ou six ans la première fois qu'elle a rencontré Pickton.

Aujourd'hui âgée de 36 ans, la femme le visitait trois à quatre fois par semaine, du temps où elle habitait juste en face de chez lui, à Port Coquitlam, et, parfois, elle veillait chez lui passé minuit.

En contre-interrogatoire, elle a aussi admis qu'elle s'était trompée sur la période au cours de laquelle elle vivait en face de chez l'accusé et qu'elle avait aussi donné la mauvaise adresse.

A l'avocat de la défense, elle avait précisé qu'elle avait vécu près de chez Pickton entre 1994 et 1998, mais au procureur de la Couronne, elle a plutôt dit entre 1996 et 1998.

"Pourquoi vous en rappelez-vous maintenant?", a lancé le procureur, Mike Petrie.

"Je ne sais pas quoi dire, a-t-elle confié. J'ai fait une erreur."

La Couronne lui a aussi demandé si elle savait que des prostituées venaient parfois à la propriété de Pickton. Elle a soutenu qu'elle n'était pas au courant et que durant ses séances de nettoyage, elle n'avait jamais remarqué de vêtements féminins ou d'aiguilles.

Le procureur lui a aussi demandé à de nombreuses reprises de quoi elle et Pickton discutaient. Elle a indiqué que leurs conversations portaient sur le travail de Pickton et les animaux. Pickton tenait en effet un abattoir.

Le jury a aussi appris que Mme Fehlauer était l'ancienne belle-soeur du frère de Pickton, Dave, dont le nom est revenu souvent au cours du procès.

Pickton est accusé du meurtre prémédité de six prostituées, mais il sera jugé dans un procès ultérieur pour 20 autres chefs d'accusation d'homicide.
http://canadianpress.google.com/article/ALeqM5iAP5gIZm1T0sjLxJ_SeRJHMcOHFA

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