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Animal

Chasse au phoque / VOTRE AVIS S.V.P.

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Le gouvernement veut augmenter la distance qui séparera les chasseurs de phoques des observateurs (les défenseurs des Animaux = IFAW, HSUS, etc.), de 10 mètres à 20 mètres.... Bien sûr, à cette distance, les observateurs auront beaucoup de difficulté à filmer cette chasse !
Donnez votre opinion au gouvernement...
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PERMIS D'OBSERVATION DE LA CHASSE AU PHOQUE

Avant de pouvoir observer la chasse au phoque au Canada, les intéressés doivent obtenir un permis d’observation de la chasse au phoque délivré par le ministère des Pêches et des Océans (MPO). Aux termes de ce permis, il est interdit à l’observateur de s’approcher à moins de 10 mètres d’une activité de pêche du phoque. Cette distance minimale est incluse dans les permis d’observation pour la pêche du phoque afin d’éviter toute perturbation de la chasse.

Le MPO a été appelé à examiner la distance minimale que doivent respecter les observateurs pendant la chasse au phoque. Selon un grand nombre d’intervenants, il s’agit d’une question de sécurité pour les chasseurs et les observateurs. Certaines parties s’opposent à cette exigence alors que certains chasseurs voudraient qu’elle soit plus rigoureuse.

La distance minimale que doivent respecter les observateurs en vertu du permis d’observation pour la pêche du phoque devrait-elle passer de 10 mètres à 20 mètres? À votre avis, faudrait-il choisir une autre distance?

Nous vous saurions gré de nous faire part de votre opinion et de vos commentaires à ce sujet. Vos commentaires sont très importants et seront pris en compte lors de la prise de décisions. Veuillez nous donner le plus de détails possible et nous envoyer vos commentaires par courriel à l’adresse resatl@dfo-mpo.gc.ca au plus tard le 16 février 2007.

http://www.dfo-mpo.gc.ca/seal-phoque/licence-permis_f.htm

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Aequo Animo a fait parvenir une lettre aujourd'hui -

Espérons qu'ils en reçevront plusieurs

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Take action now

The Department of Fisheries and Oceans (DFO) is trying to restrict the monitoring of Canada’s commercial seal hunt by increasing the distance hunt observers must remain from sealers from 10 to 20 metres.

IFAW monitors risk their lives each year by taking to the ice to film the hunt, documenting the cruelty and alleged violations of Marine Mammal Regulations and sharing the truth about the seal hunt with the rest of the world.

If implemented, this increase will make documenting the seal hunt difficult and often impossible. Please email the DFO today and tell them NOT to increase the minimum distance to observe sealers.

http://www.ifaw.org/ifaw/general/default.aspx?oid=17782&aid=8080&tr=y&auid=2361479

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En quelques jours seulement, le Ministère aurait reçu plus de 2 000 réponses... Malheureusement, on ne sait pas si elles proviennent toutes de défenseurs des animaux...

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Le 15 février 2007 - 20:52
Ottawa veut éloigner davantage chasseurs de phoques et observateurs
Presse Canadienne
Mad

Le gouvernement fédéral étudie la possibilité de changer les règles entourant la chasse aux phoques sur la côte Est pour faire passer la distance minimale séparant chasseurs et observateurs de 10 mètres à 20 mètres.

Le ministère des Pêches et Océans Canada a déjà reçu plus de 2000 réponses après avoir lancé la semaine dernière un programme de consultations publiques sur son site internet, a indiqué jeudi un porte-parole du ministère.

"C'est une question de sécurité autant pour les chasseurs que les observateurs", a indiqué le porte-parole Phil Jenkins.

"L'idée est de réduire les tensions sur la glace et de permettre aux chasseurs de continuer à faire leur travail sans être dérangés."

Les consultations publiques se terminent vendredi et le ministre des Pêches, Loyola Hearn, prendra alors une décision.

Il n'est pas certain qu'un changement de règles serait en vigueur pour l'ouverture de la saison de la chasse, prévue pour la fin mars, a indiqué le porte-parole Jenkins.

Selon Rebecca Aldworth, de la Humane Society of the United States, un groupe de protection des animaux qui condamne la chasse aux phoques depuis des années, le ministre Hearn a déjà pris sa décision quant à l'agrandissement de la zone d'exclusion.

Selon elle, les nouvelles dimensions de la zone rendront l'observation plus difficile, non seulement pour les groupes de protection des animaux, mais aussi pour les politiciens et les journalistes qui gardent un oeil sur la chasse.

"Ça peut être difficile, même à 10 mètres, de documenter ce que les chasseurs font. 20 mètres ce sera très difficile, et parfois même impossible", a estimé Mme Aldworth.

"Je crois que c'est un geste très évident de la part du gouvernement fédéral pour stopper les images sur la chasse qui réduisent le marché des produits du phoque dans le monde."

Le gouvernement canadien assure que la chasse aux phoques, une importante source de revenus pour plusieurs communautés côtières dans l'Est canadien, est renouvelable et n'est pas cruelle.

La plupart de l'observation de la chasse se déroule au début de la saison dans le golfe du Saint-Laurent, au large de l'Ile-du-Prince-Edouard et des Iles-de-la-Madeleine.

Le plus grande partie de la chasse se déroule au large de Terre-Neuve et Labrador, où les distances avec les côtes sont plus grandes et l'observation est pratiquement impossible.

Trouvé ici: http://www.matin.qc.ca/canada.php?article=20070215205210

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Les chasseurs de phoques ne sont pas des barbares getyou

J'ai scruté le net pour voir si le réalisateur Raoul Jomphe était un "militant écologiste", je n'ai rien trouvé à part les mêmes articles sur le film. scratch

Est-ce que le gouvernement du Canada a accordé une subvention pour la réalisation de son film. confused


par Brigitte Dubé redaction.matane@hebdosquebecor.com

Symbole favori des détracteurs la chasse aux phoques, le blanchon est des plus séduisants. Photo Raoul Jomphe
Même s'il ne mange pas de viande, que du poisson, Raoul Jomphe dit comprendre les motivations des chasseurs de phoques qui, au fond, perpétuent des rituels ancestraux. Collaboration Raoul Jomphe
Le film de Raoul Jomphe décrit les techniques de chasse des Madelinots. L'instrument utilisé: le hakapik. Photo Raoul Jomphe

Avec Phoques, le film, le cinéaste Raoul Jomphe de Saint-Léandre apporte une nouvelle et surprenante perspective à la campagne anti-chasse aux phoques aux Îles-de-la-Madeleine. «Je me demandais depuis longtemps comment les chasseurs, des gens si accueillants l'été, pouvaient se transformer en barbares sanguinaires l'hiver, raconte-t-il. Pour moi, ça n'avait aucun sens. Je voulais comprendre ce qui clochait dans cette histoire.»

Un film d'opinion
Ainsi, pendant trois ans, il a suivi des chasseurs sur la banquise, mais aussi des animalistes (le lobby anti-chasse), réalisé des entrevues avec divers spécialistes et déniché d'anciens bouts de films. «Avec le temps, prévient ce réalisateur qui ne mange pas de viande, c'est devenu un film d'opinion, favorable aux chasseurs.»

Les Matanais pourront le voir grâce à CinémAlice le mercredi 21 février à 19h30, à la salle Lucien-Bellemare du cégep de Matane.

Les blanchons ne sont plus chassés depuis 20 ans
Avec son titre phonétiquement provocateur, Phoques, le film a été présenté uniquement aux Madelinots, qui ont fort bien réagi. «C'était un public conquis d'avance, admet Raoul Jomphe, mais les gens l'ont reçu comme un baume sur des plaies vives.»

Ces blessures, elles font souffrir les Madelinots, pêcheurs ou non, depuis plus de 40 ans. En 1964, le Québécois Serge Deyglun avait montré des phoques en train de se faire écorcher vivants, ce qui ne se voit jamais. Raoul Jomphe raconte que Deyglun avait payé des gens pour que les images soient les plus cruelles possible.

Plus tard, l'actrice française Brigitte Bardot a repris le flambeau en montrant des bébés phoques (blanchons) ensanglantés sur la banquise, criant «Canadiens assassins!»

Aujourd'hui, les animalistes diffusent encore des images de blanchons alors qu'on ne les chasse plus depuis 20 ans.

Comment manipuler habilement l'opinion publique
«Profitant de la sensibilité des gens, les animalistes ramassent des millions pour sauver les phoques», s'indigne le cinéaste. Ce que le spectateur peut constater en regardant le film, c'est que la chasse est surtout payante pour eux. On y apprend qu'un chasseur peut gagner 7 000$, le quart de son revenu annuel, mais que le président de l'une de ces organisations de défense des droits des animaux, la Humane Society of the United States (HSUS) touche 510 000$ américains par année.

Par ailleurs, les animalistes ont les moyens d'inviter des journalistes toutes dépenses payées en avion et en hélicoptère pour les convaincre, eux et le public.

Sans rien faire pour l'aider
Des images de Raoul Jomphe montrent Rebecca Aldworth de la Human Society des États-Unis faisant une entrevue avec en arrière-plan un phoque blessé.

Plusieurs minutes s'écoulent sans que personne ne porte secours à l'animal qui réussit tout à coup à se glisser à l'eau. Mme Aldworth ordonne alors qu'il soit remonté sur la glace pour pouvoir le filmer encore, toujours sans rien faire pour l'aider.

Une carrière prometteuse pour Phoques, le film
Réalisé par Raoul Jomphe et produit par Cécile Chevrier des Productions Phare Est, Phoques, le film suscite l'intérêt des Européens et sera traduit en anglais. Il sera bientôt diffusé au réseau RDI.

Raoul Jomphe a reçu plusieurs demandes d'entrevues, signe qu'une carrière prometteuse s'annonce pour son film. Si tout se déroule bien, il pourrait se promener un peu partout dans le monde. Des journalistes européens qui ont vu Phoques, le film ont dit avoir compris qu'il était exagéré de décrire les chasseurs comme des barbares.

Tradition, identité et survie
Raoul Jomphe a ses racines à Havre-Saint-Pierre en Basse-Côte-Nord et de plus profondes aux Îles-de-la-Madeleine qu'il fréquente depuis 30 ans.

Parallèlement, il a tourné plusieurs films sur les chasses traditionnelles des Inuits.

«Pour ces gens, comme pour ceux des Îles, la chasse fait partie des traditions. C'est une question d'identité et de survie, explique-t-il en substance. Les gens des villes ont perdu contact avec ces réalités.»

Des méthodes non respectueuses pour d'autres animaux Il ajoute que, tous les jours, des porcs, des boeufs et des poulets sont abattus avec des méthodes beaucoup moins respectueuses que celles des chasseurs traditionnels et que peu de gens s'en émeuvent. Dans le film, on peut voir que le troupeau de phoques a tellement augmenté ces dernières années, que la chasse est devenue nécessaire pour contrôler la population. Il serait passé de 2,5 millions dans les années 1980 à 5,8 millions en 2006.

Trouvé ici:
http://www.hebdosquebecor.com/vxd/02182007/vxd_02182007_A1.shtml

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Citation :
Est-ce que le gouvernement du Canada a accordé une subvention pour la réalisation de son film.


Probablement que oui, tout comme il a subventionné la visite de ces journalistes européens au Canada , toutes dépenses payées, afin d'essayer de les convaincre eux et le public... ! Mad

Citation :
Par ailleurs, les animalistes ont les moyens d'inviter des journalistes toutes dépenses payées en avion et en hélicoptère pour les convaincre, eux et le public

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Ce qui est écoeurant au plus haut point; c'est que les médias n'ont jamais montré au complet au grand public les films d'observation de Ifaw sur cette chasse ( on ne montre que des petits bouts pas trop sanglants ), toutefois, on va diffuser largement le film de Raoul Jomphe dans les salles de cinéma, sur le poste d'état ( Radio-Canada ) et sur les autres chaînes de télévision. Mad juste du bourrage de crâne. Mad

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Chasse aux phoques

Un peu plus de distance SVP entre chasseurs de phoques et défenseurs des droits des animaux

Ricardo Codina ricardo.codinaSPAMFILTER@la-vie-rurale.ca Mad
VIE RURALE, Opinion du citadin, 18 Février 2007


Il semblerait que les observateurs et défenseurs des droits des animaux pourraient devoir tenir une distance de 20 mètres plutôt que 10 mètres, comme c'est le cas actuellement, dans un avenir rapproché. C'est que Pêches et Océans Canada conclut un processus de consultation qui risque d'avoir pour conséquence une augmentation de la distance entre les observateurs et les chasseurs. Une mesure, selon des chasseurs, de sécurité car à dix mètres il y a trop d'altercations qui en viennent aux coups.

Selon les règles actuelles, un observateur (lire ici un défenseur des droits des animaux farouchement opposé à la chasse aux phoques) doit se tenir à au moins dix mètres des chasseurs. Frank Pinhorn, directeur de l'Association canadienne des chasseurs de phoques, désire que ce soit 1000 mètres (1 km). Ce qui est complètement exagéré. Ce qui est étudié actuellement par Pêches et Océans Canada c'est de passer à une zone d'exclusion de 20 mètres, soit le double ce que c'est actuellement.

C'est que, outre les chasseurs, l'exercice de consultation qui s'est déroulé via Internet a recueilli près de 2000 commentaires venant des défenseurs des droits des animaux. Le ministère se devait donc de trouver un compromis entre les deux groupes. À vingt mètres, les défenseurs des droits des animaux pourraient continuer à s'approcher suffisamment pour effectuer des observations adéquates. Les chasseurs quant à eux sont plus ou moins satisfaits car ça ne change pas grand-chose en termes de distance si ce n'est un risque moins élevé d'altercations avec les opposants.

Parlant d'opposants à la chasse aux phoques, Mme Rebacca Aldworth, porte-parole du groupe américain Humane Society, a affirmé à Radio-Canada qu'il s'agit là d'un stratagème du gouvernement Harper d'empêcher les journalistes et observateurs d'effectuer un travail adéquat. Difficile de comprendre une telle attitude. Être à vingt mètres de la chasse sur une banquise sans obstacle visuel permet de faire un bon travail d'observation.

Pour l'industrie ce serait insuffisant mais mieux que maintenant. Frank Pinhorn a rapporté à Radio-Canada qu'au cours des dernières années il y a eu un petit nombre d'altercations qui consistaient en échange de coups entre chasseurs et observateurs. Étant donné que certains observateurs et chasseurs sont très émotifs, il y a une faible possibilité que cela dégénère en une situation potentiellement dangereuse voire tragique.

La chasse aux phoques débute à la fin mars mais la date précise va dépendre des conditions de glaces. Cette année serait beaucoup mieux en termes de conditions de glace que l'an passé. La date du début de la chasse étant très rapprochée, il se peut que l'augmentation de la zone d'exclusion soit mise en application non pas cette année mais en 2008.

Il reste à souhaiter qu'aucune altercation tragique ne se produise sur la banquise. Cette augmentation de la zone d'exclusion n'est pas envisagée à cause des journalistes mais bien à cause de certains activistes et groupes de défenses des animaux qui semblent chercher la confrontation avec les chasseurs. Ces derniers, de plus en plus excédés, pourraient être tentés d'accepter l'invitation. Étant donné qu'aucun des deux groupes n'est prêt à dialoguer, la situation stagne depuis trente ans. Beau dialogue de sourds, mais bon compromis éventuel de Pêches et Océans Canada. Un peu plus de distance SVP entre les chasseurs de phoques et les défenseurs des droits des animaux. Simple mesure de sécurité.

Trouvé ici: http://www.la-vie-rurale.ca/contenu/11173

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