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NEWS POUR BULLETIN PRINTEMPS 2007 SUITE...

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La survie des poissons des grands fonds menacée par la surpêche

De notre envoyé spécial à San Francisco JEAN-MICHEL BADER.

Publié le 23 février 2007



UNE PETITE moitié de kilomètre sous la surface des océans. Il fait froid, sombre, et il n'y a presque rien à manger. Sur les pentes continentales de l'Atlantique nord, les grenadiers à nez rond, les grenadiers « oeil d'oignon » ou les raies bleues cumulent les difficultés : il leur faut des décennies pour atteindre la maturité, et la pauvreté de leur habitat favorise les comportements grégaires, très dangereux en cas de pêche de fond.


Un panel d'experts vient à nouveau d'avertir les gouvernements et les pêcheries industrielles du monde sur la fragilité de ces espèces. « La récolte des poissons dans les grands fonds ressemble à l'abattage sans contrôle des arbres des forêts primaires », a expliqué Selina Heppel, de l'université de l'Oregon, lors du congrès annuel de l'American Association for the Advancement of Science (AAAS) qui s'est tenu à San Francisco la semaine dernière. « Mais nous ne savons pas comment replanter les poissons. Et malheureusement l'habitat qui leur assurait leur protection, du fait de sa difficulté d'accès, est désormais accessible grâce à de nouvelles techniques de pêche. »


Parmi les espèces les plus menacées, l'empereur et le bar chilien. Du fait de la lenteur de leur métabolisme, et de leur croissance, les poissons des grands fonds n'atteignent leur maturité sexuelle qu'autour de 30 à 40 ans. Comme ce sont surtout les individus adultes (les plus gros) qui sont pêchés, l'impact sur les populations globales est plus important, puisque ce sont ces reproducteurs qui sont prélevés.


Pour le Dr Heppel, « Lorsque vous achetez de l'empereur chez le poissonnier, vous emmenez dans votre cabas un filet d'un poisson qui a au moins 50 ans d'âge. La plupart des gens ne voient pas l'implication de cette donnée. Nous ne devrions pas manger des poissons aussi vieux que nos grands-mères ! »


Sonars et GPS


Pour ne rien arranger, la plupart des espèces de poissons des grands fonds vivent dans les eaux internationales. Ils sont pêchés par des chaluts de fond, à proximité de montagnes sous-marines où ils s'agrègent du fait de l'abondance relative de nourriture. Aujourd'hui, les sonars, systèmes de positionnement par satellite, et les énormes filets qui peuvent draguer à des centaines de mètres sous la surface aggravent la donne. Une technique de congélation instantanée (« flash freezing ») autorise les bateaux à partir plus longtemps.


L'argument des pêcheurs consistant à dire que ces espèces ont été pêchées de tout temps, ne prend pas en compte l'inefficacité de la pêche traditionnelle face aux techniques actuelles. Il est vrai que les chercheurs ne savent presque rien de ces espèces : se reproduisent-ils comme les requins en faisant de faibles nombres de jeunes, dont les chances de survie sont faibles ? Ou bien produisent-ils des milliers d'oeufs, puis de larves, victimes ensuite des prédateurs et de la famine ? Se reproduisent-ils chaque année ?


Mark Hixon, zoologue à l'université de l'Oregon, propose les « 10 commandements » qui amélioreraient la pêche. Parmi ceux-ci, il faut garder une perspective globale du fait de l'interactivité des écosystèmes et ne plus gérer une espèce de poisson isolément des autres.


Autres règles : ne plus pêcher les femelles adultes grasses qui sont les meilleures reproductrices ; mieux connaître la structure des stocks de poissons de fond ; sauvegarder les fonds où se nourrissent les espèces menacées ; mieux mesurer les modifications évolutives causées par la surpêche. Les pêcheries d'Alaska (North Pacific Fishery Management council) en suivant tant bien que mal ces règles ont déjà amélioré les stocks et la production.


Rashid Sumaila, de l'université de Colombie-Britannique, a calculé que le gouvernement américain finance à hauteur de 152 millions de dollars par an ses flottes de pêche de fond. Le Japon, la Russie, l'Espagne ou la France, en tout douze pays ont des flottes de ce type. Elles consomment en tout 433 millions de litres de gasoil chaque année, mais elles ne représentent, avec 400 000 tonnes de prises par an, que 2 % des prises totales toutes pêches confondues. Ces prises de fond ont une valeur de 985 millions de dollars : bref, sans les aides européennes ou nationales, la pêche de fond ne serait pas rentable !


http://www.lefigaro.fr/sciences

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Le dimanche 25 février 2007


Des manteaux qui ont du chien!

Nicolas Bérubé

La Presse

Los Angeles

Des manteaux d'hiver haut de gamme sont discrètement en train d'être retirés des présentoirs aux États-Unis depuis que des tests ont révélé que leur élégant col en fourrure synthétique était en fait un col en fourrure de chien.

Signés par des entreprises connues comme Andrew Marc et Tommy Hilfiger, les manteaux en question sont vendus dans les boutiques qui comptent parmi les plus chic au pays.

Une analyse commandée par la Humane Society of the United States (HSUS) vient de révéler que 24 des 25 manteaux achetés en boutique et sur le Web étaient, pour employer un euphémisme, « mal étiquetés».

Trois échantillons contenaient de la fourrure de chien domestique, alors que l'étiquette indiquait « fourrure synthétique». Les autres manteaux testés contenaient de la fourrure de chien viverrin, un animal s'apparentant au raton laveur, mais qui fait partie de la famille des canidés. Le chien viverrin est surtout présent en Asie. La plupart des manteaux testés ont été manufacturés en Chine.
Ces résultats ont surpris les chercheurs de la Humane Society. « Cela révèle un problème qui touche l'ensemble de l'industrie», a indiqué Kristin Leppert, qui dirige la campagne anti-fourrure de la HSUS.

C'est une consommatrice intriguée par la douceur et le réalisme du col synthétique de son nouveau manteau qui a mis la puce à l'oreille de la HSUS.








La HSUS enquête

La Société a donc décidé de mener sa propre enquête. Une équipe a acheté 25 manteaux dans des boutiques réputées comme Nordstrom, Tommy Hilfiger et le site Bluefly.com. En analysant l'enchaînement des protéines qui composent les poils, les experts ont pu déterminer de quelle espèce ceux-ci provenaient.
Pour Diane Webber, porte-parole de la Humane Society, les manufacturiers ferment souvent les yeux sur la provenance des matériaux utilisés dans leurs vêtements.

« Ils ne cherchent pas à savoir d'où viennent les matériaux, ils veulent le meilleur prix possible. Les manteaux en question viennent de Chine, là où il n'y a virtuellement aucune réglementation en place pour assurer le bien-être des animaux.»

Après avoir pris connaissance des résultats de l'enquête, la compagnie Tommy Hilfiger a annoncé qu'elle cessait de vendre des manteaux contenant de la fourrure. «Nous prenons cela au sérieux», a indiqué Wendi Kopsick, porte-parole de l'entreprise.

Dans un communiqué, Nordstrom a indiqué qu'elle offrait un remboursement aux clients lésés. L'entreprise affirme ne plus faire affaires avec le sous-traitant qui a fabriqué le manteau analysé.

L'entreprise Andrew Marc a pour sa part contesté des allégations de la Humane Society. Dans un communiqué, son président, Charles Jayson, affirme que les manteaux contenant de la fourrure de raton laveur sont identifiés comme tels, et que cette fourrure provient d'animaux élevés dans des fermes finlandaises.

Aux États-Unis, l'importation et la vente de fourrure de chien et de chat est une infraction. Une amende de 10 000 $ par article vendu est prévue au code pénal. La loi précise toutefois que l'action d'importer ou de vendre une telle fourrure doit être « intentionnelle».

Chien viverrin

Ce n'est pas la première fois que l'utilisation de la fourrure de chien fait les manchettes. L'an dernier, les boutiques J.C. Penney et Macy's avaient été critiquées pour avoir vendu des manteaux contenant de la fourrure de chien viverrin, alors que l'étiquette précisait qu'il s'agissait de raton laveur.

Les deux entreprises ont aussitôt retiré les manteaux des boutiques. Peu après, J.C. Penney avait remis les manteaux sur les présentoirs - après avoir rayé au marqueur noir le mot « raton» sur l'étiquette.

L'utilisation de la fourrure du chien viverrin est permise aux États-Unis, puisque celui-ci est classé dans la famille des ratons laveurs aux yeux du gouvernement. Mais plusieurs élus s'opposent à cette pratique. Un projet de loi a été déposé pour bannir l'utilisation et la vente de produits faits avec ce type de fourrure.

http://www.cyberpresse.ca/article/20070225/CPMONDE/70225006/5160/CPMONDE

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Posted on Sun, Feb. 25, 2007
State targets hogs

The growing feral swine population in Kansas has state officials on the attack. Rolling Eyes


BY MICHAEL PEARCE
The Wichita Eagle

Michael Pearce/The Wichita Eagle
Searching for feral hogs by helicopter allows biologists to easily find the animals.
More photosKIOWA COUNTY - They flew the helicopter above timbered creases amid rolling prairie.

Each watched a different direction as they moved so low the tops of cedars danced in the wash of whirling blades and they could see tiny cottontail darting about.

The helicopter banked hard when a hulking wild boar burst from a thicket. Seconds later a burst of shotgun fire from the tilted craft stopped the boar.

Such are the current jobs of pilot Mike Acklin and biologist/gunner Chad Richardson.

State and federal officials hope to keep the pair busy for two or three weeks as Kansas begins a program aimed at eradicating feral hogs.

Declaration of war

A fall survey estimated a population of a few thousand hogs in 26 Kansas counties. Since feral sows can produce two litters per year, which can contain up to 11 piglets, the range and population could grow exponentially.

"That's one reason we think it's time to get on them now," Kansas Livestock Commissioner George Teagarden said, "before things really get out of hand."

Feral hogs -- basically domestic hogs gone wild -- have been in America since the earliest European explorers.

For centuries they were mainly confined to the swamps and thickets of the south. Within the last 20 years they've expanded rapidly, and now live coast to coast in at least 30 states.

Trouble has always followed.

Disease and destruction

"Many southern states now have diseases in domestic hogs that had been gone for years," Teagarden said. "You have to figure it came from feral herds."

Texas and Oklahoma have detected such diseases in recent years. Nebraska found its first case this month.

Most of the diseases are fatal to livestock. One, swine brucellosis, can also cause severe human health problems.

The strong animals, which Teagarden described as having a"... long snout that's like a plow on the end of their face," can cause other problems.

"They've been very destructive on our wildlife food plots and farm ground," said Brad Harris, a Bourbon County land manager. "Deer stay away when hogs are around."

Past studies have shown feral hogs will eat young lambs, calves, fawns and other wildlife.

Aerial calvary

Regular hunting methods do little to control feral swine poplations.

USDA wildlife biologist Tom Halstead said it can even be detrimental, scattering feral herds and making them hard to find and work with aerial gunning and trapping.

Sport hunting wild hogs was outlawed in Kansas last year for that reason, and to discourage those who've released feral hogs in hopes of creating huntable populations.

Biologists blame such individuals for hog hot spots in and around Bourbon County in southeast Kansas, where more than 1,000 may roam.

There are also some around Clinton Reservoir near Lawrence and Kaw Reservoir east of Arkansas City.

A population appeared a few years ago in northcentral Kansas, near the Nebraska line.

" (They) didn't walk up there," Teagarden said. "They had to have some help."

Populations in the Red Hills between Medicine Lodge and Ashland may have originally been stocked. They could also be migrating from Oklahoma.

Officials see the one-two punch of aerial gunning and live trapping as the best way to control the growing problem in Kansas.

Richardson, a USDA wildlife biologist, has been teaching landowners to trap wild hogs within large pens.

Bait, such as corn, is placed inside and a bumped wire drops a gate behind the hogs.

A Red Hills rancher recently caught 10 hogs in one trap.

"They're effective and other hogs will stay in the area so you may get them eventually," Richardson said. "But they take time to bait and run."

Aerial gunning, experts say, is the most efficient method for quick elimination.

The birds-eye view makes hogs easy to spot, even in the dense cover wild swine love.

After that the pilot takes over.

"Usually you can get the hogs to line out and move where you want them," said Acklin, who's contracted to fly the ongoing project. "You can push them right into the open (for easy shooting)."

It's a method already proven in Kansas.

After several years of modest trapping results on a population that appeared on Fort Riley in the mid-1990s, Richardson employed aerial gunning.

In a few days in 1998 about 130 hogs were killed. In 1999 about 12 were shot from the air. None have been seen on the post since.

Last year, while trying to gather samples for disease testing, Acklin found a honey-hole of hogs along the Cimarron River in Clark and Comanche counties.

Halstead, the gunner, shot 64 with 00 buckshot from an eight-shot Benelli 12 gauge.

Flying the same area last Friday they found and killed only two.

"I'm fairly confident we got most of them," Halstead said. "Since last year the landowners said they haven't been seeing them like they used to."

Not a pleasure flight

Ideally the air and ground crew of federal and state biologists and veterinarians will be equally successful as they make their way around the state's wild hog hot spots.

A lot of variables exist, though, and a lot of time has already been invested.

Richardson has already logged hundreds of hours since last fall, contacting landowners to explain the program and get permission.

He's gotten about 120 landowners to open about 300,000 acres for gunning. Less than five percent turned him down.

Acklin said safety is always the main concern when airborne. That means keeping constant communication between pilot, gunner and the ground crews that recover hogs for testing and advise on property lines and flight dangers.

Acklin, who has more than 11,000 hours of aerial gunning flight time, said the job gets hairy when hogs are found.

"You're down there among the (power lines) and tree tops," he said. "You can't let yourself make any mistakes."

Friday's search was cut short because of high winds.

Richardson said the high per-hour cost of leasing the helicopter means they don't fly if they can't be very productive.

He also said the stress of watching for hogs, being safe and making head-shots on moving hogs from a moving helicopter can be tiring.

"You're cramped in a small space for hours on end. At the end of the day you're beat," Richardson said."... it's a lot different than you think."

He also said this year's aerial gunning program won't be the end of the wild hog problem.

"We can't come in and solve this problem with a helicopter in one swoop," he said. "We're going to have to use multiple techniques for several years, but it can be done."


http://www.kansas.com/mld/kansas/sports/16777122.htm

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Les développements des ces dernières semaines démontrent que même les batailles les plus longues et les plus pénibles en valent la peine:

Non seulement la Belgique, le 25 janvier 2007, a été le premier pays à prononcer l'embargo sur tous les produits et dérivés de phoque, seul moyen avéré à l'heure actuelle de venir à bout de la chasse aux phoques. D'autres pays comme l'Allemagne, la Hollande et l'Italie, sous la pression de l'opinion publique, s'apprêtent à suivre l'exemple belge. Et aujourd'hui nous parvient l'étonnante et réjouissante nouvelle de l'organisation anglaise Respect for Animals (www.respectforanimals.co.uk) que le gouvernement de Grande Bretagne, consterné par la cruauté mille fois documentée de la chasse aux phoques canadienne, demande à la Commission Européenne de décréter à son tour l’embargo sur tout produit de phoque sur tout le territoire de l’UE. La Commission de l'UE ayant répondu le 26 janvier 2007 à la Déclaration écrite des parlementaires européens qui demande l'embargo européen sur tous les produits de phoques, qu'elle examinera toute information disponible sur les pratiques de la chasse avant de prendre une décision, le gouvernement canadien triomphait en annonçant que la Commission avait purement et simplement rejeté l'embargo. Ce qui est totalement faux.

Que le Royaume Uni, en premier pays de l'UE, fasse pression sur la Commission Européenne pour qu'elle transforme en loi cette Déclaration souscrite par un nombre record des parlementaires (425), est un grand pas en avant dans la lutte contre la barbarie de la chasse aux phoques et un immense espoir pour nous et toutes les orations qui mènent ce combat avec nous.


p.s.: AUJOURD'HUI 26 FÉVRIER 2007, L'ALLEMAGNE VIENT DE SE JOINDRE À L'ANGLETERRE...


Dernière mise à jour : ( 18-02-2007 )

http://www.ffw.ch/content/view/140/666/lang,fr_FR/

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Une vente de foie gras illicite

dimanche 18.02.2007, 09:47

Un restaurant de hot dogs de Chicago est devenu la première victime du règlement municipal interdisant la vente de foie gras dans la ville des vents. Un inspecteur sanitaire de la ville s'est présenté chez "Hot Doug's" juste avant son ouverture, a donné une citation à comparaître au propriétaire et a confisqué le foie de canard ou d'oie, empêchant par conséquent la fabrication et la vente des sandwiches comprenant cet aliment. L'interdiction du foie gras à Chicago est entrée en vigueur au mois d'août en raison du gavage des oies et des canards dénoncé par des militants des droits des animaux.

http://www.lesoir.be/actualite/petite_gazette/index.shtml

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Les amis des bêtes s'attaquent aux cirques animaliers


Selon un recensement des services vétérinaires en février 2004
les cirques français hébergent 1 222 bêtes sauvages.


Girafes, hippopotames et rhinocéros seront bientôt proscrits sous les chapiteaux.

UN VENT d'inquiétude souffle sur les quelque 180 cirques animaliers de France. Sous la pression de plusieurs associations de protection des bêtes, le ministère de l'Écologie envisage en effet de limiter le nombre d'espèces pouvant être détenues en ménagerie. Dans les toutes prochaines semaines, un nouvel arrêté devrait proscrire girafes, hippopotames et rhinocéros sous les chapiteaux. « Et ce n'est qu'un début, exhorte la présidente de la SPA, Caroline Lanty : dès à présent, nous appelons à la stérilisation des animaux sauvages vivant dans des cirques pour qu'à terme cessent les situations de maltraitance dont ils sont trop souvent victimes. »

Selon un recensement effectué par les services vétérinaires en février 2004, les cirques français hébergent 1 222 bêtes sauvages dont 30 éléphants, 505 félins, 42 ours, 95 singes et 131 serpents. Pour détenir ce type de bêtes, chaque établissement doit obtenir un certificat de capacité et, au terme d'un arrêté publié en 1978, « offrir aux animaux de bonnes conditions de détention ». « Or, s'indigne Muriel Arnal, présidente de l'association One Voice, les enquêtes que nous menons dans les ménageries révèlent de graves situations de maltraitance : presque partout, les animaux sont stressés par le transport, détenus dans des cages exiguës, violentés par les dresseurs et déprimés par la solitude. »

Enchaîné dans le noir

À l'appui de leurs revendications, ces associations rappellent que plusieurs incidents ont récemment impliqué des bêtes de cirque. Le 11 février, un lion de 3 mois, vraisemblablement échappé d'une ménagerie, a été trouvé errant dans un quartier d'Avignon. Le 15, une cage aux tigres s'est écroulée à Perpignan, où une mère de famille s'est trouvée nez à nez avec un fauve. Huit mois plus tôt, à Sorgues (Vaucluse), un éléphant d'Asie avait mortellement blessé un homme qui avait pénétré dans son enclos.

Confrontées à des manquements manifestes à la réglementation, les associations n'hésitent plus à saisir la justice. En janvier 2006, la confiscation d'un éléphant nommé « Vicky », alors âgé de 42 ans et enchaîné dans le noir en permanence, a ainsi été ordonnée par un tribunal de Seine-et-Marne, qui a depuis condamné le propriétaire du cirque à 1 000 euros d'amende. Le 15 février dernier, le tribunal d'Annecy a de même ordonné la saisie de cinq lions, un tigre, un hippopotame et cinq serpents aux dépens du cirque Luigi Zavatta.

« Ces quelques dérives ne doivent pas jeter l'opprobre sur le milieu du cirque qui, dans l'ensemble, traite les animaux avec beaucoup de soin, relativise le président du Syndicat national du cirque, Gilbert Edelstein. Aujourd'hui, nous sommes inquiets de voir une association en perte de vitesse comme la SPA tenter de mobiliser l'opinion contre nous. D'ailleurs, si les autorités tentent d'interdire l'emploi des animaux sauvages, nous devrons appeler nos 14 millions de spectateurs à descendre dans la rue. »

Pris entre deux feux, le ministère de l'Écologie hésite pour l'heure sur la voie à suivre. « Compte tenu de l'intérêt du public pour les cirques animaliers, il paraît difficile de les interdire purement et simplement comme cela a été fait en Autriche, relève-t-on dans l'entourage de Nelly Olin. Pour autant, la légitime protection des animaux nous incite à envisager une restriction progressive des espèces autorisées. »

ACMSA

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Le mardi 27 février 2007




Le feu a ravagé un bâtiment de ferme de Saint-Julien abritant 370 veaux.
La Tribune, Jean-Charles Poulin


Saint-Julien: près de 400 veaux périssent

La Tribune

Sherbrooke

Un incendie a ravagé un bâtiment de ferme abritant plus de 370 veaux, tard lundi soir sur le chemin Grand ligne, à Saint-Julien.

Les pompiers ont été appelés à se rendre sur les lieux vers 21h30.

L’étable abritait 370 veaux. Les bêtes seraient toutes mortes dans les décombres.

Les dommages sont évalués environ 500 000 $.



Les experts de la Sûreté du Québec ont été dépêchés sur place pour tenter de trouver la cause de l'incendie, mardi matin.

Les pompiers sont restés sur place une bonne partie de la nuit.

Plus de détails à venir et dans La Tribune de mercredi.

http://www.cyberpresse.ca/

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Les Inuits s'opposent à faire déclarer l'ours polaire espèce en voie d'extinction.

L'ours polaire est devenu au fil des années le symbole par excellence du réchauffement climatique. Il a même acquis un poids politique crucial depuis que l'agence américaine de la faune et de la chasse a proposé de l'inclure dans la liste des espèces en voie d'extinction.

«Faire reconnaître à la présidence américaine que l'ours polaire est une espèce en danger est en quelque sorte une façon de leur faire reconnaître que le changement climatique est bel et bien en cours», philosophe Yves Bégin.

Mais alors que les groupes écologiques et scientifiques prédisent l'extinction prochaine de cet animal qui fait fondre tous les coeurs encore plus rapidement que les banquises arctiques, les Inuits, eux, soutiennent la thèse contraire.

Cinq ours par village

«Il y a 14 populations d'ours polaires au Canada et sur le lot, il n'y en a que deux qui sont en danger: celle de la baie d'Hudson et celle du sud de la mer Beaufort, estime Bill Doidge, spécialiste des ours polaires de l'institut Mativik à Kuujjuaq. Il ne faut pas mettre tous les oeufs dans le même panier!»

Il souhaite donc que les États-Unis renoncent à leur projet afin que sa communauté puisse continuer à chasser l'ours polaire comme elle l'a toujours fait.

Car les populations autochtones, qui ont droit à cinq ours polaires par village chaque année, en tirent d'importants profits en raison de sa viande et de sa fourrure.

Outre les Inuits, certains touristes fortunés s'adonnent également à la chasse à l'ours polaire, mais ces derniers le font dans un cadre sportif.

Affamés et violents

Comme les ours polaires perdent leurs banquises, ils se déplacent de plus en plus sur la côte, ce qui met les populations locales en danger. «Dans nos camps sur la côte, on en voit de plus en plus, s'inquiète le directeur du centre. Ça devient problématique quand ils s'approchent des gens.»

D'autant plus que, n'ayant plus accès aux phoques, qui restent à l'eau, l'ours polaire manque de nourriture et devient agressif envers les humains.

«Disons qu'on garde les yeux pas mal plus grand ouverts quand on se promène sur la côte», confirme le chasseur Alec Tuckatuck.

Le dernier rapport de l'Union internationale pour la conservation de la nature (UICN) prévoit une diminution de 30 % de la population des ours polaires dans le monde d'ici 50 ans.
Au Québec, on constate déjà une baisse de 22 % des populations de la baie d'Hudson et du sud de la mer de Beaufort.
60 % des 22 000 ours polaires sur la planète se concentrent dans la baie d'Hudson au Canada.

jnadeau@journalmtl.com
Source Canoë Québec

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Le mercredi 28 février 2007


Protection de la faune: beau tableau de chasse

Marie-Ève Lafontaine

Le Nouvelliste

Trois-Rivières

La Direction de la protection de la faune de la Mauricie et du Centre-du-Québec a présenté son tableau de chasse, hier. Au cours de la saison de chasse de l'automne 2006, pas moins de 113 individus ont été interceptés pour avoir effectué des actes de braconnage. Ils font face à 203 chefs d'accusation totalisant plus de 150 000 dollars d'amendes.

Un bilan qui ressemble grosso modo à celui des dernières années. "Depuis quelques années, c'est relativement stable. C'est malheureux puisqu'on aimerait bien qu'il y ait moins de braconnage", souligne M. Benoit Fortin, chef de service à la Direction de la protection de la faune à Trois-Rivières.

72 chefs d'accusation

En Mauricie, les agents de protection de la faune des bureaux de La Tuque, Shawinigan, Saint-Alexis-des-Monts et Trois-Rivières ont déposé 72 chefs d'accusation impliquant 49 individus.








Les accusations portées font état principalement d'actes de braconnage à l'endroit du gros gibier comme la chasse avec une arme interdite et l'utilisation d'un projecteur. Des infractions qui sont qualifiées de majeures par la protection de la faune.

"Le montant de l'amende va être plus important lorsqu'on parle, par exemple, de chasse au gros gibier en temps prohibé ou de nuit, ou d'avoir tué plus que la limite permise. Ce sont des infractions majeures. En terme d'amende, on va chercher habituellement un minimum de 1825 $ plus les frais, et le certificat de chasseur de la personne va être automatiquement annulé pour une période de 24 mois", explique M. Fortin.

D'autres infractions fréquentes entraînent des amendes moins salées, mais leurs conséquences peuvent être dramatiques, comme c'est le cas pour la possession d'une arme chargée dans un véhicule. "L'amende n'est pas aussi élevée que pour d'autres infractions, mais c'est une question de sécurité", fait remarquer M. Fortin.

Le montant des amendes pour l'ensemble des infractions commises en Mauricie pour la saison de chasse 2006 s'élève à 64 875 dollars en plus des frais judiciaires. Dans certains cas, les braconniers risquent de voir leur permis et leur certificat de chasseur annulés pour une période de 24 mois.

Les agents de la faune ont saisi un véhicule tout-terrain, deux fusils et un projecteur. De plus, près de 2000 kg de viande ont été saisis et remis à des organismes qui oeuvrent auprès des personnes défavorisées.



Centre-du-Québec



Au Centre-du-Québec, dans les secteurs couverts par les bureaux de Victoriaville et de Drummondville, 64 individus ont été interceptés. Ils feront face à 131 chefs d'accusation et à des amendes totalisant près de 90 000 dollars.

Comme en Mauricie, les principales accusations concernent la chasse au gros gibier.

Dix-huit armes à feu, une arbalète et deux projecteurs ont été saisis ainsi qu'environ 500 kg de viande qui ont été remis à des organismes pour les personnes défavorisées.

Les citoyens sont invités à signaler tout acte de braconnage ou geste allant à l'encontre de la protection de la faune ou de ses habitats en communiquant avec S.O.S. Braconnage au numéro sans frais 1-800-463-2191 ou avec le bureau de la protection de la faune de leur région. Ce service est gratuit et confidentiel.

http://www.cyberpresse.ca/article/20070228/CPNOUVELLISTE/702280996/5409/CPNOUVELLISTE

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Canada exported slightly more than $2 million worth of unprocessed seal skins to Germany last year, making it the third-largest market for the
pelts, according to Statistics Canada.

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Fermes en quarantaine
Les bêtes ne seront pas abattues


Mise à jour le samedi 3 mars 2007, 12 h 18 .




L'Agence canadienne d'inspection des aliments (ACIA) ne prévoit pas abattre des milliers de bêtes qui ont été placées en quarantaine dans neuf fermes de la Saskatchewan.

Environ 8000 animaux sont en isolement, après avoir consommé des aliments suspects.

Une enquête a été ouverte après que de la viande de ruminant et de la farine d'os ont été accidentellement envoyées dans ces fermes, en provenance d'une fabrique d'aliments de Saskatoon.

Deux des fermes touchées sont dans la région de Swift Current et les autres dans les environs de Saskatoon.Les explications de Julien Lafille


http://www.radio-canada.ca/regions/saskatchewan/2007/03/02/003-betes-abattage.shtml

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Chaining dogs banned in Texas City

06:00 PM CST on Saturday, March 10, 2007

By Brad Woodard

Chained to a tree in the backyard of a Texas City home, a dog gnaws at his bowl -- not because he's hungry, but because he's angry.

Click to watch video




This will soon be illegal in Texas City.

"If it got off the chain, I'm pretty definite it would be us instead of the bowl," said Bardwell.


But the days of living at the end of a chain are numbered in Texas City. Whatever the dog's breed, whatever the reason.


Starting in 60 days, chaining dogs like Max will be illegal.


Texas City is among the first to pass an ordinance barring residents from chaining their dogs to stationary objects like trees, or even houses. Officials cited studies by the Humane Society.

"When you chain or tie an animal down and just leave it, it causes it to be more aggressive," said George Fuller, Community Service Director. "It also gives it the fight or flight syndrome. So anytime it gets off that chain, it's going to attack something."


"You have to put them somewhere," complained Kelly Slovak. "You have to put them on a chain if you keep them inside the fence."


What you have to do is build a fence that will keep them inside, while also providing 150 square feet of space. That or keep them inside your home. Dogs, after all, are social creatures.


"They need to be part of the family, not just chained to the tree," said Kil Schoolcraft, the animal control director.


Because there's more to responsible ownership, than simply providing food and water.
http://www.khou.com/news/local/stories/khou070309_mh_dogordinance.35a497b1.html

p.s.: Vous pouvez voter dans le sondage...

Chained dogs

Do you support the decision to outlaw chaining dogs?

Absolutely! It's cruel and unfair to the poor dog


No, it's my dog and I'll do what I want


Not sure

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Mise à jour: 11/03/2007 10h08




LCN


Floride, États-Unis

Une naissance plutôt rare

Un spécimen très rare de tigre du Bengale est né dans un sanctuaire de Polk County en Floride.
Plutôt que d'arborer les couleurs traditionnelles du tigre du Bengale, le bébé tigre a le pelage blanc et or. Actuellement, on dénombre moins de 70 tigres du Bengale de ce type dans le monde et tous vivent en captivité.

Le dernier spécimen vivant en milieu sauvage a été tué dans les années 1930.
http://lcn.canoe.com/lcn/insolite/nouvelles/archives/2007/03/20070311-100825.html

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Mise à jour: 13/03/2007 10h05

LCN

Sainte-Julienne

Une porcherie est la proie des flammes

Un violent incendie a complètement détruit une porcherie à Sainte-Julienne, dans Lanaudière.
Plus de 330 cochons ont péri dans les flammes.
Le feu a pris naissance à l'intérieur de la bâtisse, située sur la route 337, vers 1h30 dans la nuit de lundi à mardi.

Les pompiers ont combattu les flammes pendant de longues heures puisqu’elles se sont rapidement propagées à l'ensemble de la porcherie.

La route 337 est présentement fermée à cet endroit afin de permettre aux pompiers d'éteindre le brasier.

La bâtisse est une perte totale: les dommages sont évalués à plus de 500 000 dollars.

En vidéo, écoutez les explications de Denis Therriault.

http://lcn.canoe.com/lcn/infos/faitsdivers/archives/2007/03/20070313-100553.html

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Le vendredi 09 mars 2007


Plus de 1000 porcs périssent dans un incendie

Marc Larouche

Le Soleil

Collaboration spéciale


Plus de 1000 porcs ont péri dans un incendie qui a complètement détruit l’une des bâtisses de la ferme Thériault Inc. une porcherie du rang de la Seigneurie à Saint-Arsène.

Les flammes ont éclaté sur l’heure du midi mercredi. C’est le propriétaire qui a appelé les services d’urgence.

Rien à faire


Même si ceux-ci se sont prestement rendus sur les lieux, à leur arrivée, il n’y avait rien à faire pour sauver les bêtes.

Les quatre brigades se sont affairées à protéger des réservoirs de gaz propane qui étaient situés à proximité.

Plus de détails dans la version papier du journal Le Soleil de samedi.

--------------------------

LES ASSURANCES DOIVENT BIEN PAYER !!!!! MadMad ET PUIS APRÈS ILS PEUVENT EN RECONSTRUIRE UNE TOUTE NEUVE !!! MadMadMad

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Le jeudi 15 mars 2007



Importante saisie dans une poissonnerie de Bécancour

Marie-Eve Lafontaine

Bécancour

Les agents de protection de la faune de la région ont fait toute une prise, hier matin, lors d’une perquisition dans une poissonnerie de Bécancour. Ils ont saisi pas moins de 800 livres de filets de perchaude ainsi que 200 livres de doré. Ce commerce se serait approvisionné auprès de pêcheurs sportifs, ce qui est tout à fait illégal.

«Des gens, qui faisaient supposément de la pêche sportive, capturaient plus que la limite permise et vendaient leurs prises, entre autres, à une poissonnerie de la région. Ces poissons étaient ensuite vendus sur le marché habituel. Vendre comme acheter du poisson pris sportivement est illégal», explique Benoit Fortin, chef de service à la Direction de la protection de la faune à Trois-Rivières.

Le propriétaire de la poissonnerie devrait faire face à un minimum de six chefs d’accusation. Il s’expose à au moins 16 000 $ d’amendes. «Considérant l’ampleur de ce qui a été braconné et saisi, à la suite de l’analyse du dossier par le procureur, les amendes réclamées pourraient être plus élevées», mentionne le chef de service. On ne peut identifier, pour l’instant, le nom de l’entreprise parce que les accusations n’avaient toujours pas été déposées, hier.

Une saisie d’une telle ampleur dans un commerce est rare, précise M. Fortin. «C’est assez particulier. C’est une importante saisie. Ça en prend de la perchaude pour faire 800 livres de filet. Il (le propriétaire de la poissonnerie) devait s’approvisionner un peu partout.» Quant au doré, il y avait du poisson entier et des filets.








La protection de la faune ne sait pas, pour le moment, si ces poissons ont été pêchés illégalement dans la région. «La majorité de ces poissons provenaient de la Montérégie, c’est-à-dire dans le secteur des lacs de Deux-Montagnes, Saint-Louis et Champlain. Toutefois, ça ne veut pas dire que certains poissons pourraient provenir du lac Saint-Pierre ou du fleuve Saint-Laurent.»

Rappelons que les populations de perchaude sont en baisse dans le lac Saint-Pierre, ce qui a nécessité des interventions du gouvernement au cours des dernières années dont le rachat de permis de pêche commerciale.

Pas plus tard que la semaine dernière, le maire de Sorel-Tracy, Marcel Robert, s’inquiétait des impacts du braconnage. «J’ai entendu de mes oreilles des gens se vanter qu’ils avaient pêché illégalement de grandes quantités de perchaudes», avait-il alors expliqué.

Notons que cette enquête a été entreprise dans la région de la Montérégie. Les agents de protection de la faune ont mis fin aux activités illégales de chasse d’un groupe de braconniers qui exerçaient leurs activités principalement dans la région de Saint-Jean-sur-Richelieu.

Les actes de braconnage reprochés concernent le cerf de Virginie, le caribou, les oiseaux migrateurs et les poissons, principalement de la perchaude. Deux années d’enquête ont été nécessaires pour mettre un frein aux activités de ces braconniers.

En tout, une trentaine de suspects de la Montérégie ont été interrogés hier matin. Au total, ils font face à près de 200 chefs d’accusation. S’ils sont reconnus coupables, ils sont passibles d’amendes pouvant atteindre 200 000 $.•



http://www.cyberpresse.ca/article/20070315/CPNOUVELLISTE/70315027/5410/CPNOUVELLISTE

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Chasse: le Canada se dotera de normes «historiques» PC
Édition du lundi 19 mars 2007
Mots clés : chasse aux phoques, Gouvernement, Canada (Pays)


Toronto -- Dans la foulée d'un plan européen visant à déterminer si la chasse aux phoques est pratiquée sans cruauté, le Canada prépare sa réponse aux pressions internationales dans un autre dossier relatif aux droits des animaux, sous la forme d'un plan qu'un groupe parrainé par le gouvernement qualifie de «modèle pour le monde».

Même des militants pour les droits des animaux appuient cet accord sur des normes internationales pour le piégeage sans cruauté, que des législateurs provinciaux espèrent faire adopter dans tout le pays dès cette année.

Ces normes, qualifiées d'«historiques» et «uniques» par Rob Cahill, le directeur exécutif de l'Institut de la fourrure du Canada, ont été élaborées en réaction aux protestations qui ont débuté dans les années 1980 à propos de la chasse et de la trappe d'animaux sauvages au Canada et dans d'autres pays.

«Il n'existe aucun autre traité international, où que ce soit, qui réglemente la pratique de la chasse sans cruauté», a déclaré M. Cahill, dont l'organisation sans but lucratif a été mise sur pied par le gouvernement fédéral en 1983, pour effectuer des recherches et faire des recommandations au sujet de l'industrie de la fourrure.

Il y a presque 20 ans, des pays européens avaient appuyé une déclaration bannissant le recours aux pièges à mâchoires, et prévenu les autres pays qu'ils interdiraient l'importation de fourrure de tout pays qui utiliserait cette méthode.

Soucieux de pouvoir exporter ses fourrures en Europe, le Canada a alors commencé à négocier des règlements couvrant plusieurs types de piégeage et toute une série d'animaux sauvages.

En 1997, le Canada, la Russie, les États-Unis et l'Union européenne ont convenu de développer les nouvelles normes et deux ans plus tard, le Canada et l'UE ont décidé de fixer à huit ans le délai pour leur entrée en vigueur.

Selon M. Cahill, les pays européens qui ont blâmé le Canada auparavant ont eux-mêmes du mal à respecter les délais d'application des nouvelles normes. L'Europe ne compte pas pouvoir les mettre en oeuvre avant 2012, a-t-il souligné.

À son avis, le Canada a fait beaucoup plus que n'importe quel autre pays dans ce dossier, tandis que l'Europe n'a à peu près rien fait.

Des groupes de défense des droits des animaux considèrent l'entente comme insuffisante, mais l'Association canadienne du piégeage sans cruauté l'appuie, a indiqué son porte-parole Jim Bandow.


http://www.ledevoir.com/2007/03/19/135622.html

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Extrait du Journal papier "Actualité Juive" N° 971 du 1er Mars 2007
(page 24) :

"Le manteau de fourrure a été décrété non Casher".

"Avis aux amatrices de vison, chichilla, zibeline, renard argenté et
autres fourrures.
Yona Metzgern, l'actuel grand rabbin ashkénaze d'Israël a publié
un décret rabbinique interdisant aux Juifs (et par conséquent aux Juives)
de revêtir des manteaux de fourrure.
Dans ce décret, le Rav Yona Metzger explique que "le peuple juif est
un peuple miséricordieux et doit le prouver également envers les
animaux" : l'assassinat d'animaux à poils pour en faire des manteaux de
fourrure est, selon le grand rabbin, un acte cruel qui n'est pas fidèle à la
tradition juive. Léa Griguer. "

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lol! YES !!!! J'espère que ça va faire son chemin jusqu'à Montréal car j'en connais une "couple" qui se pavanent en fourrure !

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Il faudra le publiciser ! flower

J'aimerais bien que ça soit également décrété non halal, car il y a énormément de femmes arabes qui portent des manteaux de fourrure au Québec

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Vu dans L'ACTUALITÉ dAvril... (2007)


'' La réglementation de la chasse a l'ours blanc releve de la competence des provinces et territoires. Au Quebec, cette chasse est permise seulement aux autochtones. La viande de l'ours peut etre consommée par les humains, mais elle est souvent utilisée pour nourrir les chiens. On doit la faire bien cuire, parce qu'elle est parfois infectée par la trichinose. Par ailleurs, le foie preésente un taux élevé de contaminants. Au Quebec, les Inuits et les Cris abattent de 25 a 50 ours chaque année. Une peau peut valoir de 500 a 3 000 dollars.
Des villages inuits ont demandé au gouvernement du Quebec d'étendre la chasse sportive aux non-autochtones. Au Nunavut, une seule chasse-safari peut rapporter de 18 000 a 25 000 dollars a un guide inuit.
Cette activité est une source importante de revenu pour les petites collectivités nordiques. Michel Huot, biologiste du ministere des Ressources naturelles et de la Faune, dit que Quebec doit examiner la demande des inuits sous plusieurs aspects : la protection de l'espece, le développement économique et le respect des traités et conventions nordiques.
'' Voila pourquoi les résultats de la recherche effectuée par Martyn Obbard sont tres importants pour nous, dit-il. Non seulement ils nous permettront d'approfondir davantage nos connaissances sur la population SH, mais ils éclairont notre décision quant a la demande de chasse sportive experimentale présentée par les Inuits...''
Le Québec participe au financement de la recherche de Martyn Obbard. Une PME québecoise, Les Brasseurs du Nord( fabriquant des biere Boréale), a aussi versé sa contribution (de 60 000 dollards), comme l'ont fait la société Makivik et la fondation de la faune du Québec. ''

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Le jeudi 22 mars 2007




Marie-Louise Tardif, directrice générale du Parc de l’Île-Melville.
Photo: François Gervais


La saga des chevreuils achève à l’Île-Melville

Guy Veillette

Le Nouvelliste

Shawinigan

À force d’astuce et de patience, des employés du Parc de l’Île-Melville sont parvenus à capturer la majorité des chevreuils de l’enclos, tout près de la Cité de l’énergie. Sept d’entre eux ont été attirés avec succès hier dans une remorque où de la nourriture avait été déposée en guise d’appât.

Au cours des dernières semaines, tous les stratagèmes imaginables avaient été avancés pour capturer ces cervidés, devenus indésirables en raison de problèmes de consanguinité.

Hier, le grand coup a été donné. Les chevreuils ont été emprisonnés dans une remorque à chevaux, mais les employés en ont eu pour leur argent.

«Ils ont eu de la misère à fermer la porte. Ils ont vu passer des chevreuils au-dessus de leur tête», raconte Marie-Louise Tardif, directrice générale du Parc de l’Île-Melville. «Ça n’a pas été de tout repos. Les gars en tremblaient!»








Sept chevreuils ont finalement été pris au piège. La directrice générale estime qu’il en reste quatre qui vagabondent toujours dans l’enclos principal. «Nous donnerons un contrat à un vétérinaire qui viendra les endormir», mentionne-t-elle. «Moi, jai fait ma part!»

Les animaux capturés sont envoyés à Moisson Mauricie, qui redistribue la viande dans les banques alimentaires de Shawinigan. «Nous avons un certificat qui prouve que les animaux sont comestibles, malgré les problèmes de consanguinité», assure-t-elle.

Ce sera le troisième envoi depuis l’automne. Lorsque la direction du parc a pris la décision de se débarrasser des chevreuils en décembre, on en comptait 23 sur le site.

Mme Tardif indique qu’aucune décision n’a encore été prise sur ce que cet enclos pourrait héberger à l’avenir. Il ne semble pas qu’un nouveau cheptel de chevreuils y fera son apparition cette année.

«Ça prendrait une gestion très serrée durant la période de reproduction et un suivi régulier d’un vétérinaire», explique-t-elle. «On parle de frais de 40 000 $ par année, sans compter le fait que des visiteurs les nourrissaient au McDonald’s!»

Autre problème, le Parc de l’Île-Melville possède un certificat d’observation du ministère des Ressources naturelles et de la Faune. Mme Tardif croit qu’un certificat de production serait plus approprié.

«Nous pourrions alors vendre ou échanger les animaux», explique-t-elle. «Avec un certificat d’observation, on les achète, on les garde et ils meurent dans l’enclos. D’où l’origine de notre problème. Si nous avons d’autres animaux, c’est certain que nous demanderons un nouveau certificat, qui nous permettrait d’échanger les mâles. Ça va dépendre de la volonté de la Ville.»•

http://www.cyberpresse.ca/article/20070322/CPNOUVELLISTE/70322029/5409/CPNOUVELLISTE

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Voir la vie en rose!


Les souris voient habituellement la vie en bleu et vert, mais pas celles de l'École de médecine de l'Université John Hopkins, aux États-Unis.

Une équipe de chercheurs de l'institution a permis à des souris génétiquement modifiées de capter l'ensemble du spectre lumineux, comme les humains.

Les récepteurs visuels

La rétine des primates, des grands singes et des humains est dotée de récepteurs visuels qui absorbent les trois longueurs d'onde du spectre lumineux, le bleu (courte), le vert (moyenne) et le rouge (longue).

La plupart des autres mammifères, comme les souris, possèdent une vision dichromatique, c'est-à-dire qu'ils possèdent deux récepteurs lumineux, pour le bleu et le vert. Ils sont donc incapables de distinguer le jaune du rouge.


Des tests menés sur des souris ayant reçu un gène humain permettant de capter les ondes lumineuses longues (la gamme des rouges) ont démontré que les rongeurs étaient capables de faire la distinction entre toutes les couleurs.

Le fait que des rongeurs soient capables d'absorber le gène humain permettant une vision en multicolore montre que le cerveau des mammifères est assez souple pour s'adapter rapidement à une nouvelle capacité sensorielle, notent les chercheurs.

Cette expérimentation laisse aussi penser que les premiers ancêtres des primates à hériter de ce gène photorécepteur il y a plus de 40 millions d'années ont probablement pu voir instantanément toutes les couleurs.


http://www.radio-canada.ca/nouvelles/Science-Sante/2007/03/22/002-souris-couleurs.shtml

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Rappel de nourriture pour animaux
Possibles victimes au Canada


Mise à jour le mercredi 21 mars 2007, 11 h 45 .




Un couple de Kahnawake, près de Montréal, soutient que son chat est mort empoisonné par de la nourriture avariée. Ces allégations restent toujours à être confirmées par une autopsie, mais un vétérinaire de Toronto, lui, affirme avoir constaté au moins deux cas similaires d'empoisonnement.

En effet, le docteur John Littlejohn a été amené à soigner récemment deux chats qui souffraient de dysfonctionnement rénal majeur, qu'il impute à de la nourriture empoisonnée.

Le docteur Littlejohn estime que le délai entre l'ingestion de la nourriture par les deux chats et le moment où ils sont tombés malades lui permet de conclure qu'ils ont effectivement été tués par de la nourriture avariée.

La propriétaire des deux chats affirme que la nourriture qu'elle a servie à ses animaux comportait le même numéro de série que celle qui a fait l'objet d'un important rappel aux États-Unis, il y a quelques jours.

Elle envisage d'ailleurs de déposer une requête pour autorisation d'un recours collectif contre l'entreprise responsable du rappel, Menu Foods of Ontario.

Aux États-Unis, au moins 13 chats et chiens ont péri d'une déficience rénale après avoir mangé des produits suspects.

Julien Lafille explique la situation.

http://www.radio-canada.ca/regions/saskatchewan/2007/03/21/002-nourriture-animaux.shtml

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Visiteurs de marque

laterre.ca 20 mars 2007

redaction@laterre.ca

Les trois principaux chefs de partis ont rendu visite aux dirigeants de l’Union des producteurs agricoles (UPA).

Le conseil général de l’UPA a reçu André Boisclair, Mario Dumont et Jean Charest, respectivement chefs du Parti québécois, de l’Action démocratique du Québec et du Parti libéral du Québec, à tour de rôle hier et aujourd’hui.

«Les hommes et les femmes qui vivent de l’agriculture et de la forêt réclament une reconnaissance sans équivoque du rôle de premier plan qu’ils jouent tous les deux dans la vitalité et l’avenir des régions», a alors déclaré le président de cette organisation, Laurent Pellerin.

L’UPA souhaite que le nouveau gouvernement dégage 268 M$ pour renflouer les coffres de La Financière agricole en plus de mettre en place un plan de relance pour l’industrie porcine et des mesures adaptées pour les propriétaires de lots boisés.

L’appui à la gestion de l’offre, le développement durable, le soutien à la relève et au secteur de l’énergie étaient également sur la table.

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Mise à jour le samedi 24 mars 2007
Pitbulls

Toujours interdits en Ontario

La Cour supérieure raffermit la loi qui interdit les pitbulls en Ontario en rejetant la contestation des propriétaires de chiens, qui mettaient en doute sa constitutionnalité.

La juge Thea Herman a décrété que la possession d'un chien n'est pas un droit constitutionnel, ce qui justifie l'interdiction de certaines races.

Clayton Ruby, l'avocat à l'origine de la contestation, a l'intention d'en appeler de la décision.

L'avocat torontois s'était inspiré d'une décision juridique américaine, qui invalidait une loi bannissant les pitbulls, pour contester en Cour supérieure la loi ontarienne à ce sujet.

La loi abrogée par un tribunal de l'Ohio était, selon lui, semblable à la loi ontarienne : toutes les deux, elles bannissaient une race spécifique au lieu de sévir contre les chiens dangereux en général.

Clayton Ruby supposait que le même argumentaire pouvait être employé au Canada pour qu'une loi soit jugée inconstitutionnelle, puisqu'il s'agit de principes juridiques fondamentaux partagés par les deux pays.

L'Ontario est la seule province canadienne qui interdit les pitbulls sur son territoire.

http://www.radio-canada.ca/nouvelles/regional/modele.asp?page=/regions/Ontario/2007/03/24/001-pit_bull.shtml

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CADEAUX POUR CHASSEURS Mad !!!!!!!!!!!! MadMad



Alaska Wolf-Control Program Offers Cash to Hunters



USA: March 23, 2007


ANCHORAGE, Alaska - Hunters will now get cash and other incentives to kill wolves under Alaska's predator-control program that aims to protect moose populations, state officials said on Wednesday.


Alaska's Department of Fish and Game announced it will give $150 for every left foreleg of a wolf killed in the five areas where state officials are hoping to cull packs.
The incentives are an extension of Alaska's controversial aerial wolf-control program, which allows hunters with permits to shoot the animals from aircraft.


The department said it will also seek to raise the number of permits for hunters who kill wolves from aircraft, fly state biologists to help find wolves for hunters and, if those efforts fall short, have state workers track and kill wolves by helicopter.

Department officials said the $150 payment is not a bounty but an incentive for hunters to collect specimens that will be used for biological study. Rolling Eyes

"The distinction we're trying to draw here is that in the bad old days bounties were put on things for elimination. They were broad-based," said Ron Clarke, assistant director of the department's Division of Wildlife Conservation.

The new plan, he said, is a directed effort that seeks to provide scientific information.

Clarke said the incentives and help were needed because only 114 wolves have been killed this winter in the five targeted regions of interior Alaska, far less than the department's goal of 382 to 664 animals.

High winds and sparse snow have made it difficult to track wolves from the air and high fuel costs have made it expensive for aerial hunters, he said.

One opponent of the wolf-control program rejected the department's description of the $150 payout.

"You can use whatever euphemism and call it an incentive or whatever double-speak trips your trigger but it strikes us as a bounty," said John Toppenberg, director of the Alaska Wildlife Alliance.

"What the state is involved in here has more to do with animal husbandry than science, the elimination of one species to artificially inflate another."

The aerial-hunter program was started by former Gov. Frank Murkowski in 2003 and continued by his successor, Sarah Palin. It has prompted tourism boycotts and ballot initiatives.



Story by Yereth Rosen


REUTERS NEWS SERVICE
http://www.planetark.com/dailynewsstory.cfm/newsid/41024/story.htm

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Le dimanche 25 mars 2007


Une portion de 30 grammes de noix équivaut à environ deux cuillerées à soupe de noisettes, d'amandes, de pacanes, de pistaches ou de noix de Macadamia, d'acajou, du Brésil, de pin ou de Grenoble.
Photothèque La Presse





Manger plus de noix

Jacinthe Côté

La Presse

Collaboration spéciale

Les noix, en plus d'être une bonne source d'énergie et de protéines, contiennent plusieurs nutriments et substances essentiels au maintien de la santé.

Ces fruits à écale oléagineux sont riches en matières grasses. Heureusement, le type qu'elles contiennent (acides gras alpha-linolénique et monoinsaturées) ne nuisent pas à la santé du coeur.

Les noix renferment aussi des quantités appréciables de fibres solubles, de vitamine E, en plus de contribuer à augmenter votre apport alimentaire en minéraux (fer, magnésium, manganèse, zinc, cuivre) et en vitamines du complexe B (vitamine B6, thiamine, acide folique). Aujourd'hui, ils sont reconnus également pour leur faible, mais significative teneur en flavonoïdes, acides phénoliques, stéroles et ligases.

Cet impressionnant mélange de nutriments et de composés phytochimiques expliquerait pourquoi les noix sont un incontournable pour prévenir les maladies cardiovasculaires, le diabète de type 2 et certains type de cancers.








Dans le rapport intitulé L'alimentation, la nutrition et la prévention des maladies chroniques publié en 2003 par l'Organisation mondiale de la santé, on recommande de consommer quotidiennement, au minimum 30 grammes de noix. Le guide alimentaire méditerranéen, lui, suggère de trois à quatre portions de noix par semaine.

Une portion de 30 grammes de noix équivaut à environ deux cuillerées à soupe de noisettes, d'amandes, de pacanes, de pistaches ou de noix de Macadamia, d'acajou, du Brésil, de pin ou de Grenoble.



Prévenir la constipation



France Tourigny doit prendre des suppléments de fer pendant six mois pour soigner une anémie. Après seulement 10 jours de traitement, elle souffre déjà de constipation, ce qui est un effet secondaire fréquent quand on prend ce type de suppléments. Elle demande comment atténuer ce problème.

Tout d'abord, je vous suggère de consommer le matin, en alternance, un matin sur deux, des pruneaux séchés (trempés dans un jus de fruits de votre goût) ou du jus de pruneaux.

De plus, tout au long de la journée, il est important d'augmenter graduellement votre apport alimentaire en fibres. Pour ce faire, il faut manger plus de légumineuses, de fruits, de légumes, de noix et de produits céréaliers à grains entiers. Vous pouvez aussi incorporer du germe et/ou du son d'avoine ou de blé à vos céréales à déjeuner, à du jus ou du lait, ainsi qu'à du yogourt. D'autres vont préférer utiliser le psyllium, qu'on peut se procurer en pharmacie, et le mélanger à une boisson de leur choix.

Il est très important aussi de bien vous hydrater et boire au moins deux litres de liquide par jour, incluant de l'eau, du jus ou du lait. Sinon, vous allez empirer votre constipation. Il est préférable aussi d'éviter les boissons diurétiques (café, thé, alcool), car celles-ci auront pour effet de vous déshydrater.

Finalement, essayez de bouger un peu après les repas, question de favoriser les mouvements intestinaux. Vous pouvez aussi vous masser le bedon !

Si malgré ces changements alimentaires, vous ne voyez pas d'amélioration, vous devrez peut-être envisager de prendre des médicaments laxatifs.


http://www.cyberpresse.ca/article/20070325/CPACTUEL03/703250610/1015/CPACTUEL

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Japan ship returns home with 508 whales By HANS GREIMEL, Associated Press Writer
Fri Mar 23, 11:17 AM ET



TOKYO - A Japanese whaling ship returned to port from Antarctica Friday with a catch of 508 whales, despite having its annual hunt cut short by a deadly fire.

ADVERTISEMENT

The Nisshin Maru's hunt had triggered a high-seas showdown with environmental groups even before the fire, and Greenpeace issued a fresh condemnation of Japan's whaling program, calling for the damaged ship to be retired.

Tokyo says its whaling provides crucial data for the International Whaling Commission on populations and feeding habits of whales in Antarctic seas.

The hunts are allowed by the commission, but environmental groups have long condemned the hunts as a pretext for keeping alive commercial whaling, which was banned in 1986.

The Nisshin Maru, with the word "RESEARCH" emblazoned just above the waterline, slipped into port flanked by about 10 patrol boats for security.

Journalists were being barred from the Tokyo wharf where the processing ship docked with its crew of 149. Japan's fisheries agency said it was investigating last month's fire and would hold a news conference next week.

The hunt off Antarctica had been scheduled to continue through the end of March. It was the first time in 20 years that Japan had to abort a whaling mission.

The six-vessel fleet managed to kill 508 whales out of a target of 860. The meat will be sold for human consumption.

Infuriated by the whaling, protesters aboard a ship operated by the environmental group Sea Shepherd had launched smoke canisters, tossed containers filled with chemicals and dropped ropes and nets to entangle the Japanese ships' propellors, Japanese video showed.

The protests have not been linked to the fire, which sent the ship drifting powerless for 10 days, raising concerns about potential oil and chemical spills.

The Nisshin Maru is the second ship in the whaling fleet to come home. Three more spotter ships are scheduled to return Saturday and the final vessel is to come home Sunday.

http://news.yahoo.com/s/ap/20070323/ap_on_re_as/japan_whaling_ship;_ylt=Ao_8eU5msaFo08lV_XpDPrx4hMgF

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Le mardi 27 mars 2007




L'Elephant Poo Poo Company propose à ses clients nord-américains des cahiers et bloc-notes issus de la bouse d'éléphant.
Photo: poopoopaper.com





Du papier produit à partir d'excréments d'animaux

Nicolas Ritoux

La Presse

Collaboration spéciale

Pourquoi couper des arbres quand on n'a qu'à se baisser pour trouver la matière première du papier? Les excréments de plusieurs animaux sont ainsi recyclés par des entrepreneurs écolos pour en faire des produits de qualité.

L'Elephant Poo Poo Company propose à ses clients nord-américains des cahiers et bloc-notes issus de la bouse d'éléphant une ressource abondante puisqu'un seul pachyderme en produit une centaine de kilos par jour. Sur son site Web (poopoopaper.com), l'entreprise explique qu'une seule bouse, mêlée à des fibres de bananier pour plus de solidité, peut donner 25 grandes feuilles de papier, de quoi produire une dizaine de journaux.

Au pays de Galles, c'est le mouton qui alimente les produits Sheep Poo Paper (creativepaperwales.co.uk). Des morceaux de textile recyclés sont ajoutés pour renforcer le papier. L'artisan suédois Lars Cronquist, quant à lui, exploite les excréments de l'élan mieux connu ici sous le nom d'orignal.

En Thaïlande, les 25 kilos quotidiens du couple de pandas national, Huang Chuang et Lin Hui, sont mis à contribution pour payer les frais d'entretien de leur zoo. Des produits du papier issu de leur caca conjugal ont déjà permis d'encaisser plus de 10 000 $.


Dans tous les cas, le procédé de production nécessite un long séchage au grand air, un nettoyage, puis un ajout de fibres végétales pour produire une «galette» d'où seront coupées les feuilles de papier.

http://www.cyberpresse.ca/article/20070327/CPINSOLITE/703270874/5406/CPINSOLITE

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St-Elzéar: Une deuxième procheries passe au feu en moins de 3 jours
Écrit par Vincent Fradet - Éditeur
27-03-2007
Les pompiers de St-Elzéar ont dû combattre un autre incendie de porcherie en moins de 3 jours. C'est un passant qui a averti le propriétaire que de la fumée sortait du bâtiment.
Les pompiers de St-Bernard, Ste-Marie et de St-Narcisse étaient sur les lieux en assistance. Plus piscines ont été installées et les camions citernes ont dû faire le relais entre les lieux du sinistre et un ruisseau situé un peu plus loin. Selon les informations de ce matin, près de 500 porcs auraient périt dans les flammes. Une enquête est ouverte pour déterminer la cause du sinistre.
Concernant l'incendie de l'autre porcherie en fin de semaine, la cause du snistre serait dû à un problème électrique.


http://www.zone911.com/index.php?option=com_content&task=view&id=1511&Itemid=1

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2009, plus d'animaux en magasin (29/03/2007)

La loi a été votée hier. Les particuliers devront aussi être obligatoirement agréés s'ils vendent la portée de leur animal



BRUXELLES Pour les protecteurs des animaux, c'est une victoire. Pour les marchands, c'est un désastre. La commission de la Santé publique de la Chambre a adopté, hier, le projet de loi interdisant la vente de chiens et de chats dans les magasins à partir du 1er janvier 2009. Seuls les CD & V et Vlaams Belang ont voté contre.

Que dit le texte ? Dès 2009, vous ne verrez plus de mignons chiots et chatons dans des magasins. Interdit ! Si vous désirez acheter un animal, il faudra vous adresser à l'éleveur ou au magasin, qui pourra vous montrer des photos... sur catalogue ou sur ordinateur. Mais il n'y aura plus d'animaux aboyant ou miaulant dans les copeaux des cages de verre.

"O n voulait une interdiction totale de la vente en magasin, finalement on obtient ce compromis qui est quand même une sérieuse avancée ", notent Michel Vandenbosch pour Gaia et Jean-Marc Montegnies pour Animaux en Péril.

"Celui qui vend une portée, éleveur ou amateur, devra aussi être agréé. Actuellement, l'agrément était imposé à partir de trois portées par an. Cette mesure permettra d'inventorier plus précisément tous ceux qui vendent des animaux et de lutter contre le marché noir."

Le ministre Demotte (PS), en charge du bien-être animal, a soutenu le vote. "L'agrément mettra fin à une sorte de clandestinité", explique Pierre Du Ville, au cabinet Demotte. "Les vendeurs auront été contrôlés par les vétérinaires du SPF bien-être animal". Et seuls les vendeurs agréés pourront faire de la pub pour leurs animaux et uniquement dans des revues professionnelles ! Plus question d'apposer sa petite annonce au supermarché du coin.

"C'est désastreux ", souligne Léonard Monami pour Andibel, l'association des marchands. "Je suis un petit vendeur, mais je vends 800 chiens par an et j'emploie 4 personnes dont je n'aurai plus besoin en 2009. Beaucoup de commerces vont devoir mettre la clé sous le paillasson. Nous demandons des mesures sociales pour le secteur, comme l'accès au chômage direct pour les indépendants qui vont se retrouver sans boulot... Au moins 10.000 portées sont vendues par an par des particuliers aux magasins : que vont-ils faire de leurs animaux en 2009 ?"

Notre interlocuteur, lui, a songé à une solution alternative : transformer son magasin en refuge et proposer les animaux à l'adoption plutôt qu'à la vente.





Nancy Ferroni

©️ La Dernière Heure 2007

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Le Québec devrait prendre exemple, surtout qu'il se plaît à dire que les Belges ressemblement beaucoup aux Québécois

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Le vendredi 30 mars 2007
MadMadMadMadMad ENCORE UN AUTRE !!!!!!!!!!!! MadMadMadMadMad
Le paysage était désolant : de nombreuses carcasses de porcs étaient visibles ici et là dans l'Immense étendue de cendres. La bâtiment a été complètement rasé.
photo Danièle Francis

600 porcs périssent dans un incendie

maxime deland

La Voix de l'Est

Saint-Pie

Plus de 600 porcs ont été brûlés vifs dans un incendie qui a complètement rasé la ferme Robert Arès Hélène Brisebois, hier après-midi, à Saint-Pie.

Le feu a pris naissance vers 12h15 dans la porcherie située au 692, Rang de la Presqu'Île. Personne n'a été blessé. «On venait de sortir de là, vers 11h45. On était à l'intérieur de la maison et on s'apprêtait à dîner. C'est là que le système d'alarme est parti...», laisse tomber le propriétaire de l'endroit, Robert Arès, qui contemplait les décombres lorsque La Voix de l'Est l'a rencontré.

Le paysage était désolant: de nombreuses carcasses de porcs étaient visibles ici et là dans l'immense étendue de cendres. «C'est une perte totale. Il ne me reste que deux silos», constate M. Arès.

Il évalue les dommages à environ 400 000 $.


Plus de détails dans La Voix de l'Est de vendredi.


http://www.cyberpresse.ca/article/20070330/CPACTUALITES/703300886/5264/CPACTUALITES

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Shocking new Canadian footage of egg farm animal cruelty


Animal protection groups call for all universities in Canada to follow
University of Guelph and go cage-free


TORONTO, and VANCOUVER, April 2 /CNW/ - The Canadian Coalition for Farm
Animals (CCFA) and the Vancouver Humane Society (VHS) are holding news
conferences at university campuses in Toronto and Vancouver to release new
footage of shocking conditions on a Canadian egg farm, underscoring the cruel
conditions under which Canada's hens exist, and calling on all universities in
Canada to go cage-free.

Monday, April 2, 2007:
Toronto: University of Toronto Hart House (South Dining Room, 2nd Floor,
West wing) at 11am (ET)
Vancouver: SFU Harbour Centre (corner of Hastings and Richards), Room
2945 at 11am (PST)

The footage, taken at Clark Egg Farms Ltd. in Caledonia, Ontario, reveals
row upon row of hens in extremely crowded conditions; crammed into wire cages
so tightly they cannot stretch even one wing. Some hens are filthy with feces
from the hens above and all have the front portion of their beaks cut off.
International poultry expert Dr. Mohan Raj says the birds in the footage
"appear to be distressed, suffer from severe loss of feathers, some are
covered with excrement and they all seem to have overgrown and deformed
claws." He describes the dead birds seen in some cages as summing up "the
extent of cruelty inflicted on these hens."
CCFA and VHS are calling on all universities to follow the lead of the
University of Guelph, which recently announced it would use only cage-free
shell eggs on campus.
"If Canada's premier agricultural university can do it, so can the
others," states Bruce Passmore, VHS's Farm Animal Welfare Coordinator. "It's a
clear choice between compassion and cruelty - these birds suffer horrendously
and it doesn't have to be this way - there are alternatives." The University
of BC, Simon Fraser University, the BC Institute of Technology, McGill,
Concordia and numerous other universities and colleges in Canada are working
on similar policies. The University of Toronto has a local sustainable food
initiative with a cage-free egg component.
Recent advances such as Burger King's announcement that it will begin
buying eggs and pork from suppliers that don't confine animals in cages and
crates; Celebrity chef Wolfgang Puck's new strict animal welfare code for
suppliers and Maple Leaf Foods' move to phase out sow crates in Canada are
signals to industry, according to Stephanie Brown of CCFA. "The science is
clear - animals are suffering in these systems. It's time for change."

Footage and photos available at media conferences and online at
www.chickenout.ca/clark and www.humanefood.ca

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NEWS RELEASE



Canadian Seal Hunt Starts Today in Southern Gulf of St. Lawrence

Canadian Government Blocks Observation


WASHINGTON (April 2, 2007) - At dawn this morning, the 2007 Canadian
commercial seal hunt began in the Southern Gulf of St. Lawrence.
Journalists and other observers, including the ProtectSeals team from
The Humane Society of the United States, were prevented from bearing
witness as the Department of Fisheries and Oceans has refused to issue
observation permits for the first two days of the commercial seal hunt.



"The commercial seal hunt occurs in public space and observation is a
right guaranteed under the Canadian Charter of Rights and Freedoms, not
a privilege to be arbitrarily granted by a government department," said
Rebecca Aldworth, director of Canadian Wildlife Issues for The Humane
Society of the United States. "If we are unable to document what happens
on the ice floes, the cruelty of the seal hunt will occur in secret."


The Canadian Department of Fisheries and Oceans authorized the killing
of 270,000 seals this year. Each March, Harp seals are born on the ice
floes off the coast of Eastern Canada. They rely on the sea ice to
remain solid until they can swim. Global warming has caused sea ice in
the North Atlantic to deteriorate in recent years, and this year the ice
in the southern Gulf of St. Lawrence melted before the pups were old
enough to survive in the water.

Over the past week, observers from The HSUS explored the Southern Gulf
to locate what was left of the seal nursery.

"I've witnessed the hunt for nine years, and have never seen ice
conditions this bad," continued Aldworth. "Even Canadian government
scientists are estimating up to 100 percent of the pups born in the
southern Gulf died because of the lack of ice. It is reprehensible that
the Canadian government would allow sealers to kill the few surviving
pups."

The hunt in the northern Gulf of St. Lawrence, where it is believed more
seals are located, is scheduled to begin April 4, at which time DFO
officials say they will issue observation permits. The HSUS ProtectSeals
team will be there to witness and document the hunt.

To pressure the Canadian government and the fishing industry to end the
seal hunt for good, The HSUS launched a boycott of Canadian seafood in
March 2005. To date, hundreds of thousands of people and thousands of
seafood distributors have pledged their support for the campaign. The
HSUS is also working overseas to close markets for seal products,
removing the financial incentive for the sealers to kills the seals.

For more information, visit www.protectseals.org
<http://www.protectseals.org/> .

To view video from this year's hunt, visit www.animalchannel.org
<http://www.animalchannel.org/> .

The Humane Society of the United States is the nation's largest animal
protection organization - backed by 10 million Americans, or one of
every 30. For more than a half-century, The HSUS has been fighting for
the protection of all animals through advocacy, education, and hands-on
programs. Celebrating animals and confronting cruelty -- On the web at
www.humanesociety.org <http://www.humanesociety.org/> .

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surtout que c'est durant ces 2 premiers jours qu'ils tuent le plus de phoques ! C'est tellement enrageant ! Mad

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3 avril 2007- Entendu aux nouvelles tout-à-l'heure:

Un homme de l'Islet (Québec) qui possédait une érablière, tuait les écureuils à la carabine parce que selon lui ils détruisaient son équipement... L'homme s'est malencontreusement tiré une balle dans la jambe et s'est sectionné une artère fémorale ce qui l'a tué. Son frère qui était interviewé a dit qu'il venait de perdre son frère de chasse !

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http://www.pleinchamp.com/article/detail.aspx?
id=26771&menu_id=2&local=false&pub_id=2

Bien-être animal


La fin des longs transports d'animaux hors UE

(AFP - 02/04/07)


L'une des principales organisations agroalimentaires danoises annonce
l'arrêt immédiat de ses transports d'animaux de plus de 24 heures
vers l'extérieur de l'Union européenne (UE), choquée par des mauvais
traitements infligés aux bêtes.


« Des animaux morts et la maltraitance des animaux, c'est totalement
inacceptable. En tant qu'agriculteurs, nous avons une part de
responsabilité dans ce qui arrive à nos animaux, même après qu'ils
ont quitté les étables », a déclaré le président du Conseil agricole,
Peter Gaemelke, dans un communiqué.

« Pour cette raison, nous avons décidé (...) d'arrêter immédiatement
tout transport d'animaux d'élevage de plus de 24 heures. Ainsi, tous
les longs transports d'animaux, dont nous avons la responsabilité
dans la branche, sont arrêtés », a-t-il déclaré.

Selon l'agence de presse danoise Ritzau, le Conseil agricole, une
confédération agroalimentaire, contrôle environ 10% du transport
d'animaux vivants vers les pays en dehors de l'UE, le reste étant
assuré par des transporteurs privés. La décision vient en réaction à
des images diffusées dimanche à la télévision danoise montrant un
camion transportant des porcelets bloqué à la frontière entre la
Lettonie et la Russie.

Lors d'un long voyage au cours duquel les bêtes n'ont pas reçu assez
de soins et n'ont pas été suffisamment nourries, 33 sont mortes et 36
ont dû être abbattues, selon Ritzau. « Je ne cache pas que nous (...)
sommes très touchés par les conditions déplorables que DR (la
télévision publique danoise, ndlr) a révélées », a poursuivi M.
Gaemelke.

Il a appelé l'ensemble des transporteurs à « prendre leurs
responsabilités »
et à établir, avec les agriculteurs, des règles assurant un transport
acceptable des animaux.

SC

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4 avril 2007Le déclin des requins affecte la vie marine(Agence Science-Presse) – Les humains mangent les grands requins. Les requins mangent les raies et les raies se nourrissent de mollusques. La mort de l’industrie des fruits de mer aux États-Unis pourrait être directement reliée à la surpêche des requins.
Toutes les études biologiques le démontrent. La vie des très grandes et des très petites créatures marines est interreliée. Et bien que le requin soit un prédateur redoutable, il est un animal vulnérable qui a un rôle clé dans l’écosystème marin.
Ransom Myers et ses collègues de l’Université de Dalhousie, à Halifax, ont découvert que la population de plusieurs variétés de grands requins a chuté de 97% à 99%. De nombreuses espèces de requins des grandes profondeurs, les requins tigres, les grands requins blancs, les requins-taupes et les requins pèlerins sont en danger d’extinction. Le requin bleu est qualifié vulnérable. Le déclin de leur population est largement dû à une demande de plus en plus grande pour la viande et les nageoires de requin et parce que les grands requins se retrouvent souvent emprisonnés dans les filets des pêcheurs. Plus de 73 millions de requins sont capturés chaque année pour le commerce des nageoires. Leur croissance lente, leur maturité tardive et leur faible taux de reproduction les rendent particulièrement sensibles à la surexploitation et leurs populations ont beaucoup de mal à se reconstituer une fois qu’elles ont été décimées.
Le déclin du nombre de grands requins, dont les ancêtres ont été témoins de l’arrivée et de la disparition des dinosaures, aurait des effets dramatiques sur la chaîne alimentaire marine. Pendant que la population des grands requins chute, celle de leurs proies, les petits requins et en particulier celle des raies a augmenté. Leur nombre s’est multiplié par dix depuis les années 1970. Les raies dévorent de grandes quantités de fruits de mer incluant les pétoncles, les huîtres et les palourdes. «La disparition des grands requins entraînerait des pertes importantes pour la pêche commerciale, particulièrement pour la pêche aux pétoncles», explique Ellen Pikitch, directrice exécutive du Pew Institute for Ocean Science, à Miami. « Ces résultats démontrent la nécessité d’adopter des politiques de pêche beaucoup plus respectueuses de l’écosystème de la mer.»
http://www.sciencepresse.qc.ca/node/16743

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