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Quand la chasse aux loups-marins se faisait en avion

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Quand la chasse aux loups-marins (phoques) se faisait en avion
Mise à jour le vendredi 09 mars 2007
Par: Le Radar


Ce petit avion Cessna venait de s’écraser en plein sur la toiture de la remise, juste derrière la maison de Winnifred Arseneau. Heureusement, il n’y eut pas de blessés graves.
NDLR : C’était l’époque de la chasse aux blanchons et les dangers que couraient chasseurs et pilotes d’avions étaient sans précédent. Voici en copies intégrales une de deux brèves lettres descriptives de l’accident.
Le 7 mars 1967, vers 6 heures du matin, nous montions à bord d’un petit avion de marque Cessna pour aller chasser le blanchon. Nous étions trois chasseurs : Fred Boudreau, Arthur Boudreau, Denis Turbide et le pilote dont on a oublié le nom. Nous étions engagés par Léopold Delaney de Havre-aux-Maisons. Les opérations pour les départs, ce matin-là s’effectuaient juste en arrière de la maison de M. Delaney sur la Petite Baie. Nous étions le troisième avion à prendre son envol. Ce vol fut de courte durée. Environ 30 secondes après le décollage, le seul moteur de ce petit avion a cessé de fonctionner. Donc, où allions-nous « tomber » ? Dans le pont de métal ou dans les bâtiments autour ? Comme la photo le démontre, nous avons fait un atterrissage plutôt brutal dans une remise non loin de chez M. Delaney. Nous étions prisonniers à l’intérieur de l’appareil car les portes n’ouvraient plus et ajouté à cela, le carburant qui coulait à flot sur les ailes de l’avion, donc danger d’explosion ! Malgré tout, nous en sommes sortis indemnes les 3 chasseurs. Quant au pilote, il dut être hospitalisé un certain temps pour blessures légères.

Même après 40 ans, ça ne s’oublie pas complètement.

Et dans l’autre lettre, l’auteur qui raconte essentiellement la même chose termine ainsi : À chaque printemps, nous nous souvenons.

Que s’était-il passé ? On ne peut que spéculer car les passagers n’ont jamais eu d’explications claires et peut-être n’en voulaient-ils pas non plus, trop heureux d’être encore en vie. Toutefois, lorsqu’un accident de ce type survient, cela tient la plupart du temps à quelques facteurs ou une combinaison de facteurs qui se ressemblent beaucoup. D’abord, un témoin a déclaré que la roue de queue était gelée au départ. Ce détail négligeable en saison chaude était peut-être le signe de problèmes plus graves ailleurs sur la carlingue. Glace sur les ailes, commandes gelées ou vapeur d’eau cristallisée dans l’essence.

Toujours est-il qu’une fois envolé, le pilote remonte le nez de l’appareil et le moteur semble avoir calé. A-t-il réduit les gaz ? Celui-ci a-t-il gelé dans le carburateur, on ne le sait trop ! À moins que les commandes aient été gelées avec l’aileron de profondeur en position de montée, ce qui de toute façon aurait donné le même résultat. Une perte de vitesse où l’avion devient une brique volante plutôt qu’un appareil en état de vol, ce qui, dans le milieu, on appelle « un stall ». À ce stade, le pilote n’a plus aucun contrôle de l’appareil, sauf s’il est à une hauteur suffisante pour corriger dans le piqué. Sinon, c’est le choc brutal avec le sol, ce qui arriva à notre équipe de chasseurs. En d’autres mots, ils l’ont échappé belle. Je me souviens d’être allé sur les lieux de l’accident quelques heures plus tard et à ma grande surprise, il était difficile de passer entre l’hélice de l’avion et la maison de Monsieur Winnifred. Pauvre monsieur et son épouse ! Qui paraît qu’ils étaient sortis de leur lit plutôt vite cette journée-là et on les comprend bien d’autant plus que le nez de l’avion donnait juste en bas de la fenêtre de leur chambre à coucher, a-t-on dit. Imaginez alors la suite, autant pour les habitants de la maison que pour les passagers et le pilote. Tout ceci pour dire que l’histoire de la chasse aux loups-marins recèle de nombreuses anecdotes qui, bien qu’heureuses parfois, ne sont pas toutes à placer dans la catégorie « chance incroyable » comme dans ce récit véridique.

Elle monte, elle monte Et ce n’est pas de ma faute. Imaginez qu’il y en a un qui m’a dit la semaine dernière et le plus sérieusement du monde: « Cé parce que tu en as parlé la semaine d’avant que les prix continuent d’augmenter. »…fin de la citation. Bon je voudrais bien moi, mais j’en suis désolé, ce n’est pas le cas. Autrement, j’en parlerais à la baisse et c’est moi aussi qui en profiterais comme tous les consommateurs. Tout comme vous, je n’aime pas payer 4,97 $ le gallon à la pompe pas plus que 5,29 $ le gallon pour le super et de plus, on nous dit qu’il faut s’attendre à 1,42 $ le litre (6,46 $ le gallon) cet été. Pas étonnant que les partis politiques nous fassent des promesses mirobolantes à venir car si les pétrolières s’en mettent plein les poches par les temps qui courent, n’oublions pas que les gouvernants en font autant avec leurs taxes progressives sur l’essence. Pendant ce temps, c’est nous, « les caves » qui payons. Cependant, je me demande si nous ne méritons pas ce qui nous arrive. Cela fait deux semaines que je « chiâle » à propos des prix de l’essence et le mieux que j’ai comme perception du public qui m’en parle, c’est un haussement des épaules alors que d’autres se demandent bien pourquoi je fais aller ma grande gueule sur le sujet. Eh bien bravo ! Continuons ainsi et ce, même avec cette merveilleuse opportunité électorale et l’autre qui s’en vient ce printemps, (la fédérale). Si j’étais proprio ou actionnaire d’une pétrolière, je serais crampé de rire aujourd’hui…et il y aurait de quoi s’en frotter les mains !

Plusieurs façons de tuer un homme Un fait divers qui circule sur les canaux télévisés de nos nouvelles quotidiennes pique ma curiosité depuis un certain temps. Ce fait divers, tout juste bon pour une chronique des chiens écrasés me rappelle pas moins qu’il y a plusieurs façons de tuer un homme et que dans bien des cas, même si la méthode est moins spectaculaire, elle n’en est pas moins efficace. Et ici je parle du cas Docteur Mailloux.

Non et Non, je ne prends pas son parti car je ne connais pas toutes les ficelles de la cause, cependant, je remarque une chose. Depuis que cet homme n’a fait que citer un ouvrage réel et publié par de supposés scientifiques renommés aux USA à propos de l’intelligence humaine accolée aux différentes races terrestres; d’autres se sont saisis de cette « opportunité » pour régler leurs comptes avec celui qui les dérangeait depuis trop longtemps. Alors, plutôt que de tuer vertement l’homme, qu’est ce qu’on lui fait ? On lui retire son gagne-pain. Émission radio, apparitions télé et pire encore, son droit d’exercice sous des accusations qui, on s’en doute un peu, ne feraient pas la une s’il s’agissait d’un simple inconnu. Quand il sera acculé à la faillite, on se dit probablement que l’homme ne s’en remettra jamais et c’est probablement vrai. Alors tous les justiciers de la planète québécoise feront les gorges chaudes pour fêter leur victoire. Docteur Mailloux avait-il tort?... ou raison? – On ne le saura jamais. Tout ce qu’on saura, c’est que le système y aura mis le paquet pour l’écraser… tout comme la juge Rufo… tout comme d’autres, ceux et celles qui dérangent et surtout ceux qui font mal paraître à juste titre … le système, cette espèce d’identité collective, sans âme et sans conscience, mais qui finit toujours par gérer nos vies comme si elle était sienne.

Et pendant ce temps, quelques années plus tard, de célèbres et grands criminels de droit commun se seront fait payer avocats, psy et centre de réhabilitation pour reprendre une vie … normale dans le système. Euh pardon! en société, alors que des gens comme Mailloux et quelques autres auront tout simplement disparu. À moins qu’on les ignore quand ils tendront une main de clochard, quelque part sur un trottoir de Montréal ou d’ailleurs.

Et pour finir ! Pas toujours « jojo » d’écrire cette chronique, mais il y a des consolations. Quelques fois, on tombe sur des textes qui sont de véritables petites lumières à l’horizon de ce grand océan de la vie. Souvent ils sont d’auteurs inconnus, comme c’est le cas du présent extrait envoyé par un ami et c’est sur cette note que je vous dis à toutes et à tous ; « Bonne semaine ».

Le bonheur Si tu ne trouves pas le bonheur, C’est peut-être que tu le cherches ailleurs, Ailleurs que dans tes souliers... Ailleurs que dans ton foyer.

Le plus grand obstacle au bonheur, sans doute, C’est de rêver d’un bonheur trop grand, Sachons cueillir le bonheur au compte-gouttes, Ce sont les plus petites gouttes qui font les océans.

Ne cherchons pas le bonheur dans nos souvenirs, Ne le cherchons pas non plus dans l’avenir. Cherchons le bonheur dans le présent, C’est là et là seulement qu’il nous attend.

Le bonheur ce n’est pas un objet Que l’on peut trouver quelque part hors de nous. Le bonheur ce n’est qu’un projet Qui part de nous et se réalise en nous.

Il n’existe pas de marchands de bonheur... Il n’existe pas de machine à bonheur... Il existe des gens qui croient au bonheur. Ce sont des gens qui font eux-mêmes leur bonheur.

Si dans votre miroir votre figure vous déplaît, À quoi ça sert de briser le miroir...? Ce n’est pas lui qu’il faut casser ! C’est vous qu’il faut changer.

Auteur inconnu
http://www.capacadie.com/leradar/2007/3/9/Quand_la_chasse_131.cfm

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