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Animal

ÉMISSION TOUT LE MONDE EN PARLE DIMANCHE

Messages recommandés

Dimanche 18 mars


Cette semaine : Le premier ministre Jean Charest; le comédien Denis Bouchard pour son one man show, Bang!; le poète et chanteur Raôul Duguay pour le spectacle bénéfice des 10 ans de la Coalition québécoise pour une gestion responsable de l’eau; l’interprète Luce Dufault pour son nouvel album Demi-jour; Phoques - le film, un documentaire-choc sur la chasse aux phoques, avec le réalisateur Raoul Jomphe; le chef du Parti vert du Québec Scott McKay; et l’actrice Marion Cotillard pour son rôle d’Édith Piaf dans le film La vie en rose.

Pour plus d'information
http://www.radio-canada.ca/television/tout_le_monde_en_parle/index.shtml

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l'année dernière c'était la sénatrice Hervieux-Payette qui était invitée à cette émission pour faire la promotion de la chasse au phoque !

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Activists mull suit to block seal-hunt documentary

Mike De Souza, CanWest News Service
Published: Tuesday, March 06, 2007 Article tools

OTTAWA - Animal-rights activists are considering legal action to block a controversial documentary on Canada's commercial seal hunt on RDI, the CBC's French-language news network.

Phoques, le film, (Seals, the movie), produced by Quebec filmmaker Raoul Jomphe, has ruffled feathers at the Humane Society of the United States, because of a scene showing members of the group watching a dying seal for more than an hour as they filmed a promotional video of the hunt on ice floes in Atlantic Canada.

But Rebecca Aldworth, the director of Canadian wildlife issues for the Humane Society, said the scene was edited in a way that distorts what happened, and their lawyer has sent a letter to CBC asking it to take a look at the complete footage to ensure the documentary is balanced before it is scheduled to be broadcast on March 29.

Although Jomphe criticized the animal-rights group for not euthanizing the seal, Aldworth said that would have meant breaking the law.

"What he (Jomphe) doesn't tell you is that it would have been illegal for us to do so," she said Monday.

"Under the marine mammal regulations, only people with sealing licences can kill seals. But more importantly, we didn't have the means or the equipment or the expertise to do that in a way that would not simply increase that animal's suffering."

Aldworth said she initially decided not to rescue the seal, because she believed it wouldn't survive a helicopter ride to a veterinary hospital. More than an hour later, she said she realized it could be treated.

"Just as we were making arrangements to fly this seal back, the sealers came back and clubbed a lot of live seals in the area, including this one, and stabbed it through the skull with a metal spike," she said. "We go up there to protect these animals and to try and stop this hunt, because this is something that happens so frequently in the course of this slaughter ... and to have somebody edit a sequence of events to suggest that we would ever prolong the suffering of an animal to get video footage is obscene."

She added that there were numerous inaccuracies in the documentary, including suggestions that the president of the Humane Society earns a salary of about $500,000, which she said is nearly twice the actual amount.

Guylaine O'Farrell, a spokeswoman for CBC, said the public broadcaster could delay the documentary's air date if necessary, but explained this is part of a normal, in-house review process.

"It's for sure that we always reserve the right to make changes," she said. "The broadcast date is not finalized for now."

Meantime, Jomphe said he doesn't think anything needs to be changed in the movie, which was presented at a special screening for employees of the Department of Fisheries and Oceans last week in Ottawa.

"The images speak for themselves," he said, pointing out that he included Aldworth's explanation about wanting to transport the seal to a hospital. "When they take images of hunters, they do editing, and that's what we see ... and suddenly she's all offended that she's being filmed in that way."

Aldworth compared the incident to being in a war zone with people dying, and no equipment or means to help them. "There are no right answers for the seals in those situations and that's why we're trying to shut this down," she said.

http://www.canada.com/topics/news/national/story.html?id=c657d40b-58b3-4ded-9cea-d28a6fa50b4f&k=37631

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voici moi ce que Céline a pu traduire sur la bande sonore que nous avions emporté lors de la manifestation à Ottawa

La dame a dit qu'elle est allée
dans le
Nord pendant 8 ans, et là elle a été témoin de cette tuerie, où les
phoques
sont empilés les uns sur les autres, parfois étouffés par leur propre
sang,
les blanchons sont assenés de coups d'hakapiks, pour ensuite être
traînés
sur la glace et écorchés vif. Ceux qui essaient encore de s'enfuir dans
l'eau, sont assommés à coups de gourdins. On peut les entendre gémir de
douleur, pendant que leurs crânes sont fracassés. Selon un vétérinaire
qui
l'a accompagné, 42% des phoques sont écorchés vivants. En 2005, un
segment
d'un enregistrement d'une chasse aux phoques a été diffusé, montrant
une
trentaine de phoques se faisant assommer par des gourdins, sans que
l'on
vérifie si l'animal était bel et bien mort avant de passer au prochain.
Ceci
n'est pas un incident isolé mais bien la routine pendant la chasse. De
son
côté, le gouvernement canadien tente de s'assurer que personne ne sache
ce
qui se passe vraiment. Il tient mordicus à tenir les journalistes à
l'écart
des chasseurs, nous empêchant ainsi de découvrir la vérité. Mais si
rien
d'anormal se produit, pourquoi les chasseurs s'objectent vigoureusement
à
être filmés?

alors c,est certains qu'ils vont dire qu'il n'y a pas de cruauté dans cette chasse car ils veulent continuer de faire de l,argent sur le dos de ces pauvrent bêtes mais ils s,en foutent que ces animaux souffrent ils y a personnes là bas pour les empêchés et même avec les défensseurs d'animaux la cruauté est à son plus haut nivaux alors comment faire pour faire arrêté ces meurtres gratuits qui font coulé beaucoup de larmes et de sang à chaque fois?????

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Merci beaucoup Linda pour ce compte-rendu et à Céline pour la traduction. S'agit-il du discours de Rebecca Aldworth de la HSUS ?
ShitShitShit

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Avant de diffuser sur les forums, à mon avis, il serait plus prudent de ne pas mettre les blanchons, sinon on perd toute crédibilité! confused

les blanchons sont assenés de coups d'hakapiks, les bébés phoques sont assenés de coups d'hakapiks ( 14 jours et plus ).

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Très bonne remarque Caro

---------------------------------------------

Guy A. et son équipe reçoivent des centaines de courriels par semaine dont plusieurs qui méritent d’être publiés dans cette section du site. Vous trouverez donc ci-dessous les commentaires et les impressions de téléspectateurs.

Aucun commentaire ne figure concernant son invité Jomphe ! What the fuck ?!?

http://www.radio-canada.ca/television/tout_le_monde_en_parle/on_jase_la/vos_impressions.shtml

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Animal a écrit:
Merci beaucoup Linda pour ce compte-rendu et à Céline pour la traduction. S'agit-il du discours de Rebecca Aldworth de la HSUS ?
ShitShitShit
je crois bien que oui c'est une femme aux cheveux blond alors je ne sais pas c'est quoi son nom,car elle avait commencé à parlé quand nous sommes arrivé alors si elle c'est présenté je ne l'ai pas entendu désolé

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Caro a écrit:
Elle?



sa lui ressemble énormément mais je ne peux pas vraiment le confirmé car elle était habillé différent et si je me trompe pas elle avait des lunettes et une tuque mais ces cheveux lui ressemble bien fort et elle parle juste en anglais la fille que j'ai vue aussi c'était elle que nous avions récupérer sur la bande sonore

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Dimanche 25 mars "Tout le monde en parle en adoration devant les chasseurs"

On va encore parler d'un autre documentaire pro-chasse Madcolerecolere

Cette semaine : Le journaliste et présentateur Bernard Derome pour la soirée électorale; le chroniqueur et animateur Richard Martineau; le romancier Claude Jasmin pour son cinquante-sixième livre, Chinoiseries; le chanteur Gérard Lenorman; la comédienne de La galère, Hélène Florent; la réalisatrice André-Line Beauparlant pour son documentaire sur la chasse et Alexis Martin et Daniel Brière pour la pièce La marche de Râma.. MadMadMad

Mad


Entrevue avec André-Line Beauparlant

Isabelle Massé

La Presse

À l'automne 2005, la réalisatrice et directrice artistique a suivi pas à pas des chasseurs à l'orée du parc La Vérendrye. Une expérience qui l'a poussée à se questionner sur la vie, la mort, la solitude et le pouvoir de tuer.

C'est l'histoire d'une fille de la ville qui a décidé d'aller se promener dans les bois, pendant trois mois, pour suivre six gars qui ne vivent que pour la chasse. Qui attendent et épient chevreuils et orignaux des heures, des jours, et qui, une fois la balle plantée dans le coeur de l'animal, sont les plus heureux du monde.

C'est l'histoire d'une fille de ville devenue aussi presque une fille de bois. Qui, depuis 15 ans, partage un chalet à Montcerf, près de Maniwaki, avec sa douce moitié. Qui s'est liée d'amitié avec des chasseurs et qui a elle-même fini par devenir chasseur. Ou chasseuse? "Je ne sais pas comment le dire, lance André-Line Beauparlant - qui épelle d'ailleurs son premier prénom "e" à la fin. "Ça vient du frère André, explique-t-elle. Mes parents sont très religieux..."

Voir photo de la dame sur le lien et poursuivre la lecture:
http://www.cyberpresse.ca/article/20070311/CPARTS01/703100787/1043/CPARTS01


Thumb downThumb downzut

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Caro a écrit:
Dimanche 25 mars "Tout le monde en parle en adoration devant les chasseurs"

On va encore parler d'un autre documentaire pro-chasse Madcolerecolere

Cette semaine : Le journaliste et présentateur Bernard Derome pour la soirée électorale; le chroniqueur et animateur Richard Martineau; le romancier Claude Jasmin pour son cinquante-sixième livre, Chinoiseries; le chanteur Gérard Lenorman; la comédienne de La galère, Hélène Florent; la réalisatrice André-Line Beauparlant pour son documentaire sur la chasse et Alexis Martin et Daniel Brière pour la pièce La marche de Râma.. MadMadMad

Mad


Entrevue avec André-Line Beauparlant

Isabelle Massé

La Presse

À l'automne 2005, la réalisatrice et directrice artistique a suivi pas à pas des chasseurs à l'orée du parc La Vérendrye. Une expérience qui l'a poussée à se questionner sur la vie, la mort, la solitude et le pouvoir de tuer.

C'est l'histoire d'une fille de la ville qui a décidé d'aller se promener dans les bois, pendant trois mois, pour suivre six gars qui ne vivent que pour la chasse. Qui attendent et épient chevreuils et orignaux des heures, des jours, et qui, une fois la balle plantée dans le coeur de l'animal, sont les plus heureux du monde.

C'est l'histoire d'une fille de ville devenue aussi presque une fille de bois. Qui, depuis 15 ans, partage un chalet à Montcerf, près de Maniwaki, avec sa douce moitié. Qui s'est liée d'amitié avec des chasseurs et qui a elle-même fini par devenir chasseur. Ou chasseuse? "Je ne sais pas comment le dire, lance André-Line Beauparlant - qui épelle d'ailleurs son premier prénom "e" à la fin. "Ça vient du frère André, explique-t-elle. Mes parents sont très religieux..."

Voir photo de la dame sur le lien et poursuivre la lecture:
http://www.cyberpresse.ca/article/20070311/CPARTS01/703100787/1043/CPARTS01


Thumb downThumb downzut
avez-vous vue son chapeau de fourrure Mad une autre criminelle de plus sur cette terre,sa me rend malade tout ça Thumb down

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Ça n'a pas d'allure !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! ShitMadShitMadShitMadShitMad

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Le samedi 17 mars 2007




Dans Panache, Andrée-Line Beauparlant sait recueillir des informations pertinentes sur le mode de vie des chasseurs qu'elle filme.
Photo fournie par Atopia


Panache : tableau de chasse

Isabelle Massé

La Presse

L'aube est sur le point de se montrer le bout du nez, mais Minisse, Tex, Beau-blanc, Frèrot, M. Pékan et Bla-bla ont battu le soleil de vitesse et sont déjà debouts. Cachés, carabine en main, ils attendent et épient la bête. Leur bête. La vie est belle, malgré le froid et malgré les heures qui s'égrènent.

Ces résidants de Montcerf, près de Maniwaki, chassent. Et c'est ce qui compte le plus au monde pour eux. Les panaches sur les murs dans leur demeure témoignent des heures, jours, années passés dans le bois depuis leur jeunesse. Du plaisir qu'ils ont à savourer la nature et la viande de l'animal tombé sous leurs balles.

Chasseuse et résidante de Montcerf à ses heures, la réalisatrice et directrice artistique André-Line Beauparlant (Trois princesses pour Roland) a décidé de comprendre des hommes qui ne font que parler de chasse, de questionner leur rapport avec la mort, eux qui la côtoient quotidiennement, et de faire la lumière sur un mode de vie à des lieues de celui de la fille urbaine qu'elle est fondamentalement.

Avec patience et respect, Beauparlant suit ses sujets dans le bois. Heureusement pour elle, les gars s'ouvrent facilement alors que la caméra aurait pu les intimider sans bon sens. Tout comme les questions de la réalisatrice qui recueille chacune des informations souhaitées avec tact et qui, conséquemment, réussit à dresser un joli tableau des chasseurs et de leur activité préférée.

Les vices, les petits mensonges sont dévoilés sans gêne. L'un avouera qu'il lève souvent le coude. Un autre, qu'il est analphabète. Probablement parce qu'André-Line Beauparlant ne juge pas, même si c'est souvent tentant. En usant de jolis détours, de questions posées doucement, le sourire aux lèvres, elle cueille des informations pertinentes sur le mode de vie de ses sujets.

Ce n'est jamais didactique ni monotone. Pas besoin d'être de ceux qui ne rêvent qu'à la chasse pour apprécier les images sans artifices et parfois crues (de Robert Morin). Beauparlant nous présente des gens auxquels même l'oiseau urbain en talons hauts finit par s'attacher.

Panache transpire la solitude. Celle de certains hommes au mode de vie difficilement acceptable pour bien des femmes. De certains hommes qui sentent le besoin de se justifier après avoir enlevé la vie à un bel animal. Mais aussi une solitude heureuse, recherchée, acceptée, nécessaire pour mettre la main sur le plus beau des trophées.

Panache transpire aussi le respect d'une réalisatrice habile qui, à défaut de nous convertir tous et toutes à la chasse, a un talent incroyable pour nous donner envie de se lever (presque) aux aurores pour traquer un chevreuil. Mais juste une fois

____________________________



* * *



PANACHE, documentaire d'André-Line Beauparlant.

Une heure et demie dans le bois avec de vrais chasseurs de chevreuils et d'orignaux.

Respectueux et intéressant.

http://www.cyberpresse.ca/article/20070317/CPARTS01/703170814/5316/CPARTS01

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http://www.panache-film.com/fr/acteurs/


Ce documentaire porte, à travers six portraits de chasseurs, un regard sensible sur la vie près de la nature. De l'attente de la proie dans des repaires aussi exigus qu'une roulotte jusqu'au dépeçage de l'animal, la cinéaste nous amène là où nos petits coeurs de citadins-carnivores-hypocrites n'osent pas aller.

VOICI UN COMMENTAIRE:


À bout portant
Oui à la chasse, quand il s'agit de survie, mais non quand elle devient un sport. Avec tous les comptoirs bondés de viande dans les supermarchés, sans que l'on puisse les vider tellement la quantité est importante, il devient difficile de comprendre le besoin de tuer des bêtes sauvages, par dessus le marché.

Caribous, cerfs et oies blanches, que l'on peut admirer dans la nature, d'où vient cette violence et de passer à l'acte pour les mettre à mort ? Il m'est inconcevable de prendre plaisir à les tirer à bout portant. Malgré que la religion ne se prononce pas sur cette barbarie, on devrait considérer que l'on enlève la vie à ces bêtes, peut-être sans âme, mais bien vivantes.

Ce film n'est pas pour moi, tout comme les trophées de chasse, qui m'apparaissent comme une inconscience née. Déjà qu'il devient difficile de percevoir ces animaux évoluer dans la nature, puisque très discrètes, les achever devient un geste tout à fait inutile et sans bon sens.

Tout comme la fourrure a pris une mauvaise tournure dans nos coutumes, l'abattage de phoques a également contribué à donner une mauvaise image au Canada. Rappelons-nous la pub, où des mannequins portant des manteaux de fourrures étaient abbatues. Une image forte, afin de réaliser ce que représente ces tueries, en s'imaginant à la place de ces pauvres victimes.
Serge Lefrançois 18 mars 2007


http://radar.globetrotter.net/radar/films/film.aspx?id=11093&sm=3&type=4

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Animal a écrit:
On en a appris des belles à cette émission d'hier soir ! Mad

http://www.radio-canada.ca/television/tout_le_monde_en_parle/emission/07_03_25.asp


Claude Jasmin qui a tué dans son jeune temps les chats de façon cruelle. Mad


Danny Turcotte qui prend les lapins au collet et les achève à coup, de bar de fer. Mad

André-Line Beauparlant avec son documentaire où l'on apprend qu'un des chasseurs dans son film tue les ratons laveurs à coup de bar de fer pour s'en débarrasser. Mad

Encore une fois, à cette émission on a banalisé la cruauté envers les animaux Thumb down

Espérons que la SPCA fera une sortie publique pour dénoncer le tout

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Citation :
Encore une fois, à cette émission on a banalisé la cruauté envers les animaux


Tout est dit ! Mad

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Je me demande même si on ne pourrait pas dire que cette émission encourage la cruauté envers les animaux en la banalisant. Je n'écoute plus la télé, cette petite boîte magique, mais néanmoins généralement soporifique, médiocratique, qui tend à formater l'esprit des humains télévisuellement hypnotisés en fonction d'intérêts obscurs. Depuis que j'entends parler de cette émission qui semble aller chercher d'assez grosses cotes d'écoute, j'ai le sentiment que ceux qui la réalisent, la produisent, l'animent sont aveugles à la souffrance animale et n'invitent jamais celles ou ceux qui la voient clairement...

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Caro a écrit:
Claude Jasmin qui a tué dans son jeune temps les chats de façon cruelle. Mad


Ouais, il a dit que lui et d’autres jeunes, dans sa jeunesse, allaient s’amuser à tuer des chats dans les ruelles; ils pouvaient en tuer jusqu’à 10 ou 15 en une journée, a-t-il mentionné… Il n’a pas précisé de quelle manière ils les massacraient... C’est terrible !!! Il a dit qu’il n’en était pas fier aujourd’hui (j’espère bien !!!). Personne n’a osé émettre le moindre commentaire là-dessus (peut-être même que certaines personnes ont rit ou sourit, sur le coup, lorsqu’il a fait cet aveu, une espèce de réflexe malsain que je n’ai jamais compris mais qu’ont bien des des gens ?!).

Caro a écrit:
Danny Turcotte qui prend les lapins au collet et les achève à coup, de bar de fer. Mad


Je ne me souvenais pas qu’il avait mentionné comment il les achevait.

Ce dont je me souviens, toutefois, c’est sa remarque méprisante à l’endroit d’Anne-Marie Losique qui, invitée à l’émission il y a quelques semaines, avait raconté qu’elle parrainait un loup dans le cadre d’un programme de réintroduction du loup qq part en Europe, je crois. Ahuri, il lui avait méchamment lancé qq chose comme : « Paraîner un loup, voyons donc !!! Parraine un enfant !!! ». Il est totalement incapable de concevoir la valeur des animaux. Il n’en a que pour les humains, comme la majorité de ses congénères (ce qui nous conduit tout droit à notre perte).

En tout cas, maintenant on sait qu’il est pro-chasse, très fier de l’être, ce fou (furieux) du roi.

Caro a écrit:
André-Line Beauparlant avec son documentaire où l'on apprend qu'un des chasseurs dans son film tue les ratons laveurs à coup de bar de fer pour s'en débarrasser. Mad


Et elle défend bec et oncles, sur le plateau, ce dangereux psychotique en affirmant qu’à la campagne ce n’est pas comme ici, que les ratons-laveurs vident les poubelles du monde à l’envers et que c’est donc épouvantable ça !!! alors il est normal de les exterminer ainsi !!! On croit rêver. C’est vrai que c’est bien trop dur et compliqué de se confectionner ou de s’acheter une boîte en bois refermable dans laquelle on mettra ses vidanges ! C’est bien plus simple (et moins cher en plus !) d’éliminer le problème (les ratons-laveurs) que de tenter de s’y adapter et d’y trouver une solution non-violente !!!

Caro a écrit:
Encore une fois, à cette émission on a banalisé la cruauté envers les animaux Thumb down


Tu ne saurais si bien dire, Caro. On a encore l’air d’une *&?%$# de gang de barbares au Québec. J’ai honte !!!

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Citation :
Et elle défend bec et oncles, sur le plateau, ce dangereux psychotique en affirmant qu’à la campagne ce n’est pas comme ici, que les ratons-laveurs vident les poubelles du monde à l’envers et que c’est donc épouvantable ça !!!


Jasmin en a rajouté une couche en disant d'un air écoeuré que les ratons-laveurs c'était une peste !

Oui c'est réellement décourageant d'écouter des gens soit-disant "éduqués" parler avec autant de mépris de d'autres êtres vivants qui selon eux n'ont même pas droit à la vie ! Ils me dégoûtent !

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Citation :
Je n'écoute plus la télé, cette petite boîte magique, mais néanmoins généralement soporifique, médiocratique, qui tend à formater l'esprit des humains télévisuellement hypnotisés en fonction d'intérêts obscurs. Depuis que j'entends parler de cette émission qui semble aller chercher d'assez grosses cotes d'écoute, j'ai le sentiment que ceux qui la réalisent, la produisent, l'animent sont aveugles à la souffrance animale et n'invitent jamais celles ou ceux qui la voient clairement...

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Le mercredi 28 mars 2007

Photo Alain Roberge, La Presse


La télé, seule source d'information des Québécois?

Émilie Côté

La Presse

Environ 90 % des Canadiens et des Québécois suivent l'actualité régulièrement. Mais au Québec, il est plus fréquent que le téléviseur soit la seule source d'information. Les journaux, l'Internet et la radio sont moins consultés qu'ailleurs au pays.

«On constate que la variété des sources d'information peut être directement liée à la taille du marché médiatique», indique la chercheure Leslie-Anne Keown dans une étude de Statistique Canada dévoilée hier.

La chercheuse a analysé le rapport aux médias de la population canadienne à partir de l'Enquête sociale générale (ESG) de 2003 sur l'engagement social. Le Canada a été divisé en cinq régions : l'Atlantique, le Québec, l'Ontario, les Prairies et la Colombie-Britannique

Les Canadiens consultent en moyenne 2,7 sources d'information, contre 2,44 au Québec. Bien que la télévision soit la source numéro un pour tous les Canadiens, c'est encore plus significatif chez les Québécois (91 %, contre 94 % ). D'une région à l'autre, les autres sources d'information ont relativement le même ordre d'importance, mais dans presque tous les cas, les pourcentages sont plus bas au Québec. Que ce soit les journaux (moyenne canadienne de 70 %, contre 62 % au Québec), la radio (53 %, contre 46 %), l'internet (30 %, contre 23 %) et les magazines (23 %, contre 19 %).


Les hommes, les gestionnaires, les professionnels, les couples, les gens diplômés et les personnes au revenu familial supérieur à 60 000 $ sont plus enclins à consulter plusieurs médias. «Les Canadiens qui suivent l'actualité avec assiduité auprès d'une vaste gamme de sources d'information semblent être les plus enclins à être politiquement engagés», souligne Leslie-Anne Keown, précisant que l'étude ne s'est pas penchée sur le vote.

Ainsi, «les anglophones assidus aux nouvelles qui vivent en milieu urbain ont moins tendance à se fier uniquement à la télévision», note l'étude. Et ceux qui se fient uniquement à la télévision sont moins enclins à offrir leur aide à un parti politique, à signer une pétition ou à exprimer leur opinion dans les journaux.

suite: http://www.cyberpresse.ca/article/20070328/CPACTUEL/703280711/1015/CPACTUEL

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La télé, seule source d'information des Québécois


Alors Jomphe sera bien content d'apprendre ça, ce soir son documentaire (annoncé à outrance partout dans les médias) passe sur les ondes de Radio-Canada.

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Bonjour tlm!

Merci Valou pour ces détails supplémentaires et pour tes commentaires.

Merci Animal pour le complément d'information au sujet de Jasmin et pour cet article qui confirme mes craintes.

Oui, la propagande pro-tuerie des animaux a de quoi dégoûter et de quoi décourager.

Caro, parce que je boycotte la télé, je n'ai pas vu le "documentaire" de Jomphe diffusé sur la télévision de l'État canadien... Ai-je manqué quelque chose? Phoques, mensonges et vidéos...

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Non tu n'as vraiment rien manqué. Je ne sais même pas pourquoi ils en ont fait toute une histoire: Ça n'était pas un film mais juste des bouts de discussions que Jomphe avait eu avec des pro-chasse aux phoques: Francoeur (le Devoir), Hercovinci (Institut Can. de la fourrure), Hervieux-Payette, le président de l'association des chasseurs de phoque des I. de la M. , des docs biologistes employés par le gouvernement, un boucher, un restaurateur, des chasseurs, etc. Ils ont tous beaucoup insisté sur la non cruauté de cette chasse, sur la soit-disant désinformation des groupes de défense animale, sur la tradition des ancêtres qu'il faut préserver, sur cette viande de phoque qui est très saine ... etc.

Les scènes de chasse avaient été bien choisies... Aucune photo "hard" et toutes prises de loin ... On a vu à plusieurs reprises, un chasseur tirer à la carabine (alors qu'on sait tous très bien qu'aux Iles-de-la-Madeleine, les phoques sont tués au hakapik)
Pour les besoins du (film), un boucher a abattu un sanglier pour
montrer que même éventré, l'animal bouge toujours... Mais bon, ça n'explique pas pourquoi des phoques blessés par des chasseurs ont encore l'instinct de survie, qu'ils rampent sur la glace et se glissent à l'eau pour tenter de s'échapper.

Bref... Pour moi, ce film qui n'en est pas un, est un flop bad

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Merci beaucoup pour ce résumé Animal! Donc, un document des plus partiels et partiaux.

Je viens tout juste d'aller sur le site LA VIE RURALE y lire opinions et commentaires relatifs au massacre des phoques. J'y ai lu de convaincantes argumentations de la part d'animalistes.

Voici l'évaluation de ce "film" par un commentateur:

Le film est très peu crédible
Fabrice Beauregard

Vendredi 30 Mars 2007 @ 19:24
Oui je l'ai vu Monsieur Ricardo et justement, depuis que je l'ai vu, je suis encore plus convaincu que ceux qui font de la désinformation sont justement les gouvernements, les médias et tous ceux qui profitent directement ou indirectement de cette chasse, si on peut appeler ça de la chasse: Tuer un animal qui est incapable de se sauver ou de se défendre, ce n'est pas de la chasse mais de la lâcheté. Les images présentées dans ce film sont biaisées car elles ne montrent pas la vérité. Nulle part dans le film on n'explique que les phoques sont abattus principalement pour leur fourrure qui est exportée en Chine, en Russie, en Norvège. Plutôt, on essaie de nous faire croire que c'est pour nourrir les chasseurs des îles ! Franchement ! Seraient-ils capables de bouffer plus de 300,000 phoques par année ? Nulle part dans le film on ne parle du fait que des dizaines de milliers de phoques sont blessés chaque année: on en montre un seul, (qui après avoir été blessé par un chasseur s'est réfugié dans l'eau) en accusant les défenseurs des animaux de n'avoir rien fait pour le sauver ! Quelle hypocrisie ! Le fait de montrer un sanglier se faire abattre dans un abattoir pour tenter de démontrer que même une fois abattue une bête bouge toujours est inutile dans ce cas, puisque de nombreux phoques blessés ont encore la capacité de ramper sur la glace et d'aller se réfugier dans l'eau ! Ils sont donc encore vivants et ont toujours l'instinct de survie. Nulle part on ne dit que des blanchons sont braconnés, qu'on leur passe sur le dos avec des bateaux de pêche... Et puis je n'ai rien vu dans ce film qui pourrait remettre en cause les actions légitimes de la HSUS. Qu'est-ce qui mine sa crédibilité ? Enfin bref, vous pouvez bien continuer de faire votre propagande, mais n'allez pas croire que tout le monde est dupe.

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