Caro18 0 Posté(e) le 20 mars 2007 De: Ricardo Codina ricardo.codinaSPAMFILTER@la-vie-rurale.ca LA VIE RURALE, 19 Mars 2007 Le réalisateur Québécois Raoul Jomphe est un végétarien qui milite au sein de plusieurs groupes écologistes. Son dernier film traite de la chasse aux phoques. Au départ, il voulait montrer les deux côtés de la médaille : chasseurs versus animalistes. En cour de tournage, il a pris la défense des chasseurs en défendant une tradition du Québec maritime. Ce film documentaire a reçu, vous l'imaginez, un accueil des plus chaleureux aux Îles-de-la-Madeleine et en Gaspésie. Cela a fait tant de bruit que la version Québécoise de Tout le monde en parle l'a invité le 18 mars au soir pour faire la promotion du film. Film qui sera diffusé sur les ondes de RDI le 29 mars à 20h. Documentaire, mais aussi film d'opinions. Raoul Jomphe fréquente les Îles-de-la-Madeleine depuis trente ans et y a côtoyé des gens qu'il qualifie d'accueillant. Il ne pouvait pas les imaginer en train de devenir des barbares lorsque la banquise prend pour une chasse aux phoques purement sanguinaire, bestiale et folle. Le film va d'abord faire le tout du sujet du point de vue des animalistes, puis des chasseurs et enfin de la Garde côtière du Canada. Il y fait aussi une comparaison avec les manières d'abattre les animaux dans les abattoirs. On ne parle malheureusement pas du gavage des oies et canards de nos amis Français, mais enfin. Raoul Jomphe estime important de distinguer les animalistes des écologistes qui ne contestent pas la chasse car elle ne génère pas de problèmes environnementaux. Le film prend alors clairement position contre les animalistes qui profitent de la sensibilité des gens pour amasser des millions afin de sauver les phoques. Ce que le spectateur verra en regardant le film, c'est que la chasse rapporte à un chasseur 7000$ soit le quart de son revenu annuel. Le président de Humane Society of the United Stades (HSUS) gagne 510 000$ US par année. Ces derniers font tellement d'argent qu'ils ont les moyens financiers pour inviter des journalistes avec eux par avion ou hélicoptères. Mais Raoul Jomphe a montré le côté sombre des animalistes en filmant Rebecca Aldworth de la Humane Society des Etats-Unis. En arrière-plan vous verrez un phoque blessé. Durant de longues minutes, personne ne porte secours à la bête. Cette dernière va parvenir à se jeter à l'eau. Mais l'animal sera remonté sur la glace, sur les ordres de Mme Aldworth, pour le bénéfice des caméras afin qu'il puisse agoniser sous nos yeux. Des images qui vont servir à la campagne de financement de la Humane Society. Un chasseur aurait achevé l'animal immédiatement. De nombreux journalistes européens qui ont vu le film affirment avoir compris sans l'ombre d'un doute que de décrire les chasseurs comme des barbares était exagéré. Le film montre les chasseurs sous un jour humain, car se sont des humains et non pas des fous sanguinaires. Les groupes animalistes s'opposent à la diffusion du film le 29 mars car la scène du phoque ramené sur la banquise les place dans une situation des plus embarrassantes. Les animalistes sont considérés comme des extrémistes par Jomphe. Et après avoir vu les images, plusieurs risquent de penser de la même façon que lui. Humane Society aurait l'intention d'intenter des procédures légales afin d'empêcher la diffusion du film. Radio-Canada estime qu'il n'y a pas matière à diffamation et va aller de l'avant avec la diffusion du film. Le film est d'autant plus crédible qu'à la base, Jomphe est végétarien et qu'il ne souhaitait pas faire un mauvais portrait des animalistes. C'est en les côtoyant qu'il a découvert le côté sombre de ces activistes. Il y a longtemps que la Vie Rurale s'insurge contre l'extrémisme des animalistes. Cette fois, il y aura des images pour dénoncer certaines pratiques de ces derniers et c'est tant mieux. Les chasseurs méritent mieux que le sort injuste qui leur est réservé à l'échelle internationale. On peut être en désaccord avec ce qu'ils font, mais de là à les traiter de tous les noms, c'est injuste. Il faudrait alors combattre avec le même zèle le gavage des volatiles pour le foie gras, les travailleurs dans les abattoirs, les Inuits (chasse traditionnelle) et les chasseurs sportifs. Phoques, le film risque de déboulonner certains mythes. Rendez-vous le 29 mars 2007 à 20h sur RDI pour vous faire votre propre idée. Vos commentaires: http://www.la-vie-rurale.ca/contenu/11607 Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Animal 0 Posté(e) le 20 mars 2007 Quelle propagande !!!!!!!! Incroyable !!!!!!!!!!! Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Animal 0 Posté(e) le 20 mars 2007 Commentaires Fuck le film Marjolaine Jolicoeur -www.ass-ahimsa.net Mardi 20 Mars 2007 @ 10:56 Un végétarien, c'est quelqu'un qui ne mange pas de viande ni de poisson. Le réalisateur du film mange du poisson, donc il n'est pas un végétarien. Ce pseudo-écolo-végétarien a fait un film biaisé, manquant totalement d'objectivité et plein de mépris pour ceux qui militent pour la non-violence. Nous n'avons pas à être des prédateurs et des meurtriers pour survivre sur cette planète. Il est temps d'évoluer et d'ouvrir notre conscience! La chasse aux phoques est barbare et cruelle. On a vidé les océeans des poissons et on accuse les phoques du méfait: même scénario que dans les années 20 où l'on tuait les bélugas sous prétexte qu'ils décimaient les bancs de poisson. Les véritables coupables de la destruction de la planète: les humains, encore et toujours. Les humains à la recherche du gain et du profit. Les humains qui se pensent supérieurs aux animaux mais qui agissent comme des bêtes. Extrait d'un livre écrit par un ancien chasseur de phoque.Ce livre a été écrit en 1997, voilà dix ans, mais les images de souffrance que nous voyons grâce aux observateurs|défenseurs des animaux ne les rendent que plus d'actualité - "Over the side, Mickey: A sealer's first hand account of the 1997 Newfoundland seal hunt". Auteur : sealer, Michael Dwyer. « Un beater gisant parmi la pile a levé la tête et a commencé à se frayer un chemin en s'aidant de ses griffes, ses yeux n'étant plus que des globes oculaires tournoyant dans une mare de sang. Sa mâchoire inférieure pendait, accrochée après sa gueule par un lambeau de peau. « Darrell, tue-moi ça, veux-tu?! », m'a demandé Gérard. Empoignant son hakapik, il ne l'a pas tué tout de suite. Au lieu, il a pressé la poignée de bois contre les dents du haut de la créature souffrante. « Mords donc ça si tu peux. » La pauvre bête n'avait plus de dent du bas et ne pouvait que ramper sur le charnier. » « J'avais entendu dire que les manifestants contre la chasse aux phoques qualifiaient les chasseurs de phoques de barbares. Ils avaient raison. Vous devez être un barbare pour passer au travers de ça! . À quel point on devient barbare dépend du temps où on a été exposé à la chasse. Une fois, alors que ça ne faisait pas longtemps que j'avais commencé à chasser, j'avais gardé dix têtes qu'on a utilisées pendant deux heures pour jouer à « tête-ball ». C'était comme jouer au hockey, sauf qu'on lieu d'utiliser des bâtons, on prenait nos hakapiks pour essayer de lancer la tête entre deux carcasses grouillantes, qu'on utilisait comme poteaux de buts. On prenait position dans les buts tour à tour. Une fois le jeu terminé, la patinoire était parsemée de globes oculaires, de dents, de fragments d'os de crâne et de mâchoire inférieures. Darrell a gagné mais on a tous eu beaucoup de plaisir. » « Je ne le referai plus jamais. Pour la tradition, qu'elle aille au diable. Je sais que quand la chasse reprendra au printemps prochain, je n'irai pas à leur rencontre. Ce dont je me souviendrai, ce sera des souffrances, des conditions pénibles, des dangers et de ce travail répugnant et macabre. Si jamais l'envie me reprend encore de sortir chasser le phoque, je vais m'étendre jusqu'à ce que l'envie m'en passe. Je ne ferai plus jamais 150 sorties par jour, et plus jamais je n'entendrai ces mots redoutés, « Viens de ce côté, Mickey. » La Vie Rurale défend les gentils chasseurs Johana Mardi 20 Mars 2007 @ 11:37 Encore un article pro-chasse ! Les activistes que vous dénoncez concernant la scène où ils n'interviennent pas est contesté et avec raison : la première question à se poser est : qui n'a pas bien fait son ouvrage? C'est un chasseur, on nous répète sans cesse que les phoques abattus d'un coup d'hakapik meurent sur le coup et que les chasseurs s'assurent toujours de bien les tuers, on nous démontre encore une fois que cela est faux, les phoques agonisent! Monsieur Raoul Jomphe se serait délecté de voir les activistes achever le phoque à coup de bâton, heureusement qu'ils ne sont pas intervenus, je sais que vous auriez aimé qu'il en soit ainsi et cette scène aurait bien fait l'affaire des chasseurs. Ppour votre information, l'équipe voulait amener le phoque sur leur bateau pour lui donner des soins, mais un chasseur est venu finir la job qu'un de ces confrères avait mal fait! Dans le documentaire on mentionne que cette scène a duré 40 minutes, ce qui est faux et ce sera prouvé! Témoignages de chasseurs de phoques confirmés sur le site de Pêches et Océans Canada : http://www.dfo-mpo.gc.ca/seal-phoque/reports-rapports/Forum-Colloque2002/forum-Colloque2002_f.htm Encore de la propagande pour la chasse aux phoques Lucie Savard Mardi 20 Mars 2007 @ 14:53 Pour quiconque suit la chasse depuis des années, l'ineptie du gouvernement canadien n'est plus à faire, lui qui n'a réussi qu'à monter les citoyens les uns contre les autres sans trouver de vraie solution à ce problème. Quel scandale que l'argent des contribuables soient gaspillé pour promouvoir une chasse dont la majorité des citoyens ne veulent pas au Canada. Voyages en Europe pour les chasseurs, voyages pour des journalistes européens au Canada, et quoi encore? Le gouvernement canadien devrait être mis sous tutelle pour son incompétence à manier ce dossier. L'heure n'est plus et n'a jamais été au massacre de mamnmifères marins au nom de l'écologie. Arrivez en 2007! Trouvez une solution aux problèmes économiques des pêcheurs qui feront la fierté du Canada et non sa honte, et n'essayez pas de nous faire rentrer dans la gorge de force le massacre des phoques du Canada. Quel ridicule que ce dilemne "blanchon" "pas blanchon" quand on sait qu'il n'y a que quelques semaines, voire quelques jours de différence pour que leur pelage tombe. Le comportement agressif des chasseurs, tant à l'endroit des observateurs qu'envers les phoques, est documenté depuis des années, et j'en tiens le gouvernement responsable pour ne pas avoir su trouver une solution humaine et durable, pour tous les citoyens canadiens, qui ne frustrerait personne. Les chasseurs peuvent bien se réjouir devant cette curée médiatique où aucun représentant d'un groupe de protection des animaux, ni aucun vétérinaire ou biologiste d'IFAW ne sont présents pour se défendre. Toute cette affaire est une farce médiatique, une distorsion de la vérité et un gaspillage de fonds publics honteux. La dénonciation de l'exploitation animale Lucie Savard Mardi 20 Mars 2007 @ 15:08 Les protecteurs des animaux dénoncent depuis longtemps, très longtemps, l'élevage d'animaux en batterie ainsi que le sort réservé aux canards dans la production de foie gras. Ils se heurtent chaque fois à la puissance des lobbies et de l'agriculture intensive, dont les producteurs biologiques sont également les premiers à souffrir. Sortir un tel argument pour justifier le massacre des phoques relève de l'ignorance ou de la mauvaise foi. Jomphe se sert, pour son film, d'un argument bancal qui ne trouve d'oreilles complaisantes que parce que l'on cherche à tout prix à justifier le massacre des phoques. Quiconque connaît un peu le travail des organismes de protection des animaux sait que cet argument est le dernier que l'on pourrait rêver à utiliser. D'ailleurs, l'élimination graduelle des stalles à truies d'ici 2010 est le fruit du travail des protecteurs des animaux. Ce film est biaisé et facile à déboulonner pour ce qu'il est, un outil de désinformation du gouvernement pour promouvoir la chasse au phoque. commentaires des animalistes Ricardo Mardi 20 Mars 2007 @ 15:24 Encore une fois, ce sont les animalistes qui innondent ce site de commentaires (parfois étranges)lorsque ça ne fait pas leur affaire. Je respecte vos opinions et commentaires, mais je suis toujours étonné de constater l'extrémisme de certains commentaires. Lorsque nous parlons du chômage, des régions qui se vident, de l'environnement, de la pollution, du réchauffement climatique, c'est assez tranquille en termes de réactions. Mais parlons de la chasse aux phoques et bonjour les commentaires. C'est disproportionné comme réaction par rapport à des sujets plus importants qui nous concernent tous. Je ne fait que penser au réchauffement climatique. Ceci dit, chacun a le droit de s'exprimer et de défendre la cause qui lui tient à coeur. Pour le reste.... J'invite les gens à regarder Phoques, le film, et à se faire leur propre idée. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Caro18 0 Posté(e) le 20 mars 2007 commentaires des animalistes Ricardo Mardi 20 Mars 2007 @ 15:24 Encore une fois, ce sont les animalistes qui innondent ce site de commentaires (parfois étranges)lorsque ça ne fait pas leur affaire. Je respecte vos opinions et commentaires, mais je suis toujours étonné de constater l'extrémisme de certains commentaires. Lorsque nous parlons du chômage, des régions qui se vident, de l'environnement, de la pollution, du réchauffement climatique, c'est assez tranquille en termes de réactions. Mais parlons de la chasse aux phoques et bonjour les commentaires. C'est disproportionné comme réaction par rapport à des sujets plus importants qui nous concernent tous. Je ne fait que penser au réchauffement climatique. Ceci dit, chacun a le droit de s'exprimer et de défendre la cause qui lui tient à coeur. Pour le reste.... J'invite les gens à regarder Phoques, le film, et à se faire leur propre idée. Il est fâché le monsieur Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites