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Animal

NEWS POUR BULLETIN PRINTEMPS 2007 (VIVISECTION)

Messages recommandés

Bonjour ma belle hop, heart

Au hasard de mes découvertes, je viendrai poster des articles concernant la recherche sur des animaux... Tu prends ou tu laisses flowers
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Le dimanche 25 mars 2007




Photo archives, La Presse



Vache folle: les moutons innocentés

Mathieu Perreault

La Presse

Des chercheurs italiens ont identifié une nouvelle origine pour la maladie de la vache folle. Cette origine serait bovine, et non ovine, comme le veut la théorie actuelle.

Les biologistes milanais ont analysé des cerveaux de vaches italiennes atteintes de l'encéphalopathie spongiforme amyloïdotique (ESA), une maladie neurodégénérative similaire à l'encéphalite spongiforme bovine (maladie de la vache folle, ou ESB).

À l'aide de tests avec des souris, ils ont réussi à faire apparaître l'ESB en injectant des cellules infectées par l'ESA. Ce résultat est particulièrement important, parce qu'après des années de tentatives, aucun biologiste n'a jamais été capable de faire apparaître l'ESB en injectant des cellules infectées par la tremblante du mouton.

Cette maladie ovine est pour le moment considérée la source de l'épidémie de vache folle qui a frappé l'Angleterre dans les années 90, par l'intermédiaire de moulée bovine contenant des carcasses de moutons.

http://www.cyberpresse.ca/article/20070325/CPSCIENCES/70325088/1020/CPSCIENCES

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Ok et merci, Animal
et bonne journée à toi et à Animo flower

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Le bon Pr Hwang Woo-suk continue...


lundi 26 mars 2007, 12h23

Des scientifiques sud-coréens revendiquent le clonage de deux louves


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SEOUL (AFP) - Des scientifiques sud-coréens qui avaient réalisé le premier clonage d'un chien, en 2005, ont revendiqué lundi le clonage de deux louves d'une espèce menacée.

Les deux canidés nés en octobre 2005 sont en bonne santé, selon l'équipe dirigée par Lee Byung-chun et Shin Nam-shik, professeurs à l'Institut de médecine vétérinaire de l'Université de nationale de Séoul (SNU).

"Il s'agissait des premières louves jamais clonées, mais nous avions décidé de ne révéler nos travaux qu'aujourd'hui", a indiqué M. Shin. "Elles sont en bonne santé et continuent leur croissance", a-t-il ajouté.

Leurs recherches seront publiées dans l'édition de mars de la revue internationale "Clonage et cellules souches".

L'équipe du SNU s'était déjà distinguée en clonant pour la première fois un chien, un lévrier afghan baptisé Snuppy, en août 2005.

Leur exploit avait été un temps mis en doute en raison de la présence à l'époque au sein de l'équipe du chercheur Hwang Woo-suk, tombé en disgrâce après des travaux falsifiés. Mais le clonage du chien avait finalement été confirmé.

Déchu de tous ses titres universitaires et scientifiques, le docteur Hwang avait été reconnu coupable au début 2006 d'avoir falsifié deux "premières mondiales" revendiquées dans le domaine du clonage thérapeutique : l'extraction en 2004 d'une lignée de cellules souches à partir d'embryons humains obtenus par clonage puis, en 2005, la production encore plus remarquable de onze colonies.

Il a été inculpé pour fraude, détournement de fonds et violation des lois sur la bioéthique.


http://fr.news.yahoo.com/26032007/202/des-scientifiques-sud-coreens-revendiquent-le-clonage-de-deux-louves.html

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Citation :
Merci hop.... ta copie du bulletin a déjà pris l'avion et tu devrais la recevoir cette semaine.

J'avais sauté ton message, animo !

Super ! impatience

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Des souris génétiquement modifiées pour en voir de toutes les couleurs

NOUVELOBS.COM | 23.03.2007 | 10:52



En insérant un gène humain à des souris, des chercheurs l’ont dotée d’une vision en couleurs comparable à la nôtre. Une tentative de reconstitution de l’évolution de la vision colorée chez les primates.



Une souris qui a correctement identifié le rond dont la couleur était différente peut laper une goutte de lait offerte en récompense. (Gerald Jacobs)
Les primates sont les seuls mammifères capables de voir un monde aux couleurs variées, à partir de la combinaison de trois couleurs primaires, bleue, rouge et verte. Les souris ne voient qu’avec deux couleurs. Des chercheurs montrent désormais qu’ajouter un seul gène humain au génome de la souris lui permet d’élargir considérablement sa palette.

Les cônes sont des cellules photoréceptrices situées sur la rétine qui captent la lumière et qui sont impliquées dans la vision des couleurs et dans l’acuité visuelle. Les humains et les primates possèdent trois types de cônes absorbant des longueurs d’ondes différentes. Il y a donc des cônes sensibles à la lumière bleue, d’autres à la lumière verte, d’autres à la lumière rouge. Les souris, comme beaucoup de mammifères, ne possèdent que les deux premiers.

L’équipe de Gerald Jacobs (University of California, USA) et de Jeremy Nathans (HHMI, USA) a inséré chez des souris le gène humain codant pour les cônes sensibles à la lumière rouge. A priori, le cerveau des souris n’est pas outillé pour analyser cette information, contrairement à celui des primates. Cependant, plusieurs expériences menées sur le goût ou l’odorat ont suggéré que le simple ajout d’un récepteur permettait de développer la perception sensorielle de l’animal.

De fait, Jacobs et ses collègues ont constaté que les souris en voyaient de toutes les couleurs. Pour cela ils ont mené des centaines de tests au cours desquels les souris devaient identifier des différences de couleurs. Les souris modifiées réussissaient dans 80% des cas, tandis que les souris normales avaient une chance sur trois de réussir –soit pas mieux qu’en agissant au hasard.

Cela montre que le cerveau des mammifères est suffisamment souple et plastique pour développer les connexions nécessaires à l’utilisation du nouveau pigment coloré, expliquent les chercheurs dans la revue Science datée du 23 mars. Selon certaines hypothèses, c’est ainsi que la vision trichromique aurait évolué chez les primates, avec la simple insertion d’un nouveau pigment.


Cécile Dumas
Sciences et Avenir.com
(23/03/07)

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La gazette des laboratoires - brèves mars 2007


Amnésie sélective : comment effacer un souvenir traumatique


Le souvenir d’un événement traumatique peut être effacé, tout en préservant intacts les autres souvenirs qui lui sont associés. C’est ce qu’un chercheur du Laboratoire de neurobiologie de l’apprentissage, de la mémoire et de la communication (CNRS/Université d’Orsay), en collaboration avec une équipe américaine, vient de montrer chez le rat. Ce résultat pourrait être utilisé pour guérir les patients qui souffrent de stress post-traumatique.

Le rappel d’un souvenir stocké en mémoire à long terme déclenche une phase de re-traitement : le souvenir est alors sensible aux perturbations pharmacologiques, avant d’être à nouveau stocké en mémoire à long terme. Un traitement pharmacologique est-il capable d’effacer le souvenir initial et uniquement celui-ci ?

Les chercheurs ont entraîné des rats à avoir peur de deux sons différents, en leur faisant écouter ces sons juste avant de leur envoyer un choc électrique sur les pattes. Le lendemain, ils ont administré à la moitié des rats une drogue connue pour entraîner une amnésie des souvenirs rappelés en mémoire, et ils leur ont rejoué un seul des deux sons. Le jour suivant, lorsqu’ils ont joué les deux sons aux rats, ceux qui n’avaient pas reçu la drogue avaient toujours peur des deux sons, alors que ceux qui l’avaient reçue n’avaient plus peur du son qu’ils avaient entendu sous l’emprise de la drogue. Le rappel en mémoire du souvenir du choc électrique associé au son joué pendant que les rats étaient sous l’influence de la drogue a donc permis l’effacement de ce souvenir par la drogue, tout en laissant celui associé à l’autre son intact.

Les chercheurs ont également enregistré l’activité neuronale des rats dans l’amygdale des rats, une aire du cerveau associée à la mémoire émotionnelle. L’activité neuronale augmente lors du rappel du souvenir traumatique, mais diminue chez les rats drogués. Ce résultat montre que la perturbation pharmacologique du souvenir rappelé consiste bien à effacer sélectivement ce souvenir et uniquement celui-là. Il s’agit de la première démonstration qu’un souvenir est modifiable, voire effaçable au niveau cellulaire, de façon permanente et indépendamment d’autres souvenirs qui lui ont été associés.

Bibliographie
Synapse-specific reconsolidation of distinct fear memories in the lateral amygdale, V. Doyère, J. Debiec, M.-H. Monfils, J. E Schafe, J. E LeDoux, Nature Neuroscience, doi :10.1038/nn1871 (2007). Advanced online publication du 11 mars.


http://www.gazettelabo.fr/2002breves/cadre.htm

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Embryons humains à partir d'ovocytes bovins

De notre envoyée spéciale à Londres MARTINE PEREZ.

Publié le 31 mars 2007
Actualisé le 31 mars 2007 : 21h27
(AFP)


Les chercheurs anglais veulent fabriquer des embryons à partir de cellules humaines et d'ovocytes de vache.

UN LABORATOIRE de recherche en biotechnologie ressemble souvent à une cuisine des années 1950. Celui de Stephen Minger, au King's College de Londres, qui a beau se consacrer au domaine futuriste des thérapies cellulaires, ne déroge pas à la règle, avec ses placards rouges et jaunes, ses incubateurs pareils à des fours métallisés blancs et ses frigidaires à la peinture écaillée. Sur les plans de travail, des boîtes de pétri, des éprouvettes, des micro-scopes et des pipettes nous soufflent que l'alchimie locale n'a pas grand-chose à voir avec l'ancestral boeuf britannique bouilli aux petits pois. Ici, avec son équipe, une des meilleures au monde dans son domaine, Stephen, un colosse d'origine californienne - en atteste sa queue de cheval tressée -, s'est fixé comme objectif fou de créer des embryons hybrides homme-bovin - des cybrides - à partir d'une cellule humaine et d'un ovocyte de vache.


Cette idée indigne a priori, comme tirée d'un affreux film de science-fiction n'empêche pas Stephen Minger, dont la réputation scientifique n'est plus à démontrer, d'ouvrir d'emblée pour ses invités français une bonne bouteille de vin. Le tabou absolu d'une fusion entre l'homme et l'animal ne tolère aucune dérogation. La très sévère HFEA (Agence de biomédecine britannique) examine ce projet et lancera dans quelques jours une consultation nationale sur son site pour informer les Britanniques sur ces cybrides et solliciter leur avis sur leur légitimité dans les laboratoires.


Décrypter les mécanismes


À écouter ce chercheur brillant dérouler lentement l'argumentaire pour justifier ses travaux, on se laisse assez vite gagner par une certaine bienveillance. Car le but, explique-t-il gravement, est de mettre au point en quantité illimitée des lignées de cellules souches humaines caractéristiques de maladies graves, pour en décrypter les mécanismes et tester des batteries de médicaments sur ces cultures cellulaires en espérant en extraire une molécule salvatrice. L'objectif final étant donc de disposer de modèles cellulaires d'affections fréquentes, pour identifier des thérapeutiques adaptées. On est très loin du fantasme de création d'êtres hybrides entre bovin et humain.


Dans son laboratoire déjà, deux lignées, l'une provenant d'un embryon atteint de mucoviscidose et l'autre d'un embryon porteur du gène de la maladie de Huntington ont déjà été mises au point et conservées dans la banque britannique de cellules souches destinées à la recherche. Ces lignées ont été obtenues après diagnostic préimplantatoire capable d'identifier après une fécondation in vitro les embryons atteints d'une mutation, pour les écarter et ne garder que ceux indemnes. En France aussi d'ailleurs, l'équipe de Marc Peschanski (Inserm) à Évry au Généthon, travaille sur deux lignées similaires, l'une issue d'embryon porteur du gène de la myopathie de Steinert, l'autre d'embryon porteur du gène de Huntington. Cependant, cette stratégie pour obtenir des lignées cellulaires est impossible pour les maladies très fréquentes liées à plusieurs gènes de prédisposition ou qui ne sont pas justiciables de diagnostic préimplantatoire.


La technique du transfert nucléaire (ou clonage) permettrait, elle, à partir d'une cellule d'un individu atteint d'autisme, de diabète ou de schizophrénie par exemple, de produire un embryon pour fabriquer des lignées de cellules souches pathologiques. Mais personne n'a jamais réussi le transfert nucléaire chez l'homme.


Questions éthiques non résolues


La technique est théoriquement simple (injecter un noyau d'une cellule humaine dans un ovocyte vidé de son noyau) mais nécessite un stock important d'ovocytes de femmes, pour multiplier les essais jusqu'à la réussite finale. Or ces ovocytes humains sont précieux et difficiles à obtenir dans des bonnes conditions éthiques. L'idée des cybrides est née de cette impossibilité. Pour Stephen Minger, pragmatique, des ovocytes de vaches sont disponibles en abattoir en quantités industrielles pour faire du transfert nucléaire avec des cellules humaines. Des essais inter-espèces attestent de la faisabilité de la démarche. D'ailleurs une chercheuse chinoise aurait déjà créé des clones embryonnaires humains avec des ovocytes de lapin. Le chercheur britannique conclut avec un sourire charmant que l'autorisation de cybrides offrira aux scientifiques du monde entier un matériel biologique incomparable et quasiment illimité pour analyser une maladie, envisager des molécules thérapeutiques et les tester à large échelle sur ces modèles humains cellulaires.


Pour autant, les questions éthiques ne sont pas toutes résolues. L'Agence de biomédecine britannique impose que tout embryon utilisé pour la recherche soit détruit au plus tard au bout de quatorze jours. « Tout de qui est de l'ordre du mélange animal-humain doit se faire dans un contexte très réfléchi et encadré, qui impose de ne pas dépasser certaines limites », soutient Jean-Claude Ameisen, président du Comité national d'éthique de l'Inserm. « Personnellement, je suis opposé à l'utilisation d'ovocytes humains pour la recherche, explique le professeur Marc Peschanski. Les hybrides représentent une alternative intéressante. L'objectif est la recherche médicale. Faire croire que l'on fera de la thérapie cellulaire à partir d'hybrides, c'est agiter un chiffon rouge qui n'est pas réaliste. »


La Grande-Bretagne est plus ouverte que la France à la recherche sur l'embryon. En revanche, l'expérimentation animale y est particulièrement honnie. Les essais de médicaments sur cultures cellulaires limitant le recours aux animaleries pourraient bien recueillir la faveur des britanniques.

Le Figaro

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