Caro18 0 Posté(e) le 6 avril 2007 Un rôdeur insaisissable Catherine Handfield Le Journal de Montréal 05/04/2007 07h57 La présence d'un chien vagabondant depuis un mois au Jardin botanique de Montréal donne lieu à une véritable course contre la montre pour sauver le jeune animal, laissé à lui-même. La rocambolesque saga met en vedette un labrador noir nommé Tatoum, que personne au Jardin botanique ou à la Ville, pas plus que sa propriétaire ou les organismes de protection des animaux, n'est parvenu à attraper. C'est que Tatoum, qui n'est pas agressif pour un sou, a plus d'un tour dans son sac pour éviter le retour au bercail. «Ça fait un mois qu'on essaie de l'attraper, mais toutes nos tentatives se sont avérées vaines pour le moment», dit Marie-Joëlle Fillion, porte-parole du Jardin botanique de Montréal. Le périple du canin a commencé au début de mars. Une vétérinaire de l'École vétérinaire de Saint-Hyacinthe avait décidé d'adopter Tatoum, recueilli par sa clinique. Mais le pitou est une bête froussarde. Quand la propriétaire l'a sorti de la voiture pour le faire entrer dans son domicile de l'arrondissement Rosemont, à Montréal, Tatoum a réussi à se défaire de son harnais et a pris la poudre d'escampette. Mangeur de corneilles Par la suite, des marcheurs ont commencé à apercevoir le chien rôder dans les parages, sans trop savoir d'où il venait. Le voyant maigrir, les habitués du Jardin botanique ont pris l'animal en pitié et ont commencé à le nourrir occasionnellement. Poursuivre la lecture: http://www.canoe.com/infos/societe/archives/2007/04/20070405-075701.html Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
linda lachapelle 0 Posté(e) le 9 avril 2007 Caro a écrit:Un rôdeur insaisissable Catherine Handfield Le Journal de Montréal 05/04/2007 07h57 La présence d'un chien vagabondant depuis un mois au Jardin botanique de Montréal donne lieu à une véritable course contre la montre pour sauver le jeune animal, laissé à lui-même. La rocambolesque saga met en vedette un labrador noir nommé Tatoum, que personne au Jardin botanique ou à la Ville, pas plus que sa propriétaire ou les organismes de protection des animaux, n'est parvenu à attraper. C'est que Tatoum, qui n'est pas agressif pour un sou, a plus d'un tour dans son sac pour éviter le retour au bercail. «Ça fait un mois qu'on essaie de l'attraper, mais toutes nos tentatives se sont avérées vaines pour le moment», dit Marie-Joëlle Fillion, porte-parole du Jardin botanique de Montréal. Le périple du canin a commencé au début de mars. Une vétérinaire de l'École vétérinaire de Saint-Hyacinthe avait décidé d'adopter Tatoum, recueilli par sa clinique. Mais le pitou est une bête froussarde. Quand la propriétaire l'a sorti de la voiture pour le faire entrer dans son domicile de l'arrondissement Rosemont, à Montréal, Tatoum a réussi à se défaire de son harnais et a pris la poudre d'escampette. Mangeur de corneilles Par la suite, des marcheurs ont commencé à apercevoir le chien rôder dans les parages, sans trop savoir d'où il venait. Le voyant maigrir, les habitués du Jardin botanique ont pris l'animal en pitié et ont commencé à le nourrir occasionnellement. Poursuivre la lecture: http://www.canoe.com/infos/societe/archives/2007/04/20070405-075701.html et oui et ce chien est encore là.Sa prendrais une chienne qui n,a pas été opérer et faire une cage comme pour les homards et placer la chienne derrière ,alors le chien s'entirait la femelle et il rentrerais surment dans la cage et hop! il serais attraper et remis à sa maitresse,car la cage qu,il on mis n,est pas bonne,car le chien a peur de cette cage donc sa prend quelque chose qui va l,attirer dans une autre cage mais où trouvé une femelle ?? entout cas ils sont mieux de l,attraper bien tôt ce pauvre chien car il va finir par ce rendre très malade je crois car dans ce jardin il n,y a pas grand chose à manger à part des gens qui le nourrisent mais pour combien de temps vont-ils le faire? Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites