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Animal

Une famille qui vend des chiens sur Internet se défend ...

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Le vendredi 20 avril 2007




La famille Rochon vend des animaux de compagnie à Val-des-Monts, mais ce n'est pas un chenil.



Une famille qui vend des chiens sur Internet se défend de maltraiter ses animaux

Le Droit


Un couple de Val-des-Monts qui vend des chiens, et contre qui des plaintes ont été logées auprès de la Société protectrice des animaux (SPCA) de l'Outaouais, affirme qu'il n'a rien à cacher.

Marie Leblanc et son conjoint Éric Rochon disent agir en toute légalité en vendant des chiens sur Internet via plusieurs sites. Lors du passage du Droit, hier, le couple avait trois chiens : deux Doberman, qui leur appartiennent et un Yorkshire de six mois, vacciné, qui est à vendre avec documents du vétérinaire.

"La SPCA est venue ici. J'ai trois chiens qui ont des médailles. Je n'ai rien à cacher. Je trouve ça plate toute cette histoire. On passe pour des méchants", a dit Mme Leblanc. "On n'est pas un chenil, a dit M. Rochon. Mais on aime les chiens et on ne les maltraiterait jamais."


À quatre reprises depuis la fin février, des inspecteurs de la SPCA sont allés à la résidence du couple après avoir reçu au moins deux plaintes de deux personnes différentes. Une des plaignantes, Rachel Champagne de Bowman, a acheté un Shitsu de quatre mois pour son beau-père au coût de 225 $. Quatre jours plus tard, le chien est mort. Mme Champagne affirme qu'elle a tenté sans succès d'obtenir un remboursement.

"Mon but, c'est que le plus de monde possible dans la région de Gatineau et d'Ottawa sache ce que cette dame fait et de ne pas acheter de chien d'elle. Nous, on n'est pas vétérinaire et on ne savait pas que le chien était malade", a affirmé Mme Champagne. Elle soutient avoir reçu plusieurs courriels de personnes qui ont aussi acheté des chiens en mauvaise santé de Mme Leblanc.

Marie Leblanc maintient qu'elle a offert à Mme Champagne un autre Shitsu à moitié prix en guise de compensation, mais cette dernière aurait refusé. "On a même pensé la rembourser. On aurait dû, si on avait su que ça causerait autant de trouble", a dit M. Rochon. Ce dernier ne nie pas que le chien soit tombé malade. "C'est peut-être sa nourriture." Acheté 150 $ d'un propriétaire de Hull, le Shitsu a été revendu 225 $ "tel quel", précise-t-il, et il n'y avait pas de documents de vaccination qui accompagnait le chien. Au cours des quatre derniers mois, le couple estime avoir vendu une trentaine de chiens qui leur avaient été donnés ou qu'ils ont achetés ailleurs.

suite: http://www.cyberpresse.ca/article/20070420/CPACTUALITES/704200372/5174/CPDROIT

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ce qui me fais rire c'est cette phrase

M. Geoffrion ajoute que les ventes d'animaux sont difficiles à contrôler, et il n'y a pas beaucoup de règles qui encadrent ce genre d'activités.

c,est qu,il n'y a aucune loi peux-être??? au lieu de dire pas du tout il aime mieux dire qu'il n'y a pas beaucoup de règle franchement tout le monde sait bien que les animaux ici sont traité comme des objets et non comme des êtres vivants.

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linda lachapelle a écrit:
franchement tout le monde sait bien que les animaux ici sont traité comme des objets et non comme des êtres vivants.

Effectivement Linda, ce sont des propriétés à vendre et acheter, des biens économiques qu'il faut seulement traiter assez bien pour maximiser leur valeur économique pour le propriétaire Rolling Eyes Peu importe que ce sont des individus sensibles qu'on domine, exploite, contrôle à toute étape de leur vie Shit

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