Animal 0 Posté(e) le 30 juillet 2007 AFP - mercredi 25 juillet 2007, 13h16 Les ouvriers de l'huile de palme à Bornéo tuent les orangs-outans Les ouvriers agricoles employés dans les plantations de palmiers à huile tuent délibérément des orangs-outans dans l'île de Bornéo, a affirmé mercredi à Jakarta une ONG spécialisée. Au moins 1.500 orangs-outans ont trouvé la mort en 2006 à Bornéo et la majorité ont été massacrés car ils sont accusés de manger des semences de palmiers à huile, a expliqué Hardi Baktiantoro, directeur du Centre pour la protection de l'orang-outan (COP). "Les orangs-outans sont devenus l'objet de tortures par des employés des plantations car ils errent et mangent pour survivre des graines de palmiers à huile", a-t-il déclaré. Les orangs-outans sont menacés d'une extinction rapide vu le rythme de la déforestation en Indonésie, accélérée par le développement des plantations. Ces primates arboricoles aux longs poils roux vivent en liberté uniquement sur les îles de Sumatra et Bornéo. Le COP a diffusé des films vidéos montrant des cadavres d'orangs-outans présentant des plaies à la tête, infligées selon l'ONG par les ouvriers agricoles. L'association, en regrettant l'absence de condamnations pour les tueurs de singes, a exhorté le gouvernement à Jakarta de résilier les immenses concessions d'huile de palme accordées aux planteurs à Bornéo. L'Indonésie est le second producteur mondial d'huile de palme après la Malaisie. Les deux pays représentent 85% de la production mondiale. http://news.fr.msn.com/sciences/Article.aspx?cp-documentid=5652771 Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
animo-aequoanimo 0 Posté(e) le 30 juillet 2007 Plein de produits alimentaires vendus au Québec contiennent de l'huile de palme. Il ne faut surtout pas les acheter, même s'ils sont végétaliens. Il faudrait écrire aux cies qui les produisent. Je vais vérifier la prochaine fois que je vais au marché. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Animal 0 Posté(e) le 30 juillet 2007 c'est parce que cette huile ne coûte pas cher ! Comme tu dis, il y en a dans tellement d'aliments ! Ce matin j'ai répondu à une personne de la liste ethiquanimal qui faisait une pub pour l'ouverture de son nouveau forum vegan http://forum.vegan.fr J'avais déjà visité leurs pages des produits vegan et je leur avait fait remarqué tous les produits affichés qui contenaient de l'huile de palme et que l'huile de palme était responsable de la tuerie des orangs-outans, du déboisement de leurs territoires, etc. Mes messages avaient été effacés... Ou en tous les cas je ne les ai pas retrouvés aujourd'hui, alors j'en ai profité pour aller leur mentionner une autre fois que l'huile de palme tuait les orangs-outans... Il y a eu quelques réponses dont en voici une ci-dessous.... Re : Ouverture de http://forum.vegan.fr Bonjour, Il est difficile de trouver des aliments vegans, au sens de "n'impliquant rien de mal pour les animaux". Ce site regroupe des aliments végétaliens qui ne conviendront pas forcément à tous les vegans. Certains aliments contiennent de l'huile de palme, d'autres des arômes, d'autres encore sont commercialisés par des marques appartenant à des grands groupes exploitant les animaux, la majorité des ingrédients aura poussé sous du fumier (ou autre "reste animal"), etc. L'idéal serait que tous les produits soient issus de l'agriculture bio-végétalienne, mais ce n'est pas le cas, ce mode de production étant encore très rare. Il a été choisi de mentionner obligatoirement les ingrédients pour que chacun puisse vérifier ce qu'il accepte/tolère ou pas. C'est bien beau de mentionner les ingrédients mais si les gens ne sont pas au courant que l'huile de palme tue les singes, il me semble que les auteurs du site devraient au moins le mentionner «afin de vérifier si les acheteurs potentiels tolèrent ou pas» ! Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
animo-aequoanimo 0 Posté(e) le 31 juillet 2007 Tout à fait ! C'est comme si elles préféraient ne pas savoir. Il me semble qu'on devrait te remercier pour cette information mais au contraire on l'avait effacée. Nous comprenons que l'on ne vit pas dans un monde vegan mais quand on peut avoir la possibilité d'effectuer des choix selon des valeurs veganes pourquoi faudrait-il passer outre ? Ça ne fait pas de sens. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
hop 0 Posté(e) le 31 juillet 2007 Effectivement ! Mais faut peut-être pas chercher un sens. C'est peut-être simplement une réponse motivée par une petite vexation. Si le message de Do a bien été effacé, ça irait aussi dans ce sens là. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Animal 0 Posté(e) le 31 juillet 2007 Citation :C'est peut-être simplement une réponse motivée par une petite vexation Je crois aussi que c'est ça hop ! Ça les avaient sûrement insultés que j'écrive sous chaque produit qui contenait de l'huile de palme, que cette huile tuait les orangs-outans... ---------------------------------------------------------------- Citation :Nous comprenons que l'on ne vit pas dans un monde vegan mais quand on peut avoir la possibilité d'effectuer des choix selon des valeurs veganes pourquoi faudrait-il passer outre ? Ça ne fait pas de sens. À moins qu'ils soient vegan uniquement pour leur santé... et pis là encore, je ne crois pas que l'huile de palme soit bien bonne pour les artères... ---------------------------------------------------- Le Congrès américain demande à Ottawa d'interdire la chasse au phoque Édition du mardi 31 juillet 2007Photo: Agence Reuters http://www.ledevoir.com/2007/07/31/151970.html Washington -- La Chambre des représentants a approuvé à l'unanimité, hier, une résolution demandant à Ottawa de mettre fin à la chasse aux bébés phoques au Canada. Le texte a été introduit par le démocrate Tom Lantos, président de la commission des Affaires étrangères de la Chambre, et Christopher Shays, représentant républicain du Connecticut (nord-est). La résolution relève que plus d'un million de phoques ont été massacrés ces trois dernières années, que, au cours des cinq dernières années, 95 % des phoques tués étaient âgés de moins de 12 semaines et que les plus jeunes avaient à peine 12 jours. Aucune raison «Cette pratique est au-dessous de la dignité du peuple du Canada», a déclaré M. Lantos. «Il n'y a aucune raison de laisser cette boucherie absurde se poursuivre et toutes les raisons pour y mettre un terme», a-t-il indiqué. «Nous demandons au gouvernement du Canada de suspendre maintenant et pour toujours la chasse dans les eaux au large de la côte est du Canada», a-t-il ajouté. Pour sa part, M. Shays a déclaré qu'il «est de notre devoir de protéger et de prendre soin de tous les animaux».Une résolution similaire a été également introduite au Sénat en mars dernier. Une organisation de défense des animaux, The Humane Society of the United States, s'est félicitée du vote de la Chambre et s'est déclarée «reconnaissante qu'elle demande au gouvernement canadien d'arrêter ce massacre cruel». «La chasse aux phoques commerciale est la plus grande boucherie de mammifères marins au monde», a déploré son vice-président, John W. Grandy. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
animo-aequoanimo 0 Posté(e) le 31 juillet 2007 hop a écrit:Effectivement ! Mais faut peut-être pas chercher un sens. C'est peut-être simplement une réponse motivée par une petite vexation. Si le message de Do a bien été effacé, ça irait aussi dans ce sens là. J'avais aussi pensé à ça mais aller jusqu'à jeter une information qui permettrait d'empêcher une partie du massacre de gorilles ... Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Animal 0 Posté(e) le 31 juillet 2007 Je les trouvent ridicules de faire la promotion de ces produits surtout qu'ils ne sont absolument pas nécessaires ... -------------------- Killing pregnant whales is 'good news', say whalers July 25, 2007 - 4:49PM Whaling Photo: Kate Davison Japanese whalers have admitted almost all of the mature female minke whales they killed in Antarctic waters last season were pregnant. But that's good news, they insist, supporting their argument that the population is strong enough to allow a return to commercial whaling. Japan's whaling research body, the Institute of Cetacean Research, today said 91.6 per cent - or 262 of the 286 mature female minkes taken during the last hunt - were pregnant. "Almost all of the whales are becoming pregnant each year. This is good news. This is great. It shows that the Antarctic minke population is increasing rapidly," the ICR's Glenn Inwood said today. "The consistent population must provide strong reassurance that the population will easily sustain a commercial quota." Inwood took issue with the way The Humane Society International (HSI) presented the issue yesterday. He said there had been no mention by the group that almost all mature female minkes were pregnant at the time the annual hunt goes ahead, typically from December until March. In a statement yesterday, HSI said more than half of the minke whales captured by Japan in Antarctic waters last season, were pregnant. "It horrifies Australians to know that pregnant humpback whales breeding in the warm waters off Australia this winter will be targeted by the Japanese hunters in Antarctic waters this Christmas," HSI's Nicola Beynon said. HSI was using figures from a review of Japanese reports from the most recent hunt, ahead of the resumption of a Federal Court case the group is taking against Japanese whaling company Kyodo Senpaku Kaisha Ltd. While HSI's assessment was not wrong, Inwood said it failed to provide an accurate context. The group was being unnecessarily emotive, he said. "Those figures from the Humane Society are extremely manipulative. They basically demonstrate the organisation's ignorance and lack of understanding," he said. "It is an extremely cynical move and I think what they are doing is using an ignorant media ... to manipulate the public of Australia and New Zealand." Inwood said that of the 503 minkes taken last season, 104 were male and 349 were female. Of the females, 63 were immature, 262 were mature and pregnant, and 24 were mature and not pregnant. Japan carries out an annual whale hunt in Antarctica as part of its research program, aimed at providing data to resume commercial whaling. Whales hunted under the program ultimately end up on dinner tables, where whale meat is a traditional dish, leading to claims of whaling by stealth. AAP http://www.smh.com.au/news/whale-watch/killing-pregnant-whales-is-good-news-whalers/2007/07/25/1185339064854.html BANDE DE SALAUDS !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Animal 0 Posté(e) le 31 juillet 2007 High heat takes out 150,000 turkeys Three counties scramble to find places to dispose of health-hazard carcasses By CHRISTINA SALERNO csalerno@modbee.com and TIM EBERLY THE FRESNO BEE Last Updated: July 12, 2007, 04:38:38 AM PDT Stanislaus, Merced and Fresno County officials scrambled over the weekend to dispose of 150,000 turkeys that died in last week's heat wave. The spike in temperatures, which began on the Fourth of July and hit 107 degrees Thursday in Modesto, left poultry farms with several hundred tons of turkey carcasses. The carcasses must be removed quickly because they attract flies and other insects that can spread disease. Area rendering plants were unable to handle the load, and county officials opened up landfills over the weekend to accept the dead birds. Fresno County officials declared a local emergency, which allowed some of the carcasses to be dumped Sunday at a county landfill that normally doesn't take animals. No emergencies were declared in Stanislaus or Merced counties. Stanislaus County's landfill on Fink Road is permitted to receive small animals, such as chickens and turkeys. It is the second year in a row a heat wave has destroyed livestock. Last summer's heat wave killed at least 750,000 chickens and 250,000 turkeys statewide, said Bill Mattos, president of the California Poultry Industry Federation in Modesto. More than 30,000 of the state's cows and calves also died. Stanislaus County staff was notified of the poultry die-off early Friday morning, said Sonya Harrigfeld, director of the Department of Environmental Resources. "Because of what happened last year, our landfill staff has prepared certain sites for the disposal of turkeys and chickens. We were ready to accept them," Harrigfeld said. Four truckloads of turkey carcasses were brought to the landfill on Friday, and eight were delivered on Saturday. About 210 tons of poultry was dumped at the landfill during its normal business hours, she said. "We didn't expect this kind of die-off this early in the season, but our landfill staffers handled it extremely well," said county Chief Executive Officer Rick Robinson. Mattos estimated that 100,000 turkeys and a few thousand chickens died in Stanislaus and Merced counties, and Fresno County reported about 50,000 poultry deaths. "The heat was so humid this time, it had an effect on the bigger turkeys," Mattos said. "It was a quick situation in Stanislaus and Merced. The birds started dying last Friday, but the county came to the rescue, and we were good by Monday." Farmers used ventilated housing, misters, fans and backup generators to try to keep the remaining poultry cool. A contract farmer in Merced County was hit with the largest losses, Mattos said. Poultry usually can withstand the valley's hot summer days when they've had a chance to acclimate. But a sudden heat spell, particularly when temperatures reach 110 or higher, can take a toll, said Don Bell, a University of California Cooperative poultry specialist. "We don't have heat mortality every year," he said. Turkeys tend to be more susceptible than chickens, he said, because turkey operations don't typically have air conditioning, unlike chicken operations. Fresno County Supervisor Phil Larson said he got a call Friday afternoon from Richard Zacky, owner of Zacky Farms, reporting that he was running out of places to take carcasses. Four hundred tons of dead turkeys was taken to Kettleman Hills before it closed, but that left 100 tons without a burial place. Larson called County Administrative Officer Bart Bohn, who issued an emergency declaration allowing the carcasses to be buried at the county's American Avenue landfill, which normally does not accept dead animals. "There was no other place to take them," Larson said. Rendering plants quickly hit capacity when animal death tolls mount, Harrigfeld said. The Modesto Tallow Co. closed last year, and the nearest rendering plant is in Turlock. "Up and down the valley, there is only a certain number of rendering plants. With Tallow no longer working, if something happens it will have impacts on Fresno and Turlock and Sacramento," Harrigfeld said. Stanislaus County lost $1.3 million worth of chickens and turkeys during the 2006 heat wave. Poultry accounts for an estimated $200 million yearly for county farm operations. ------------------------------------------- Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Animal 0 Posté(e) le 31 juillet 2007 Mattos says it doesn't compare to last year in Merced County where 150,000 turkeys died from heat exposure. LE MÊME NOMBRE EST MORT L'ANNÉE DERNIÈRE POUR LES MÊMES RAISONS ! -------------------------------------------------------------- 07/11/2007 - Valley poultry ranchers experienced a major loss last week when triple digit temperatures killed 50,000 turkeys. However, this loss exposed an even bigger problem for the agriculture industry. The California Poultry Federation says every year it expects to lose birds because of extreme heat and other natural causes, however, the problem isn't birds dying, it's the lack of available rendering plants to dispose of the birds that has the Ag industry concerned. California ranchers raise 17 million turkeys a year adding $400M to the economy. So, last Thursday, when extreme temperatures in the Valley killed off 50,000 turkeys at Zacky Farms a pinch was felt in the wallet. Bill Mattos, California Poultry Federation, says, "Obviously, when you lose birds, you lose money, so it's serious in that venue." Bill Mattos says ranchers work to keep the birds well fed and in a cool environment and while last week's loss may seem bad, Mattos says it doesn't compare to last year in Merced County where 150,000 turkeys died from heat exposure. "We're somewhat surprised of all the publicity, but the one reason we're happy people are discussing it is because of the fact when we have losses we need places to go with them like landfills or rendering plants, " says Mattos. Mattos says there weren't enough rendering plants to dispose of the turkeys, a problem in this area, so he relied on help from Fresno County's Ag Department. "When we're having those types of temperatures, it only takes 2 or 3 days and then they really become a health hazard." A health hazard Assistant Commisioner Bob Vandergon avoided by opening up American Avenue landfill. More than 100 tons of decaying turkey were dumped there. Vandergon says it is vital state and counties work together when a crisis strikes. He says, "It points out that we're subject to these acts of the environment and we need to have processes by which we can respond quickly and take care of them." The California Poultry Federation says as businesses continue to expand its poultry production more rendering plants will be necessary, or plants will have to find a way to expand in order to handle problems like the one Fresno saw Thursday. http://abclocal.go.com/kfsn/story?section=local&id=5469516 Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Animal 0 Posté(e) le 31 juillet 2007 Ces pauvres bêtes, forcées de travailler comme des forcenées sont tellement martyrisés qu'elles peuvent bien devenir agressives ! ------------------------------------------ Elephants kill 8 in India 07/26/2007 To domesticated elephants went on a rampage in northeastern India, killed eight people and injured five and than were shot dead by police. Ganguly said it was possible that the male elephant was in a state called "musth," a little understood period when male elephants often become aggressive. (www.eleaid.com) Police were searching for the owners of the elephants and trying to establish what caused the violent behavior, rare among tamed elephants. Angry villagers protesting the lack of protection burnt down the local forestry office. The rampage occurred Wednesday in an area bordering India's Assam and Mizoram states, said Gautam Ganguly, a senior government official in the area. The two elephants, a male and a female, ran through at least five villages in Assam, trampling anyone who got in their way and knocking down several of the mud-and-thatch houses before crossing into the neighboring state of Mizoram, where police were called in. "Men of the Mizoram Police finally gunned the elephants down after dusk," Ganguly said. It was not immediately clear what caused the two elephants, who were used in logging operations, to lose control. Ganguly said it was possible that the male elephant was in a state called "musth," a little understood period when male elephants often become aggressive. The Press Trust of India news agency said the incident started when the male was hit on the head by a falling log. Local government officials said the families of the dead would receive 50,000 rupees (US$1,250; EUR910) in compensation. The remote region is home to some 5,000 wild Asiatic elephants, and conflicts between the elephants and humans have been on the rise due to constant encroachment on the animals' habitat. However, attacks by domesticated elephants are extremely rare. http://english.pravda.ru/news/hotspots/26-07-2007/95330-elephants_rampage-0 Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Animal 0 Posté(e) le 2 août 2007 Le jeudi 02 août 2007 L'incident semble clos Les employés de Sanimax étaient au travail à cinq heures du matin, hier, pour récupérer les carcasses d"animaux déversées accidentellement dans la rivière Yamaska, vendredi soir. Selon le contremaître Patrick Noiseux (à gauche), une cinquantaine de bêtes ont été ramassées. Il est accompagné ici du maire de Saint-Alphonse, Clément Choinière. photo Alain Dion Chantal Vallée La Voix de l'Est Saint-Alphonse Les résidants de Saint-Alphonse et de Brigham ne devraient plus avoir la désagréable surprise de voir flotter des carcasses d'animaux dans la rivière Yamaska. Sanimax était à pied d'oeuvre dès 5h hier matin pour ramasser les cadavres d'animaux immergés dans la rivière depuis vendredi après-midi, alors qu'un camion de cette compagnie s'est renversé dans le cours d'eau. Vers 9h, le travail était pratiquement terminé. Le contremaître de Sanimax, Patrick Noiseaux, estimait que 100 kilos de carcasses d'animaux ont été récupérées hier matin, ce qui représente une cinquantaine de bêtes. L'équivalent de 2600 kilos d'animaux avaient été sortis de la rivière, le soir de l'accident. Lorsqu'ils avaient quitté les berges à 23h, vendredi, les employés de Sanimax croyaient pourtant que toutes les carcasses d'animaux avaient été ramassées, soutient M. Noiseaux. Un technicien du ministère de l'Environnement, qui a fait une inspection visuelle dimanche, lui avait confirmé qu'il n'y avait plus de problème. «On prend nos responsabilités. Si on l'avait su plus vite (qu'il restait des carcasses d'animaux), on serait intervenus plus vite», souligne-t-il, franchement désolé de l'intérêt médiatique entourant l'incident. La suite dans La Voix de l'Est de jeudi. http://www.cyberpresse.ca/article/20070802/CPVOIXEST/708020578/5054/CPVOIXEST ----------------------------------------------- Le jeudi 02 août 2007 Probablement peu de conséquences pour l'environnement La présence de d'animaux morts dans la rivière Yamaska n'aura que peu de conséquences sur l'environnement, selon le ministère du Développement durable, de l'Environnement et des Parcs. photo Stéphane Champagne Chantal Vallée La Voix de l'Est Granby Au ministère du Développement durable, de l'Environnement et des Parcs, on ne s'inquiétait pas trop hier des conséquences environnementales possibles de l'immersion dans la rivière Yamaska de centaines de carcasses d'animaux. «Les carcasses d'animaux peuvent à la limite entraîner une augmentation des coliformes fécaux mais il y en a de toute façon dans la rivière Yamaska. Est-ce que ça pourrait entraîner une dégradation sévère de l'environnement? Je ne le pense pas», indique Stéphane Dégarie, technicien au service hydrique du centre de contrôle environnemental de la Direction régionale Estrie et Montérégie de ce ministère. S'il y a un impact, M. Dégarie estime qu'il sera marginal. Le technicien souligne que les usines de filtration sont bien équipées pour éviter que ces coliformes fécaux se retrouvent dans l'eau du robinet. «La chloration de l'eau va tuer tous les coliformes», indique-t-il. La suite dans La Voix de l'Est de jeudi. http://www.cyberpresse.ca/article/20070802/CPVOIXEST/708020579/5054/CPVOIXEST Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Animal 0 Posté(e) le 3 août 2007 La Chaumière: ces doux moments passés... La Voix de l'Est Comme vous le savez sans doute, l'ayant appris par la voix des médias dans la nuit du 19 au 20 juin, il y a eu un incendie qui a tout ravagé. La Chaumière pour 4 pattes n'existe plus. Soixante-dix chats ont péri et Cara, notre chienne était coincée, incapable de sortir. La maison principale (ce qui en reste), ainsi que la chatterie seront bientôt détruites. Tout ce qui restera sera nos souvenirs. Ce matin-là planaient désolation et consternation, le moral était à zéro. Des amas de cendres, métal tordu - probablement des chaises, des bols en aluminium calcinés - et parmi tous ces décombres une petite balle bleue qui fut un jouet si convoité, un petit objet de grand bonheur qui avait fait la joie de certains de nos chats. Durant ces sept années, nous avons vécus des hauts et des bas, des abandons, des cas de cruauté. Je n'oublierai jamais ces doux moments passés assise dans la grande cour avec nos chiens. Ces chiens âgés et terrifiés à leur arrivée avaient leur premier moment de liberté sans chaîne à leur cou, ils couraient et jappaient leur bonheur... Plusieurs semblaient étonnés d'avoir droit à une gamelle bien remplie et une bonne couverture pour la nuit... Pendant tout ce temps, les chats de la maison et de la chatterie observaient nos moindres gestes, installés confortablement sur les coussins. Je ressentais tellement de bonheur, une paix intérieure émanait de mon coeur. Ils étaient sauvés. À présent, je n'ai plus la force de continuer et de repartir à zéro. Par contre, je serai toujours là pour aider les animaux dans le besoin. J'ai tout perdu dans cet incendie mais personne ne pourra me prendre l'amour que j'ai pour ces êtres sans défenses. Comme j'ai plus de 20 chats à la maison en foyer d'accueil, je prévois faire un rajout à ma maison pour héberger ces 30 chats qui ont été sauvés. J'ai aussi sept chiens. Il m'est impossible d'arrêter pour le moment. Depuis cette tragédie, j'ai reçu deux chiens et un caniche que nous avons trouvé dans les décombres de la Chaumière; quelqu'un l'avait balancé par-dessus la clôture... Encore un abandon. Je n'ai pas le choix de les héberger, sinon où iront-ils? Nos bénévoles ont travaillé d'arrache-pied en ce qui concerne les adoptions des derniers chiens de la Chaumière. Tous ont trouvé un bon foyer et j'en suis heureuse. En terminant je veux vous mentionner toute l'admiration que j'ai pour le policier Stéphane Lamarre qui à chaque soir, passait par le chemin de la Chaumière. Sans notre héros, il y aurait eu plus de pertes de vie. Les pompiers ont fait un travail extraordinaire en ce qui concerne le sauvetage de nos chats dans la chatterie. Je vous dis un grand merci à vous tous qui m'avez envoyés des messages d'affection et de sympathie. Dès l'ouverture de la Chaumière pour 4 pattes, j'ai toujours eu l'assistance de Linda Robertson, de SPCA Montérégie. Son aide fut très précieuse et spécialement ce matin de l'incendie, elle n'a pas hésité malgré toute les difficultés à son refuge. Nous pouvions toujours compter sur Anne Dubé, de Rosie Animal Adoption pour les belles adoptions qui ont eu lieu dans la région de l'ouest de Montréal (Hudson, Saint-Lazare). Le programme de stérilisation de Dorothy Bond, de la Fondation Bond, nous a grandement aidés. Je vous invite à continuer de soutenir la cause des animaux en aidant ces organismes. Je vous demande pour une dernière fois de m'aider à les aider. Sans votre aide, tout comme par le passé, je n'y arriverai pas. Merci de tout coeur. Claudine Perret, fondatrice et les bénévoles de la Chaumière pour 4 pattes Notre-Dame-de-Stanbridge http://www.cyberpresse.ca/article/20070803/CPVOIXEST/708030835/5282/CPOPINIONS Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Animal 0 Posté(e) le 4 août 2007 Par Romina Spina AP - Samedi 4 août, 18h35LONDRES - La Grande-Bretagne a décrété samedi l'interdiction immédiate des exportations d'animaux et de produits animaux afin d'empêcher la propagation de la fièvre aphteuse, dont la présence a été confirmée vendredi soir dans une ferme du sud de l'Angleterre. La France et les Pays-Bas ont également pris leurs précautions, sans attendre la réunion d'urgence de l'Union européenne prévue pour lundi. (publicité) Le Royaume-Uni veut éviter le désastre, notamment économique, engendré par la dernière épidémie de fièvre aphteuse sur son territoire, en 2001. Sept millions d'animaux avaient été abattus et la crise avait coûté au pays un total de 8 milliards de livres (12 milliards d'euros). Le gouvernement de l'époque avait été sévèrement critiqué pour avoir tardé à réagir. Il avait fallu un an pour que le virus, apparu dans un élevage porcin du nord de l'Angleterre, soit éradiqué. La maladie, qui touche les bovins, chevaux, moutons et porcs mais pas les humains, avait également été signalée à l'époque en Irlande, aux Pays-Bas et en France, où des mesures de confinement en avaient empêché la propagation. La précédente épidémie britannique de fièvre aphteuse datait de 1967: 440.000 animaux avaient été abattus. Cette fois, Londres n'a pas attendu. Quelques heures après la confirmation de l'existence d'un foyer dans le Surrey, à une cinquantaine de kilomètres au sud-ouest de la capitale, le Premier ministre Gordon Brown a abrégé ses vacances pour présider une réunion de la cellule de crise COBRA samedi matin au 10, Downing Street, avec le ministre de l'Environnement Hilary Benn, qui a aussi interrompu ses congés. "Notre première priorité a été d'agir rapidement et résolument", a déclaré M. Brown. Il a assuré que les autorités faisaient "tout ce qui est en (leur) pouvoir" pour "éradiquer la maladie" et que des experts allaient travailler "nuit et jour" pour déterminer l'origine du virus. Une zone de protection de trois kilomètres et une zone de surveillance de dix kilomètres ont été établies autour de l'exploitation infectée, située près de Guilford. Au niveau national, le déplacement du bétail est interdit. Des scientifiques tentent d'identifier la souche virale et de voir s'il est possible de vacciner les animaux pour éviter une épizootie comme celle de 2001. La vétérinaire en chef au gouvernement, Debby Reynolds, a jugé qu'il était trop tôt pour savoir comment le virus était apparu en Grande-Bretagne, par des mouvements illégaux d'animaux, par le vent ou par une contamination accidentelle. Elle a encouragé les éleveurs à rester vigilants car "un petit nombre" de cas suspects ont été signalés dans d'autres fermes. Le ministère de l'Environnement, de l'Alimentation et des Affaires rurales (DEFRA) a déclaré que tout le bétail de l'exploitation contaminée du Surrey devait être abattu et incinéré. Il a précisé que l'interdiction d'exporter des animaux à sabot fendu -bovins, ovins et porcins- s'appliquait aux animaux vivants, aux carcasses, à la viande ou au lait. Les autorités ont toutefois assuré qu'il n'était pas question de revoir les grands bûchers de carcasses qui avaient choqué les Britanniques en 2001. A Bruxelles lundi, la Commission examinera "les restrictions de mouvement des animaux et de distribution des produits originaires du Royaume-Uni". Mais dès samedi, les importations d'ovins, bovins, caprins et porcins en provenance de Grande-Bretagne étaient suspendues jusqu'à nouvel ordre dans tous les pays de l'Union européenne. En France, les services départementaux et vétérinaires ont été chargés de recenser tous les bovins, ovins, caprins ou porcins introduits au cours des 10 derniers jours en provenance du Royaume-Uni, les exploitations qui les ont reçus devant faire l'objet d'une visite par les vétérinaires sanitaires. Parallèlement, tous les regroupements et mouvements d'animaux, sauf ceux destinés aux abattoirs, ont été interdits dans l'immédiat. Les Pays-Bas ont aussi interdit les transports de bétail. Le Japon et les Etats-Unis ont quant à eux interdit les importations de porc britannique, le boeuf britannique étant déjà banni de ces deux pays depuis les années 90, à la suite de la crise de la vache folle (ESB). AP st/v/sb http://fr.news.yahoo.com/ap/20070804/twl-gb-fievre-aphteuse-synthese-1be00ca_1.html Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Animal 0 Posté(e) le 4 août 2007 Le samedi 04 août 2007 Fièvre aphteuse en G.-B.: le Canada ferme sa frontière Les autorités britanniques ont imposé une zone de protection et de surveillance autour de la ferme où un foyer de fièvre aphteuse a été décelé. Photo AFP Presse Canadienne Montréal Comme l'ont fait tous les pays de l'Union européenne, le Canada ferme à son tour sa frontière aux importations d'animaux et de produits animaux en provenance de Grande-Bretagne. Cette mesure survient à la suite de la confirmation vendredi soir d'un foyer de fièvre aphteuse dans un élevage bovin du Surrey, dans le sud du Royaume-Uni. Santé Canada et l'Agence canadienne d'inspection des aliments ont entamé leurs activités de retraçage au Canada de produits animaux importés de Grande-Bretagne au cours des trois derniers mois. Selon la porte-parole de l'Agence, Caroline Dubé, seulement une petite quantité de semence de bovins congelée a été trouvée jusqu'à présent sur tout le territoire canadien. Le produit sera analysé afin de déterminer s'il est porteur de la maladie. Le Canada a été épargné par le fièvre aphteuse au cours des 50 dernières années, le dernier cas ayant été répertorié en 1953. (Bizarre ! Il me semble pourtant qu'il y a eu des cas au Canada il n'y a pas si longtemps...) Cette maladie animale représente peu de risques pour l'humain, qui dans des cas très rares, pourrait développer de légères lésions cutanés au contact du virus. La maladie est toutefois hautement contagieuse entre animaux. Les autorités britanniques ont imposé une zone de protection et de surveillance autour de la ferme où un foyer de fièvre aphteuse a été décelé. Une épidémie avait frappé la Grande-Bretagne en 2001, conduisant à l'abattage de sept millions d'animaux. La maladie avait également été signalée à l'époque en Irlande, aux Pays-Bas et en France, où des mesures de confinement avaient empêché la propagation de la maladie. http://www.cyberpresse.ca/article/20070804/CPACTUALITES/70804045/1019/CPACTUALITES Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Animal 0 Posté(e) le 5 août 2007 Packer sends horse meat to EuropeVeronica Rhodes, Saskatchewan News Network; Regina Leader-PostPublished: Saturday, July 28, 2007REGINA -- A southern Saskatchewan meat processor is bringing its workforce back up to 100 per cent by processing horse meat for sale in the European Union (EU).Ken Piller, president of the producer-owned Natural Valley Farms, said the company will begin processing horses in a week or two for a custom contract for the EU. The horses will be slaughtered at Natural Valley's plant near Neudorf and processed at its Wolseley facility."We don't buy (the horses) or sell them or sell the meat, we just custom process it," said Piller, adding he did not know which European countries would be receiving the meat.Email to a friendPrinter friendlyFont: ****The new contract will mean Natural Valley's workforce will once again be at full force at around 150 employees.In April, the company's operations were slowed as a number of employees were temporarily laid off due to a downturn in the feeding and processing industry. The company continued processing beef, but only operated two days a week."(The contract) is really good for our producers and our natural beef products and everything else to keep volume in here. We employ a lot of people and they want jobs," said Piller.Natural Valley opened the Wolseley processing facility in June 2005 and followed up with the Neudorf plant a year later. The company has numerous producers that provide natural cattle raised without the use of hormone implants and antibiotics, which are then processed and the meat sold under the Natural Valley label.After meeting several regulations, Natural Valley is now recognized as an EU processor. The company will continue to process beef and, while equipped to process a variety of species including elk and bison, processing horse meat will be a first."We are a European Union plant and . . . we built a multi-species plant. That certainly opens the doors for all kinds of processing that maybe is not that common here," said Piller.Currently, horse slaughtering is a controversial issue in the United States, where the country's last horse slaughterhouse, located in Illinois, is challenging a state law that bans the practice. Two Texas-based plants were closed in May due to similar state legislation being enforced.While he admitted people may have varying opinions on the slaughter and processing of horses, Piller said no concerns have been raised to him.Mae Smith, executive director of the Saskatchewan Horse Federation, admitted it is an emotionally charged issue. The federation does not oppose the practice, but believes treating horses humanely and with respect is paramount."Our position in a sense is that we're not really in the business of making judgment calls as much as ensuring that the animals are well cared for, that they're properly handled," Smith said.There are severe problems being created in the U.S. due to the closure of the horse slaughtering plants, Smith said. For example, the American racing industry has a large population of aging horses that are unable to race but have nowhere to go.While the consumption of horse meat would be uncommon among many Saskatchewan residents, Smith said it is commonly found on restaurant menus in Quebec.http://www.canada.com/saskatoonstarphoenix/news/business/story.html?id=90cd6e3e-f68e-4852-852e-786f27912976 Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
animo-aequoanimo 0 Posté(e) le 5 août 2007 Citation :Le Canada a été épargné par le fièvre aphteuse au cours des 50 dernières années, le dernier cas ayant été répertorié en 1953. (Bizarre ! Il me semble pourtant qu'il y a eu des cas au Canada il n'y a pas si longtemps...) Je ne sais pas vraiment. Je crois me souvenir de la tremblante du mouton, par contre. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Animal 0 Posté(e) le 6 août 2007 peut-être que je confonds Cé ! Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Animal 0 Posté(e) le 6 août 2007 XINING, 6 août 2007 (XINHUA) -- La police chinoise a saisi 104 fourrures d'animaux sauvages menacés d'extinction, dont 27 fourrures de léopards des neiges, dans la province du Gansu (nord- ouest), a annoncé lundi le gouvernement local. La police forestière de Xining, chef-lieu de la province du Qinghai (nord-ouest), a été informée du trafic de fourrures de léopards des neiges dans la province du Gansu et a découvert qu'un homme nommé Ma avait acheté des fourrures d'animaux rares en grande quantité. En juillet, la police a fait une perquisition dans la maison de Ma et y a saisi 104 fourrures d'animaux protégés, dont celles d'ours et de léopards des neiges. Ma a avoué qu'il avait acheté ces fourrures de la province du Qinghai et de la région autonome du Tibet et qu'il avait fait un bénéfice de 4 000 yuans (520 dollars) en vendant deux fourrures de léopards des neiges. Il s'agit du plus grand nombre de fourrures de léopards des neiges saisies par la police en Chine depuis 1949, a affirmé la police locale. http://www.french.xinhuanet.com/french/2007-08/06/content_468327.htm Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Animal 0 Posté(e) le 8 août 2007 Fièvre aphteuse en GB: deuxième foyer confirmé, l'origine de la maladie en question Par Cyril BELAUD AFP - Mardi 7 août, 13h09LONDRES (AFP) - Les autorités britanniques ont confirmé mardi l'existence d'un deuxième foyer de fièvre aphteuse, à proximité du premier site dans le Surrey (sud-est de l'Angleterre), et attendaient le résultat des tests permettant d'identifier la source de la contamination. (Publicité) Le ministre britannique de l'Environnement, Hilary Benn, a annoncé dans la matinée que les tests effectués sur le bétail abattu dans un deuxième élevage avaient démontré que celui-ci était également affecté par la maladie. Ce deuxième foyer de contamination se trouve à l'intérieur du périmètre d'exclusion de trois kilomètres entourant l'exploitation située près du village de Normandy (Surrey), à une cinquantaine de kilomètres au sud-ouest de Londres, où avait été détecté le virus vendredi. "Le chef du département vétérinaire confirmera rapidement ce matin que les tests effectués dans la nuit sur les échantillons prélevés sur les animaux abattus montrent la présence de la fièvre aphteuse", a déclaré M. Benn à la BBC. Le ministère de l'Environnement, de l'Alimentation et des Affaires rurales (Defra) a ensuite confirmé l'information et précisé que des mesures de contingentement seraient mises en place autour de ce deuxième élevage dans la journée. Un périmètre d'exclusion de trois kilomètres et un périmètre de surveillance de 10 km avaient déjà été imposés autour de la première ferme, et autour du site de Pirbright, à quelques kilomètres des deux exploitations, où se trouve un laboratoire de recherche animale suspecté d'être la source de la contamination. A Pirbright, les experts ont concentré leurs recherches sur Merial Animal Health, un laboratoire pharmaceutique privé spécialisé dans les maladies animales. Le site est également occupé par l'Institut de la santé animale (IAH), un établissement de recherche public. Les résultats de leurs tests étaient attendus dans la journée. "Nous ne savons pas encore", a souligné M. Benn. "Nous pensons recevoir aujourd'hui le premier rapport de l'équipe d'inspection qui a travaillé là ces derniers jours pour tenter de découvrir ce qui pourrait - j'insiste sur le mot +pourrait+ - avoir eu lieu". Les deux laboratoires avaient assuré lundi qu'il n'y avait aucune preuve pour le moment d'une défaillance de la sécurité biologique de leurs installations. Le site "fonctionne selon les standards internationaux les plus élevés et nous avons entière confiance en l'intégrité de nos activités", avait indiqué David Biland, le directeur opérationnel de Merial, détenu par les groupes américain Merck et français Sanofi-Aventis. Pour M. Benn, la découverte d'un deuxième foyer est d'abord la preuve que les mesures énergiques adoptées par le gouvernement produisent leur effet, tandis qu'environ 200 animaux ont déjà été abattus dans les deux fermes touchées. "Cela montre que les mesures que nous avons prises dans les zones de protection et de surveillance ont fonctionné pour identifier ce nouveau cas", a jugé le ministre. "C'est à l'intérieur de la zone de protection et cela montre la nécessité de rester vigilant". Lundi, le Premier ministre Gordon Brown, qui a interrompu ses vacances pour gérer la crise, avait mis en garde contre toute conclusion hâtive et affirmé que tout devait être fait pour "contrôler, endiguer et éradiquer cette maladie". L'Union européenne avait aussi entériné le plan britannique interdisant toute exportation de bétail et de produits animaux vers l'UE et plusieurs autres pays avaient suspendu leurs importations. La dernière épizootie de fièvre aphteuse, entre février et septembre 2001, avait traumatisé le pays : 2.030 cas avaient été identifiés et entre 6,5 et 10 millions d'animaux avaient été abattus, puis incinérés. http://fr.news.yahoo.com/afp/20070807/twl-gb-sante-elevage-4bdc673_2.html Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites