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Animal

BULLETIN AUTOMNE 2007

Messages recommandés

Hans Ruesch est mort
Mis en ligne le 28/08/2007
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Auteur de plusieurs romans, Hans Ruesch s'était consacré à la lutte contre la vivisection dès la moitié des années 70.
L'écrivain Hans Ruesch, né le 7 mai 1913 à Naples de parents suisses, est décédé lundi à Lugano. Auteur suisse le plus lu au monde, il était peu connu dans son pays d'origine. Polyglotte, il a écrit ses livres en allemand, anglais et italien notamment.
La nouvelle de son décès survenu après une longue maladie a été donnée par l'agence de presse italienne ansa et a suscité plusieurs réactions en Italie où Hans Ruesch était très connu.
Fils d'industriels suisses établis à Naples, Hans Ruesch avait étudié en Suisse après la scolarité obligatoire en Italie. Avant de se consacrer à l'écriture, il avait été pilote de Formule 1 pour l'écurie Ferrari. Vainqueur d'une trentaine de courses, il s'était retiré suite à un accident.
Lutte contre la vivisection Son premier ouvrage, publié en allemand, est paru en 1937 en Suisse. Il l'avait lui-même traduit en anglais sous le titre "The Racers". Le livre qui décrivait le monde des courses d'automobiles avait été porté à l'écran en 1957 avec Kirk Douglas dans le rôle principal.
Auteur de plusieurs romans, Hans Ruesch s'était consacré à la lutte contre la vivisection dès la moitié des années 70. Son livre "L'Impératrice nue", qui dénonçait le système sanitaire et le recours à la vivisection, lui avait valu de nombreuses condamnations à la suite de plaintes de l'industrie pharmaceutique.- - - - - - - - - - -

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Reuters - Mercredi 29 août, 10h47

MEXICO (Reuters) - La police mexicaine a saisi plusieurs dizaines de milliers d'oeufs d'une espèce rare de tortue en démantelant un réseau de contrebande de cette marchandise prisée pour ses vertus censément aphrodisiaques.
Six personnes ont été arrêtées près d'une plage dans l'Etat méridional d'Oaxaca, après la découverte de 57.000 oeufs de tortues "Olive Ridley", a déclaré le gouvernement mardi.

Ces oeufs sont un plat traditionnel dans la région côtière du Pacifique, où elles viennent migrer tous les ans pour leur reproduction.
L'"Olive Ridley" est aujourd'hui classée parmi les espèces en voie d'extinction.

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New York First State to Ban Anal Electrocution for Fur



August 28, 2007










Foxes and other animals on New York fur farms will be spared the painful deaths of electrocution, but they still suffer enormously just to supply a little trim for a collar or cuff.

New York made history today by becoming the first state in the nation to ban the practice of electrocuting animals to make fur coats and fur-trimmed jackets. Across the United States, electrocution—including anal and genital electrocution—is still used in killing foxes, chinchillas, mink and other animals for their fur.

Abroad, electrocution is also widely used, and anal electrocution of foxes is common. When they are not slammed into the ground or beaten before being skinned alive, raccoon dogs are also anally electrocuted. In banning electrocution, New York joins the U.K., which had already banned this cruel practice (replacing it with barbiturate injection) before banning fur farming altogether for its unethical nature.
Extraordinary Cruelty
The one-step process of anal and genital electrocution forces a surge of electricity into the animal's body through electrodes, and although the animal can appear rigid and motionlessness, he or she may remain conscious and suffering while experiencing the full force of a heart attack. Such a method of killing is considered unacceptable by American Veterinary Medical Association (AVMA) guidelines.
Unfortunately, the opinions of the public and veterinarians have done as little to stop fur-factory operators from using electrocution as they have done to discourage fur trappers from using their cruel methods. Some of these methods include the steel-jawed leghold trap, which the AVMA considers "inhumane;" the Conibear-style body-crushing trap which killed multiple family dogs in New York last year; and the neck snare, which can cause coyotes to experience the horrific phenomenon of "jellyhead"—wherein the animal remains alive as fluid builds up in his or her head.
Lawmakers Set Example for Compassion
New York—the country’s top fur market—has taken a significant step this year by both banning electrocution and closing the fur labeling loophole. Senator Frank Padavan, sponsor of both bills on his side of the legislature, was joined by bill sponsors Assemblymember Deborah Glick on the law to ban electrocution, and by Assemblymember Linda Rosenthal on the law calling for truthful fur labeling.
By passing these commonsense laws, the New York state legislature and Governor Spitzer have set examples of decency that other states should soon follow.

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encore un autre incendie de ferme non annoncé dans les journaux...
et comme on ne peut copier cette nouvelle sur le site de 911, je la retranscrit

INCENDIE MAJEUR DANS UNE FERME LAITIÈRE DE AUDET
29-08-2007

Mercredi, les pompiers de Audet ont dû combattre un violent incendie de ferme laitière du 70 Chemin Vallerand. Le service d'incendie de Audet a demandé l'assistance de St-Ludger et Lac-Drolet. Plusieurs bêtes ont péri dans l'incendie. (le nombre n'est pas indiqué)

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Le lundi 03 septembre 2007



Les bélugas du St-Laurent de plus en plus menacés par la pollution



Guillaume Lavalée

Agence France-Presse

Dans l'estuaire du St-Laurent

Sur le majestueux fleuve St-Laurent au Canada, des bélugas sortent la tête de l'eau et poussent des sons aigus. Surnommés les «canaris des mers» en raison de ce bruit curieux, ces cétacés sont de plus en plus menacés par la pollution.


«Là-bas, c'est Peabody», lance Michel Moisan du Groupe de recherche et d'éducation sur les mammifères marins (GREMM), une organisation locale, en montrant du doigt un béluga égaré. Il tient la barre du «Bleuvet», un bateau d'une dizaine de mètres qui sillonne le St-Laurent à l'embouchure du Saguenay, au large de Tadoussac à 500 kilomètres à l'est de Montréal.

Muni de jumelles, il cible un troupeau de bélugas, s'en approche, prend des photos, note sa localisation et tire une courte fléchette, réalisant une rare biopsie sur le gras d'un animal, autant d'informations qui servent à étayer les habitudes du mammifère marin, menacé par la pollution industrielle.

La majorité des bélugas vivent dans l'Arctique, mais une minuscule population méridionale, isolée et génétiquement séparée, réside en permanence dans le St-Laurent.

«C'est une population en péril... La raison première de son déclin était la chasse excessive, mais celle-ci a pris fin en 1979. (FAUX, LES INUITS CHASSENT ENCORE LES BÉLUGAS) Depuis, même s'il n'y a plus de prélèvement dans le St-Laurent, que ce soit par la chasse ou les prédateurs naturels, la population ne montre aucun signe de rétablissement», constate Véronik de la Chenelière, biologiste au GREMM.

Leur nombre, entre 1.000 et 1.200, n'a pas bougé depuis le début des années 1980, s'inquiète Véronique Lesage, chercheur au ministère canadien des Pêches.

En plus d'interdire la chasse, Ottawa a réglementé au début des années 1980 l'usage de certains produits comme le DDT et les PBC, retrouvés en grande concentration dans les carcasses de bélugas échoués sur les rives du fleuve.

Ces mesures devaient permettre de revitaliser cette population à un rythme annuel de 3%. Mais 25 ans plus tard, le nombre de bélugas n'a pas varié. Et l'utilisation massive d'autres produits chimiques a renforcé la contamination des petites baleines blanches.

«Actuellement, le béluga est probablement dans la période où il a accumulé la plus grande charge de contaminants persistants», affirme Michel Lebeuf, spécialiste de l'Institut de recherche Maurice-Lamontagne.

Son équipe, qui a analysé des carcasses de bélugas sur quinze ans, estime que les niveaux de produits chimiques réglementés dans les années 1980 «ont un peu diminué» dans les graisses du cétacé, mais demeurent «encore très importants».

Leur maintien s'explique en partie par l'âge des bélugas qui était jusqu'à l'an dernier mal calculé: les scientifiques supposaient que deux couches de croissance sur une dent correspondaient à une année de vie du mammifère marin, alors qu'elles représentent en fait deux années, selon une étude récente parue dans la Revue canadienne de zoologie.

L'espérance de vie du «canari des mers» est aussitôt passée de 35 à 70 ans: les bélugas nageant aujourd'hui dans le St-Laurent ont donc connu la contamination intense des années 1970.

«À ces produits viennent maintenant s'ajouter d'autres composés persistants de plus en plus utilisés», comme les organo-bromés, ajoutés aux plastiques des ordinateurs, et les organo-fluorés, prisés pour leur propriété anti-adhésive, explique M. Lebeuf.

Ce cocktail de contaminants n'épargne pas les rares nouveaux-nés qui en héritent via le placenta de leur mère.

«Avant, les jeunes bélugas arrivaient dans un environnement contaminé, mais il n'y avait pas ce legs de leur mère. Aujourd'hui, les bélugas qui se reproduisent transmettent une contamination importante, en plus d'être dans un environnement contaminé par la présence de nouveaux composés», dit M. Lebeuf.

Le taux de cancer avoisine les 25% chez les bélugas mâles du St-Laurent.http://www.cyberpresse.ca/article/20070903/CPENVIRONNEMENT/70903021/6108/CPENVIRONNEMENT

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Published August 31, 2007
Two Men Accused of Smuggling 7,000 Turtles


HONG KONG -- Hong Kong police have arrested two men accused of trying to smuggle more than 7,000 live pet turtles to mainland China, the government said Friday.

Marine police intercepted the two men Wednesday as they were loading about 300 cartons onto speedboats, a government statement said. The cartons were filled with clear plastic containers containing the tiny dark green turtles, each smaller than a human palm, a photograph published in the Ming Pao Daily News showed.

The turtles were seized along with counterfeit computer video discs. Together the turtles and discs were worth a total of $820,000, the statement said.
Most of the animals were snapping turtles (les mêmes que celles que j'ai vues lors d'une randonnée en vélo), a species found in Canada and South America. Razorback musk turtles, native to the U.S., were also found. None of the smuggled species were endangered, agricultural department spokesman Donald Lam said.

The animals were worth between $21 to $192 each. There is a growing market in mainland China for pet turtles, the Ming Pao paper quoted marine police inspector Lai Chi-hung as saying.

Police detained the two men but others in their group escaped in speedboats, it said. http://www.enn.com/top_stories/article/22536

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Le lundi 03 septembre 2007



Un incendie rase une ferme à Lennox



Marianne Dandurand

Sherbrooke



Un violent incendie a complètement détruit la ferme Fairview de l’arrondissement Lennoxville lundi après-midi. La plupart des animaux ont été évacués assez rapidement, mais quelques porcs et quelques vaches, une dizaine d’animaux en tout, ont péri dans les flammes. Une résidence située à proximité a été endommagée par l’eau, la fumée et un début d’incendie dans les combles rapidement maîtrisé.

La ferme laitière située sur la rue Queen, près du commerce de motos l’Ami Denis, appartient à la famille de Brian Herring depuis 7 générations. Il était trop tôt hier pour évaluer les dégâts et statuer sur l’origine de l’incendie. Toutefois, le bâtiment principal de la ferme est une perte totale.

« Nous avons reçu l’appel à 15 h 14, indique le directeur par intérim du Service des incendies de Sherbrooke, Gaétan Drouin, accordant une entrevue dans une épaisse fumée qui recouvrait le secteur. À notre arrivée, la ferme était déjà complètement embrasée. Nous avons évacué des cochons et des vaches, et nous avons protégé les bâtiments environnants pour éviter la propagation des flammes. » M. Drouin a souligné que la présence de foin dans la grange rendait l’incendie très difficile à éteindre.

Texte complet dans La Tribune mardi.



http://www.cyberpresse.ca/article/20070903/CPTRIBUNE/70903104/5206/CPACTUALITES

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As U.S. slaughterhouses shut down, domestic abattoirs are courting demand for
the delicacy abroad and controversy at home
KATHERINE HARDING

From Tuesday's Globe and Mail

September 4, 2007 at 4:22 AM EDT

NEAR NEUDORF, SASK. - At the end of a remote gravel road in southern
Saskatchewan's Qu'Appelle Valley is the next target in a growing movement to rid
North America of its horse slaughterhouses.

Horse advocates in both Canada and the United States are outraged that this vast
green valley, lush and rolling, is now home to this country's newest federally
licensed horse abattoir: Natural Valley Farms Inc.

They are also concerned that even more Canadian companies may start slaughtering
and processing horses in a bid to satisfy hungry overseas markets that crave
horsemeat, a pricey delicacy in many countries, since the industry is headed for
extinction in the United States.

"This is all happening under the radar. Ask most people, and they have no idea
that horses are even slaughtered in Canada for meat," said Shelley Grainger,
director of the Canadian Horse Defense Coalition's eastern region.


Enlarge Image
Wild horses are rounded up in July in Eureka, Nev. Two of the three remaining
horse slaughterhouses in the U.S. shut down this year. The industry is worth
$60-million annually in Canada. (Justin Sullivan/Getty Images)


Her group wants the practice outlawed in Canada, arguing it is inhumane and
repugnant because horses are commonly regarded more as pets and sporting animals
than livestock. The coalition is also calling for a national ban on the shipment
of live horses to other countries for human consumption.

Currently, almost all the horsemeat processed in Canada by the six licensed
horse abattoirs is exported to Europe and Asia, although there is a small
domestic market for the product in Quebec. According to Statistics Canada, the
top importers of Canadian horsemeat last year were France, Japan, Mexico and
Switzerland.

The industry is worth an estimated $60-million annually in Canada.

Steven Rei, an American anti-horse-slaughter lobbyist and founder of the
National Equine Rescue Coalition, said Natural Valley Farms' decision to begin
slaughtering horses this summer is proof that Canada is already benefiting from
the shutdown earlier this year of two of the three remaining horse
slaughterhouses in the United States. (In 2006, about 88,000 horses in the U.S.
were killed and processed into horsemeat.)

The last operating slaughterhouse in the U.S., located in DeKalb, Ill., is
struggling to remain open while it fights a new state law aimed at putting it
out of business for good. It has been shipping its meat to U.S. zoos for feed,
and overseas for human consumption, for about two decades.

The horsemeat contract Natural Valley Farms recently signed is with Velda Group,
the Belgium-based parent company of the business that owns the troubled Illinois
slaughterhouse.

Ken Piller, president of Natural Valley Farms, was extremely reluctant to talk
about the controversy surrounding the meat plant's move to begin slaughtering
horses at its facility south of Neudorf, Sask., a farming community of about 300
located 1½ hours east of Regina. The meat is processed at a plant in nearby
Wolseley, Sask. It took several unreturned phone calls and an unannounced visit
to the company's Neudorf plant before he agreed to speak.

"We saw an opportunity here," Mr. Piller explained in an interview. "I really
don't want to talk about the politics involved."

According to Mr. Piller, the producer-owned business opened in 2005 and has been
struggling ever since. The meat plant, which has tried to set itself apart from
competitors by only producing hormone- and antibiotic-free beef, received money
from the Saskatchewan government to help get started.

Mr. Piller, whose family has been farming and ranching in the Qu'Appelle Valley
for several generations, said that to keep the company's two plants operational
and its 150 employees busy, side ventures such as processing horse meat are
necessary. Even as late as April, it had to lay off some workers because of a
lack of work.

Mr. Piller understands that slaughtering horses for meat is an emotionally
charged issue for many, but added: "Nobody in Saskatchewan cares. Everybody here
raises horses ... Everybody understands at the end of the day there has to be a
cull."

Mr. Piller said about 95 per cent of the horses slaughtered at Natural Valley
Farms are from Canadian suppliers, and that many are "retirees" - often older,
unwanted animals, including former racehorses.

Despite the collapse of the U.S. horse-slaughter industry, he doesn't expect
more Canadian companies to rush in to fill the void. Mr. Piller said it's a
difficult business to get into and that to ship product to Europe requires
European Union certification, which Natural Valley Farms already had.

If anything, he expects Mexico will benefit more than Canada from the closing of
American horse abattoirs.

People living near Natural Valley Farms' slaughterhouse are generally supportive
of the company's move to produce horsemeat for foreign markets. "The plant has
been good for this community. It has brought money and jobs here," said Glen
Bender, who works at Cooper's General Store & the Chicken Coop Cafe in Neudorf.

Not all locals are happy with what's happening at the plant. Mr. Piller's uncle,
Raymond Piller, a 70-year-old farmer, shook his head and said: "Those poor, poor
horses. But I know that they have to do what they have to do to keep that place
running. They've had a hard go of it."

Ms. Grainger said that while only a small percentage of horses in Canada are
sent to the slaughterhouse (about 50,000 annually), there is no need for any of
them to end up there.

"The fact is that my horse is my pet, just like my dog and my cat. We don't
slaughter our pets for people to consume," she said. "Horses are a part of our
culture in a way that traditional livestock aren't."

Ms. Grainger admits the anti-horse-slaughter lobby in Canada isn't as strong or
organized as its counterpart in the U.S., but she expects it to gain steam as
the "hidden industry" is exposed to more Canadians.

*****

Horse d'oeuvres

Which provinces have

licensed slaughterhouses for horses?

Quebec (two), Alberta (two), British Columbia and Saskatchewan.

How are horses

slaughtered?

The process is similar to how cattle are slaughtered: The animal is usually
stunned with a captive bolt pistol that drives a spike into its brain and
renders it immediately unconscious. Ken Piller, president of Natural Valley
Farms, a Saskatchewan-based meat plant that slaughters horses, said compared
with other animals the horse "is probably the easiest and cleanest animal to
process."

What's the history

of horsemeat?

Humans have eaten horsemeat since the beginning of time. However, as with pork
and beef, some religions have either discouraged or banned the consumption of it
over the centuries. For example, in 732, Pope Gregory III issued an edict to
Roman Catholics that forbade them to eat it.

Today, the meat is generally considered to be taboo in most English-speaking
countries such as Canada, the United States and Australia. However, many
European and Asian diners still regularly enjoy the delicacy. China is the
leading producer of horsemeat.

What does it taste like?

The high-protein, low-fat meat is often described as tasting slightly sweet and
similar to beef.

How is it usually prepared?

Similar to other meats, horsemeat can be prepared in numerous ways: smoked,
salted, grilled, even eaten raw.

Katherine Harding

A foreign delicacy

Almost all the horsemeat processed in Canada by the six licensed horse abattiors
is exported.

CANADIAN EQUINE* MEAT EXPORTS, 2007 to June

Quantity, KGM (Kilogram-meter) Value, $
Japan 2,492,889 $10,637,632
France 2,344,079 $12,097,347
Switzerland 947,337 $9,247,247
Mexico 904,337 $1,386,200
Italy 370,510 $1,725,454
Czech Republic 96,952 $151,925
Finland 48,354 $90,595
South Africa 23,618 $45,881
United States 18,606 $33,601
Belgium 15,300 $165,586
Swaziland 12,897 $117,204
Jamaica 7,664 $17,504

*includes horse, ass, mule and hinny (horse/donkey cross)

WHERE THEY ARE

Westwold, B.C.

Lacombe, Alta.

Fort Macleod, Alta.

Neudorf, Sask.

Massueville, Que.

St.-Andre-Avellin, Que.

SOURCES: STATISTICS CANADA, AGRICULTURE AND AGRI-FOOD CANADA

http://www.theglobeandmail.com:80/servlet/story/RTGAM.20070904.whorse04/BNStory/\
National/

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Hécatombe de dromadaires en Arabie saoudite

JEAN-MICHEL BADER.
Publié le 01 septembre 2007
Actualisé le 01 septembre 2007 : 21h05

Les animaux ont des signes clinique d'agitation, de perte de contrôle de leurs mouvements, et meurent en quelques heures.


Les animaux ont des signes clinique d'agitation, de perte de contrôle de leurs mouvements, et meurent en quelques heures.

AFP / ISSOUF SANOGO .



Plus de 2 000 camélidés sont morts brutalement en Arabie saoudite depuis le 10 août dernier. Des analyses sont effectuées dans des laboratoires français pour expliquer cette mystérieuse épidémie .



LE PRINCE gouverneur de Riyad, Salman Bin Abdul Aziz, a malheureusement été obligé d'annuler le concours de beauté des chameaux, qui devait avoir lieu au mois de septembre. Mille cinq cents camélidés étaient attendus avec impatience pour ce grand rendez-vous, dans ce pays qui a élevé cet animal à un niveau symbolique et économique inexistant ailleurs dans le monde.

C'est que, depuis le 10 août 2007, une très mystérieuse épidémie décime les camélidés : c'est devenu une « véritable hécatombe », selon l'AFP. Les bêtes meurent par dizaines quotidiennement. Les animaux ont des signes cliniques d'agitation, de perte de contrôle de leurs mouvements, et meurent en quelques heures. À l'autopsie, leur foie porte à sa surface des points noirs, et des taches jaunâtres sont retrouvées sur la face interne de la peau.

Rien que le 28 août, selon des statistiques officieuses, citées par le quotidien saoudien Al Watan, 60 dromadaires, 400 moutons et 7 vaches sont mortes. Un journaliste d'Al Watan nous a confirmé la mort, depuis le début de la crise, de plus de 2 400 bêtes, et un confrère du quotidien Al-Iqtissadiya (« L'Économie ») affirme que plusieurs membres de la famille royale ont donné pour compensation leurs propres animaux aux propriétaires touchés. Le roi Abdallah Ben Abdel Aziz al-Saoud suit de près l'affaire.

Les autorités saoudiennes sont de plus en plus critiquées par les propriétaires de dromadaires, qui dénoncent la lenteur de leur réaction. Elles ont envoyé cette semaine des échantillons congelés de cadavres de dromadaires à l'école vétérinaire de Lyon, et des échantillons du foin de son (n'fala) avec lequel avaient été nourris les animaux, au laboratoire Myco2B de Toulouse. Il s'agit de déterminer rapidement la nature et la cause de cette épizootie.

Un champignon microscopique

Première piste suivie par le ministère de l'Agriculture saoudien : un empoisonnement alimentaire d'origine inconnue. Le royaume saoudien, qui comptait en 2005 environ 862 000 camélidés, y a organisé de véritables étables laitières où l'on trait les femelles allaitantes, tout comme des vaches PrimHolstein en Europe ! Les animaux doivent recevoir des compléments alimentaires, d'où l'apport de foin. Celui-ci a pu être stocké dans des conditions douteuses, et s'y serait développé un champignon microscopique. Il en existe des milliers d'espèces, capables de synthétiser des centaines de mycotoxines protéiques. Le responsable du programme FAO en Arabie a demandé son aide à la France qui dispose du seul laboratoire privé, à Toulouse, qui garde encore la compétence perdue par les grands laboratoires publics universitaires dans ce secteur.

Une hypothèse inquiétante

Sophie Bailly nous confirme « avoir reçu les échantillons et déclenché une batterie de tests, dont les résultats seront connus la semaine prochaine ». Il s'agit de mettre en culture sur des milieux spécifiques, des dilutions des échantillons de l'aliment, pour y trouver la moisissure suspecte. Certaines analyses se font en routine, d'autres sont presque expérimentales. Si l'on trouve un agent microbiologique, on pourra alors vaporiser dans un spectromètre de masse le produit de cette culture, pour y détecter une toxine dangereuse (il en existe des centaines). Un argument essentiel en faveur de l'empoisonnement, est avancé par Abdallah Oihabi, responsable du programme de la FAO local : « Nous avons pris le foin, et donné à manger à d'autres camélidés, ils ont péri comme les autres avec les mêmes symptômes. »

La seconde hypothèse, plus inquiétante, est avancée par Bernard Faye (Cirad, Montpellier) : « Ce n'est pas la première fois que l'on voit une mortalité brutale importante dans cette région. En 1996, on avait vu en Éthiopie une épidémie mortelle dans cette espèce, due à un virus qui touche d'habitude les chèvres, et qui n'était jamais passée chez le chameau. » Il s'agit de la peste des petits ruminants, qui semble franchir la barrière des espèces. Les ovins et les bovins morts en Arabie pourraient aussi être concernés, et les contacts est-africains de Bernard Faye lui ont fait part d'une mortalité importante et brutale de chameaux au nord du Kenya. Les échantillons envoyés à l'École vétérinaire de Lyon seront analysés dans cette perspective. Pour ne rien simplifier, la peste des petits ruminants s'accompagne volontiers d'une surinfection par un streptocoque qui infecte généralement le cheval, mais qui, chez les ovins, peut provoquer une gourme généralisée qui tue les animaux atteints.

Pour compliquer encore la situation, le royaume saoudien doit aussi faire face à une menace d'épidémie de fièvre aphteuse.
http://www.lefigaro.fr/sciences/20070901.FIG000001152_hecatombe_de_dromadaires_en_arabie_saoudite.html

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ajouter article de hop sur les blaireaux britanniques....

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6 sept. 2007
Le Fonds indien de protection de la nature a dénoncé jeudi un trafic présumé de cuisses de grenouilles vers la France après que la police eut mis la main sur des sacs remplis de milliers de ces batraciens protégés.

La semaine dernière des policiers de l'Etat indien de l'Assam (nord-est) ont découvert sur une route près d'un parc naturel 14 sacs contenant des milliers de grenouilles, la plupart vivantes, apparemment abandonnées par des trafiquants.

Les animaux furent relâchés, mais plusieurs centaines étaient déjà morts étouffés.

"C'est une énorme saisie et la marchandise était, selon toutes les probabilités, destinée à la France où (les cuisses de grenouilles) sont considérées comme un plat gastronomique", a déclaré à l'AFP Ashok Kumar, vice-président du Fonds indien pour la protection de la nature (WTI).

D'après lui, les batraciens devaient être tués, démembrés puis leurs pattes congelées au Bangladesh, avant d'être envoyées en France.

"Une fois congelées, elles peuvent rapporter beaucoup d'argent. Il semble qu'il y ait une chasse organisée dans l'Assam à la grenouille-taureau indienne", la plus grosse espèce de grenouille en Inde, mesurant jusqu'à 15 cm, a-t-il accusé.

Cette grenouille a été déclarée "espèce protégée" en 1994 par la Convention sur le commerce international des espèces de faune et de flore sauvages menacées d'extinction (CITES).

En 1997, un chargement de 450.000 grenouilles-taureaux indiennes avait été intercepté aux Pays-Bas, à destination du Canada et en provenance du Vietnam.

Devenue rare dans les marais en France, la grenouille est un produit de haute gastronomie, les cuisses étant cuisinées surtout par de grands chefs qui s'approvisionnent en Asie. La pêche de ce batracien est interdite en France depuis 1980 et son élevage sévèrement réglementé.


La France importe 3.000 à 4.000 tonnes par an de cuisses surgelées et 700 à 800 tonnes de grenouilles vivantes, selon des chiffres de 2005 de l'Institut national de la recherche agronomique (Inra).




Inde: soupçons de trafic de cuisses de grenouilles vers la France - 06/09/07
http://www.animaux-online.com/depeches,lecture,inde-soupcons-de-trafic-de-cuisses-de-grenouilles-vers-la-france:31356.html

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Samedi 8 septembre-BERLIN (Reuters) - Les autorités sanitaires allemandes ont entrepris l'abattage de 205.000 volailles dans deux exploitations bavaroises, à titre de précaution en raison d'une forte présomption de propagation de la souche H5N1 de la grippe aviaire.



if(window.yzq_d==null)window.yzq_d=new Object();
window.yzq_d['Fq9QSFf4aw4-']='&U=13khifd83%2fN%3dFq9QSFf4aw4-%2fC%3d200095589.201459230.202718590.200967856%2fD%3dLREC%2fB%3d200647000';


L'opération doit s'échelonner sur plusieurs jours, jusqu'à la fin de la semaine à venir, et concerne les volailles de deux villes bavaroises, Trumling et Hofing.
Une souche a été identifiée en Allemagne, dans une autre ville de Bavière, le 25 août dernier, avec la découverte de plus de 400 canards morts porteurs du virus H5N1, hautement pathogène. La ferme où ces canards ont été retrouvés, à Wachenroth, a aussitôt été bouclée et les 160.000 volailles avaient été abattues.
Les deux exploitations à Trumling et Hofing étaient liées avec celle de Wachenroth. Des anticorps ont été découverts chez certaines volailles de ces deux fermes, laissant penser que le H5N1 y était déjà présent également, a déclaré Frank Pfeffer, porte-parole des autorités.

http://fr.news.yahoo.com/rtrs/20070908/thl-allemagne-grippe-aviaire-b2e59e8_1.html

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Le lundi 10 septembre 2007

Plusieurs animaux se trouvaient à l'intérieur du commerce lors de l'incendie et aucun n'a pu être sauvé. Les pertes sont évaluées à plus de 300 000 $.


Il y a presque un an jour pour jour, Marcel Viens et sa conjointe ont acheté un bâtiment, sur la route 112, à Saint-Césaire, qu'ils ont transformé en animalerie. Ils souhaitaient en faire une entreprise familiale qu'ils auraient éventuellement léguée à leurs deux filles. Dans la nuit de samedi à hier, leur beau projet s'est envolé en fumée.

L'animalerie La Coqueterie a été complètement ravagée par les flammes, vers 4h, hier matin. Plusieurs animaux se trouvaient à l'intérieur du commerce lors de l'incendie et aucun d'entre eux n'a pu être sauvé. Les pertes sont évaluées à plus de 300 000 $.

Le logement voisin de l'immeuble détruit par le feu a dû être évacué. La majeure partie du deuxième étage - où demeurait la fille aînée de M. Viens - est une perte totale. Un des six locataires évacués a été incommodé par la fumée et a dû être transporté à l'hôpital. Son état n'inspire toutefois aucune crainte.

Les pompiers n'écartent pas la possibilité que le feu soit d'origine criminelle. «Présentement, on parle d'une origine inconnue. Les policiers ont ouvert une enquête afin de déterminer la cause de l'incendie», affirme le directeur du service d'incendie de Saint-Césaire, Jacques Bienvenu.

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Le mardi 18 septembre 2007

PRÈS DE 200 VACHES PÉRISSENT

Prestigieuse ferme réduite en cendres





Le Quotidien

MÉTABETCHOUAN-LAC-À-LA-CROIX

La région a perdu hier l'une de ses plus prestigieuses entreprises laitières alors que le feu a détruit la ferme Adélard et Serge Tremblay de Métabetchouan-Lac-à-la-Croix.


L'établissement disposait d'un troupeau de 225 vaches laitières de race Ayrshire. À peine une trentaine de bêtes ont pu être sauvées du brasier.

"Il fallait qu'on rentre le foin dans l'étable. Je suis allé à l'intérieur pour partir la machinerie, puis je suis ressorti. Après une quinzaine de balles de foin, la fumée a commencé à apparaître. Je suis allé voir ce qui se passait et le feu était poigné. J'ai couru le plus vite possible pour appeler les pompiers, mais il était déjà trop tard", raconte l'employé Claude Vanderheiden.

Il était exactement 15 h 56 lorsque le premier témoin a alerté les services d'urgence. Une heure plus tard, il ne restait plus rien du bâtiment, sinon des cendres et de la tôle fumante.

Propriétaire de l'entreprise familiale, Serge Tremblay n'a pu établir le montant exact de ses pertes. Il a toutefois chiffré à un quart de million $ la valeur de son bétail.

"Nous venions de remporter le prix du meilleur troupeau Ayrshire de la région et celui du meilleur éleveur, à l'Expo de Saint-Félicien", laisse tomber l'homme en se retournant vers les restes de son héritage familial.

Ayant du mal à contenir ses larmes, il poursuit : "Toutes mes vaches laitières sont là, derrière moi".

Bien qu'il n'en soit pas absolument certain, Serge Tremblay croit qu'un problème d'ordre électrique est à l'origine de l'incendie.

"On pense que c'est peut-être un trouble électrique, mais le courant a été refait il y a à peine deux ou trois ans. Je ne sais pas ce qui s'est passé", exprime-t-il.

Intervention massive

Lorsqu'ils sont arrivés sur les lieux, les pompiers se sont immédiatement concentrés sur la protection des résidences environnantes.

"L'étable était détruite aux trois quarts. On ne pouvait plus rien faire pour sauver le bâtiment. Il fallait toutefois éviter que le feu se propage jusqu'aux maisons là-bas", confie le responsable du service des incendies d'Alma, Bernard Dallaire, en pointant deux résidences érigées à une centaine de pieds des installations fermières.

En vertu du nouveau schéma de couverture de risques en incendie, élaboré l'an passé par la MRC de Lac-Saint-Jean-Est, pas moins de cinq unités de prévention ont été dépêchées pour combattre l'incendie.

"Nous avons des hommes de Métabetchouan-Lac-à-la-Croix, d'Hébertville, d'Hébertville-Station, de Saint-Bruno et d'Alma. C'est dans des situations comme celles-là qu'on voit à quel point ce schéma est efficace. Autrefois, nous aurions été gênés de mandater autant d'effectifs dans une municipalité voisine. Au mieux, ils auraient été une quinzaine de pompiers alors qu'en ce moment, nous sommes une quarantaine. Nous avons aussi trois citernes, deux de 1500 galons et un de 2500 galons, ainsi que quatre piscines au sol. C'est toute la différence du monde", explique Bernard Dallaire.

Sans un tel déploiement, extrapole-t-il, jamais les sapeurs n'auraient été en mesure d'éviter une propagation des flammes.


http://www.cyberpresse.ca/article/20070918/CPACTUALITES/709180620/5276/CPACTUALITES

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Encore un autre labo de torture au Canada Shit





New lab will research reproduction techniques



The StarPhoenix

Published: Wednesday, September 19, 2007



A new research lab geared to developing advanced reproduction techniques for livestock opened its doors at the University of Saskatchewan Tuesday.
A part of the Western College of Veterinary Medicine's $57-million expansion, the Westgen Research Suite is where scientists will do work to help ranchers optimize the breeding of cattle, swine, horses and other livestock. Producer-owned, non-profit Westgen (Western Canada's Genetic Centre) contributed $640,000 toward the lab, which is in the vet college's new $8-million research wing.
A university media release says during the past three decades, the vet college has pioneered new techniques in artificial insemination, spermatology and embryo transfer in livestock and performed groundbreaking studies on the regulation of reproductive cycles.[

The new facility consists of a multi-user lab, cell-culture rooms, storage space for liquid nitrogen and a cold room. In a second lab, researchers have access to equipment to do experiments in molecular and cellular biology and immunology.


©️ The StarPhoenix (Saskatoon) 2007

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20 septembre 2007- Incendie sur une ferme de Coaticook


(CHLT) - Deux bâtisses embrasées, mais pas de blessé.
Un incendie s'est déclaré en fin de journée, hier, sur une ferme de Coaticook.

L'appel aux services d'urgences a été fait à 16 h 45 pour le feu de deux bâtiments de ferme situés sur le chemin Favreau.

L'évènement n'a pas fait de blessé.

Des animaux et de l'équipement agricole se trouvaient toutefois à l'intérieur des bâtisses qui ont été rasées par le feu. SadMadMadMad

Les dommages seraient importants et seront évalués aujourd'hui. Mad

On ne connaît pas la cause du sinistre.



Francois Jeanson / CHLT
http://www.corusnouvelles.com/nouvelle-incendie_sur_ferme_coaticook-434952-4.html

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Le vendredi 21 septembre 2007



Nouveau cas de fièvre aphteuse confirmé en G.-B.




Photo AP




Agence France-Presse

Londres

Un sixième cas de fièvre aphteuse est confirmé en Grande-Bretagne, dans un élevage situé dans le Surrey (sud-est de l'Angleterre), a annoncé vendredi le ministère britannique de l'Environnement, de l'Alimentation et des Affaires rurales (Defra).



Les tests réalisés sur le bétail dans cette ferme, située dans la zone de protection en vigueur dans le Surrey, se sont avérés positifs.

«Des résultats positifs des tests de la fièvre aphteuse ont à présent été confirmés sur le site où la décision a été prise auparavant dans la soirée d'abattre le bétail soupçonné» d'être atteint par cette maladie, a indiqué une porte-parole du ministère.

«Les animaux touchés se trouvent dans la zone de protection instaurée dans le Surrey et ce cas est le sixième» depuis le réveil de l'épizootie le 3 août dernier dans le pays, a-t-elle souligné, indiquant que la décision a été prise d'abattre 40 bovins».

Quelque 1800 bêtes ont été abattues depuis la réapparition de la maladie près du village de Normandy dans le Surrey début août.

Les tests ont été effectués vendredi sur des animaux qui avaient montré les symptômes cliniques d'une forme hautement contagieuse de la fièvre aphteuse, indique l'agence Press Association (PA).

Les analyses effectuées sur les foyers contaminés ont révélé que la souche du virus à l'origine du premier foyer de septembre était semblable à celle responsable des précédents cas détectés début août.

Un premier cas de fièvre aphteuse avait été détecté le 3 août près du village de Normandy dans le Surrey et un autre cas confirmé quelques jours plus tard à proximité, près du site de Pirbright où deux laboratoires manipulent le virus.

Cinq jours seulement après que le gouvernement a annoncé l'éradication définitive de la maladie, le virus était réapparu dans le Surrey.

Les nouveaux foyers de contamination sont apparus au moment où l'élevage britannique se relève à peine des lourdes pertes infligées lors de l'épizootie de 2001 (environ huit milliards de livres, soit 11,7 milliards d'euros, et 6,5 à 10 millions d'animaux abattus).

L'Union européenne a par ailleurs rétabli son embargo sur la viande britannique, un coup dur alors que les exportations représentent un marché d'un demi-milliard de livres (730 millions d'euros) et qu'elles se font principalement vers l'UE.

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Négligence envers les animaux
60 chiens rescapés


Mise à jour le vendredi 21 septembre 2007, 12 h 51 .



La Société protectrice des animaux (SPCA) est venue au secours d'une soixantaine de chiens qui semblaient abandonnés en forêt, dans le secteur Chutes des Passes, au 150e parallèle. Les bêtes, des chiens de traîneau, ont été placées à la fourrière de Saint-Honoré. Elles seraient toutes hors de danger. On croyait d'abord devoir en euthanasier plusieurs, particulièrement mal en point.

Ce sont des policiers de la Sûreté du Québec qui enquêtaient dans le secteur pour une affaire de bidons d'essence volés qui ont aperçu les chiens. Ils ont immédiatement alerté la SPCA, qui a organisé une expédition dès le lendemain.

La SPCA a porté plainte. Le propriétaire des chiens devrait faire face à des accusations de négligence envers les animaux.

« Ce n'est pas de la cruauté, c'est de la négligence. Parce ce que ces chiens-là ne mangent pas à leur faim c'est sûr. Ces chiens-là n'ont pas d'eau à volonté ça c'est certain. Il y avait juste les femelles qui avaient eu des petits, qui avaient mis bas, qui étaient sous des abris de fortune, sous un canot, des choses comme ça », explique la directrice de la SPCA, Sylvie Tremblay.

En attendant le jugement du tribunal, les 60 chiens demeureront à la fourrière de Saint-Honoré. Selon Sylvie Tremblay, dès lundi, tous les chiens devraient avoir un abri, grâce à la collaboration de la population. « C'est un gros contrat, mais j'ai de l'aide. Les niches rentrent, les gens viennent porter du bois pour qu'on en construise, la nourriture, j'ai une compagnie qui m'en livre plusieurs palettes. Vous voyez les gens répondent bien. On a comme lancé un petit SOS hier à ce niveau-là », indique Mme Tremblay.

VIDEO: Un reportage de Jocelyn Proulx
http://www.radio-canada.ca/regions/saguenay-lac/2007/09/21/003-chiens.shtml

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18-09-2007


Saint-Hyacinthe- Un bâtiment d'une ferme laitière du Chemin Grand Rang a été complètement rasé par les flammes. La centaine de vaches présentes dans l'étable ont été sorties par de bons samaritains ainsi que des pompiers. Le feu a été maitrisé avec l'aide de plusieurs citernes des municipalités de Saint-Pie, St-Damase, St-Dominique, St-Simon, Ste-Madeleine, St-Liboire, Saint-Barnabé sud et St-Jude. La cause du sinistres demeure inconnue.

911

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Le lundi 24 septembre 2007



La Russie et les États-Unis protégeront ensemble les ours polaires




Agence France-Presse

Moscou

La Russie et les États-Unis vont protéger ensemble les ours blancs de Tchoukotka (extrême Nord-Est russe) et d'Alaska aux termes d'un accord entre les deux pays signé en 2000 et entré en vigueur dimanche, a indiqué lundi le ministère russe des Affaires étrangères.





Cet accord «définit les conditions de la coopération entre la Russie et les États-Unis pour sauvegarder la population d'ours blancs de Tchoukotka et d'Alaska» et en «réglementer» la chasse de façon à «garantir les besoins vitaux des peuples autochtones», selon un communiqué.

Les ours polaires sont l'une des espèces mises en péril par le réchauffement climatique, selon un rapport du Groupe intergouvernemental d'experts sur l'évolution du climat (Giec) publié en avril.

Le Fonds mondial pour la nature (WWF) travaille depuis 2003 sur un projet de protection des ours blancs en Russie. L'organisation finance notamment la réserve naturelle de l'île de Wrangel, au nord de Tchoukotka, ainsi que la création de territoires protégés le long du littoral.



http://www.cyberpresse.ca/article/20070924/CPENVIRONNEMENT/70924109/6108/CPENVIRONNEMENT

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24-09-2007

À St-Patrice de Beaurivage

Un bâtiment a complètement été ravagé par les flammes à St-Patrice de Beaurivage dans Lotbinière. Le bâtiment était destiné à l'engraissement des cochons. Plusieurs cochons se trouvaient à l'intérieur (aucun nombre indiqué)

(ps.s. sûrement plusieurs centaines.......)

911
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24-09-2007-

1200 porcelets ont péri dans un incendie

Une porcherie a été la proie des flammes à St-Isidore en Beauce.
Plusieurs services d'incendie avoisinnants ont été appelés en renfort, dont St-Anselme, St-Lambert, Scott et Hénédine.

ShitShitShit

911
------------
Un violent incendie ravage une porcherie en Beauce.


(tqs.ca) Le feu s'est déclaré vers 19 heures 30 sur le chemin de la Grande ligne à St-Isidore.
C'est une maternité qui a été la proie des flammes.
1200 porcelets ont péri dans cet incendie.
Les dommages sont évalués à un demi million de dollars.
Une enquête a été ouverte dans le dossier.
On ignore pour l'instant ce qui a pu se produire, mais tout porte à croire que le feu ne serait pas d'origine criminelle.

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24-09-2007-Deux bâtiments de ferme en feu à St-Roch-des-Aulnaies

dans 2 bâtiments de ferme de la route 132. Le feu s'est déclaré dans un bâtiment puis s'est vite propagé à un bâtiment voisin. Près de 500 bêtes (?) se trouvaient dans les bâtiments....


911-

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Plus de 400 vaches périssent Mad
Le Journal de Québec
25/09/2007 11h03

Un incendie a complètement détruit la ferme Pellerat du 272, rue de la Seigneurie (route 132) à Saint-Roch-des-Aulnaies près de La Pocatière hier vers midi et demi.

Le bâtiment abritait 450 vaches et seulement une quinzaine ont pu être évacuées.


Après le début du sinistre, les deux boîtes électriques des deux maisons de la ferme ont surchauffé. On a alors craint aux incendies, mais tout a été sous contrôle rapidement.


Forts vents


Les forts vents ont compliqué la tâche des pompiers. On a redouté que le feu se propage une vingtaine de mètres plus loin à l'étable de la ferme voisine, soit la Ferme Jeandon, récipiendaire de la médaille d'or la semaine dernière du Mérite agricole.


Le feu aurait pris naissance dans le moteur d'un monte-balle à foin. Les propriétaires, Sophie, Nicole, Gervais et Jean-Guy Pelletier, essuient des pertes évaluées à plusieurs millions de dollars. MadMadMad


Renforts


Les pompiers de La Pocatière, Sainte-Louise, Saint-Damase, Saint-Jean-Port-Joli et Rivière-Ouelle ont été appelés en renfort.


Le maire de Saint-Roch-des-Aulnaies, Michel Castonguay, a déclaré que ce sont deux bâtiments qui ont brûlé. Les deux contenaient des animaux.


L'un était doté d'une salle de traite, et l'autre, d'un système de cueillette de lait traditionnel. «Les vaches de cette ferme étaient des animaux de grande valeur, à haut potentiel génétique», explique le maire.


La route 132 a dû être fermée à la circulation une partie de l'après-midi.


http://www.canoe.com/infos/societe/archives/2007/09/20070925-110302.html

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Le mardi 25 septembre 2007



Les engrais agricoles à l'origine de malformations chez les grenouilles

Agence France-Presse

Washington





Des niveaux élevés d'azote et de phosphore dans les engrais agricoles font proliférer des parasites à l'origine d'infections responsables des malformations croissantes chez les grenouilles, selon une recherche publiée lundi aux États-Unis.






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var nsteinWords;
nsteinWords = unescape('');


document.getElementById("divmotsNStein").innerHTML = nsteinWords;





«Il s'agit de la première recherche montrant que des composants chimiques des engrais sont responsables de la prolifération de ces parasites microscopiques appelés trématodes qui accroissent le taux d'infection chez les batraciens, conduisant à des malformations», a souligné Pieter Johnson, un biologiste américain de l'Université du Colorado à Boulder.

«Cette recherche peut potentiellement expliquer le déclin des batraciens dans le monde ainsi qu'un vaste éventail de maladies peut-être liées à la pollution par des engrais, telles que le choléra, le paludisme, le virus du Nil occidental ou d'autres parasites affectant les récifs coralliens», a précisé M. Johnson, principal auteur de cette étude parue dans les Annales de l'Académie nationale américaine des sciences (PNAS).

L'incidence élevée de malformation des grenouilles aux États-Unis avait attiré l'attention internationale au milieu des années 90 après qu'un groupe d'écoliers du Minnesota (nord) eut découvert que plus de la moitié des grenouilles léopard d'une marre avaient un membre manquant ou en excès, a rappelé le chercheur dans un communiqué.

Après cela, des histoires similaires sont devenues très fréquentes aux États-Unis, nourrissant des spéculations selon lesquelles ces malformations étaient provoquées par des insecticides, un accroissement des radiations des ultra-violets ou une infection par un parasite.

Alors que la thèse du parasite est désormais reconnue comme étant une cause majeure de ces malformations, les facteurs environnementaux à l'origine de la prolifération parasitaire sont largement restés un mystère jusqu'à ce que cette recherche soit entreprise», souligne Pieter Johnson.

«Un des nos principaux objectifs a été de comprendre comment des parasites répondaient à des changements provoqués par l'exploitation agricole et des altérations de l'écosystème», poursuit-il.

L'azote et le phosphore notamment stimulent la croissance d'algues qui entraînent une augmentation des mollusques ainsi que des parasites vivants dans leurs corps et qui sont déversés dans les marres, étangs et lacs, explique ce biologiste.

Les parasites forment des kystes sur les têtards faisant que la future grenouille aura des membres manquant ou en trop ou d'autres malformations très importantes, explique le chercheur.

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Rappel:


"1 200 porcs périssent brûlés

Paule Vermot-Desroches

Journal Les Affaires



03 août 2005

Un incendie d'une rare intensité a complètement détruit, hier soir, une
porcherie située sur le Grand Rang à Saint-Tite, à quelques kilomètres au
sud du village.

Pas moins de 1200 porcs ont péri dans cet incendie, qui s'est déclaré vers
19 h 15 et a tenu les pompiers en haleine durant près d'une heure et demie.

C'est qu'un réservoir contenant 4000 litres de propane se trouvait à
quelques pieds de la porcherie en flammes, a expliqué le chef des pompiers
de Saint-Tite, Robert Pronovost.

«Nous avons érigé un périmètre de sécurité de près de 3000 pieds par mesure
de sécurité», a-t-il confirmé au Nouvelliste hier soir.

La porcherie se trouvant à quelques centaines de mètres en retrait du Grand
Rang, il n'a pas été nécessaire de procéder à l'évacuation des résidences
situées sur cette route. Par contre, une résidence d'un rang secondaire
ainsi que deux véhicules motorisés installés sur un terrain privé ont été
évacués, puisqu'ils se trouvaient à l'intérieur du périmètre.

Au plus fort de l'incendie, la colonne de fumée était visible jusqu'à
Sainte-Geneviève-de-Batiscan, soit à près d'une trentaine de kilomètres de
l'endroit.

La porcherie, appartenant à Pierre Thiffault de Saint-Tite, compte deux
bâtiments. Celui qui a brûlé servait de «pouponnière», pour des jeunes
porcs, selon le chef des pompiers Robert Pronovost. Il s'agirait d'une perte
totale, mais la valeur des dégâts n'avait pas encore été évaluée au moment
de mettre sous presse. L'autre bâtiment est intact.

Selon un employé de l'endroit, Benjamin Baril,

il n'aurait pas été possible
d'évacuer les bêtes puisqu'elles sont gardées

dans un endroit décontaminé.
Chaque employé qui entre dans

la porcherie doit suivre un processus
rigoureux pour conserver la stérilité de l'endroit.

«Ces porcs n'ont pas de
système immunitaire. Il aurait fallu les abattre une fois dehors

de toute
façon», expliquait le jeune homme,

qui n'avait visiblement pas le coeur à
rire hier soir.

L'employé à temps plein de l'entreprise ne pensait pas du tout à ses heures
de travail diminuées,
mais bien au propriétaire Pierre Thiffault, qu'il
côtoyait régulièrement au travail. «C'est surtout pour lui que j'ai une
pensée. Il vit une dure épreuve», a-t-il ajouté.

Apparemment, le propriétaire des lieux avait l'intention de construire
prochainement un troisième bâtiment pour augmenter la capacité de production
de sa porcherie.
Environ 25 pompiers ont combattu l'incendie,

qui a été maîtrisé vers 20 h
45. Plusieurs pompiers sont restés sur place de

longues heures cette nuit
afin de bien éteindre les flammes et

de s'assurer qu'il n'y avait plus aucun
danger.

Hier soir, la cause de l'incendie n'avait toujours pas été établie."



[email] [/email]

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Etats-Unis: le dernier abattoir pour chevaux va devoir fermer ses portes
Une cour d'appel fédérale américaine a rejeté vendredi à l'unanimité le recours du dernier abattoir américain pour chevaux qui dénonçait une loi locale interdisant depuis mai de tuer des chevaux pour les manger.




24/09/2007



(lu sur une listeanglo que cet abattoir déménage au Canada (en Saskatchewan) Mad

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Act. 22.09.07

Le dernier abattoir pour chevaux des Etats-Unis va devoir fermer ses portes


Une cour d'appel fédérale américaine a rejeté vendredi à l'unanimité le recours du dernier abattoir américain pour chevaux qui dénonçait une loi locale interdisant depuis mai de tuer des chevaux pour les manger






«Les Etats ont un intérêt légitime à prolonger la vie des animaux que leur population aime», énonce la décision de la cour d'appel fédérale de Chicago (Illinois, nord). Cavel International, basée à DeKalb, près de Chicago, emploie une soixantaine de personnes et abat depuis une vingtaine d'années entre 40.000 et 60.000 chevaux par an, pour un chiffre d'affaires annuel de 20 millions de dollars. Mais en mai dernier, le gouverneur de l'Etat, Rod Blagojevich, a promulgué une loi locale interdisant de tuer des chevaux pour les manger. En début d'année, une loi similaire avait déjà forcé les deux seuls autres abattoirs de chevaux du pays, situés au Texas (sud), à cesser leur activité. Filiale d'une société belge, Cavel International, qui exporte la quasi-totalité de sa viande vers l'Europe et le Japon, a porté l'affaire devant les tribunaux, expliquant que la loi de l'Illinois empiétait sur les prérogatives fédérales de régulation du commerce international. Vendredi, la cour d'appel fédérale de Chicago a donné tort à l'abattoir, estimant qu'il n'avait pas démontré que la cessation de ses activités risquait de perturber le marché mondial de la viande de cheval. Cependant, la cour a noté que la loi n'interdisait l'abattage des chevaux que pour la consommation humaine. Or, «les zoos américains donnent une quantité considérable de viande de cheval à leurs pensionnaires», relèvent les trois juges, qui intègrent à leur décision la photo d'un jeune lion dévorant un gâteau d'anniversaire au cheval, et qui s'étonnent que Cavel ne se soit pas encore lancé sur ce marché prometteur. ë-û fc/chl


Source: SDA/ATS

http://www.20min.ch

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Second Farm under quarantine over avian flu concern in Canada

09:47, September 30, 2007

Second farm under quarantine over avian flu concern in Canada
Another chicken farm has been put under quarantine over fears of avian flu
in Canada's central Saskatchewan province, the Canadian Food Inspection Agency
(CFIA) announced Saturday.

But the agency said the move is only a precautionary measure, and there
has been no signs of disease at the small farm, located less than 3 kilometers
away from Pedigree Poultry, which officials confirmed to be infected with H7N3
strain of avian influenza Thursday.

The CFIA said the quarantine measures are standard given the close
proximity of the two farms. It said it had tested 20 chickens of the second farm
and found no signs of disease.

Pedigree Poultry is located 40 kilometers north of provincial capital
Regina. More than 50,000 chickens there will be killed in a few days and all
equipment sanitized.

An outbreak of H7N3 strain of avian flu in 2004 forced the killing of 17
million farm birds in British Columbia, costing the poultry industry dearly.

Source: Xinhua

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Avian flu found on Sask. poultry farm




Canadian Food Inspection Agency workers get ready to enter Pedigree
Poultry, a commercial poultry farm, approx. 50 km northwest of Regina which has
a case of H7N3 avian influenza on Sept. 27, 2007. (CP / Troy Fleece)


A worker searches Pedigree Poultry as birds fly away approximately
50 km northwest of Regina on Sept. 27, 2007 (CP / Troy Fleece)


Dr. Sandra Stephens says the flu is the H7N3 strain, the same one
behind a large outbreak in British Columbia two years ago.


Unlike B.C. farmers, prairie producers usually have significantly
more space between them and their neighbours, making cross contamination less
likely, said Karen Armstrong of the Manitoba Chicken Producers.

CTV.ca News Staff

Updated: Thu. Sep. 27 2007 9:29 PM ET

The fallout surrounding a Saskatchewan chicken farm with confirmed cases
of avian flu should not be as devastating as a B.C. outbreak two years ago that
caused the destruction of 17 million chickens, according to health officials
.

The Canadian Food Inspection Agency (CFIA) said Thursday that the infected
farm's relative isolation should allow for an effective quarantine.

"Certainly in B.C. there's a very concentrated area with large numbers of
birds. In Saskatchewan, we have a smaller industry and it's spread over a larger
geographic area, so we don't have the same density of poultry," Dr. Sandra
Stephens, veterinary program specialist with the CFIA, told CTV Newsnet.

The recent Saskatchewan quarantine and the British Columbia outbreak were
caused by the highly pathogenic H7N3 flu strain.

H7N3 is highly contagious in poultry, but is not seen as a risk to humans.
In the outbreak two years ago, two poultry workers became infected and suffered
briefly from flu-like symptoms.

It is not the same as the strain circulating in Asia, Africa and Europe --
H5N1 -- which has been associated with human deaths.

"This is an H7 subtype so it's not closely related at all to that H5
subtype," Stephens said.

But Stephens added: "we do recognize that there is potential with avian
influenza viruses to have some capacity to produce illness in people. Normally
those conditions would be very mild."

The chicken farm is about 40 kilometres north of Regina and has been
quarantined since Sunday. The birds on the farm were not destined for immediate
slaughter and were not producing eggs for human consumption. Stephens says the
CFIA is taking decisive disease control measures on the Saskatchewan farm. All
birds on the infected farm will be destroyed.

The CFIA will then oversee the cleaning and disinfection of the barns,
vehicles, equipment and tools, to eliminate any infectious material that may
remain.

Normally, birds on any commercial operations within one kilometre of an
infected farm would also be destroyed, but it appears that there are no other
bird farms in the immediate area. Any poultry operations within 10 kilometres of
the infected farm will be closely monitored for signs of illness.

"Certainly we will continue to do surveillance on poultry in close
proximity, or any contacts that are considered to be at risk for at least the
next three weeks," Stephens said.

Gerry Ritz, the Minister of Agriculture and Agri-Food, said the agency has
a great deal of expertise and experience in handling situations like this.

"I have every confidence in their ability to take the necessary measures
to appropriately resolve this situation as expeditiously as possible," said
Ritz.

But while officials insist the food supply is safe, the U.S. has closed
its border to Saskatchewan poultry for now.

While it considers chicken from other provinces still safe, that could
change if more farms are quarantined.

The source of the infection is not known and the CFIA says it may be
difficult to confirm the source. They say the possibility that wild waterfowl,
which are natural hosts for avian flu, may have brought the infection "cannot be
discounted."

The agency also commended "the responsible actions of the owner, who
reported signs of illness at the earliest possible moment."

Chicken farmers are forced to follow strict biosecurity guidelines. The
birds aren't allowed to go outside and equipment brought inside is disinfected.

Officials will spend the next days disinfecting the property, and the next
weeks determining the cause.

Unlike B.C. farmers, prairie producers usually have significantly more
space between them and their neighbours, making cross contamination less likely,
said Karen Armstrong of the Manitoba Chicken Producers.

With a report from CTV's Mark Rogstad and files from The Canadian Press




©️ 2007 All Rights Reserved.

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SAINT-AUGUSTIN

Le feu ravage une ferme laitière

Marie-Ève Roy

Le Quotidien

SAINT-AUGUSTIN

Un incendie a ravagé la ferme de Roger Boulianne située au 882, route Principale, à Saint-Augustin dans la nuit de mercredi à jeudi. Les dommages sont évalués à près d'un million de dollars et l'établissement est une perte totale. Les pompiers de Dolbeau-Mistassini ont été prévenus à 21 h 16 mercredi et à leur arrivée sur les lieux, ils ont constaté un embrasement généralisé.

"Nous n'avons rien pu faire pour sauver la bâtisse et les animaux. La seule chose que nous avons pu faire a été de sauver les bâtiments adjacents qui étaient principalement des remises et des hangars", explique Daniel Cantin, directeur du service de sécurité incendie de Dolbeau-Mistassini.

Un total de 60 vaches de race Hosltein ont péri dans les flammes, en plus d'un tracteur d'une valeur de 80 000 $ et de 4500 balles de foin et 1500 balles de paille.

L'établissement comptait un bâtiment principal de 6000 pieds carrés et deux autres de respectivement 1600 pieds carrés et de 2400 pieds carrés.

Les pompiers ont terminé d'éteindre le brasier hier midi. "La cause la plus probable de l'incendie est une défaillance électrique, mais l'enquête n'est pas encore terminée", précise M. Cantin.

marie-eve.roy@lequotidien.com
5 octobre 2007

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(j'ai peut-être déjà copié cette nouvelle)



24-09-2007


Un incendie à complètement détruit un bâtiment de ferme samedi soir vers 19h00 à St-Patrice de Beaurivage dans Lotbinière. Le bâtiment était destiné à l'engraissement de porc. L'appelle initiale mentionne un feu important et de fumée noire sortait de la structure, ce qui est vite confirmé par le directeur de St-Patrice qui a demandé immédiatement un appel général pour les municipalités de St-Sylvestre et St-Narcisse ainsi que des pompiers de St-Bernard.
Le mobile 81 (paramedic) de St-Sylvestre est aussi appelé sur les lieux mais n'effectuera aucun transport. Le bâtiment est une perte total et malheureusement plusieurs porcs se trouvaient à l'intérieur. 911

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Rappel de millions de kilos de viande hachée



Montréal, 30 septembre 2007 — Aux États-Unis, la compagnie Topps Meat a lancé, mardi, le rappel de 22 millions de boulettes de viande hachée possiblement contaminée par la bactérie E. coli.
La compagnie a dû étendre son rappel, samedi, dans le but de rappeler 9,8 millions de kilogrammes de bœuf haché supplémentaire afin d'éviter toute forme de contamination.
Dans les États de New York et de la Floride ainsi que dans six autres États, au moins une douzaine de personnes, qui ont mangé de la viande hachée, présentent les symptômes d'une contamination à l'E. coli.
D'autres cas d'Américains rendus malades après l'ingestion de viande hachée font l'objet d'une enquête au Connecticut, en Floride, en Indiana, dans le Maine, le New Jersey, l'État de New York, l'Ohio et la Pennsylvanie. (LCN)

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Saskatchewan, 29 septembre 2007 — Le Japon a annoncé la fin des importations de volaille canadienne après la découverte d'une souche de la grippe aviaire dans une ferme au nord de Regina, en Saskatchewan.
Le département américain de l'Agriculture a fait de même pour l'importation de volailles vivantes et de produits de la volaille canadiens. Jeudi, il avait déjà annoncé un moratoire sur l'importation de poulets de la Saskatchewan.
Ces décisions n'inquiètent pas outre mesure les producteurs de la Saskatchewan, puisqu'ils vendent 85% de leur production au Canada.
L'Agence canadienne d'inspection des aliments (ACIA) avait confirmé, jeudi, avoir mis une ferme de volailles en quarantaine à Regina Beach, après avoir découvert la souche H7N3 du virus.
L'ACIA s'est voulue rassurante, en précisant que ces cas de grippe aviaire ne menaçaient pas la salubrité alimentaire. Les volailles n'étaient pas destinées à un abattage immédiat et ne produisaient pas d'oeufs.
Tous les oiseaux de la ferme en quarantaine seront bientôt tués. Les poulaillers ainsi que les outils et les véhicules qui se trouvent sur le site seront désinfectés.
En février 2004, la souche H7N3 de la grippe aviaire s'était répandue dans des élevages de poulet de Colombie-Britannique. Quelque 17 millions de bêtes avaient alors dû être abattues. (RC)

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Animal a écrit:
(j'ai peut-être déjà copié cette nouvelle)


Je ne crois pas, Do, mais je vais vérifier.

24-09-2007


Un incendie à complètement détruit un bâtiment de ferme samedi soir vers 19h00 à St-Patrice de Beaurivage dans Lotbinière. Le bâtiment était destiné à l'engraissement de porc. L'appelle initiale mentionne un feu important et de fumée noire sortait de la structure, ce qui est vite confirmé par le directeur de St-Patrice qui a demandé immédiatement un appel général pour les municipalités de St-Sylvestre et St-Narcisse ainsi que des pompiers de St-Bernard.
Le mobile 81 (paramedic) de St-Sylvestre est aussi appelé sur les lieux mais n'effectuera aucun transport. Le bâtiment est une perte total et malheureusement plusieurs porcs se trouvaient à l'intérieur. 911

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Le 9 octobre 2007 - 07:00







Accident inusité dans une bretelle de l'échangeur Turcot : Un camion perd sa cargaison de poulets


L'évènement s'est produit vers 22 heures 45 durant cette nuit de lundi à mardi dans la bretelle d'accès à la 20 ouest de l' Échangeur Turcot à Montréal. Après avoir heurté un mur de béton, la remorque d'un camion affaiblie par le choc a cédé.

Quelque 4000 poulets se sont retrouvés sur la chaussée. Plusieurs caisses de transport se sont ouvertes libérant des dizaines de poulets en fugue, Les employés de la Ville ont dû prendre en chasse les volatiles libérés ou ramasser ceux qui sont morts ou blessés.

L'histoire ne dit pas si cet évènement pourrait initier un gros Bar-B-Q… Thumb down

http://www.info-affaires.com/fil.php?article=20071009065404

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un incendie a complètement rasé une ferme laitière hier dans la nuit (29 octobre 2007)- Au moins une soixantaine de vaches ont péri- 4 ou 5 ont été sorties de la grange, mais 2 ou 3 ont été euthanasiées étant donné la gravité de leurs brûlures... Il me semble avoir entendu que c'était à St-Barnabé
Si vous voyez cette nouvelle quelque part, s.v.p. venir la poster ici...Merci...

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Une, mais brève :

Mardi 30 oct 2007

Saint-Barnabé : Lourdes pertes pour un fermier

(CHLN) - Quelque 70 vaches laitières ont péri dans un violent incendie qui a rasé, lundi soir, la ferme Jean-Claude Bellemare à Saint-Barnabé.
Les flammes sont apparues vers 21 h dans le bâtiment situé au 150 du rang Bas-Saint-Joseph.

Les pompiers de Saint-Barnabé ont reçu l'assistance de leurs collègues de plusieurs municipalités environnantes.

La ferme et son contenu sont une perte totale.

Jocelyn Ouellet / CHLN

http://www.corusnouvelles.com/nouvelle-saint_barnabe_lourdes_pertes-510662-4.html

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merci beaucoup hop-

Citation :
La ferme et son contenu sont une perte totale.


Le contenu, c'est la machinerie, mais ça inclut aussi les vaches Rolling Eyes

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2 novembre 2007 Etats-Unis: 15.000 canards tués dans l'incendie suspect d'une entreprise de foie gras


Les enquêteurs américains essaient de déterminer la cause d'un incendie qui a tué 15.000 canards appartenant au plus gros producteur de foie gras des Etats-Unis.

Le feu a pris dans la nuit de mardi à mercredi dans un entrepôt de deux étages loué par l'entreprise Hudson Valley Foie Gras, l'un des trois producteurs de foie gras des Etats-Unis. L'incendie a entièrement détruit la structure. Les pompiers ont dû acheminer de l'eau par camion parce qu'il n'y en avait pas à disposition dans cette propriété rurale du comté de Sullivan.

Selon les enquêteurs, le feu a pris dans un garage et a gagné le bâtiment principal où se trouvaient des milliers de canards d'élevage. Tous ont péri dans l'incendie dont le propriétaire, Izzy Yanay, estime qu'il est accidentel.
BIZZARE scratchEst-ce que cette entreprise était rentable, c'est la première question à se poser scratch


Toutefois, l'entreprise était la cible d'une plainte déposée par des militants des droits des animaux pour qui le gavage des canards pour agrandir leur foie est un traitement cruel. Un juge avait rejeté la plainte en mai.

La Californie prévoit d'interdire la production de foie gras par gavage à partir de 2012 et Chicago a interdit en août les ventes de foie gras. D'autres villes et Etats américains ont proposé d'instaurer de semblables interdictions. AP

ca/v667/ma/v193
http://www.latribune.fr/info/Etats-Unis--15-000-canards-tues-dans-l-incendie-suspect-d-une-entreprise-de-foie-gras-505-~-AP-USA-FOIE-GRAS-INCENDIE-$Db=News/News.nsf-$Channel=Monde

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Ces pauvres bêtes étaient destinées à être vendus dans un encan (très probablement pour être tués pour leur viande)Crying or Very sadCrying or Very sadCrying or Very sadCrying or Very sadLe camion à 3 étages dans lequel ils se trouvaient (pour transporter des cochons et des bovins) est illégal pour transporter des chevaux mais est néanmoins fréquemment utilisé pour transporter des chevaux à l'abattoir MadMadMadMad

As three horses lay dead on a straw-matted barn floor Monday, dozens of survivors hovered in arcs around them, nursing wounds from the horrific crash Saturday that caused a tractor-trailer loaded with 59 Belgian draft horses to overturn in north suburban Wadsworth.

Some had bruised legs, others swollen eyes. A black yearling wore a thick bandage covering an artery that had been cut. A bruise knotted the neck of a dusty brown horse that chewed green hay in the paddock of a private farm where the horses were brought Saturday night to begin recovering.

The three dead horses, which had been euthanized hours earlier, brought the tally of fatalities to 18. Eight were killed, 10 have been euthanized because of their injuries and 41 remain alive, veterinarian Kevin Nelson said.

On Monday, state and federal officials joined the investigation, and Lake County Sheriff Mark Curran announced additional traffic citations against truck driver, James E. Anderson, 34, of McLeod, N.D. In addition to disregarding a red light, Anderson has been cited for failing to reduce speed to avoid an accident and not having a bill of lading, Curran said.

The wreck happened Saturday just before 7 p.m. at U.S. Highway 41 and Wadsworth Road in northeastern Lake County when the northbound tractor-trailer was struck by a pickup truck. Anderson lost control, and his rig overturned.

Curran said Anderson had been hired by the horses' owner to drive them from Millersburg, Ind., about 20 miles southeast of Elkhart, to Verndale, Minn., for auction. The horses arrived with numbered stickers taped to their backs, a means of identification often used at horse auctions.
"We don't have any concrete evidence that they were on their way to slaughter," Curran said.

That could be key to an investigation by the U.S. Department of Agriculture. A spokeswoman said the department has strict regulations about the way horses are transported to slaughter. Otherwise, states make their own rules about humane methods of transport.

Illinois investigators also were concerned about the manner in which the animals were being transported.

"We'll be looking at whether there was any violation of the Humane Care for Animals Act," said Mark Ernst, the Illinois state veterinarian, whose office is part of the state Department of Agriculture. "If there was animal cruelty, when we get done with our investigation we'll provide that information to the Lake County state's attorney."

Curran said aggravated animal cruelty is a felony that carries a maximum sentence of 3 years in prison.

Late Monday afternoon, about two dozen people gathered at the scene of the accident, contributing to a memorial that grew into a small mound of flowers, horse trophies, teddy bears and a bunch of carrots—one for each of the dead horses.

Several people returned after helping at the accident scene. Sally Walsh, 46, of Bristol, Wis., said she was working at a nearby gas station when the crash occurred.

"We were trying to do whatever we could. We were able to see inside the trailer. Those horses were just stacked like bodies on top of each other. They were crying and kicking. . . . It's in front of you, but you don't believe what you're seeing," she said.

Earlier Monday, the surviving 41 horses meandered about the Wadsworth farm of Fred and Vicki Carney.

The Carneys, who live less than 2 miles from the accident scene, volunteered their stable as a shelter. The barn phone has been ringing ever since as friends with stables offer to adopt horses and others ask how they can help, Vicki Carney said. Every serving of hay and every stroll around the open pen seemed to strengthen the horses, observers said. The rest are expected to survive even though most are injured, Vicki Carney said.

"They had a rough deal," she said.

Younger, smaller horses seemed to take the brunt of the collision, said Vickie Wancho of Lindenhurst, who cares for horses at the Carney farm. The horses include geldings and mares and range from 6 months to 6 years old. Despite their injuries, they were in good condition, Wancho said. Their hooves had been smoothed and rounded, their coats shined, their tails trimmed and the hairs along their jawlines cut.

"That means someone thought something of them at one time," Wancho said.

Lake County Sheriff's Sgt. Curtis Gregory said the owner had health certificates and vaccination histories for the horses, but the records were not in the truck when it overturned. The owner faxed the records to authorities Monday.

Officials declined to name the owner, whom they identified only as a horse broker from Minnesota. The owner has cooperated with the sheriff's investigation, Curran said.

Gregory said it appeared the owner was aware of the type of trailer in which the horses were carried: a double-decker designed for cattle and pigs.

Nelson, who works at Bristol Vet Service in Kenosha County, Wis., said Monday that he talked to the animals' out-of-state owner. He did not disclose the owner's name, citing the ongoing investigation and confidentiality concerns.

"The guy was very pleasant," Nelson said. "He didn't want any of the horses to suffer. He told me to do what I could."

Wadsworth veterinarian Gary Koehler, who is also working with the animals, said the intense interest in their future, plus the investigation, should ensure that their fate is watched carefully.

"This is not something that's going to be swept under the carpet," he said.


Horse trailer collides with pickup truck in Lake County
A volunteer tries to comfort a horse injured Saturday night when a pickup truck and a trailer carrying 59 horses collided near Wadsworth in Lake County. The trailer, designed to carry cattle or pigs, was wedged full of Belgian draft horses. Thirteen horses were killed in the accident. (Photo for the Tribune by Joe Shuman / October 28, 2007)


Volunteers and emergency personel tend to injured horses Saturday night after a truck accident on U.S. Highway 41 near Wadsworth. An estimated 17 of the 59 horses being transported were killed in the crash or later euthanized. (Photo for the Tribune by Neil Rigler / October 28, 2007)




[b]Round Lake firefighter Joe Couture comforts a horse. (Photo for the Tribune by Joe Shuman / October 28, 2007)






<H2>Round Lake Firefighter Joe Couture stays with a horse to comfort it and get it back on its feet on Saturday after the truck that was carrying 59 horses rolled over on U.S. Highway 41 near Wadsworth. (Photo for the Tribune by Joe Shuman / October 28, 2007)
http://www.chicagotribune.com/news/local/chi-071028horsecrash-photogallery,0,5303145.photogallery?coll=chi_tab01_layout


[/b]

</H2>

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By Tara Malone | Tribune staff reporter
November 1, 2007


Belgian draft horses recovering from the overturning in Wadsworth of the tractor-trailer in which they were riding could be adopted or go home with many of the dozens of volunteers who rescued them from the weekend wreckage.


Adoptions will begin as soon as the horses' owner authorizes the process, which is expected to occur Thursday, animal rescuers and insurance officials said Wednesday.


The surviving 42 horses -- nursing bruised eyes and limbs swollen from Saturday's crash -- will go to local owners who are committed to caring for them, said Donna Ewing of the Hooved Animal Rescue and Protection Society in Barrington.


"[The horses] are not going to go to slaughter," said Ewing, who worked with the owner's insurance company to enable the adoptions and will evaluate adoption requests. Lake County sheriff's officials have declined to name the owner, describing him only as a horse broker from Minnesota.


"Our hope is to keep them here. They don't need to go to Minnesota or anything," Ewing said.


Prospective owners, with priority going to volunteers who helped at the accident scene, must complete an application indicating the veterinarian they will use, previous horse experience and access to a stable. If approved, they will pay $50 to $100 per horse to the insurance company. Ewing hopes to pair every horse with a qualified owner in the next 10 days.


Federal and state investigators, meanwhile, continue to probe the manner in which the horses were transported: stacked in a double-deck trailer typically reserved for cattle or swine.


"We are exploring every avenue of possible violation," said Karen Eggert, a spokeswoman with the U.S. Department of Agriculture's animal and plant inspection service.


The tractor-trailer was heading north on U.S. Highway 41 when it was struck by a pickup truck Saturday just before 7 p.m. Big-rig driver James E. Anderson, 34, of McLeod, N.D., lost control and the truck overturned. He was charged Monday with failing to reduce speed, disregarding a red light and not having a bill of lading.


An estimated 17 horses were killed or later euthanized because of their injuries, Kenosha County, Wis., veterinarian Kevin Nelson said. Volunteers worked alongside veterinarians and firefighters for more than five hours Saturday night to free horses from the wreck.


Bruised and battered, the surviving horses were transported to Fred and Vicki Carney's farm in Wadsworth to begin recovering.


"We're treating about a dozen with what we consider non-life-threatening injuries," Nelson said. "The majority of them are doing well."


The horses include geldings and mares and range from 6 months to 6 years old. Despite their injuries, they came in good condition with smooth, rounded hooves, trimmed tails and hair cut along their jawline.


"Many of these are young horses. They need to be trained, handled and not just fed," Vicki Carney said.

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Saskatchewan
Date: Fri 26 Oct 2007
Source: The Leader-Post



The Canadian Food Inspection Agency (CFIA) has confirmed animals in a
white-tail deer herd and 2 elk hunt operations in Saskatchewan have
tested positive for chronic wasting disease (CWD).

As a result, the CFIA has quarantined a white-tail deer herd and an
elk hunt operation in the Prince Albert area along with an elk hunt
farm in the Moose Jaw area, an agency spokeswoman said.

The most recent case was confirmed Tuesday [22 Oct 2007] in a farmed
elk herd in the Prince Albert area. However, the agency spokeswoman
said the quarantine would likely have been imposed while awaiting the
test results. Saskatchewan's 1st suspected case of CWD this year
[2007] was diagnosed earlier in the month [October 2007].

Chronic wasting disease is a progressive, fatal disease of the
nervous system of cervids such as mule deer, white-tailed deer and
elk. Black-tail deer and moose have also become infected naturally,
according to the CFIA website
The CFIA is also tracing the movement of animals on and off the
premises, the agency spokeswoman said, noting at this time no herds
have been culled.

The findings of CWD is not unexpected, she said. There have been
periodic findings of the disease in the deer and elk population in
the province over the last 10 years.

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Enquête sur des cas d’E. coli au Canada

OTTAWA, le 26 octobre 2007 - L’Agence canadienne d’inspection des aliments (ACIA) et l’Agence de la santé publique du Canada (ASPC) enquêtent actuellement sur des liens possibles entre des cas d’E. coli qui se sont produits plus tôt cet été au Canada.

L’enquête porte sur 45 cas d’E. coli 0157:H7 ayant été découverts au Nouveau-Brunswick, au Québec, en Saskatchewan, en Ontario et en Colombie-Britannique. Les signalements se sont échelonnés de juillet à septembre 2007. Ces cas ont donné lieu à l’hospitalisation de 11 personnes et au décès d’une personne âgée.


Les analyses en cours ont démontré que la plupart des cas partagent le même profil unique d’E. coli. La cause de ces maladies a été principalement associée à la consommation de boeuf haché. Ce nouveau profil d’E. coli a aussi été trouvé aux États-Unis et nous travaillons en étroite collaboration avec nos homologues du département de l'Agriculture des États-Unis (USDA) afin de partager nos informations. Nous apprécions grandement l'apport de l'USDA ainsi que leur collaboration à cette enquête.
Le même profil unique d’E. coli trouvé pour la plupart des cas survenus cet été a été détecté par l’entremise d’analyses génétiques d’échantillons de boeuf provenant d’un établissement de traitement de la viande de l’Alberta. Cet établissement est actuellement hors d’exploitation. La compagnie demandé à ses distributeurs directs de retourner tout produit touché. Tous les produits qui restent ont été retenus. L’ACIA enquête activement sur cette source potentielle de même que sur d’autres afin de déterminer s’il existe un lien entre cet établissement et les cas qui font l’objet d’une enquête.
L’ACIA travaille actuellement pour s’assurer qu’aucun boeuf contaminé provenant de cet établissement de l’Alberta n’est sur le marché. Si l’enquête détermine que ce produit est encore sur le marché, un rappel public sera lancé.
Les fonctionnaires fédéraux travaillent de plus avec leurs homologues d’autres compétences et prennent toutes les mesures nécessaires pour protéger la population. Le gouvernement demeure vigilant et déterminé à appuyer et à améliorer le système de salubrité des aliments canadien en s’assurant que les normes nationales et internationales de l’industrie sont respectées.
On rappelle aux Canadiens de suivre certaines règles simples lorsqu’ils font cuire du boeuf haché afin de diminuer les chances de contracter l’E. coli. En particulier, de veiller à ce que la viande soit bien cuite et d’utiliser des pratiques de manipulation sécuritaires, ce qui permettrait de minimiser les risques de maladie. Pour obtenir plus d’information, consultez la fiche de renseignements suivante:

http://www.inspection.gc.ca/francais/fssa/concen/cause/ecolif.shtml

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Cargill recalls 1 million pounds of ground beef
Sat Nov 3 2007




CHICAGO (Reuters) - Agricultural giant Cargill Inc said on Saturday it was recalling more than 1 million pounds of ground beef distributed in the United States because of possible E. coli contamination.
Cargill Meat Solutions said the 1.084 million pounds (491,700 kg) of ground beef was produced at the Wyalusing, Pennsylvania, facility between October 8 and October 11, and distributed to retailers across the country.

The retail chains that sold the beef include Giant, Shop Rite, Stop & Shop, Wegmans and Weis.

The U.S. Department of Agriculture returned a confirmed positive for the E. coli bacteria on a sample produced on October 8, the privately owned company said.

USDA's Food Safety and Inspection Service said the problem was discovered through follow-up investigation and sampling after a positive E. coli test at another federal establishment.

Symptoms of E. coli 0157:H7 illness, the strain associated with the recall, include potentially severe stomach cramps, diarrhea and dehydration. Children, the elderly and people with poor immune systems are the must vulnerable.

"No illnesses have been associated with this product," John Keating, president of Cargill Regional Beef, said in a statement. "We are working closely with the USDA to remove the product from the marketplace."
The recalled products have use/freeze-by dates of October 19 through Nov 3. Most will have the USDA establishment number of EST 9400 inside the USDA mark of inspection.


In addition, there are various weights and varieties of ground beef distributed for further processing and repackaging that will not have the same establishment number.


The recall was the second by Minneapolis-based Cargill in a month. On October 7 the company recalled about 844,812 pounds (383,200 kg) of frozen beef patties produced at a Wisconsin plant.
In September Topps Meat Company LLC recalled 21.7 million pounds of ground beef after a string of E. coli-related illnesses. It was the fifth-largest meat or poultry recall in U.S. history.


Topps, the biggest U.S. manufacturer of frozen hamburgers, has since gone out of business.

For a list of the products subject to recall, click on: http://www.fsis.usda.gov/PDF/Recall_051-2007_Release.pdf

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06 novembre, 2007

Rio : un décret pour les Animaux sans précedent cheers


Un décret municipal de protection des animaux entré en vigueur mardi
à Rio de Janeiro provoque les protestations d'instituts de recherches bio-médicales
et les critiques du gouvernement fédéral brésilien.
Le décret de six articles promulgué par le maire de Rio, Cesar Maia,
élargit la notion de "mauvais traitement" des animaux en y incluant
"la peur, le stress et l'angoisse". Il prévoit de lourdes amendes
et des sanctions pour quiconque s'en rendrait coupable,
à la grande satisfaction des organisations de défense des bêtes.
"C'est le rêve de tous les protecteurs d'animaux dans le monde entier",
a déclaré à l'AFP Isabel Critina Nascimento,
présidente de la Société de l'union internationale protectrice des animaux (Suipa).
Mais le décret a provoqué une levée de boucliers dans les milieux scientifiques
et au sein du gouvernement à Brasilia.
"Ce décret est une insanité, il crée une situation regrettable" ,
a dit lors d'une conférence de presse à Brasilia
le secrétaire d'Etat chargé de la Science et de la technologie,
Reinaldo Guimaraes.
"Ce texte paralyse - pour une fois que ce ne sont pas les animaux
qui sont paralysés ! - les recherches scientifiques bio-médicales
qui utilisent des animaux dans la municipalité de Rio de Janeiro",
a ajouté M. Guimaraes.

"L'impact de ce décret est qu'il paralyse directement la recherche
et le développement de nouveaux médicaments ainsi que le contrôle
de qualité des produits qui sont sur le marché", y compris les vaccins,
a déclaré à l'AFP Otavio Presgrave, président de la commission d'éthique
et de recherche sur les animaux de Fiocruz, principal laboratoire public de recherche du pays,
dont le siège est à Rio. Pour lui, "les recherches sont menées en accord avec les principes éthiques internationaux" .
Mais pour la responsable de la Suipa, "il y a de la cruauté dans les recherches avec des animaux,
et aucun contrôle sur ce qui se passe dans les laboratoires et les universités".
Le gouvernement brésilien envisage de son côté d'agir auprès des parlementaires
pour l'adoption d'une loi nationale sur l'utilisation des animaux de laboratoire.
Un tel projet de loi, en attente d'examen au Parlement depuis douze ans,
s'imposerait à tous, y compris aux municipalités.

http://www.news.fr/actualite/depeches/0,38...39375192,00.htm

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10 novembre 2007- Une trentaine de fermes de l'Alberta et de la Colombie-Britannique ont été mises en quarantaine à la suite de la découverte d'un cas de tuberculose bovine.

La maladie a été détectée chez un taureau abattu au Québec en août. L'Agence canadienne d'inspection des aliments (ACIA) croit que la bête aurait pu avoir infecté les animaux d'autres fermes où elle a séjourné. Quelque 400 bêtes seront tuées d'ici la fin de l'année par mesure préventive.

La vétérinaire Maria Koller-Jones de l'ACIA explique que l'enquête ne fait que commencer, mais que jusqu'à maintenant la maladie n'a pas été détectée chez d'autres animaux. Elle ajoute que la tuberculose bovine n'est pas très contagieuse.

D'ailleurs, la vétérinaire Koller-Jones précise que les contrôles en place garantissent que les parties dangereuses d'animaux malades ne se retrouvent pas dans la nourriture des humains.

Le virus peut néanmoins se transmettre aux humains, mais les risques restent faibles. Les employés des fermes en quarantaine devront toutefois passer des tests pour déterminer s'ils sont porteurs de la maladie.
http://www.radio-canada.ca/regions/alberta/2007/11/10/002-fermes-quarantaines.shtml

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15 nov. 2007-Le "Rainbow warrior", le navire-amiral de Greenpeace, a bloqué jeudi l'appareillage en Indonésie d'un cargo transportant de l'huile de palme, pour alerter des dangers de cette industrie sur le climat et les forêts, a annoncé l'organisation écologiste.

Le Rainbow warrior, déployant une grande banderole affichant "l'huile de palme tue les forêts et le climat" a jeté l'ancre dans le port de Dumai dans l'île de Sumatra à proximité immédiate d'un cargo pouvant transporter un total de 30.000 tonnes d'huile de palme, a précisé Greenpeace.


"Nous agissons pour révéler les conséquences désastreuses de l'industrie de l'huile de palme sur les tourbières d'Indonésie, les forêts et le climat", a expliqué Sue Connor, militante chargée de forêts chez Greenpeace.
Ces dernières années, Jakarta a délivré sans compter des autorisations d'exploiter les palmiers à huile et les plantations gagnent du terrain souvent au détriment des forêts tropicales.
L'Indonésie talonne la Malaisie pour devenir le premier producteur mondial de ce produit utilisé notamment dans la margarine, le rouge à lèvres, les crèmes glacées, les shampooings, les barre chocolatées ou les bio-carburants.
Selon Greenpeace, des sociétés internationales comme Unilever, Nestlé ou Procter and Gamble sont "complices" de la déforestation car elles n'ont pas la capacité de savoir si l'huile de palme qu'elles utilisent provient de plantations nées de la déforestation.



http://www.lemonde.fr/web/depeches/0,14-0,39-33237036@7-50,0.html

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