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Animal

BULLETIN AUTOMNE 2007

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Le Japon décidé à lancer sa campagne de chasse à la baleine comme prévu

16 novembre 2007-

TOKYO (AFP) — Le Japon a déclaré vendredi qu'il était décidé à lancer sa
campagne de chasse à la baleine à la date prévue et a démenti les
allégations d'associations écologistes affirmant qu'un report avait été
décidé pour éviter des tensions internationales.

Le Japon a l'intention de tuer plus de 1.000 baleines dans l'océan
Antarctique au cours de sa campagne de pêche, qui suscite régulièrement des
protestations en Australie et en Nouvelle-Zélande.

En outre, les pêcheurs japonais vont cette fois chasser les baleines à
bosse, une espère considérée comme menacée par les défenseurs de la nature.

L'Agence des pêcheries du Japon a déclaré que les préparatifs se
poursuivaient et que la date de départ de l'expédition ne serait annoncée
qu'au dernier moment pour des raisons de sécurité.

"Nous partirons le jour qui a été prévu", a indiqué un responsable du
département chargé des baleines.

Les bateaux prennent la mer généralement en novembre, mais l'association
écologiste Greenpeace prétend que la chasse a été retardée en raison de la
visite en cours du Premier ministre japonais Yasuo Fukuda aux Etats-Unis.

Cette campagne de pêche "est une honte et une source de tension diplomatique
entre le Japon et les pays qui soutiennent la protection des baleines", a
estimé Karli Thomas, responsable du navire de Greenpeace, Esperanza, chargé
de traquer les baleiniers.

"Le Premier ministre Fukuda ne devrait pas simplement retarder le départ de
la flotte pour éviter des ennuis politiques à l'étranger, mais devrait
annuler l'ensemble du programme baleinier et mettre un terme à ce scandale
qui gaspille l'argent des contribuables japonais", a ajouté M. Thomas dans
un communiqué.

Le responsable de l'Agence des pêcheries a nié ces accusations. "Je ne pense
pas que cela ait un quelconque rapport avec la visite de M. Fukuda aux
Etats-Unis", a-t-il dit.

Le Japon contourne chaque année le moratoire international en vigueur depuis
1986 en pêchant un millier de baleines à des fins soi-disant
"scientifiques", ce qui lui vaut les vives critiques des associations
écologistes anglo-saxonnes.

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Enquête sur des cas d'E. coli au Canada
Ottawa (Ontario), 26 octobre 2007 - L'Agence canadienne d'inspection des aliments (ACIA) et l'Agence de la santé publique du Canada (ASPC) enquêtent actuellement sur des liens possibles entre des cas d'E. coli qui se sont produits plus tôt cet été au Canada.
L'enquête porte sur 45 cas d'E. coli 0157:H7 ayant été découverts au Nouveau-Brunswick, au Québec, en Saskatchewan, en Ontario et en Colombie-Britannique. Les signalements se sont échelonnés de juillet à septembre 2007. Ces cas ont donné lieu à l'hospitalisation de 11 personnes et au décès d'une personne âgée.
Les analyses en cours ont démontré que la plupart des cas partagent le même profil unique d'E. coli. La cause de ces maladies a été principalement associée à la consommation de bouf haché. Ce nouveau profil d'E. coli a aussi été trouvé aux Etats-Unis et nous travaillons en étroite collaboration avec nos homologues du département de l'Agriculture des Etats-Unis (USDA) afin de partager nos informations. Nous apprécions grandement l'apport de l'USDA ainsi que leur collaboration à cette enquête.
Le même profil unique d'E. coli trouvé pour la plupart des cas survenus cet été a été détecté par l'entremise d'analyses génétiques d'échantillons de bouf provenant d'un établissement de traitement de la viande de l'Alberta. Cet établissement est actuellement hors d'exploitation. La compagnie demandé à ses distributeurs directs de retourner tout produit touché. Tous les produits qui restent ont été retenus. L'ACIA enquête activement sur cette source potentielle de même que sur d'autres afin de déterminer s'il existe un lien entre cet établissement et les cas qui font l'objet d'une enquête.
L'ACIA travaille actuellement pour s'assurer qu'aucun bouf contaminé provenant de cet établissement de l'Alberta n'est sur le marché. Si l'enquête détermine que ce produit est encore sur le marché, un rappel public sera lancé.
Les fonctionnaires fédéraux travaillent de plus avec leurs homologues d'autres compétences et prennent toutes les mesures nécessaires pour protéger la population. Le gouvernement demeure vigilant et déterminé à appuyer et à améliorer le système de salubrité des aliments canadien en s'assurant que les normes nationales et internationales de l'industrie sont respectées.
On rappelle aux Canadiens de suivre certaines règles simples lorsqu'ils font cuire du bouf haché afin de diminuer les chances de contracter l'E. coli. En particulier, de veiller à ce que la viande soit bien cuite et d'utiliser des pratiques de manipulation sécuritaires, ce qui permettrait de minimiser les risques de maladie. Pour obtenir plus d'information, consultez la fiche de renseignements suivante :
Pour de plus amples renseignements, les consommateurs peuvent communiquer avec l'ACIA en composant le 1-800-442-2342/ATS 1-800-465-7735 (du lundi au vendredi de 8 h à 20 h, heure normale de l'Est). Pour recevoir des renseignements sur les rappels d'aliments ou les alertes à l'allergie par courrier électronique ou pour obtenir d'autres renseignements sur la salubrité des aliments, visitez le site Web de l'ACIA à l'adresse suivante : www.inspection.gc.ca/rappelshttp://www.inspection.gc.ca/rappels.

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CANADA: Food inspection officials to cull B.C. and ALBERTA cattle in bovine TB scare
11.nov.07
Canadian Press/Edmonton Journal


The discovery of bovine tuberculosis in a bull will, according to these stories force the slaughter of 470 cattle and has resulted in the quarantine of almost 30 farms in B.C. and Alberta.

The problem became widespread because the Vanderhoof, B.C. farmer who owned the infected bull downsized over the summer, selling almost 400 head of cattle at an auction in Innisfail, Alta., to 22 other farms.
Seven farms in B.C., including the one where the bull was born, have also been quarantined.

Maria Koller-Jones of the Canadian Food Inspection Agency was cited as saying all the animals sold at auction and the 70 cattle that remain on the Vanderhoof farm will be slaughtered and tested, adding that only if another animal tests positive for TB will the agency take action on one or more of the quarantined farms.
Most of the ranches, which Koller-Jones was cited as saying are centred around Red Deer, acquired cattle at an Innisfail auction. While humans are susceptible to bovine TB, Koller-Jones was cited as saying that since food inspections and controls are effective at spotting the disease, the only real risk is to humans who work closely with cattle. The ranchers who came into contact with the infected bull have tested negative for tuberculosis.
The infected bull was processed in a Quebec slaughterhouse in August and was found to be infected with TB during a routine check.
Ted Haney of the Canada Beef Export Federation was cited as saying the government's quick response to the outbreak should safeguard the country's reputation, adding "Clearly, by international standards and by risk based assessment, Canadian beef is safe to eat and Canadian cattle are safe to trade."
Rancher Hugh Lynch-Staunton was cited as saying if anything the quick response of Canadian food safety officials should reassure world markets, adding, "It is an indication that our tracking and tracing is working really well because we pick up these things when there aren't very many of them."
Larry Sears, who owns a cattle ranch near Stavely, Alta., was cited as saying he can only hope the U.S. government and beef industry will respond to the outbreak in a rational way, adding, "I would hope that it will be dealt with a lot more intelligently than BSE (mad cow disease) has been."

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le 26 novembre 2007

Les ministres européens de l'Agriculture approuvent à l'unanimité l'interdiction de l'UE sur la fourrure de chiens et de chats

GAIA: "Un geste fort envers à la Chine et les autres pays où l'on se livre à des abattages cruels de chiens et de chats pour leur fourrure"


Aujourd'hui, le Conseil européen des ministres de l'Agriculture a approuvé le règlement qui interdit le commerce, l'importation et l'exportation de fourrure et autres produits dérivés de fourrure de chiens et de chats dans l'Union Européenne. L'organisation de défense des droits des animaux GAIA, qui a mené plusieurs actions en faveur de cette interdiction, se réjouit. Le président de GAIA Michel Vandenbosch: "L'Europe a aujourd'hui posé un geste fort envers la Chine et les autres pays où l'on se livre à des abattages cruels de chiens et de chats pour leur fourrure."

Pour rappel: en novembre de l'an dernier le Parlement belge a approuvé une interdiction analogue à la suite d'actions, notamment de GAIA. L'interdiction européenne sera d'application à partir du 31 décembre 2008.

L'Europe emboîte le pas à la Belgique
Quelques jours après le vote unanime du Parlement belge en faveur d'une interdiction du commerce de fourrure de chats et de chiens en novembre de l'an dernier, la Commission Européenne a proposé l'introduction d'une interdiction identique dans toute l'UE. Le 19 juin, le Parlement Européen a approuvé cette proposition, moyennant quelques amendements. Aujourd'hui, le règlement a été approuvé à l'unanimité par le Conseil européen des ministres de l'Agriculture.

La nouvelle loi oblige les états membres à informer la Commission Européenne sur les mesures à prendre pour appliquer ce règlement. Les états membres doivent également communiquer à la Commission les sanctions à proclamer en cas d'infraction à l'interdiction.

Une exception pour la taxidermie
La Commission peut autoriser une exception à des fins éducatives (musées) et pour la taxidermie (animaux empaillés).

La fourrure de chats et de chiens en Belgique
C'est surtout en Chine mais aussi dans d'autres pays asiatiques que chaque année, plus de deux millions de chiens et de chats sont abattus pour leur fourrure. Les animaux sont capturés ou élevés dans des conditions extrêmement pénibles et sont souvent écorchés vifs. La majorité de cette fourrure s'exporte en Amérique du Nord et en Europe. Les Etats-Unis ont déjà adopté une interdiction similaire en novembre 1999. Les peaux sont non seulement traitées pour l'habillement mais aussi pour des jouets, des jouets pour chats et des couvertures anti-rhumatismes. Comme la fourrure de chats et de chiens s'avère relativement peu coûteuse, on l'utilise aussi pour l'habillage de fourrure de figurines et de poupées.

http://www.gaia.be/fra/control.php?&topgroupname=&groupname=cp84

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Political Victory for the Whales

26/11/07

The Labor Party of Australia has won the election and they have won by a landslide and this could be wonderful news for the whales ofAntarctica.


Why?

Because Peter Garrett, two weeks ago as the former Shadow Minister for the Environment said that his government if elected would send a naval vessel to the Southern Oceans to monitor the Japanese whaling fleet. Mr. Garrett also promised to take a much more aggressive position against Japanese whaling activities.

The former Liberal government were outspoken against whaling but did very little to actually stop the Japanese from continuing with their illegal activity.

Hundreds of people have notified the Sea Shepherd Conservation Society that they voted Labor because of the threat to the whales. Labor now has the opportunity to demonstrate that they will be a government of their word.

The Sea Shepherd Conservation Society expects to see an Australian Naval vessel dogging the pirate Japanese whaling fleet this year. Australians are incensed that Japan is targeting endangered humpback whales.

"What Japan is doing is deliberately insulting Australians by saying we are going to kill humpbacks, we may even kill Migaloo and there is not a thing that you can do about it because your government does not have the guts to stop us," said Captain Paul Watson.


www.seashepherd.org/news/media_071126_1.html

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San Fran oil spill hurts Canadian sea duck population
Last Updated: Friday, November 23, 2007 | 11:25 AM ET


CBC News


An oil spill in San Francisco Bay two weeks ago killed and oiled thousands of birds, with a Canadian sea duck among the largest casualties.


Nearly 227,124 litres of oil spilled into the bay on Nov. 8 when a cargo ship hit the San Francisco-Oakland Bay Bridge. The area is a key wintering ground for shorebirds, seabirds and waterfowl.


Thousands of birds have been found dead or blackened by sludge since the spill, but no species has been hit harder than the surf scoter.


Since the accident, at least 1,365 birds from 27 species have been found dead and more than 1,000 oil-slicked birds have been taken to a wildlife care centre for cleaning.


Oil on birds' feathers impairs their ability to keep dry and warm, which forces them to shore and away from the food supply. It also can make birds sick if they ingest it while cleaning their feathers.


The surf scoter accounts for nearly 40 per cent of the captured birds and more than 25 per cent of the dead ones, said Michael Ziccardi, head of the Oiled Wildlife Care Network, which is leading the rescue effort.


Scientists say the population has suffered so much from the spill because they spend almost all their time in the hardest hit areas.


The sea ducks breed in lakes and wetlands in Canada's northern boreal forests and winter along the Pacific Coast, with a smaller population migrating to the Atlantic Coast. The birds are not listed as a threatened or endangered species, but their population has declined by 50 to 70 per cent over the past 40 years, experts say.


Biologists said they fear the spill could decrease future populations, since the injured birds were mostly healthy adults.


"It definitely could have an effect on overall populations," said wildlife biologist John Takekawa of the U.S. Geological Survey, who helped track scoters from the bay to their Canadian breeding grounds. "There could be a lasting effect over time."


With files from the Associated Press


http://www.cbc.ca/technology/story/2007/11/23/sf-oil-spill.html

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La protection des animaux renforcée
Vendredi 23 novembre 2007

Taiwan

Le Cabinet a approuvé hier un amendement qui durcit encore les amendes encourues par les personnes coupables de mauvais traitements envers les animaux, celles-ci pouvant aller jusqu’à 1 million de dollars taiwanais.

L’amendement, qui doit être soumis à l’approbation des députés, autorise la publication du nom et de la photo des personnes condamnées pour ce genre d’actes criminels. Les peines encourues iront de 100 000 à 500 000 dollars pour une première offense, et de 200 000 à 1 million de dollars en cas de récidive.

L’amendement interdit la mise à mort des animaux (à l’exception des animaux d’élevage et du gibier, dans certaines conditions), ainsi que l’emploi d’explosifs, de gaz, d’appareils électriques, d’armes à feu, etc. pour leur capture, sauf situation exceptionnelle, avec une autorisation légale.

http://taiwaninfo.nat.gov.tw/Societe/1195785090.html

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le 27 novembre 2007


Wetteren n'autorise plus les cirques
avec animaux sauvages



Les cirques avec animaux sauvages sont désormais interdits dans la commune de Wetteren, située en Flandre Orientale. C'est à ce jour la 95e commune belge qui bannit ce genre de cirque sur son territoire. Le conseil communal local a pris cette décision jeudi passé. L'interdiction fait suite à une excellente initiative de la conseillère communale Gudrun Janssens et sera retranscrite d'ici peu dans le règlement de police local. Cette décision nous a été confirmée par le secrétariat de la commune.
Nous tenons à féliciter vivement le conseil communal pour cette très bonne démarche et appelons plus que jamais toutes les communes à faire de même.

Pourquoi favoriser une interdiction des cirques avec animaux sauvages ?
Les cirques ne sont pas à même de détenir des animaux sauvages dans des conditions répondant aux besoins de bien-être de ces animaux. Il est malheureusement courant que des animaux sauvages comme des tigres, des lions et des singes soient enfermés dans des cages exiguës, de seulement quelques mètres carrés. Les animaux tournent en rond d'ennui et de frustration, passent constamment de gauche à droite, ou deviennent dépressifs voire apathiques.

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Le mardi 27 novembre 2007


Le Canada au 2e rang des pires émetteurs de GES




Par personne, le Canada émet deux fois plus de GES que la Grande-Bretagne, trois fois plus que la France, cinq fois plus que la Chine, 17 fois plus que l’Inde et 200 fois que l’Éthiopie.
Photothèque La Presse




Éric Moreault

Le Soleil

Québec

Le Canada arrive au deuxième rang des pires émetteurs de gaz à effet de serre (GES) par habitant, tout juste derrière les États-Unis, révèle un important rapport de l’ONU dévoilé hier. Et si la tendance mondiale des 15 prochaines années suit celle des 15 dernières, les changements climatiques dangereux seront inévitables et plongeront les pays pauvres dans des situations catastrophiques.




Selon Papa Seck, l’un des auteurs du Rapport mondial sur le développement humain, les pays pauvres souffriront des conséquences de l’inaction des pays industrialisés tel le Canada en matière de changements climatiques.

Par personne, le Canada émet deux fois plus de GES que la Grande-Bretagne, trois fois plus que la France, cinq fois plus que la Chine, 17 fois plus que l’Inde et 200 fois plus que l’Éthiopie.

À une semaine de la rencontre de Bali, où les gouvernements négocieront les nouvelles mesures pour réduire les GES après 2012, le Rapport est un avertissement presque sans précédent.

«Le Canada est d’avis que nous avons l’occasion de travailler en vue d’instaurer un cadre de travail international clair et crédible assorti d’objectifs à court, moyen et long termes» pour tous les pays, y compris «la Chine, l’Inde et les États-Unis», a réagi le ministre canadien de l’Environnement, John Baird.



«Échec sans précédent»



Le moment de la publication n’est pas innocent, il apporte de l’eau au moulin de ceux qui plaident l’urgence. Mais Kevin Watkins, son auteur principal, souligne que Bali constitue une fenêtre de possible solidarité pour combattre les changements climatiques. La laisser se fermer «représenterait un échec moral et politique sans précédent dans l’histoire de l’humanité».

Ce ci dit dans la mesure où les forces déchaînées par le réchauffement de la planète risquent de ralentir, puis d’inverser les progrès accomplis de génération en génération, condamnant des millions de personnes à une pauvreté sans fin. Les catastrophes climatiques, entre 2000 et 2004, ont touché 262 millions d’humains, dont 98 % dans les pays en voie de développement.

Si les modèles scientifiques s’avèrent justes, plus de 600 millions de personnes de plus risqueraient de souffrir de malnutrition; 1,8 milliard du manque d’eau; 400 millions du paludisme et 332 millions pourraient être contraintes à l’exil.

Pour éviter la croissance exponentielle des inondations, des sécheresses et des déplacements de population subséquents, le Rapport suggère que les pays industrialisés diminuent leurs émissions de 30 % d’ici 2020 et de 80 % d’ici 2050 par rapport aux niveaux de 1990. Les pays en voie de développement viseraient une baisse de 20 % d’ici 2050.

Le Rapport fait aussi sienne la conclusion du rapport Stern, publié l’an passé, selon lequel l’inaction sera plus coûteuse à long terme. Il propose que les pays consacrent 1,6 % de leur PIB d’ici 2030 à diminuer les émissions de GES.



Des actions à prendre



Comment? En taxant les émissions de carbone; en adoptant des normes réglementaires plus strictes pour les véhicules, les bâtiments et les appareils domestiques; en soutenant les énergies renouvelables ainsi qu’en créant un fonds d’atténuation des changements climatiques (de 20 à 25 milliards $ chaque année) pour aider les pays pauvres.

Le Rapport s’attarde aussi au fait que ne pas s’attaquer sérieusement aux changements climatiques risque de provoquer des catastrophes écologiques sans précédent qui constitueront des menaces systémiques contre l’humanité. Il met en exergue le risque de réduction massive des manteaux glaciaires dans l’Antarctique occidental, de rétrécissement des glaciers, ainsi que de stress sur les écosystèmes marins.

Le Rapport mondial sur le développement humain est disponible au hdr.undp.org/en/francais/.

http://www.cyberpresse.ca/article/20071127/CPSOLEIL/71127093/6907/CPSOLEIL

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Bas-St-Laurent
ANIMA-Québec saisit 114 chiens à St-Paul-de-la-Croix
Mise à jour : 28/11/2007 13h23




L'organisme ANIMA-Québec a saisi 114 chiens, mardi, dans une résidence de St-Paul-de-la-Croix, dans le Bas-St-Laurent.

Il s'agit ici de cette famille qui vivait avec plus de 200 chiens, ramassés à gauche et à droite, dont l'histoire avait défrayé la manchette il y a quelques semaines.

Mardi, 120 chiens se trouvaient dans la maison lorsque l'organisme est passé effectuer la saisie pour des questions d'hygiène.

Six chiens ont été laissés sur place parce que leur sécurité et leur bien-être n'étaient pas compromis.
http://lcn.canoe.ca/lcn/infos/regional/archives/2007/11/20071128-132332.html

LA NOUVELLE EN VIDÉO

http://lcn.canoe.ca/cgi-bin/player/video.cgi?file=/lcn/actualite/regional/20071128_chiens.wmv

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Beauce
Un chasseur se blesse gravement au visage Sad
Le Journal de Québec
02/12/2007 07h57


La saison de la chasse continue de faire des victimes. Un chasseur de 60 ans de Québec a été grièvement blessé hier en Beauce en recevant un projectile en plein visage.

L'accident s'est produit vers 12h30 à Saint-Théophile en Beauce, qui compte 800 habitants. Le chasseur se serait blessé accidentellement en descendant de son véhicule tout terrain (VTT). Il a été conduit au Centre hospitalier Beauce-Etchemin et son état est décrit comme grave. La balle lui aurait traversé la joue si bien que le chasseur était incapable de parler, selon la Sûreté du Québec. L'homme n'était pas en mesure de communiquer avec les policiers de la Sûreté du Québec qui mènent l'enquête. La chasse a été particulièrement dangereuse cette année alors qu'on ne compte plus les blessures, les balles perdues et le nombre de chasseurs atteints par balle.


http://www.canoe.com/infos/societe/archives/2007/12/20071202-075701.html

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Date: 1 Dec 2007


Canadian Food Inspection Agency (CFIA) says chickens infected with a
highly pathogenic H7N3 strain of avian influenza on a farm in
Saskatchewan have all been destroyed. The strain is the same one that
triggered an outbreak in 2004 in British Columbia that resulted in 17
million chickens being destroyed, but it is not considered a danger
to humans.

As many as 50 000 chickens were culled on the farm, which is 40 km
north of Regina, using carbon dioxide gas; their carcasses have been
buried in a remote area of the farm where normal decomposition of the
bird carcass apparently effectively deactivates the avian influenza
virus, which is an accepted disease control and biocontainment
measure.

The CFIA says after the cleaning and disinfection of all barns,
vehicles, equipment and tools on the property, and if no new cases of
infection are found in the area, new birds will be allowed to be
introduced onto the farm.

The CFIA will, however, continue to monitor any new flock to make
sure they are virus-free along with another farm in the same area as
a precautionary measure for a period of 21 days.

The farmer will be compensated for the market value of all the birds
destroyed as well as any costs incurred in their destruction.

The CFIA says that although none of the chickens from the farm
reached the food chain, the disease would not make the meat unsafe
for human consumption.

After the virus was discovered, the U.S. Department of Agriculture
quickly banned all imports of live birds, including chickens and
turkeys, from Saskatchewan along with all unprocessed bird products,
a move which was shortly followed by Japan.

The bans are, however, unlikely to have much of an effect, because
the poultry industry in Saskatchewan is fairly small, and the United
States has not imported any poultry products from the province since
2007.

Avian influenza is a contagious disease in birds, and the movement of
live birds, bird products, or things that may have come in contact
with birds may cause the spread of the disease.

General restrictions for the entire province of Saskatchewan and
additional restrictions for the 3-km and 10-km regions around the
infected farm apply, and CFIA permits are required to move certain
products; no restrictions apply to the movement of poultry meat and
eggs purchased from grocery stores.

The CFIA's actions are in line with international scientific
recommendations and guidelines.

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Date: 30 Nov 2007
Source: Prince George Citizen.com


More than 30 farms in B.C. and Alberta remain under quarantine, as
the Canadian Food Inspection Agency (CFIA) continues to identify and
test livestock after bovine tuberculosis was found in a bull that
spent part of its life on a ranch in Vanderhoof.

CFIA senior veterinarian Dr. George Luterbach said Friday [26 Nov
2007] the quarantines on 8 B.C. ranches and 25 in Alberta won't be
lifted for some time yet as the CFIA conducts traces and tests on 150
"animals of interest" in B.C. and a further 800 in Alberta.


"That does not mean they're all alive at this point in time, because
they go back a number of years, but we will follow up on each and
every sale from the farm, and if they are alive and in somebody
else's herd, then we will extract them out," Luterbach said. "Many of
the culls from the infected herd would have been slaughtered and
checked out for TB as part of the normal slaughter process, so they
will not be out there in anyone else's herd at this point in time."

So far, 221 head of cattle determined to have been directly exposed
to the bull have been put down --
66 from the Vanderhoof ranch, 5
from the other B.C. ranches and 105 from the ones in Alberta -- and
samples from them have been sent to CFIA laboratories.

If any of those steers are found to have the disease, the net could
be further widened, depending on the extent of their contact with
other cattle.

"Our policy is to eliminate all animals that have been in contact
with a known positive," said Luterbach, who was in Vanderhoof earlier
this week to give an update to area ranchers.

He said the drastic action is needed to prevent a full-blown outbreak.

The disease was found in the bull during routine testing after it
went to slaughter in August 2007.

The CFIA did not make the incident public until early November 2007
and only after the Citizen received a tip from ranchers concerned
about the time it had been taking to deal with the matter.

Luterbach stressed the incident is not a public health issue because
bovine TB is not easily contracted by humans.

"The public is protected by meat inspection and by pasteurizing milk,
so it's not a threat to the general public," he said. "The owners of
the animals, we were able to contact them directly rather than
through a public announcement."

Public health personnel work with people living on farms where bovine
TB has been detected, he added.

Questions raised during the meeting in Vanderhoof revolved around
general knowledge and clarification of the issue, said Luterbach, who
estimated 100 people attended.

"People were there to learn and to clarify, and it's put everybody
pretty much on the same page," he said

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Des 26 cas d'infection humaine par le virus H5N1 de la grippe aviaire confirmés jusqu'ici en Chine, 17 étaient mortels. Dans le monde, 336 personnes ont contracté le virus H5N1 depuis 2003, dont 207 y ont succombé.

7 décembre 2007-L'Organisation mondiale de la santé (OMS) s'inquiète de l'apparition de deux cas inexpliqués de grippe aviaire en Chine qui laissent planer la possibilité d'une transmission entre humains.

L'OMS étudie les dossiers relatifs à deux infections dans la province du Jiangsu.

Un jeune homme de 24 ans est décédé le 2 décembre après avoir montré des symptômes de la grippe aviaire.

La présence du virus H5N1 a également été confirmée chez le père de la victime, âgé de 52 ans, par le ministère de la Santé chinois.

Le père se trouvait en observation quand il a commencé à avoir de la fièvre et à présenter des symptômes ressemblant à ceux de la pneumonie.

L'OMS avance trois hypothèses pour expliquer l'apparition de la maladie chez le père et le fils:


contact avec un même animal infecté;


contact avec deux animaux infectés;


transmission entre eux.

L'OMS relève que les transmissions interhumaines sont très rares. Trois cas ont été recensés à ce jour au Vietnam, au Cambodge et en Indonésie.

Ces contaminations ne se sont jamais étendues au-delà d'une personne.

Mutation dangereuse

L'OMS craint qu'une mutation du virus H5N1 et une transmission de l'homme à l'homme ne provoquent une pandémie planétaire à l'instar de la grippe espagnole qui a emporté 40 millions de personnes au début du dernier siècle.

Enquête en cours

Les autorités sanitaires ont interrogé 69 personnes qui ont été en relation avec les malades, et aucune n'a été contaminée par le virus.

S'il s'agit d'un contact entre humains, le virus n'a pas été virulent, autrement elles auraient elles aussi été infectées. — OMS

L'enquête révèle aussi que le jeune de 24 ans n'a pas eu de contact avec des poulets morts avant son décès.

De plus, aucun foyer de grippe aviaire touchant la volaille n'a d'autre part été signalé dans la province.

http://www.radio-canada.ca/nouvelles/Science-Sante/2007/12/07/003-grippeaviaire-contamination.shtml

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Dimanche 9 décembre, 11h14VARSOVIE (AFP) -

Les services vétérinaires polonais ont annoncé dimanche l'abattage de 110.000 poulets dans la région de Zuromin (centre), après la découverte samedi d'un troisième foyer de grippe aviaire dans cette région de Pologne.


"30.000 poulets de la ferme contaminée et 80.000 autres des fermes voisines seront tués dans la journée de dimanche", a déclaré lors d'une conférence de presse Ewa Lech, chef des services vétérinaires polonais.

Ce nouveau foyer de grippe aviaire s'ajoute à ceux découverts début décembre dans deux élevages de dindes à 120 km au nord-ouest de Varsovie.

Une zone de sécurité de 10 km autour de ce nouveau foyer a été instaurée par les autorités près de Zuromin, comme ce fut le cas autour des deux premiers foyers, dans les villages d'Uniejewo et de Mysliborzyce. Des zones de protection de trois kilomètres et d'observation de dix kilomètres y ont été mises en place et les fermes infectées totalement isolées.

Selon le ministre polonais de l'Agriculture Marek Sawicki, la découverte d'un troisième foyer constitue "un problèmes économique sérieux", dans la mesure où il s'agit d'une région à grande concentration d'élevages de volailles.

"Nous sommes préparés à compenser à 100% les pertes subies par les éleveurs", a-t-il déclaré à la presse.

Le ministre a souligné que le virus H5N1, bien que potentiellement dangereux pour l'homme, n'était qu'une "maladie d'oiseaux". Il a rappelé que jusqu'à présent aucun humain n'en a été atteint en Europe.

Il s'agit de premiers cas de grippe aviaire constatés cette année en Pologne et des premiers cas jamais décelés dans un élevage de ce pays. L'an dernier, des cas de cette maladie avaient été décelés chez des oiseaux sauvages.

La Commission européenne a interdit le 3 décembre les exportations de volailles de la région touchée.

La Lituanie, la Russie, l'Ukraine et le Bélarus ont interdit toutes les importations de volailles vivantes de Pologne, après la publication de rapports faisant état de foyers de grippe aviaire dans ce pays.

http://fr.news.yahoo.com/afp/20071209/thl-pologne-sante-grippe-elevage-96993ab_1.html

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Vendredi 7 décembre, 13h21COTONOU (Reuters) - Le Bénin a annoncé vendredi la découverte de ses premiers cas de grippe aviaire et soupçonne qu'il s'agit de la souche H5N1, particulièrement virulente et potentiellement mortelle pour l'homme.


Deux foyers ont été découverts jeudi soir à Adjarra, à une quinzaine de kilomètres de la capitale Porto Novo, et dans un élevage de volailles de Cotonou, la capitale économique, a précisé un haut responsable de la protection sanitaire.

Selon le Dr Julien Toessi, directeur de la promotion de la Santé, "les cas identifiés ont été contrôlés positifs après le test rapide".

"Nous avons procédé à un abattage systématique des autres volailles dans un rayon de cinq km autour des deux foyers et à la désinfection de tous les centres d'élevage se trouvant dans un rayon de 15 km", a ajouté Toessi.

Plusieurs centaines de volailles ont été abattues dans la nuit de jeudi à vendredi, a précisé le ministère de la Santé.

Des échantillons ont été envoyés à des laboratoires européens pour confirmation.

"Nous avons fait des prélèvements que nous avons déjà envoyés en Italie pour confirmation. Mais nous sommes persuadés qu'il s'agit de morts dues au virus H5N1 de la grippe aviaire", a assuré Toessi.

C'est le premier cas de grippe aviaire découvert au Bénin depuis l'arrivée de l'épizootie en Afrique.

En février dernier, le gouvernement béninois avait pris des mesures préventives en interdisant systématiquement l'importation, la distribution et le transit de volailles, parties et abats de volailles congelés, poussins, oeufs et aliments en provenance des pays infectés dont le Nigeria avec qui le Bénin partage près de 700 km de frontière.

Les mesures ont été intensifiées après la découverte des cas avérés au Togo voisin.

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Grosse ferme laitière rasée par le feu samedi à Saint-Herménégilde »
Lundi 10 déc 2007

(CHLT) - Une grosse ferme laitière de Saint-Herménégilde a été rasée par un incendie samedi matin. Les pompiers de Coaticook ont réussi à sauver 70 vaches.
Au moins 90 vaches de la ferme Rivorel, appartenant à Yvon Leduc et à sa fille Lyne, ont péri dans le sinistre qui serait d'origine électrique.

Personne n'a été blessé, mais les dommages matériels seraient d'environ de 1,5 million $.

Les pompiers de Coaticook ont été appelés sur les lieux. Ils ont mis plus de 12 heures à combattre l'élément destructeur. Un hangar abritant 70 vaches a pu être sauvé in extremis, les bêtes ayant été évacuées à temps.

Heureusement, la famille Leduc était assurée en cas de feu. Ils entendent d'ailleurs reconstruire le plus tôt possible les bâtiments qui ont été détruits.

Francois Jeanson / CHLT
http://www.corusnouvelles.com/nouvelle-grosse_ferme_laitiere_rasee-596872-4.html


Photos
90 vaches laitières périssent par le feu
http://www.cyberpresse.ca/article/20071210/CPTRIBUNE/712100763/6989/CPTRIBUNE

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Le vendredi 14 décembre 2007


Le sort de l'ours polaire repose sur une glace de plus en plus mince




Photo AFP




Paul Richards

Agence France-Presse

Churchill, Canada

L'ours polaire de la baie d'Hudson lutte pour sa survie alors que le réchauffement climatique réduit le temps qu'il peut passer sur la glace à chasser pour se nourrir, avertissent des écologistes et des habitants de Churchill, un village du nord canadien.


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«Pendant des années, il y avait entre 1.600 et 2.200 ours polaires dans la région», se souvient Bonnie Chartier, qui guide les touristes venus observer à Churchill le roi de la banquise.

«Aujourd'hui, on dit qu'il n'y en a plus que 965. Leur nombre a chuté tout d'un coup et c'est le réchauffement climatique qui en est la cause», dit cette femme née à Churchill.

En 2006, la population de Churchill, qui se targue d'être «la capitale mondiale de l'ours polaire», dépassait de peu celle des plantigrades, avec 975 habitants, selon le recensement canadien.

Carnivore, l'ours polaire, le plus gros des ursidés, se nourrit surtout de phoques, qu'il chasse lorsque la glace se forme à partir de l'automne sur la baie d'Hudson. Au printemps, à la fonte des glaces, l'ours revient sur la terre ferme, où il jeûne.

«Depuis 20 ans, les ours reviennent de la banquise deux semaines plus tôt et repartent une semaine plus tard», note Mme Chartier. «Leur temps de chasse pour se nourrir est donc écourté de trois semaines, surtout pendant les semaines cruciales du printemps quand les phoques mettent bas. Or, les bébés phoques sont des proies faciles pour les ours polaires», ajoute-t-elle.

«Les temps sont durs pour les ours car ils n'accumulent pas assez de graisse pour attendre le moment où ils peuvent recommencer à chasser», poursuit-elle.

Résultat, de plus en plus d'ours s'aventurent dans le village, ce qui, paradoxalement, conduit certaines personnes à croire que cette histoire d'ours en sursis n'est qu'un leurre destiné à attirer encore plus de touristes à Churchill.

Autre conséquence, le bourg a même dû agrandir l'an dernier sa célèbre «prison» pour ours polaires, où les bêtes sont détenues en attendant de pouvoir être relâchées sur la glace une fois l'hiver revenu.

«S'il y en a de plus en plus autour de Churchill, c'est qu'ils tentent désespérément de se nourrir faute de temps pour chasser», déclare un autre guide, le biologiste Brad Josephs.

«La même chose s'est produite dans plusieurs villages au nord de Churchill, où les autochtones les plus anciens disaient au gouvernement que les ours étaient plus nombreux, parce qu'ils en voyaient de plus en plus dans leurs villages», ajoute-t-il.

«Le gouvernement a donc augmenté le quota de chasse mais lorsqu'il a fait un recensement, il s'est rendu compte que la population d'ours n'était pas en hausse mais bien en baisse», indique M. Josephs.

Le Canada compte sur son territoire plus de la moitié des ours polaires de la planète, dont le nombre est estimé à entre 20 000 et 25 000.

Pour Bonnie Chartier, il ne fait pas de doute que les ours commencent à être affectés par le réchauffement climatique: «Nous en avons vu qui étaient anormalement maigres».

Le climat n'est plus le même à Churchill, dit-elle. «Quand j'étais enfant, on portait un blouson l'été. Aujourd'hui, les gens sont en short et en débardeur».

«Même les tempêtes de neige ne sont plus pareilles. Avant cela durait trois jours, maintenant juste une demi-journée», ajoute-t-elle. «Je me fais du souci pour les ours polaires, ils vont être les premiers à trinquer», dit-elle encore.

Brad Josephs, lui, est encore plus inquiet. «Beaucoup de gens pensent qu'il est peut-être trop tard pour les sauver», dit-il.

«Mais peut-être faut-il cette menace de perdre un animal charismatique pour que le monde se réveille et se dise que le réchauffement climatique est bien là et qu'il faut faire quelque chose».

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(INFO800) -28 novembre 2007- Un incendie a ravagé une porcherie ce matin à Saint-Henri de Lévis. Le feu a débuté vers 7 h 30 à la porcherie Rock Gosselin inc. située au 1065, chemin Saint-Félix.
Le bâtiment récent comprenait 1200 porcs.

Plus de 300 bêtes ont péri dans cet incendie dont l'origine est toujours inconnue.

http://www.corusnouvelles.com/nouvelle-incendie_dans_porcherie_levis-571432-4.html

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17-12-07Le ministère saoudien de l'Agriculture a annoncé lundi l'apparition d'un nouveau foyer du virus H5N1 de la grippe aviaire dans la région de Ryad où 22.500 autruches d'élevage ont été abattues.

L'apparition dimanche de ce nouveau foyer dans une ferme de la province d'Al-Kharj a conduit à l'abattage de l'ensemble des 22.500 autruches élevées dans cette ferme, la désinfection du site et la fermeture de l'élevage, a ajouté le ministère dans un communiqué publié par l'agence officielle Spa.

Ce nouveau foyer est apparu dans la région où 13.500 autruches d'élevage avaient été abattues la semaine dernière après l'apparition de cas de grippe aviaire, selon le quotidien al-Watan samedi.

Le 2 décembre, le ministre saoudien de l'Agriculture, Fahd ben Abdel Rahmane Balghounaim, avait annoncé qu'à la date du 30 novembre, près de 4,3 millions de volailles avaient été abattues en Arabie pour lutter contre le virus H5N1.


En novembre, lors de l'apparition des premiers cas, le ministère avait annoncé que plus de 3,5 millions de volailles avaient été ou allaient être abattues.



Nouveau foyer de grippe aviaire en Arabie: 22.500 autruches abattues
- 17/12/07
www.tv5.org/TV5Site/info/afp_article.php?rub=medecine&idArticle=071217151626.figw691z.xml&titre=Nouveau+foyer+de+grippe+aviaire+en+Arabie%3A+22.500+autruches+abattues

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Côte-Nord
Des braconniers écopent d'amendes salées
Mise à jour : 18/12/2007 11h45


Sur la Côte-Nord, une douzaine de braconniers ont été condamnés pour avoir chassé l'orignal avec un hélicoptère.
Ils ont été piégés l'année dernière en plein action.

Ils utilisaient les hélicoptères pour abattre leur gibier.

Les braconniers avaient été filmés par des agents de la faune. André Martel de l'Anse-Saint-Jean devra payer une amende de 48 000 dollars.

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(CKRS) - Pour avoir chassé l'orignal avec l'aide d'un hélicoptère, 12 braconniers ont été condamnés à 90 000 $ d'amendes, dont le président d'Hélicoptère Panorama d'Alma et deux propriétaires d'une pourvoirie de la Côte-Nord.
Les braconniers ont reconnu leur culpabilité et le permis de chasse de neuf d'entre eux a été suspendu pour deux ans.

À lui seul, André Martel, le président d'Hélicoptère Panorama, a été condamné à près de 48 000 $ d'amende.

Des images prises par des agents de la faune, où l'on pouvait voir des orignaux morts suspendus dans le vide, pendant au bout d'une corde attachée à un hélicoptère, ont été diffusées dans les médias.

Les braconniers utilisaient l'appareil pour rabattre leur gibier sans défense.


Jean-François Côté / CKRS

http://www.info690.com/rss-homme_affaires_alma_condamne-615202-4.html

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20-12-07

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Le Japon a annoncé vendredi qu'il renonçait à reprendre la chasse aux baleines à bosse, abandonnée depuis quatre décennies, à la suite d'une campagne de protestations internationales dirigée par l'Australie.


Cette décision, exceptionnelle de la part du Japon qui n'avait jusqu'ici jamais fait de concession en matière de chasse à la baleine, constitue une victoire pour le nouveau gouvernement de gauche australien du Premier ministre Kevin Rudd.

"Le Japon ne va pas chasser les baleines à bosse", a déclaré aux journalistes le porte-parole du gouvernement Nobutaka Machimura, en rappelant que l'Australie avait "exprimé son vif mécontentement auprès du Japon à ce sujet".

"En échange, j'espère que cela débouchera sur de meilleures relations avec l'Australie", a-t-il dit.

Pour la première fois depuis les années soixante, le Japon avait annoncé le mois dernier qu'il allait tuer 50 spécimens de baleines à bosse, une espèce considérée comme menacée par les défenseurs de la nature.


Sous la pression internationale, Tokyo renonce à tuer les baleines à bosse - 21/12/07
www.edicom.ch/fr/news/environnement/1187_4702380.html

Une super nouvelle pour les baleines à bosse !

Mais il y a les 935 petits rorquals et les 50 rorquals communs...

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20-12-07-Le gouvernement canadien a estimé jeudi qu'une étude de l'Autorité européenne de sécurité des aliments (EFSA) validait la légitimité des techniques utilisées pour la chasse au phoques au Canada.

L'autorité européenne basée à Parme a adopté mercredi une opinion scientifique sur les différentes méthodes utilisées pour tuer et écorcher les phoques.

"Nous sommes heureux de constater que les recommandations de l'EFSA confirment que les pratiques et les techniques de chasse utilisées, réglementées et prescrites par la loi pour la chasse commerciale du phoque au Canada sont légitimes et sans cruauté", a déclaré le ministre des Pêches et des Océans Loyala Hearn.

"Nous croyons donc que les pratiques actuellement en vigueur au Canada sont conformes aux recommandations générales de l'EFSA, et nous avons déjà commencé à prendre un certain nombre de mesures pour remédier à certains des problèmes soulevés dans l'étude", a-t-il ajouté.

Dans l'étude, l'EFSA considère que "les hakapiks et autres gourdins peuvent assurer un abattage efficace" des jeunes phoques "lorsqu'ils conçus de façon adéquate et utilisés correctement".

Le Canada compte plus de 5,5 millions de phoques du Groenland le long de ses côtes est et ouest et établit des quotas annuels, rappelle le ministre en soulignant que la chasse au phoque permet à des milliers de chasseurs canadiens et à leur famille de toucher un revenu substantiel.

En 2007, le Canada a autorisé la chasse de 270.000 phoques, soit 65.000 de moins que l'année précédente, une pratique vivement dénoncée depuis des années par les organisations de défense des animaux ainsi que plusieurs vedettes.

Ottawa avait lancé en septembre dernier une action devant l'Organisation mondiale du commerce (OMC) à la suite des mesures prises en Belgique et aux Pays-Bas pour interdire la vente de produits dérivés du phoque et avait mis en garde d'autres pays de l'Union européenne envisageant de faire de même.


Ottawa estime sa pratique d'abattage des phoques justifiée par l'EFSA - 20/12/07
www.tele-animaux.com/fil-info,lecture,ottawa-estime-sa-pratique-d-abattage-des-phoques-justifiee-par-l-efsa:31901.html

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22 déc. 2007- VARSOVIE (AFP) - Un nouveau foyer de grippe aviaire a été découvert dans des fermes du nord de la Pologne, dans la zone de sécurité autour d'un foyer découvert précédemment, ont annoncé samedi les autorités vétérinaires du pays.


"Les autorités vétérinaires du pays ont reçu samedi matin les résultats du laboratoire national qui confirment la présence du virus H5N1 dans les échantillons analysés", selon un communiqué du ministère de l'Agriculture polonais.

Le virus a été détecté dans six élevages à Sadlowo Parcele (nord), un village qui se trouve dans la zone de sécurité instauré autour du foyer de Zuromin, où le virus H5N1 avait été détécté récemment chez des poules pondeuses.

Il s'agit du huitième foyer détécté en Pologne.

La grippe aviaire a déjà touché depuis début décembre deux élevages de dindes à 120 km au nord-ouest de Varsovie, un élevage de poules pondeuses dans la région de Zuromin et deux grandes fermes de poulets, ainsi que des oiseaux sauvages dans le nord-est du pays.

A chaque fois, des zones de sécurité ont été instaurées autour des sites contaminées.

Au total, plus d'un demi-million d'oiseaux ont dû être abattus dans les fermes.

La Commission européenne avait interdit le 3 décembre les exportations de volailles des régions infectées.

La Lituanie, la Russie, l'Ukraine et le Bélarus ont interdit toutes les importations de volailles vivantes de Pologne, après la publication de rapports faisant état de foyers de grippe aviaire dans ce pays.


http://fr.news.yahoo.com/afp/20071222/thl-agr-ali-san-gen-96993ab_1.html

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19 dec. 2007

Clonage en Chine du premier lapin transgénique

L'Hôpital Xinhua de l'Institut de Médecine de l'Université des Communications de Shanghai a annoncé officiellement, le 18 décembre dans la matinée, la naissance à l'hôpital il y a trois mois d'un lapin transgénique cloné. Après consultation, il s'avère que celui-ci est le premier de son genre dans le monde jusqu'ici.

Actuellement, ce petit lapin transgénique cloné a passé avec succès « l'indentification d'expertise » de la biomoléculaire. Les gènes protéiniques de couleur vert fluorescent qu'il porte sur lui facilitent les expertises directes et permettent de jetter une base solide à l'établissement d'envergure ultérieur de modèles animaux de lapins transgéniques et aux recherches orientées sur diverses maladies compliquées de l'être humain difficiles à traiter et à soigner.

Selon Chen Xuejin, professeur assistant à l'Institut de Médecine de l'Université des Communications de Shanghai et chef du groupe de recherches, ledit lapin cloné a été mis au monde le 14 septembre dernier et vit jusqu'ici depuis trois mois tout au juste. Il pèse 1.400 grammes et est élevé par le Département scientifique des animaux de laboratoire de l'Institut de Médecine susmentionné.

Source: le Quotidien du Peuple en ligne

http://terresacree.org/ "

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Lundi 17 décembre 2007, 16h16RYAD (AFP) -



Le ministère saoudien de l'Agriculture a annoncé lundi l'apparition d'un nouveau foyer du virus H5N1 de la grippe aviaire dans la région de Ryad où 22.500 autruches d'élevage ont été abattues.


L'apparition dimanche de ce nouveau foyer dans une ferme de la province d'Al-Kharj a conduit à l'abattage de l'ensemble des 22.500 autruches élevées dans cette ferme, la désinfection du site et la fermeture de l'élevage, a ajouté le ministère dans un communiqué publié par l'agence officielle Spa.

Ce nouveau foyer est apparu dans la région où 13.500 autruches d'élevage avaient été abattues la semaine dernière après l'apparition de cas de grippe aviaire, selon le quotidien al-Watan samedi.

Le 2 décembre, le ministre saoudien de l'Agriculture, Fahd ben Abdel Rahmane Balghounaim, avait annoncé qu'à la date du 30 novembre, près de 4,3 millions de volailles avaient été abattues en Arabie pour lutter contre le virus H5N1.

En novembre, lors de l'apparition des premiers cas, le ministère avait annoncé que plus de 3,5 millions de volailles avaient été ou allaient être abattues.

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23 décembre 2007-, 09h56VARSOVIE (Reuters) - Des analyses effectuées en laboratoire ont confirmé l'existence d'un nouveau foyer de la souche H5N1 de la grippe aviaire, dans la même région du nord de la Pologne où le virus avait été découvert ce mois-ci, a rapporté samedi l'agence de presse polonaise Pap.


"La présence du virus H5N1 (forme hautement pathogène) est confirmée par l'institut vétérinaire national chez des poulets morts découverts dans une entreprise avicole du canton de Zuromin", écrit Pap.

Des préparatifs étaient en cours pour abattre les élevages de quatre fermes avicoles du village de Sadlowo Parcele.

Ce foyer de grippe aviaire se trouve dans la zone de contamination d'un précédent foyer découvert le 8 décembre dans le village de Karniszyn, d'où le virus se serait propagé. Il s'agit du huitième cas de souche H5N1 en Pologne depuis le début décembre.


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17 décembre 2007, 11h44COTONOU (Reuters) - Le Bénin a confirmé la présence du virus H5N1 de la grippe aviaire dans deux foyers découverts il y a dix jours.


Dans un communiqué publié dimanche soir, le ministre de l'Agriculture Robert Dovonou a déclaré que les résultats de tests effectués par un laboratoire italien confirmaient les soupçons des autorités.

Deux foyers ont été détectés le 6 décembre à Adjarra, à une quinzaine de kilomètres de la capitale Porto Novo, et dans un élevage de volailles de Cotonou, la capitale économique.

Plusieurs centaines de volailles ont été abattues dès la découverte de ces premiers cas de grippe aviaire dans le pays, dans un rayon de cinq kilomètres autour des deux foyers, et les autorités ont procédé à la désinfection de tous les centres d'élevage dans un rayon de 15 km.

Les importations de volailles ont été interdites et le transport de volailles entre élevages a été limité.

Le Nigeria, voisin du Bénin, est l'un des pays les plus touchés par la grippe aviaire depuis son arrivée en Afrique. Il est le seul pays d'Afrique noire à avoir enregistré le premier cas de décès humain dû à la maladie.

Le Togo, autre pays voisin, a déclaré son premier cas de H5N1 en juin dernier et découvert de nouveaux cas depuis cette date.

Le H5N1 est potentiellement mortel pour l'homme et a tué quelque 200 personnes dans le monde, principalement en Asie, depuis que la maladie est réapparue à Hong Kong en 2003, selon l'Organisation mondiale de la Santé.

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Des oiseaux morts
de la grippe aviaire près de Moscou
NOUVELOBS.COM | 17.02.2007 | 12:08

Pour la première fois, des oiseaux tués par le virus ont été retrouvés à proximité de la capitale. Des analyses devraient permettre de savoir s'il s'agit de la souche H5N1.
Des oiseaux ont succombé à la grippe aviaire près de Moscou, et les autorités vérifient si c'est la souche H5N1 du virus qui est à l'origine de leur mort, a annoncé vendredi 16 février un responsable de l'agriculture russe.
Des oiseaux ont été retrouvés morts dans deux régions proches de Moscou, victimes de la grippe aviaire, a précisé à l'Associated Press Alexei Alexeïenko, un porte-parole de l'Agence fédérale agricole Rosselkhoznadzor. Il a expliqué que des échantillons avaient été prélevés et étaient examinés pour déterminer la souche du virus.

La première fois

C'est la première fois que des cas de grippe aviaire sont découverts aussi près de la capitale russe. Ils ont été répertoriés dans les régions d'Odintsovo et de Domodedovo, à l'ouest et au sud de Moscou.
La Russie a enregistré ses premiers cas de grippe aviaire en Sibérie en 2005, plus d'autres plus à l'ouest, mais essentiellement dans des régions du sud du pays loin de Moscou. Aucun cas humain de grippe aviaire n'a été répertorié pour l'instant dans ce pays.

http://tempsreel.nouvelobs.com/actualites/international/europe/

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Allemagne
Foyer de grippe aviaire près de Berlin
Associated Press (AP)
15/12/2007 10h54


Le virus H5N1 de la grippe aviaire a provoqué la mort d'au moins deux poules dans une basse-cour proche de Berlin, ont annoncé ce samedi les autorités régionales.

Les poules ont été testées après une série de morts dans un petit élevage de la région de Oberhavel (nord-ouest de Berlin), selon le ministère régional de l'agriculture. Le reste de l'élevage a été abattu et le virus sera recherché chez les volailles vivant dans un rayon de trois kilomètres de là.

En 2006, un foyer de grippe aviaire dans un élevage bavarois avait conduit à euthanasier 160 000 volailles. Plusieurs autres cas ont été détectés chez des animaux sauvages et, en 2006, sur une oie domestique.
http://www2.canoe.com/infos/international/archives/2007/12/20071215-105451.html

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18 décembre 2007


Les Suisses allemands privés de foie gras en ligne



Genève

Le plus grand site suisse de vente de produits alimentaires en ligne a décidé de retirer de la vente le foie gras d'animaux gavés destiné à ses clients germanophones, à la suite d'un sondage révélant une forte hostilité à la pratique du gavage.

LeShop.ch, site de vente en ligne de Migros, le premier distributeur du pays, n'offrira plus de foie gras d'animaux gavés dans sa version allemande, alors que le produit reste disponible sur les pages du site en langue française, a annoncé la société mardi dans un communiqué.

«Malgré une longue tradition, les méthodes de production du foie gras par gavage sont de plus en plus contestées par des organisations de protection des animaux», a expliqué LeShop.ch, qui dit vouloir s'adapter à «la sensibilité culturelle de chaque région linguistique».

Selon la société, qui a effectué une enquête auprès de 10 000 de ses clients, 78% de la clientèle alémanique s'est en effet prononcée contre la vente du foie gras traditionnel.

http://www.cyberpresse.ca/article/20071218...9/6685/CPACTUEL

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http://www.thewesternstar.com/index.cfm?sid=90706&sc=26



Court dismisses sealers' application
Transcontinental Media

19 dec. 2007


ST. JOHN'S — A group of sealers who have fought nearly 11 years for compensation for pelts seized by the Department of Fisheries and Oceans (DFO) will have to wait a little longer for another round in the battle.
In provincial court in Corner Brook Tuesday, Judge Wayne Gorman dismissed an application made by 20 sealers from this province to obtain the value of a large catch of blueback seal pelts collected more than a decade ago.
On Nov. 20, 1996, 101 sealers, including those who filed the application, were charged with violating DFO's Marine Mammal regulations for their part in the "unlawful" sale or trade of pelts from young hooded seals, commonly known as bluebacks. As a result of the charges, DFO officers seized a number of seal pelts and subsequently disposed of them.
The men have been fighting ever since to regain their lost revenue, having returned to court numerous times to deal with appeals and other legal proceedings. But, even after the decision, they vow to continue the fight.
"As long as there is breath in my body, I'll keep fighting this," said Twillingate sealer Jack Troake, who is among the group that was charged and filed the application.
Troake and the other sealers claim DFO officials misled them and stood by and watched the hunt take place, observing the unloading of the pelts, but did nothing at the time.
The men allege DFO even led them to the bluebacks by tipping them off as to the latitude and longitude of the animals during the 1996 seal hunt at The Front.

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Les girafes africaines en grand danger


Lundi 24 décembre, 12h10NAIROBI (AFP) - Au moins six espèces de girafe africaine se trouvent en grand danger et menacées d'extinction, ont averti des biologistes kenyans et américains.


La population de 110.000 girafes africaines, dont on pensait à l'origine qu'elle ne constituait qu'une seule espèce dans toutes les savanes, s'est trouvée dispersée en raison de l'aridité croissante et des pressions humaines, selon ce document préparé avec le soutien de la Société de Conservation de la Faune et de la flore basée aux Etats-Unis.

Au cours de la dernière décennie, "braconnage intensif et conflits armés en Somalie, en Ethiopie et au Kenya ont réduit le nombre de girafes réticulées, passé d'environ 27.000 dans les années 1990 à moins de 3.000 actuellement", affirme l'étude, rendue publique samedi.

"Plusieurs de ces unités génétiques auparavant méconnues sont en grand danger, telle la girafe d'Afrique occidentale, qui ne compte plus que 100 individus dans une seule région du Niger", selon la même source.

Au moins 160 girafes nigérianes se trouvent en Afrique de l'Ouest et en Afrique centrale, et quelques centaines de girafes Rothschild dans des secteurs protégés du Kenya et de l'Ouganda.

Selon les chercheurs, la menace d'exinction est réelle puisque les girafes sont inscrites dans la catégorie de risque le plus bas sur la liste rouge de l'Union mondiale pour la nature (UCIN), les différentes espèces étant "considérées comme formant une seule et même espèce".

Publiée dans la dernière édition du journal de biologie BMC, l'étude de la constitution génétique de ces animaux contredit la théorie d'une espèce unique. Le rapport appelle donc à mettre en place une conservation séparée des différentes populations de girafes.

Un groupe international d'étude de la girafe (IGWG) travaille actuellement avec plusieurs directions de conservation de la faune et de la flore en Afrique pour effectuer un recensement des girafes, qui peuvent mesurer jusqu'à six mètres en hauteur et peser une à deux tonnes une fois adultes.

Cette opération de recensement est en cours au Sud Soudan, où quatre espèces de girafe distinctes récemment découvertes ont survécu à plus de deux décennies de guerre civile. Deux espèces très différentes ont également été découvertes au Kenya.

En septembre, le service kényan de la vie sauvage avait jugé que les animaux sauvages étaient menacés de disparition dans la plus ancienne réserve naturelle du Kenya, en constatant la destruction de l'habitat naturel à l'intérieur et autour du parc national de Nairobi.

http://fr.news.yahoo.com/afp/20071224/tsc-afrique-environnement-animaux-girafe-c2ff8aa_1.html

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$80,000 offered for panda pelts


December 18, 2007 ILLEGAL hunters are killing China's endangered giant pandas and selling their pelts for almost $80,000.

China is investigating reports of illegal wildlife trading in the country's southwest, where locals were offered huge sums of cash for giant panda pelts.

Local police have found cases of panda hunting in Baoxing county in Sichuan province, the State Forestry Administration said.

It is believed 19 pandas have been killed for their skins in Baoxing over the past 20 years.

"We have sent a working group to supervise the investigations and we will prosecute anyone involved," said spokesman Cao Qingyao.

The giant panda is on China's list of most endangered species. Hunting the animal is strictly forbidden.

The case came to light after reports said hunters were killing pandas after unidentified buyers had offered huge sums for their fur.

The Southern Weekend weekly newspaper said the black and white pelts could fetch up to $79,000, tempting residents of Baoxing, where the average annual income is less than $470 a year.

Baoxing, dubbed by Chinese media as the home of the pandas, estimates there are 143 pandas in the area.

Scientists estimate there are 1590 pandas in the wild in China, and another 239 living in captivity.

- AFP
http://www.news.com.au/heraldsun/story/0,21985,22939908-663,00.html

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Le mercredi 26 décembre 2007


Un tigre s'échappe d’un zoo et tue une personne




La tigresse Tatiana, sur une photo datant de septembre dernier.
Photo AP




Agence France-Presse

San Francisco

Une tigresse sibérienne qui s'est échappée de sa cage du zoo de San Francisco a tué mardi un visiteur et blessé deux autres avant d'être abattue, rapporte le San Francisco Chronicle citant le porte-parole des pompiers de la ville, Ken Smith.



Les circonstances exactes de ce «tragique» incident qui intervient une année après que le même félin, Tatiana, ait blessé son gardien pendant qu'il lui donnait à manger ne sont pas encore tout à fait établies mais on pense que l'animal a pu s'échapper en sautant par dessus la grille fortifiée et la douve qui le séparaient de l'espace public.

Selon Robert Jenkins, l'un des directeurs du zoo, la tigresse, une fois dehors, a immédiatement attaqué un jeune homme qui se trouvait devant les grilles et l'a tué sur le coup.

Tatiana s'est ensuite dirigée vers un café proche de sa cage et s'en est prise à deux clients qu'elle a grièvement blessés.

Alors que les policiers arrivaient au secours d'une des victimes que Tatiana était en train de mutiler, le félin a lâché sa victime et s'est retourné contre les policiers qui ont dû ouvrir le feu et l'abattre.

Aucun des deux blessés n'a été officiellement identifié mais il s'agirait selon les médias de deux frères. Le jeune homme tué serait un de leurs amis.

Les autorités ont craint un instant que les trois autres tigres du zoo ne se soient également échappé, avant de s'apercevoir qu'ils n'avaient jamais quitté leur cage.

http://www.cyberpresse.ca/article/20071226/CPINSOLITE/71226007/6730/CPACTUALITES

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en trois jours seulement, au Pakistan ! Incroyable !!!! Shit

25 décembre 2007-



5.5m animal sacrifices on Eid may boost leather exports

* Buyers from European Union and Far East prefer skin and hides of Pakistani animals

By Razi Syed

KARACHI: Around 5.5 million sacrificial animals were slaughtered in three days of the Eid ul Azha in the country, former chief of Pakistan Tanneries Association said here on Monday.

“Around 20 percent of the skin and hides are damaged due to mishandling by novices resulting in loss of millions of dollars to the national exchequer,” Gulzar Feroze said while talking to Daily Times.

He said some two million cows and calves, more than 3.5 million goats besides nearly one million sheep were sacrificed this year.

International buyers prefer to buy the finished leather especially made from skins and hides of sacrificial animals, as they have much stretching quality, healthy and fresh material, he said adding that European buyers give premium to Pakistani exporters.

He said the buyers of European Union and Far East prefer skin and hides of Pakistan animals besides leather garments.

“PTA rejects the allegations of some quarters that Pakistan is exporting vet leather, which is denting the export potential of the finished goods,” he said adding that there is 20 percent duty on vet leather export whose export is only 5 percent.”

Former PTA President said the leather garment share is around 65 percent in our total exports and it is the second largest export of the country after textiles, which stand around $1,125 million during 2005-06. “We had some 24 percent decline in our exports during 2006-07 due to various reasons including low grade raw material and demand and supply mechanism.”

He said our material meets international standards at par excellence but there is need to bring mechanised slaughtering to boost our exports. “Once our exports were in a billion dollar club but due to lack of concentration from the industry as well as government we see a decline,” he added.

Mr Feroz suggested resuscitating two slaughterhouses (abattoirs) at Cattle Colony Landhi, which were lying closed for over 25 years. The slaughterers are forced to sacrifice animals in a makeshift slaughterhouse, which has also been damaging the quality of skins and hides.

At present, the building structure of the abattoir, spread over one-acre is in an acceptable condition and needs little renovation work, however, the rust has almost destroyed the costly machinery imported from Yugoslavia in the past.

The highest increase of 115 percent was recorded in export of leather gloves ($152 million) sub sector during 2004-2005 by 64 percent increase in leather goods export ($22 million), 22 percent increase in leather footwear ($96 million) and 18 percent increase in leather export ($296 million) over the corresponding period of 2003-2004.

“Export of leather products could jump to one billion dollars again as it is a time to improve our leather products so that we could achieve certain targets and share in the international market,” Mr Feroz added.

http://www.dailytimes.com.pk/default.asp?page=2007%5C12%5C25%5Cstory_25-12-2007_pg5_4

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Mercier, près de Châteauguay
Charnier découvert
Gabrielle Duchaine
Le Journal de Montréal
27/12/2007 06h43

Un véritable charnier d'une cinquantaine d'animaux a été découvert à Mercier, près de Châteauguay, hier. Les carcasses auraient servi à un type de chasse dont les techniques sont pour le moins barbares.

C'est une jeune femme qui se promenait à cheval qui a fait la macabre découverte: une cinquantaine de porcelets, trois cochons adultes, un renard et trois coyotes, tous morts.


Un peu partout sur la neige, des traces de sang. Malgré le froid, l'odeur levait le coeur.


Selon les policiers, les cadavres de porcs, qui portaient des traces de balles, auraient servi à attirer les coyotes, alors que des chasseurs attendaient dans les fourrés pour les tuer.


Ils leur ont ensuite coupé la tête, arraché la peau et les ont abandonnés là où ils les avaient attrapés, soit à à peine un kilomètre de maisons et de fermes.


Même si la technique de chasse est légale, ces gestes contreviennent à plusieurs règlements municipaux. Il est notamment illégal d'abandonner des carcasses d'animaux et de chasser sur le territoire d'une ville.


L'affaire a été confiée au ministère de l'Environnement.


Un problème


«Il y a souvent des chasseurs derrière chez nous, raconte un résidant découragé. On les entend, on en a même déjà vu.»


«C'est dangereux, car plusieurs personnes se promènent sur ce terrain à cheval ou en quatre roues», croit-il.


«Ça fait au moins 30 ans que ça dure, raconte l'homme, qui n'a pas voulu donner son nom. À l'époque, une femme qui faisait de l'équitation avait reçu une balle dans le casque.»


Impossible de savoir d'où venaient les porcs qui ont servi d'appât. Vu le nombre de porcelets et leur âge, les policiers soupçonnent qu'ils ont été élevés en porcherie.


http://www.canoe.com/infos/societe/archives/2007/12/20071227-064300.html
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Dozens of carcasses discovered at Quebec quarry

Last Updated: Wednesday, December 26, 2007 | 6:32 PM ET
CBC News

Police and wildlife officers are trying to determine who killed and dumped dozens of animals at a Quebec gravel quarry.

A woman horseback rider in Mercier, a town southeast of Montreal, found the carcasses in the snow Monday morning. The dead animals included a fox, three coyotes, two large pigs and about 40 piglets.

Chateauguay community officer Tony Sciullo told CBCNews.ca that the fox and coyotes appeared to have been shot. The coyotes had their heads removed and had been skinned. But the fox's skin was intact, he said.

Sciullo said the piglets and remains of piglets had been stacked in three piles. He did not know where the pigs came from, but noted there are farms and a slaughterhouse in the area.

"The way we can figure it, the small pigs were used as bait to attract the other animals," he said.

Sciullo said real hunters respect wildlife and would not leave the remains of the animals they hunt.

"It's totally immoral. It showed a total disrespect for wildlife," Sciullo said.

"I was surprised and I was trying to figure out a logical explanation for it," said Sciullo, who was at the scene.

Sciullo said it is hunting season for coyotes, but the area where it is believed they were shot is private property and not a hunting area.
He said they discovered snowmobile tracks about 180 metres away from where the carcasses were found.

http://www.cbc.ca/canada/story/2007/12/26/animal-carcasses.html

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Distribution de baleine au curry dans les quartiers d'affaires de Tokyo
jeudi 29 nov 2007 MadMadMadMadMadMadMad



TOKYO (AFP) - Une entreprise de vente ambulante a commencé jeudi à servir des plats de baleine au curry dans Tokyo, attirant des dizaines de curieux peu soucieux des récriminations internationales contre la chasse aux cétacés pratiquée par le Japon.



L'entreprise Asian Lunch, dont les stands ambulants vendent chaque jour entre 1.000 et 1.500 repas dans les quartiers d'affaires de Tokyo, a lancé son plat de baleine hachée au curry "keema" à la façon d'Asie du Sud, accompagné de riz, au prix de 650 à 700 yens (environ 4 à 4,5 euros).


Cette initiative intervient alors que le Japon fait l'objet de critiques renouvelées de la part des associations écologistes et de plusieurs gouvernements après avoir lancé, le 18 novembre, une nouvelle campagne de chasse à la baleine dans l'Antarctique.


Le Japon contourne chaque année le moratoire international en vigueur depuis 1986 en pêchant un millier de baleines à des fins soi-disant "scientifiques". Cette année, les baleiniers nippons comptent tuer pour la première fois cinquante baleines à bosse, une espèce considérée comme menacée.


"Je ne pense pas à des choses si compliquées", a affirmé Hiroki Nakashima, un ingénieur de 24 ans, interrogé sur la réprobation internationale de la chasse aux cétacés au moment d'acheter un plat de baleine au curry.


"Je comprends que les étrangers n'aiment pas ça, tout comme beaucoup de Japonais n'aiment pas que les Coréens mangent de la viande de chien. Mais je n'ai aucun préjugé contre la viande de baleine", a-t-il assuré.


Le gouvernement japonais, selon qui la chasse à la baleine fait partie des traditions culturelles nippones, tente d'encourager les jeunes générations à prendre goût à la viande de cétacé. La baleine est souvent servie dans les cantines scolaires, voire même sous forme de hamburger.


Asian Lunch a expliqué qu'il avait lancé son plat de baleine au curry après avoir été approché par un grossiste, avec l'encouragement des autorités.

http://cf.news.yahoo.com/s/afp/071129/insolite/agr_mer_ali_env_gen_1

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Chasse au cerf de Virginie en 2007

UNE ACTIVITÉ TOUJOURS PLUS POPULAIRE

Québec, le 21 décembre 2007 – Le ministère des Ressources naturelles et de la Faune constate que la chasse au cerf de Virginie connaît une popularité grandissante au Québec depuis plus de trente ans. Au cours des dernières semaines, près de 176 000 personnes ont fréquenté les forêts québécoises à la recherche de cet animal, soit une augmentation de 23 % par rapport à l’an 2000. Même si la compilation finale ne sera complétée que dans quelques semaines, on peut déjà conclure que plusieurs chasseurs ont connu du succès.

En effet, au 18 décembre 2007, les données du Ministère indiquent une récolte de 72 142 cerfs, soit 38 665 mâles avec bois (54 %), 22 507 femelles adultes (31 %) et 10 970 faons (15 %). Globalement, la récolte de cet automne est la plus importante que le Québec ait connue. L’augmentation de cette année est principalement due à l’attribution d’un nombre supérieur de permis autorisant la récolte de cerfs sans bois (femelles et faons). La récolte de mâles adultes, un reflet fiable de l’abondance des populations, indique que celles-ci sont relativement stables et se situent près des objectifs de densité établis au plan de gestion dans la plupart des zones de chasse.

Dans le cadre de son programme de suivi, le Ministère effectuera, au cours de l’hiver, des estimations par inventaire aérien des populations de cerfs dans les zones de chasse 5 (Montérégie), 9 (Lanaudière) et 11 (Laurentides). De même, l’opération du réseau de stations de mesure de neige se poursuivra puisque ces données permettent d’ajuster le prélèvement de cerfs sans bois en fonction de la rigueur de l’hiver, tout en tenant compte des objectifs relatifs aux populations ciblés pour chacune des zones de chasse.

Un tableau complet des statistiques de chasse au cerf de Virginie pour chacune des zones de chasse, mis à jour tous les mardis, peut être consulté sur le site Internet du ministère des Ressources naturelles et de la Faune (www.mrnf.gouv.qc.ca/faune/statistiques/chasse-piegeage.jsp). Pour plus d’information sur les objectifs de gestion de chacune des zones de chasse, on peut consulter le Plan de gestion du cerf de Virginie également accessible sur Internet

(www.mrnf.gouv.qc.ca/faune/especes/plan-gestion-cerf.jsp).

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Pas entendu parler de cette nouvelle nulle part....



Onzième cas de vache folle

laterre.ca 18 décembre 2007

redaction@laterre.ca

Un 11e cas d’encéphalopathie spongiforme bovine (ESB) vient d’être découvert au Canada, plus particulièrement en Alberta.

L’Agence canadienne d’inspection des aliments (ACIA) en a fait l’annonce le mardi 18 décembre. L’animal infecté est une vache de boucherie âgée de 13 ans, donc née avant l’entrée en vigueur, en 1997, de l’interdiction canadienne frappant les aliments du bétail.

Aucune de ses parties n’est entrée dans la chaîne alimentaire humaine ou animale puisque l’animal a été détecté directement sur sa ferme grâce au programme de surveillance national.

Depuis 2003, environ 190 000 échantillons ont été soumis à ce programme. Selon l’ACIA, les résultats du programme de surveillance montrent que l’incidence de l’ESB au Canada est extrêmement faible.

« À mesure que des progrès seront accomplis au chapitre de l’éradication de la maladie au sein du cheptel bovin canadien, le Canada s’attend à détecter un faible nombre de cas au cours des dix prochaines années », rassure l’organisation.

L’enquête épidémiologique est en cours.

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GENEVE (Reuters) - L'Organisation mondiale de la Santé a confirmé un cas unique de transmission d'homme à homme du virus H5N1 de la grippe aviaire dans une famille au Pakistan, ajoutant toutefois qu'il n'existait apparemment aucun risque d'extension du phénomène.


27 décembre 2007


Un communiqué de l'OMS précise que des analyses pratiquées dans ses laboratoires spéciaux au Caire et à Londres ont établi qu'il y avait bien eu transmission humaine dans une famille mais qu'une équipe de l'organisation invitée au Pakistan pour étudier neuf cas apparus entre fin octobre et le 6 décembre n'avait relevé aucune preuve de transmission d'homme à homme généralisée.

Aucun proche identifié des personnes infectées, notamment des membres du personnel médical ou d'autres membres de la famille affectée n'ont présenté de symptômes et l'observation médicale a été levée pour tous, ajoute l'OMS.

L'apparition de la grippe aviaire dans la famille a suivi l'abattage de poulets infectés au Peshawar. Un vétérinaire qui y avait participé et trois de ses frères ont ensuite présenté des symptômes de pneumonie.

Les frères se sont soignés mutuellement et ont été en contact étroit entre eux tant chez eux qu'à l'hôpital et l'un d'entre eux, qui n'avait pas participé à l'abattage, est décédé le 23 novembre, a dit un porte-parole de l'OMS à Genève.

NOUVEAUX CAS EN EGYPTE

Cet homme est l'unique cas confirmé de transmission d'homme à homme. Les autres patients ont guéri.

"Tous les éléments donnent à penser que le foyer dans cette famille ne pose pas de risque plus large", a dit le porte-parole à Reuters. "Mais il y a déjà une surveillance renforcée et il est nécessaire de rester vigilant".

Il s'agit du premier cas de transmission d'homme à homme du H5N1 au Pakistan mais d'autres cas ont été confirmés en Indonésie et en Thaïlande dans des circonstances similaires qualifiées par l'OMS de contacts étroits dans une zone très limitée.

Les experts de la santé craignent que le virus, qui a déjà tué 221 personnes sur les 343 cas recensés depuis 2003, mute en une forme facilement transmissible d'homme à homme, ce qui pourrait provoquer une pandémie susceptible de tuer des millions de personnes.


Par ailleurs, au Caire, le ministère de la Santé a annoncé que des analyses avaient confirmé la contamination de deux personnes par le virus, au lendemain de la port d'une Egyptienne victime de la grippe aviaire, la 16e personne à avoir succombé à la grippe aviaire en Egypte.

Les deux nouveaux cas, à Damietta et Menoufia, portent à 41 le nombre de cas humains de grippe aviaire en Egypte, a dit à Reuters Amr Kandil, chef du contrôle des maladies contagieuses au ministère de la Santé.

Robert Evans et Aziz el-Kaissouni, version française Nicole Dupont

http://fr.news.yahoo.com/rtrs/20071227/thl-pakistan-grippe-aviaire-b2e59e8_1.html

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AFP - Jeudi 27 décembre, 09h04HANOI (AFP) - Un enfant de quatre ans est mort récemment des suites de la grippe aviaire au Vietnam, portant à cinq le nombre des décès dus au virus H5N1 depuis le début de l'année, a indiqué jeudi un responsable du ministère de la Santé.


"Il a été testé positif (...) au virus H5N1 de la grippe aviaire", a déclaré à l'AFP Tran Hung. "C'est le premier cas humain depuis environ quatre mois au Vietnam", a-t-il précisé.

L'enfant originaire de Moc Chau dans la province septentrionale de Son La avait été admis dans un hôpital local le 11 décembre pour une pneumonie. Il est mort le 16 décembre.

"Ses parents nous ont dit qu'il avait mangé de la viande de poulet et que des volailles mortes avaient été récemment découvertes près de la maison familiale", a ajouté Tran Hung.

Ce nouveau décès porte à 47 le nombre des personnes tuées par la grippe aviaire au Vietnam depuis la réapparition du virus fin 2003 en Asie du Sud-Est.

http://fr.news.yahoo.com/afp/20071227/thl-vietnam-sante-grippe-elevage-96993ab_1.html

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Cette nouvelle trouvée sur le 911 n'est parue nulle part dans les journaux

19 déc. 2007

Incendie dans une porcherie de Ste-Claire de Bellechasse
Plus de 600 porcs et 30 sangliers ont péri dans cet incendie d'origine accidentelle...

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AFP - Lundi 31 décembre, 15h40LE CAIRE (AFP) - Une Egyptienne de 36 ans est morte lundi des suites du virus H5N1 de la grippe aviaire, devenant la troisième victime du virus hautement pathogène en moins d'une semaine, a annoncé le ministère de la Santé.

Ce décès porte à 18 le nombre de personnes ayant succombé au H5N1 en Egypte depuis l'apparition du virus en février 2006, et à 43 le nombre de celles ayant été infectées, selon les chiffres officiels.

Fardos Mohammed Haddad, originaire de la province de Menoufia, dans le delta du Nil, est décédée à l'hôpital de Menouf, où elle avait été admise samedi pour une très forte fièvre et des difficultés respiratoires, a indiqué le porte-parole du ministère, Abdel Rahmane Chahine, cité par l'agence officielle Mena.

"Elle avait été en contact avec de la volaille infectée, a précisé M. Chahine, ajoutant que "tous les membres de sa famille et les personnes ayant été en contact avec elle récemment" faisaient l'objet d'un suivi médical.

Dimanche, le ministère avait annoncé le décès de Fatma Fathi Mohammed, dans un hôpital de la province de Mansoura (nord), où elle avait été admise le 27 décembre.

Cette victime, originaire de la province de Daqahliya, sur le Nil, avait également côtoyé des volailles présumées atteintes du virus, selon le ministère.

La mort d'une autre Egyptienne, Oula Younes Ali, originaire du gouvernorat de Beni Soueif, à plus de 120 km au sud du Caire, avait été annoncée le 26 décembre.

Le ministre de la Santé Hatem al-Gabali a mis en garde dimanche contre le "laisser-aller dans les mesures préventives prises pour lutter contre la grippe aviaire, tout particulièrement à l'approche de l'hiver".

Mais certains experts estiment que le gouvernement, qui a mené une importante campagne contre la maladie via des vaccinations et de la sensibilisation, a eu plutôt tendance à réagir qu'à agir.

Talaat Khatib, professeur d'hygiène alimentaire à l'université d'Assiout (400 km au sud du Caire) affirme que la campagne de sensibilisation n'a pas été suffisamment étendue.

"La plupart des docteurs ne peuvent même pas reconnaître les symptômes de la grippe aviaire sur un être humain", a-t-il dit à l'AFP par téléphone.

"Les gens sont devenus plus détendus, les magasins de volaille ont commencé à rouvrir et les vieilles méthodes d'abattage ont réapparu sans un bon contrôle des autorités", a-t-il par ailleurs indiqué pour expliquer les derniers décès, intervenus après une accalmie de six mois.

L'Egypte, qui se trouve sur un couloir de migrations, est l'un des pays les plus touchés par la grippe aviaire, après l'Indonésie (94 morts), le Vietnam (47) et avant la Thaïlande (17) et la Chine (17).

Ce nombre élevé de décès peut également s'expliquer par la proximité entre les lieux où est gardée la volaille domestique et les quartiers d'habitation.

Fin juin, l'Organisation des Nations unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO) avait noté que la lutte contre le virus de la grippe aviaire s'était nettement améliorée dans le monde, mais que la situation restait critique en Indonésie et en Egypte, où le risque de mutation du H5N1 vers une forme contagieuse entre humains restait élevé.

http://fr.news.yahoo.com/afp/20071231/thl-egypte-sante-grippe-elevage-deces-3e-96993ab_1.html

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World’s largest pig producer acts on cruelty concerns
28 January 2007

Decision by Smithfield Foods puts pressure on Australian pig industry to follow suit
A decision by US-based Smithfield Foods to phase out pregnant sow stalls within a decade has been hailed by animal protection groups as the most significant voluntary improvement ever made in an agricultural industry.

Smithfield Foods Inc. is the world’s largest pork processor and pig producer raising 14 million pigs in the United States each year in 187 piggeries across 8 USA States. Responding to pressure from growing consumer concerns raised by companies such as McDonalds and Walmart and ongoing consumer awareness campaigns by animal protection groups, Smithfield Foods has committed to keeping sows in more welfare friendly group housing.

Animal protection groups throughout the world have campaigned against the inherent cruelty of sow stalls (called gestation crates in the USA). Animals Australia has called for sow stalls in Australia which individually confine pregnant sows in a metal and concrete pen not much larger than their body (2 metres by 0.6 metres), to be banned. Current laws in Australia allow pregnant sows to be kept in sow stalls barely able to move for their entire 16 week pregnancy.

“This decision by Smithfield Foods puts Australia’s pig industry on notice. They can either respond to the ‘writing on the wall’, act proactively as Smithfield Foods has and be applauded – or they will face a consumer backlash from growing awareness of cruelty in their industry” said Animals Australia Executive Director, Glenys Oogjes.

“Smithfield Foods raises almost three times the number of pigs each year as the Australian pig industry. Yet they have assessed that changing to a more welfare friendly system is not only viable from a management perspective but also a sound commercial decision.”

The Australian ‘Code of Practice for the Welfare of Animals – The Pig’ has been under review, with recommendations to go before the next meeting of the Primary Industries Ministerial Council (PIMC) in April. The ongoing use of sow stalls was the most contentious issue – a ban on their use was called for by both Animals Australia and RSPCA Australia.

“Governments regularly side with agricultural industries rather than prioritizing the interests of animals in such ‘welfare’ reviews. However, this decision by the world’s largest pig producer should alert the government that consumers will no longer tolerate such cruel practices. The reluctance of Australian pig producers to embrace needed change could well be the downfall of their industry. A government decision to ban sows stalls is not only in the interests of the animals, but it the interests of the industry itself.”

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TRUIES ET PORCELETS TORTURÉS AUX US

26 DÉCEMBRE 2007

Une vidéo, filmée par caméras cachées par PETA dans l'un des plus grands élevages de cochons au monde (Smithfield Foods, en Caroline du Nord)

Des employés traînent des truies blessées par leur museau, leurs oreilles ou leurs pattes avant de les tuer à l'aide d'un pistolet (Sur le dos de certaines, le mot KILL (MORT) a été peint.

Des employés coupent les queues des porcelets (devant leurs mères) et leur arrachent leurs testicules sans aucun anesthésiant. Les porcelets crient de douleur.

Deux employés et un superviseur frappent et piquent des truies avec de longues barres de métal, sur leur face et près de leurs oreilles

Un employé arrache les yeux de 4 truies avec ses doigts.

Les cochons souffrent de diverses blessures et maladies (kystes, abcès, etc. ) pour lesquelles ils n'ont reçu aucun traitement.

Voir la vidéo et signer la pétition:
http://getactive.peta.org/campaign/smithfield_investigation

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30 décembre 2007 à 13 h 32

En Égypte, le virus a été détecté chez des poulets élevés dans des maisons.

Une Égyptienne de 25 ans a succombé dimanche à la grippe aviaire. Il s'agit en moins d'une semaine du second décès dû au virus de la grippe aviaire, a annoncé le ministère de la Santé.

Fatma Fathi Mohamed est décédée dans un hôpital de Mansoura, dans le delta du Nil.

Elle avait été admise trois jours plus tôt dans un établissement plus petit. La jeune femme souffrait d'une forte fièvre et de difficultés respiratoires, dit un communiqué du ministère repris par l'agence Mena.

Cette mort porte à 17 le nombre de personnes tuées en Égypte par le virus depuis qu'il y a été détecté, en février 2006.

http://www.radio-canada.ca/nouvelles/Science-Sante/2007/12/30/001-grippe-aviaire-egypte.shtml

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