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Caro18

L'injection létale devant la Cour suprême

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L'injection létale devant la Cour suprême


La Cour suprême américaine a accepté mardi d'examiner la constitutionnalité des exécutions par injection létale, utilisée depuis 1982 aux États-Unis. Une audience devrait avoir lieu au début de l'année prochaine.

Deux détenus, Ralph Baze et Thomas Clyde Bowling, ont porté plainte contre le Kentucky en 2004, arguant que l'injection était un châtiment cruel et inhabituel. La Constitution américaine interdit de telles punitions, dans le 8e amendement du Bill of Rights, la charte des droits américaine.

Trois produits chimiques sont utilisés, l'un après l'autre:

- le pentothal de sodium, une drogue anesthésiante;
- le bromure de pancuronium, un paralysant de tous les muscles, sauf le coeur;
- le chlorure de potassium, provoquant un arrêt cardiaque, donc la mort.


L'organisme Amnistie internationale a déjà souligné que l'utilisation de bromure de pancuronium pour l'euthanasie d'animaux domestiques avait été interdite dans plusieurs États américains, à la suite d'un avis de l'Association américaine des médecins vétérinaires. Ce dérivé du curare ne toucherait ni le cerveau, ni les nerfs, et pourrait donc masquer la souffrance du condamné.

Lire au complet: http://www.radio-canada.ca/nouvelles/International/2007/09/25/004-injection-cour-USA.shtml

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Citation :
L'organisme Amnistie internationale a déjà souligné que l'utilisation de bromure de pancuronium pour l'euthanasie d'animaux domestiques avait été interdite dans plusieurs États américains


Ce produit est-il encore utilisé au Canada ?

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moi aussi je voudrais bien savoir car lorsqu'on n,a pas le choix de faire endormir notre animal est-ce que cela veux dire en plus de sois la maladie ou la souffrance que notre compagnon a veux dire qu'il souffre encore plus chez le vet jusqu'à la mort sans suivre? sa fait peur tout ces truc moi je me demande bien maintenant à qui faire confiance .Si je vais emporté mon animal chez le vet pour libérer mon animal de ces souffrances je ne veux pas qu'il souffre en plus de ça c,est pas humain ces choses là....

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je crois qu'il faudrait demander quand on va chez un vétérinaire, quels produits sont utilisés lors d'une euthanasie...

On donne d'abord une piqûre à l'animal (soit-disant pour le tranquilliser), avant de lui faire une injection léthale quelques minutes plus tard. Il faudrait savoir qu'est-ce qu'il y a dans cette première piqûre (tranquillisante)...

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Animal a écrit:
je crois qu'il faudrait demander quand on va chez un vétérinaire, quels produits sont utilisés lors d'une euthanasie...

On donne d'abord une piqûre à l'animal (soit-disant pour le tranquilliser), avant de lui faire une injection léthale quelques minutes plus tard. Il faudrait savoir qu'est-ce qu'il y a dans cette première piqure (tranquillisante)...
Oui parceque ma Noirette quand est venu le temps
de nous quittés ,le vet lui a donné une piqûre et elle aurait du s'endormir tout de suite mais NON! elle continuait à marcher par terre et un moment donné après environ deux ou trois minutes elle a commencer à vouloir se coucher mais mon conjoint dit qu'elle n'avait pas l'aire de souffrir mais d'après lui sa va l'aire une éternité avant qu'elle se couche après cette première piqure
car ensuite le vet est entrer et a dit : Ho! elle ne dort pas encore et tout à coup tout de suite après cette parole Noirette cherchait à vouloir dormir mais Pierre mon conjoint dit qu'elle ne paniquait pas elle ne tombait pas non plus
et le vet l'a pris et l'a mis sur une couverture blanche style en poil et elle c'est étendu les pattes avant et sa petite tête c'est coucher sur la table et ces yeux se sont dilatés et il lui a donné la deuxième piqure et en une fraction de seconde il écouta pour voir le cœur si il battait encore mais NON plus rien et ce vet s'assure que l,animal ne souffre pas car au lieux de donné la dose exacte il en met plus car il dit aimer son métier mais détesté cette phase alors il n,est pas pour la souffrance donc il ne veux pas prendre de chance mais sa fait rien avec tout ce qu'ils disent sa fait peur quand même j'espère juste moi que ma petite n,a vraiment pas souffert car elle a assez souffert durant le mois avant sa mort.

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C'est ce qu'on souhaite tous pour nos petits amis Linda: qu'ils ne souffrent pas Crying or Very sad !

Je crois qu'il n'y a pas un vétérinaire qui travaille de la même façon.
Lorsque j'ai dû faire piquer ma vieille minouche de 16 ans (elle avait un cancer de la thyroïde), je sais qu'elle a souffert lorsqu'on lui a injecté ce poison dans une de ses pauvres petites pattes car elle a crié très très fort et beaucoup de sang a giclé.
Et la même chose est arrivée avec un autre de mes vieux chats (qui a perdu un oeil du jour au lendemain, poussé par une énorme tumeur à l'arrière de cet oeil). Je suis restée avec eux jusqu'à la fin et j'ai pu constater qu'ils avaient souffert, et même si ça n'était que d'une durée de quelques secondes ou minutes, c'était quand même quelques secondes ou minutes de trop ! Crying or Very sadCrying or Very sad

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Animal a écrit:
C'est ce qu'on souhaite tous pour nos petits amis Linda: qu'ils ne souffrent pas Crying or Very sad !

Je crois qu'il n'y a pas un vétérinaire qui travaille de la même façon.
Lorsque j'ai dû faire piquer ma vieille minouche de 16 ans (elle avait un cancer de la thyroïde), je sais qu'elle a souffert lorsqu'on lui a injecté ce poison dans une de ses pauvres petites pattes car elle a crié très très fort et beaucoup de sang a giclé.
Et la même chose est arrivée avec un autre de mes vieux chats (qui a perdu un oeil du jour au lendemain, poussé par une énorme tumeur à l'arrière de cet oeil). Je suis restée avec eux jusqu'à la fin et j'ai pu constater qu'ils avaient souffert, et même si ça n'était que d'une durée de quelques secondes ou minutes, c'était quand même quelques secondes ou minutes de trop ! Crying or Very sadCrying or Very sad
une des chattes que j'avais chez mes parents quand elle avait attrapé une maladie mortel quand j'avais été chez le vet pour la faire euthanasié elle s'avait débattu tellement et elle avait sursauté sur la table et elle criait, j'avais tellement paniquerque je ne savait plus quoi faire je criais tellement que le vet m'avait fait sortir de la salle car je paniquait trop mais je sais qu'elle avait souffert cette petite.

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Voici la meilleure procédure pour euthanasier.

1) Donner un calmant à l'animal, soit par comprimé, soit par injection. Cela le détendra. Il paraît qu'avec cette première étape, même des chats errants qui ne se laissent pas approcher deviennent réceptifs aux caresses, à l'affection qu'on leur prodigue.

2) L'anesthésier ensuite pour qu'il ne soit pas conscient, pour qu'il ne souffre pas. Une substance qui paralyse n'est pas anesthésiante à ce que je sache.

3) Puis l'euthanasier, soit en surdosant le produit anesthésique, soit avec un autre produit.

J'ai fait euthanasier un moineau en le faisant endormir au préalable, et cela fait toute une différence si je compare avec ce qui m'a été raconté... Les oiseaux sont en effet "euthanasiés" généralement au moyen d'une injection dans le coeur alors qu'ils sont conscients. Il faut demander que cela se passe autrement, c'est juste un peu plus cher.

Il faut vraiment demander à ce que les choses se passent au mieux, et évidemment il convient d'assister à l'euthanasie pour s'en assurer.

Je vous copie quelques passages d'une correspondance privée que j'ai eue avec une militante qui s'y connaît assez bien sur le sujet. Les voici:

Si "l'euthanasie" par injection intracardiaque semble jouir d'une grande faveur chez les vétérinaires dès lors que le patient est un oiseau, je crois que c'est dû à une certaine sclérose de la pensée chez nombre de vétérinaires. On leur a dit ça à l'école véto et ils n'ont pas cherché plus loin. Le vétérinaire moyen en exercice libéral n'a que très rarement à euthanasier un oiseau. Par conséquent, ils n'ont pas du tout l'habitude de le faire. Souvent, ils ont oublié les schémas anatomiques des oiseaux (qui, de plus, sont nombreux et très variés selon les familles ou genres), et ils n'ont pas souvent l'occasion de pratiquer un geste thérapeutique directement sur le corps d'un oiseau. Vis à vis des oiseaux, les praticiens vétérinaires n'ont généralement que deux approches: soit ils travaillent dans un contexte d'élevage intensif où ils appliquent des principes de gestion sanitaire de troupeaux; soit ils reçoivent des oiseaux de cage à qui ils prodiguent surtout des médicaments et des suppléments alimentaires. Rares sont ceux/celles qui pensent à faire une radio, ou une recherche de parasites au microscope, ou une analyse de sang. La plupart d'entre elles/eux ne savent pas ausculter un oiseau au stéthoscope.

Parmi les vétérinaires, il y a des exceptions, que j'espère nombreuses. J'en connais deux ou trois. Dans les centres de soins des écoles vétérinaires, la situation doit être bien différente.

Oui, tu as raison, l'injection dans le coeur doit être douloureuse. En théorie, elle devrait conduire très rapidement, chez un oiseau, à la mort, à condition que l'aiguille soit bien placée. C'est là la difficulté, et c'est pour cela que cette méthode d'euthanasie n'est pas considérée comme acceptable, sauf si le sujet est déjà inconscient.

Je crois aussi que beaucoup de personnes n'éprouvent pas pour les oiseaux le même degré d'empathie qu'elles peuvent ressentir pour les mammifères. L'ornithophobie n'est pas rare parmi les humains, mais je n'ai jamais entendu parler d'une hypothétique "mammaliaphobie". Les mammifères, sans doute, nous ressemblent davantage. Et Hitchcock n'a pas aidé...

La meilleure méthode d'euthanasie pour un petit oiseau est incontestablement l'administration à dose suffisante d'un anesthésique gazeux (halothane, enflurane, isoflurane, etc.). On endort l'animal en administrant le mélange gazeux habituel pour une induction, et quand il est anesthésié, on augmente la concentration du gaz anesthésique tout en réduisant à néant le taux d'oxygène.

Des oiseaux plus gros peuvent recevoir une injection intraveineuse. Cela demande une certaine habitude de la part du praticien, et quelque dextérité. Bien fait, c'est très rapide et ne provoque pas de signes perceptibles de souffrance . Si l'IV, d'après ce que tu dis, est manifestement douloureuse, cela ne peut être dû qu'à une mauvaise manipulation ou bien à l'emploi d'un produit agressif en soi. Le pentobarbital n'est pas agressif au niveau vasculaire. Tous les dérivés de l'acide barbiturique utilisés en anesthésie permettent l'euthanasie en de bonnes conditions s'ils sont administrés en IV. En France, et au Canada, et aussi en Belgique je crois, on utilise souvent le T61 qui est un produit qui n'a qu'une indication: l'euthanasie. Ses trois composantes lui confèrent une triple action: anesthésie générale, curariforme (paralysie musculaire) et anesthésie locale au point de ponction veineuse. Ce produit présente l'avantage de ne pas être un narcotique, ce qui le soustrait à la convoitise des toxicomanes, mais pas à celle des suicidaires! Il est réservé aux seul/es vétérinaires.

D'autres méthodes sont acceptables, mais sont souvent écartées pour des considérations esthétiques. C'est là un point important car il n'y a rien de réjouissant à devoir tuer, et les personnes qui sont amenées à le faire doivent pouvoir ménager leur propre mental.

Dans le choix d'une méthode d'euthanasie, en dehors de son efficacité à procurer une mort rapide et indolore, il faut tenir compte de tout le contexte, de l'animal lui-même, de son passé et de son état, et aussi du matériel disponible, sans oublier l'opérateur (ses compétences et son expérience).

Je m'aperçois, de mémoire, que j'ai beaucoup chatouillé ce clavier sans avoir forcément dit grand'chose. Et il est tard. J'essaierai de rassembler mes idées et te dirai demain ce que je pense des chiens et des chats.

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Le protocole en trois étapes que tu évoques est parfait, et souvent appliqué, à ce détail près: les 2 et 3 sont généralement téléscopés, ce qui évite de répéter la ponction veineuse qui peut occasionner une petite douleur passagère. Il est important de choisir une aiguille suffisamment fine pour minimiser, voire éliminer cette douleur, mais assez grosse pour permettre de délivrer le produit à vitesse convenable. (On pourrait aussi laisser l'aiguille en place entre 2 et 3 si on devait choisir ce procédé.)

Les critères d'acceptabilité d'une procédure d'euthanasie ne s'arrêtent pas à l'obtention, le moment venu, d'une mort rapide et aussi indolore que possible. On doit aussi minimiser les manipulations de l'animal, lui éviter toute excitation/agitation, prévenir la peur et le stress psychologique, s'assurer qu'il ne pourra pas se blesser ni blesser l'opérateur. Toute manipulation d'un animal sauvage le stresse. Il ne se doute pas que nous voulons lui venir en aide. Pour lui, nous devons sembler être une menace, un danger. Il est donc préférable dans le cas d'un petit animal sauvage d'avoir recours à une chambre d'anesthésie. Cela lui évite l'angoisse de l'immobilisation forcée. Pour les oiseaux, le fait de couvrir leur tête permet le plus souvent de les calmer et d'obtenir qu'ils ne s'agitent pas.

Pour ce qui concerne les carnivores sauvages, il est souvent, sinon toujours, dangereux de les manipuler, et en plus cela les affole. L'IV devient problématique alors dans bien des cas. On peut aussi piquer en intrapéritonéale, mais le mieux sera quand même la chambre. Parfois ces méthodes sont inapplicables en raison des circonstances (un renard à l'arrière-train broyé sur la route, par exemple). On doit alors avoir recours à des procédés physiques, car il importe d'agir rapidement. Dans le cas cité, on pourrait assommer l'animal à l'aide d'un gros bâton ou d'un objet métallique. Et après, pratiquer une exsanguination pour s'assurer de sa mort. Il faut alors du sang-froid et savoir aussi viser juste.

Les Anglais, qui ont été les vrais pionniers dans cette triste science, ont conclu que dans certains cas le mieux est de ne rien faire du tout. Il n'ont pu déterminer une méthode d'euthanasie acceptable pour les gros cétacés, souvent échoués. Les techniques proposées et tentées se sont avérées aléatoires dans leurs résultats, souvent augmentant la souffrance de la victime sans pour autant la délivrer.

Les chiens et les chats, comme d'autres animaux disons "de compagnie", pour peu qu'ils soient aimés par leurs humains, ont l'habitude de la présence humaine et des manipulations. Rassurés par une présence affectueuse et familière, ils sont généralement dociles et l'injection se fera dans de bonnes conditions. Mais, s'ils en sont au stade de l'euthanasie, c'est qu'ils souffrent et, de ce fait, sont souvent dans un état d'hypersensibilité, parfois de méfiance. Il est certainement utile pour eux de recevoir un tranquillisant en préambule, de préférence par voie orale. Mais, certains chiens et chats refusent systématiquement d'avaler des cachets, usant parfois d'une remarquable ingéniosité pour évacuer celui que, par ruse, on a enfin réussi à introduire dans leur bouche. Un tranquillisant sous forme liquide sera absorbé plus facilement.

L'ambiance même d'un cabinet vétérinaire, avec ses odeurs, ses bruits, ses présences étrangères, est une cause de grande anxiété pour beaucoup d'animaux.

Quand elles apprennent de quelqu'un/e qu'il/elle est amené/e parfois à pratiquer l'euthanasie, certaines personnes s'écrient qu'elles, ELLES, ne pourraient jamais faire ça, qu'elles "aiment trop les animaux". Ouais.

Pour faire court j'ai évité d'affubler chacune de mes phrases d'un "je pense" ou d'un "à mon avis", mais, bien sûr, je n'exprime que mon avis qui est le résultat d'une réflexion, mais aussi de ce que j'ai fait, vu, lu et entendu. Je ne crois pas que nous pouvons savoir avec certitude ce que ressentent les autres. Nous sommes donc obligé/es, à toutes fins pratiques, de nous en remettre à ce qui nous semble le plus probable, en tenant compte de tous les indices pertinents.

Au risque de me répéter, j'aimerais souligner que toute méthode d'euthanasie ne vaut que ce que vaut l'opérateur. Et quoi qu'en disent certains, la chambre à CO ou à CO2 n'est pas un appareil de torture si elle est utilisée dans les règles.

Je n'ai pas voulu être injuste à l'égard des vétérinaires pour qui, au fond, j'ai beaucoup d'estime.

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Tu dois te douter que le sujet de l'euthanasie est vaste, et certains de ses domaines sont sujets à controverse. C'est aussi un aspect du "soin" qui ne peut qu'être évolutif car il y reste beaucoup d'incertitude, ou bien, d'ignorance, et malheureusement ce n'est pas le sujet préféré d'étude de la plupart de celles/ceux qui cherchent en science vétérinaire. Ce n'est pas un domaine prestigieux. L'euthanasie demeure bien souvent une sorte de secret honteux, alors que, quand on ne peut plus rien pour eux, on peut encore faire cela. Ce n'est pas rien, tout compte fait.

Dans les centres de soin à la faune sauvage, il y a beaucoup de cas de "burn-out" parmi celles/ceux qui y travaillent, et c'est lié essentiellement aux morts et aux euthanasies. Chacun/e est confronté/e au paradoxe . Soigner, sauver, relâcher, ou bien tuer/délivrer. A l'occasion d'incidents majeurs comme les marées noires où il y a un grand nombre d'animaux victimes, les bénévoles dans les centres de soins sont généralement très choqué/es, révolté/es, d'apprendre que des animaux sont euthanasiés. On n'est plus Zorro. On devient Barbe Bleue.

Contrairement à ce qu'on pourrait penser, l'euthanasie n'est pas mon sujet préféré, mais il me tient à coeur. Parfois, je voudrais faire oeuvre d'éducation car beaucoup sont mal informé/es ou totalement ignorant/es sur ce sujet. Peut-être aussi que tout le monde n'a pas besoin de savoir.

Je répète que j'ai beaucoup d'estime pour les vétérinaires en général, même si certain/es veulent absolument injecter du Dolosal dans le sinus occipital des oiseaux!

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Un très grand MERCI Catou pour ces précieuses informations

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