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0 NeutralÀ propos de divie
- Date de naissance 20/04/1977
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divie a commencé à suivre Race.Boxer
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bonjour, bon et bien il y a de cela un mois je commençais le barf (viande crue) pour ma chienne boxer késia agé de 12 ans, je viens de prendre la décision d'arreter en effet voila maintenant un mois, tout ce passait bien jusque la, et puis un jour.... tout part en c........ elle vient de me faire une grosse castro (diarrhées et vomissement) au début tout se passait bien, puis petit a petit sa c'est dégradé, donc je pense qu'elle ne supporte plus la digestion de la viande crue, je retourne donc aux croquettes. j'ai cru bien faire, je ne voulais que son bien, mais parfois a vouloir trop bien faire j'ai tout chambouler, fini pour moi le barf, pourtant je viens de recevoir il y a peu une grosse commande de viande, mais bon.... du coup, je lui redonne ses anciennes croquettes jd de h'ills, et dans une semaine j'ai un chiot boxer, se sera un male, je comptais au début lui aussi le metre au barf mais bon maintenant j'ai peur! savez vous me dire quelles seraient de bonnes croquettes pour lui? je dois me décider et je ne sais pas encore..... je pensais peut etre royal canin spécial pour chiot boxer? mais ou trouver cela a part au vétérinaire? en animalerie? merci de m'avoir lu...
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bonjour, j'ai deux chiens, une boxer de douze ans et un petit pinscher de 4ans les deux viennent de passer aux rations ménagère depuis quelques jours, et je ne peux que recommander cette méthode, certes au début il peut y avoir des petits désordres intestinaux, ce qui a été le cas de mon pinscher, il faut un peu de temps pour que le système digestif du chien s'habitue, mais cela passe très bien avec un peu de bon sens et de connaissance sur le sujet. donc, je dis OUI aux rations ménagère!
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avis aux amateurs d'alimentation naturelle!!!
divie a répondu à un(e) sujet de Rakan dans l'alimentation naturelle
de toute façon je ne suis pas pour donner des croquettes aux chiens, et pourtant avant je le faisais. maintenant je donne une alimentation faite maison a mes chiens, je ne veux pas lancer de débat, car je sais qu'il y a ceux pour l'alimentation naturelle et ceux pour les croquettes, mais je veux juste dire que une vétérinaire nutritionniste me conseil pour les repas de mes chiens, alors si je peux aider quelqu'un a y voir un peu plus clair, bien que je ne soit pas une experte, alors sa sera avec plaisir... -
avis aux amateurs d'alimentation naturelle!!!
divie a répondu à un(e) sujet de Rakan dans l'alimentation naturelle
bonjour a tout le monde je voulais mettre un lien mais apparement j'ai un soucis, il ne passe pas, donc je vais essayer de copier coller, un peu de lecture sur un article que je trouve assez interessant Article (pages. 4 à 10) issu du magazine de l’Office vétérinaire fédéral (OVF) à Berne - 1/2004 Les «sous-produits animaux» sur le devant de la scène Lukas Perler Conseils techniques Silke Bruhn Collaboratrice au secteur Communication Une vache en route vers l'abattoir: de nos jours, seul un tiers de cet ani¬mal sera transformé en denrées alimentaires. Outre la viande muscu¬laire, des organes tels le foie ou les tripes peuvent aussi, suivant la deman¬de du consommateur, être mis en vente. Chaque année, la Suisse produit des montagnes de déchets animaux, qu'il s'agisse de déchets d'abattage ou de cadavres d'animaux de rente ou de compagnie. Leur valorisation peut toutefois s'avérer très problématique comme l'a montré récemment l'encéphalopathie spongiforme bovine (ESB). Actuellement, les sous-produits animaux sont presque exclusivement transformés en farines et en graisses animales, avant d'être incinérés. Suite à la révision complète de l'ordonnance con¬cernant l'élimination des déchets animaux (OELDA), on souhaite cependant que l'utilisation de ce type de déchets puisse se poursuivre. Dans la foulée, on ne parle donc plus de «déchets animaux», mais de «sous-produits animaux». Les sous-produits animaux désignent en premier lieu toutes les parties de l'animal de boucherie qui n'arrivent pas comme denrées alimentaires sur l'étal du boucher. On les trouve donc principalement dans les abattoirs et les ateliers de découpe. Les parties des animaux de boucherie impropres à l'utilisation comme denrées alimentaires sont exclues par le contrôle des viandes officiel et font donc partie des sous-produits animaux. Mais même des morceaux dits «propres à la consommation» sont également rangés dans la catégorie des sous-produits animaux du fait de nos habitudes alimentaires et de nos exigences élevées quant à la qualité des produits carnés. Au total, envi¬ron la moitié de la vache aboutit dans les déchets, ce pourcentage est de près d'un tiers pour le porc. Sur les 450 000 tonnes de viande vendues chaque année en Suisse, il faut donc compter 220 000 tonnes de sous-produits animaux, qui ne sont pas destinés à être utilisés comme denrées alimentaires. Par ailleurs, les cadavres des animaux de rente, des animaux de compagnie morts ou euthanasiés et des autres espèces animales font également partie des sous-produits animaux. Leur poids total représente env. 30 000 tonnes par an en Suisse. L'un dans l'autre, il s'agit donc d'éliminer chaque année 250 000 tonnes de sous-produits animaux en Suisse en veillant à ce qu'ils ne représentent aucun risque sanitaire tant pour l'homme que pour l'animal. Chaque jour, la logistique est donc sollicitée de plus belle pour assurer l'élimination des déchets dans toute la Suisse. Pour la protection de l'homme et de l'animal La gestion des sous-produits animaux est délicate. Ils se décomposent rapidement et peuvent être por¬teurs d'agents pathogènes d'épizooties. Les virus qui causent des épizooties très contagieuses, comme la fièvre aphteuse et la peste porcine classique (PPC), peuvent survivre pendant des mois dans les déchets carnés, lorsque les conditions sont favorables. Lors de la propagation de l'encéphalopathie spongiforme bovine (ESB), les sous-produits animaux ont joué le rôle de loin le plus important. Pour éviter les scénarios d'horreur, tels qu'on a pu les voir lors de l'apparition d'épizooties dans le monde entier, le service vétérinaire s'occupe intensivement de l'élimination des sous-produits animaux. L'objectif prioritaire est d'empêcher la propagation d'une épizootie. Pour atteindre ce but, l'élimination des déchets doit être réglementée par la législation. L'ordonnance concernant l'élimination des déchets animaux (OELDA) se fonde sur deux lois, la loi sur les épizooties et la loi sur la protection de l'environnement. Les principes de base de ces deux lois se retrou¬vent dans l'OELDA. Le détenteur des sous-produits animaux, soit généralement l'abattoir, est donc en principe responsable de l'élimination correcte des sous-produits animaux qu'il génère. Seuls les sous-produits animaux qui ne sont pas d'origine industrielle ou artisanale font exception. Dans ce cas, c'est le canton qui doit garantir leur élimination. Il s'agit par exemple de l'élimination des cadavres des animaux de compagnie. Un autre des principes appliqués est ancré dans la loi sur la protection de l'environnement: «Les déchets doivent être valorisés dans la mesure du possible». Si auparavant, les sous-produits animaux pouvaient être Magazine de l'OVF 1/2004 Pour la fabrication de farines, les sous-produits animaux doivent subir une stérilisation à 133°C par une pression de 3 bars, ceci pendant 20 minutes. La masse obtenue est visqueuse et nauséabonde. Elle est ensuite filtrée pour séparer les éléments solides des éléments liqui¬des. Les éléments solides sont séchés et moulus. Ils donnent une «poudre» à grains grossiers, qui contient un fort pourcentage de protéines animales: la «farine animale». Ce type de produit représente env. 23 pour cent de la matière première initiale. à la fin de l'année 2002, la Communau¬té européenne a publié un nouveau texte, qui règle la gestion des sous-produits animaux dans l'UE: le règlement n° 1774/2002 établissant des règles sa¬nitaires applicables aux sous-produits animaux non destinés à la consommation humaine. La réglemen¬tation de l'élimination des sous-produits animaux (qui s'appellent encore déchets animaux en Suisse, conformément à la législation en vigueur) fait partie de l'accord entre la Confédération suisse et la Com¬munauté européenne relatif aux échanges de produits agricoles. Pour l'instant en Suisse, les déchets animaux sont répartis en deux catégories en fonction des risques: les déchets animaux à haut risque et les déchets animaux à faible risque. Les déchets animaux à haut risque com¬prennent les cadavres d'animaux ainsi que les déchets d'abattage qui ont été déclarés nocifs pour la santé par le contrôle des viandes. Tout le reste fait partie des déchets animaux à faible risque (p. ex. sous-produits d'abattage comme la peau, la fourrure, les plumes; les produits du métabolisme comme le contenu de la panse, de l'estomac, de l'intestin et l'urine). BON JE NE PEUX PAS TOUT METTRE DE CET ARTICLE YA 5 PAGES c'est bien dommage et je m'aperçois que le rendu n'est pas terrible, de plus sans photos, c'est un vétérinaire avec qui je parle qui ma envoyer ceci.