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korynn

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Tout ce qui a été posté par korynn

  1. Oui je comprends Sechat... mais vos explications n'auront pas été vaines car apparemment l'enthousiasme a laissé place à une intense remise en question... la réflexion doit faire son chemin (peut-être que la nuit ne leur aura pas suffit à prendre une décision ? les nouvelles m'ont été rapportées hier soir...). Idem Seb, je vous dirai à quoi aura mené cette réflexion
  2. Oui, je suis tout à fait d'accord. En ce sens je me demande d'ailleurs si au lieu de parler de "temps d'absence" du foyer, il ne vaudrait pas mieux parler de "temps de présence"... Je m'explique : certaines personnes se couchent à 21 h, d'autres à minuit, certaines sortent souvent, d'autres très rarement. Je pense donc que ces différences sont très importantes. En l'occurence comme Marion (la jeune femme en question) est plutôt lève tot et couche tard et qu'elle ne sort pas souvent, elle pensait pouvoir accorder de longs instants de présence à un animal. Par contre je rejoins aussi bien sûr Kirikou sur le fait qu'adopter un chat déjà adulte peut être préférable. Je peux d'ailleurs rapporter l'histoire d'une autre amie, Delphine, qui prétendait adopter un petit chat. Là j'ai vraiment trouvé sa démarche égoïste car elle sort souvent en concert et vit dans 20 m² et je lui avais conseiller d'attendre au moins d'être mieux logée. Elle a décidé d'aller à Genevilliers un samedi matin chercher son chaton, et elle est revenue avec un chat adulte atteint du SIDA des chats, que les animaliers lui avaient présenté comme apte à son style de vie. Le coup de coeur fut partagé et tout se passe bien depuis 2 mois. Ce que je veux dire aussi, c'est lorsqu'une personne est résolue à adopter un chaton ou un chiot, elle le fera même par un autre biais et quelque soient les conseils... donc si je pense qu'il est louable de s'efforcer de réserver la meilleure vie possible à un animal en manque de foyer, est-ce qu'un foyer qui n'est pas vraiment l'idéal mais où l'amour est présent, n'est-il pas préférable à pas de foyer du tout ? Je m'étais posée la question lorsque ma fille a voulu adopter un chien : nous travaillons et il sera seul, ce n'est pas une vie pour lui... mais le chien en question (qui s'est révélé être une chienne) trainait derrière les barreaux d'une fourrière où la parvot faisait d'immenses dégâts. Ca m'a beaucoup déculpabilisée lorsque je partais au travail... je me disais qu'elle était toujours mieux au chaud dans son panier à la maison avec ses joujoux et qu'on ferait une belle promenade en rentrant, oui toujours mieux qu'en train de crever de froid en plein mois de décembre dans sa cage à la fourrière, en attendant de crever de la parvot parce que le maître idéal n'est pas venu. Je crois qu'avant l'espace, avant le temps, ce qui doit être mesuré et être au top, ce dont a avant tout besoin un chat ou un chien c'est de notre force d'amour
  3. Bien, je m'étais efforcer de la rassurer car elle se remettait depuis hier en question par rapport à son aptitude à être un bon maître. Je lui dirai donc qu'elle n'est qu'une égoïste Merci pour votre réponse
  4. Bonjour à tous Ce petit post car je suis quelque peu décontenancée par les conditions d'adoption des chatons du refuge. J'avais conseillé à une jeune amie qui souhaite en adopter un de se rendre au refuge d'Orgeval. Cette jeune femme sérieuse, stable et équilibrée vit en couple depuis 8 ans et rêvait d'adopter un jeune chat depuis fort longtemps mais elle attendait d'être mieux logée car le couple vivait dans un studio. Installé depuis 2 mois dans un appartement plus spacieux d'une cinquantaine de m², ce couple s'est rendu aujourd'hui même au refuge en vue d'adopter, avec toute la réflexion qu'impose cette décision. La jeune femme rentre tous les midis chez elle et ces jeunes gens "rangés" sortent peu et s'étaient préoccupés d'un moyen de garde dans l'hypothèse où il seraient amenés à partir en voyage. L'adoption leur a été refusé sous prétexte qu'un jeune chat s'ennuirait durant les absences de ses maîtres dans la journée et que dès lors, il leur fallait adopter 2 chats arfin qu'ils se tiennent compagnie. C'était donc 2 chats ou rien... Elle est donc résolue à adopter auprès de particuliers ce chat qui lui a été refusé au refuge. Je trouve cela très dommage dans la mesure où tant d'animaux ont besoin d'un foyer, et je pense qu'un appartement de 50 m² dans lequel un chat devra vivre seul 7 h sur 24 est toujours préférable à une vie derrière les barreaux... Qu'en pensez-vous ?
  5. ohlala j'aurais du mal à le revoir en cage... ben voilà je re-pleure encore. ah çà il m'a marquée Grigiri... avec ses pitreries et avec son regard aussi, quand il était dans son panier et me regardait passer, ou quand je le caressais. Je me souviens d'un des derniers soirs où il était super agité car il savait qu'on faisait à manger. Je m'étais assise sur un bras de fauteuil et il est venu presque en dérapant poser sa tête sur mon genou pour que je lui caresse doucement, comme on aimait bien tous les deux. (Dans ces cas là il ne bougeait pas d'un poil). Et dès que j'ai arrêté il est reparti sur les chapeaux de roue vers la cuisine. C'est un môme quoi Ce qui était difficile pour moi c'est de ne pas pouvoir me laisser au naturel avec lui comme j'en aurais eu envie. Par exemple lorsque je rentrais et qu'il me faisait fête, j'étais contente... jamais je ne l'laurais ignoré. Je lui faisais reposer les pattes au sol parce que Lya m'avait dit qu'il fallait... que c'était un signe de domination. Moi je voyais pas en quoi c'était de la domination de me faire la fête. De même ça ne me gênait pas trop qu'il me lèche les mains et là encore il fallait dire non, à cause de cette histoire de domination. C'est vrai que moi il ne m'a pas chiquée... mais j'aurais sans doute réagi avec moins de self-contrôle que Lya si c'était arrivé. Puis il y a eu le chemin du retour vers Orgeval. Il a eu du mal à monter en voiture mais il a fait un gros effort car il y avait des apéricubes à la clé. Sitôt passé les bouchons du périph il s'est couché calmement en rond sur la banquette... confiant. On allait en direction de la Normandie... J'avais souvent imaginé qu'on l'emmenerait dans notre maison de la mer (on n'aura les clé qu'au printemps) et là j'ai eu gros coeur de pas l'emmener voir la mer. Lya m'a dit que j'aurais du prendre ma journée la veille, on l'y aurait emmené... mais il était trop tard et toutes façons on aurait eu encore plus de mal à vivre cette séparation si s'ajoutais un tel souvenir. Arrivés à Orgeval, je lui ai donné un dernier apéricule qu'il a refusé, alors qu'il se serait damné pour en avoir : monter en voiture, monter le perron, descendre l'escalier. Il remuait la queue, il avait l'air content, il s'était reconnu. Je sais pas s'il avait l'impression de rentrer chez lui, ou juste de rendre une visite à ses potes. Je sais pas ce qu'il a pensé, comment il a vécu tout ça.. Si pour lui on était des bénévoles chez qui il est allé dormir ou si on était déjà plus que ça... Bon allez j'arrête de radoter... !
  6. Merci Séverine... moi aussi j'espère que Grigri aura vite une chouette famille... pour l'instant je le pleure tous les jours. (sauf depuis dimanche mais je recommence en écrivant ces lignes). J'espère qu'il aura pris ces quelques jours avec nous comme une sorte de vacances. En tout cas il s'est beaucoup ancré dans mon coeur. Lya le prend mieux que moi, pour elle il trouvera sans doutes des maîtres plus habiles et un meilleur cadre de vie et ça sera mieux pour tous. N'empêche que je l'aime et que je l'aimerai toujours "mon grigri le plus beau de tous les grigris" (c'est comme ça que je l'appelais quand il me faisait la fête
  7. Merci Rainette, c'est gentil à vous.. On a essayé de l'encadrer du mieux qu'on a pu mais il y a peut-être aussi, en plus de l'expérience, une question de physique, de timbre de voix... Grigri est sensible et a besoin de douceur, et en même temps il a besoin de fermeté. Je pense qu'il a un bon fond, mais ça aurait été risqué de poursuivre s'il continuait à affirmer sa dominance avec le temps, comme il semble le faire en se familiarisant à nous... alors oui on n'était pas vraiment fait l'un pour l'autre Je ne pense pas que nous accueillerons un autre chien dans l'immédiat. On a besoin de marquer une pause, une sorte de deuil. On avait beaucoup préparé son arrivée et on y était déjà très attachées. Il va nous manquer et je chiale rien que d'y penser. Il restera toujours dans nos souvenirs, aves ses pitreries et son rototo lorsqu'il posait sa tête sur mon genou après manger, son regard, sa démarche lorsqu'on allait promener le sor tard dans les rues désertées.... et tant de flashes d'une semaine qui a beaucoup compté.
  8. Bonjour à tous Comme Muriel vous l'a annoncé, nous allons devoir ramener Grigri demain. Nous n'avons pas été à la hauteur... Nous n'avons pas su gérer ses épisodes d'excitation et il commence à prendre de l'ascendant sur nous. Maintenant il se permet de plus en plus fréquemment de prendre les mains de Lya en bouche, chose qu'il ne faisait pas le 1er jour, et c'est mieux pour nous comme pour lui de le ramener avant de risquer que les choses dégénèrent. Nous le faisons la mort dans l'âme car malgré tout on adore Grigri et la perspective de son retour derrière des barreaux nous peine énormément et nous fait ressentir beaucoup de culpabilité. Grigri mérite mieux que ça et j'espère qu'il trouvera très vite les maîtres qu'il mérite. Cette expérience aura permis aussi de lever le doute sur certains points le concernant, qui pourraient être importants pour de futurs adoptants : c'est un chien très propre, qui n'a jamais détérioré quoi que ce soit alors que nous ne sommes pas des maniaques de l'ordre, qui n'a jamais aboyé, qui ne gratte pas aux portes lorsqu'on l'isole à l'heure du repas ou la nuit, et qui sait ménager des périodes de calme, tranquille dans son panier. Un chien qui pourrait être facile à vivre pour des maîtres plus expérimentés. Merci à tous pour avoir été à notre écoute durant cette semaine.
  9. Bonjour Couette et Fred Les 2 premiers jours Grigri rentrait sans difficultés. Depuis dimanche il feint de ne pas voir la porte, ne nous regarde pas lorsqu'on l'appelle et fixe le bout de la rue. Visiblement il veut prolonger sa promenade, même lorsque celle-ci a duré 1 h et demie. Et une fois qu'il rentre il court dans la maison. Il est certain que si le perron ne donnait pas sur la voie publique et si on avait un bout de jardin en façade, le problème ne se poserait pas : on le détacherait, il courrait et il rentrerait quand bon lui semble. Je crois que Grigri a vraiment besoin d'un jardin. (au passage, ce matin il a dévoré plein de verdure dans la plate-bande) On a tout essayé : on départ on ouvre la porte, on lui dit « viens » naturellement comme s'il n'allait pas poser de problème et on lui ouvre le passage, ou on commence à s'engager comme s'il allait nous suivre normalement. Mais il nous ignore complètement et continue à regarder la rue. On tout essayé : en se plaçant en haut du perron et en l'invitant à entrer d'un ton joyeux, en redescendant et en l'entraînant à nous accompagner d'un « aller viens ! », en se plaçant devant, derrière, en montant un peu le ton, en lui en donnant l'ordre, en tirant doucement, en donnant un petit coup sec sur la laisse, en faisant semblant de refermer la porte et de le laisser seul, en tirant plus fermement... Lya a tout essayé sur tous les tons ¼ d'h hier avant de fondre en larmes. Ce matin, quand il a refusé je n'ai pas insisté et on a fait quelques mètres de plus, je l'ai fait traverser, revenir comme si on refaisait un petit tour pour lui faire plaisir, je lui parlais calmement, il a refait son blocage, même quand une camionnette s'est garée juste devant (alors qu'il a une phobie des camionnettes). Du ton cool et rassurant j'ai fini en cris secs. Ce soir je vais placer un balai près de la porte d'entrée, je me placerai derrière et je pousserai un peu aux fesses mais je crois pas trop au résultat. Bien sûr je vais d'abord essayer le coup de la friandise mais je serais étonnée que ça marche dès lors qu'il ne nous lance même pas un regard. En tout cas on n'en peut plus. Lya fait une véritable dépression pour la 1ère fois de sa vie. Je suis très inquiète pour elle. Hier il a paniqué plus que d'habitude au cours de leur longue ballade, au passage des voitures ; alors qu'au départ elle était calme et il lui a communiqué son stress, puis l'épisode de la porte d'entrée l'a achevée. Il n'obéit plus à ses "non" lorsqu''elle veut qu'il arrête de la lécher et même quand elle s'immobilise il continue à lui sauter dessus. Elle continue à dormir avec moi et m'a dit que j'ai beaucoup pleuré durant mon sommeil. J'étais loin de penser qu'on craquerait comme ça. Je crois désormais qu'il y a réellement une incompatibilité: Grigri n'est pas fait pour la ville : il a besoin d'un terrain dans une banlieue plus calme et il a besoin aussi d'un maître plus solide. De notre côté, je crois qu'on était faite pour avoir un p'tit chien à sa mémére. J'ai honte de le dire mais c'est comme ça que je le ressens. Et j'ai encore plus honte après le beau témoignage de Fred
  10. Merci à tous d'avoir pris le temps de me lire et pour vos conseils et le partage de vos expériences. Pour ce qui est de le pousser avec le pied, Fred, je ne m'y risquerais pas pour l'instant car il a un mauvais rapport avec les pieds (surtout ceux des hommes : j'ai remarqué au refuge qu'il faisait d'emblée une fixation sur leurs pieds au passage des hommes... il a peut-être pris des coups de pieds avec son ancien maître, et une agent animalier nous a dit qu'il l'avait chiquée pour avoir taper du talon au sol). Alors je je contourne doucement si j'ai la place ou je fais demi-tour quelqques secondes mine de rien. On se prend sans doute trop la tête en effet, mais ça révolutionne pas mal notre vie... Je comprends ce que tu veux dire Lety, mais il faudrait pouvoir l'ignorer et dans certaines circonstances c'est pas facile : ce soir il a été sage pendant que je dinais et que 'j'ai pris ma douche (à part son excitation pour la gamelle et son bonjour exubéant quand je suis redescendue, mais tout à l'heure quand on est rentré de la dernière promenade il a enhcore refusé de rentrer et là je ne peux pas l'ignorer... je le tenais pourtant serré, je l'ai appelé en vain et j'ai tiré sur le harnais jusqu'à ce qu'il s'asseoit sur le perron et comme j'avais préparé une laisse lassot dans l'rentrée cette fois, j'ai du le tracter avec les 2 laisses. C'est brutal mais quoi faire ? du coup j'ai encore eu peur de sa réaction au moment de le détacher... Je vais suivre ton conseil Orianne, et me figer lorsqu'il saute sur moi... on verra ce que ça donne. Je te souhaite bon courage pour la maladie de ta chienne... c'est dur d'être impuissant devant sa souffrance, c'est dur aussi d'accumuler les nuits entrecoupées... cette nuit nous allons encore rêver de chiens belle nuit à tous
  11. merci à toutes les 3 pour vos messages d'encouragement et pour vos conseils. Ici ça devient un petit peu notre journal intime par rapport à Grigri, et pour épancher notre mal être qu'on prend soin de lui dissimuler. Sauf cet après-midi... Lya est sortie ce soir peu de temps avant que je rentre, elle avait besoin de décompresser. Mais lorsque je suis sortie de réunion tout à l'heure, j'ai vu que ma mère avait essayé de me joindre. Elle m'a dit avoir eu Lya au téléphone effondrée après avoir pleuré tout l'après-midi. Elle ne va peut-être pas apprécier que j'en parle car elle fait semblant d'être forte pour assumer au mieux, mais elle est aussi émotive et fragile que moi psychiquement et elle a craqué. En gros Grigri a été particulièrement pénible en sortie et elle a craqué quand il a refusé de rentrer arrivé devant le perron. Alors au bout d'un quart d'rheure elle a pleuré et il est rentré. Faut dire que Lya se faisait une joie d'avoir enfin ce chien dont elle a longtemps rêvé, pour des moments d'affection, de complicité, de longues balades, et de bonheur partagé. Pour l'instant ce n'est pas ça... alors bien sûr qu'il faut du temps avec lui... mais même avec du temps, on n'est pas sûr que ça viendra... Je sais aussi qu'il faut rester maitre, mais ce n'est pas à la portée de tous de pouvoir constamment doser sa voix et ses gestes. Depuis 3 jours Lya dort avec moi. On ne parle que de Grigri, on a le sommeil perturbé, on somatise, elle avec des douleurs au ventre et moi avec des vertiges et des diarrhées. Pourtant Grigri va bien lui, il fait coucouche-panier sans histoires la nuit, n'abime rien dans la maison et a bon appétit, et son excitation est liée à des épisodes de joies : le bonjour, l'heure de la sortie, la perspective du repas... C'est un brave chien, propre et qui sait marquer de longues périodes de calme dans son panier. Alors s'ajoute la culpabilité de ne pas être à la hauteur ; et aussi de ne pas avoir pu lui offrir un cadre de vie plus spacieux pour se défouler. Voilà on est dépassées. Hier soir Lya s'est absentée et m'a appelée. Je n'ai pas pu décrocher rapidement car Grigri bloquait le passage dans le couloir, et lorsqu'elle a entendu ma voix elle m'a confiée qu'elle avait été très inquiète, qu'elle avait eu peur qu'il y ait eu un incident avec Grigri... Peu de temps avant, au moment du cirque avant de le sortir, elle m'a dit que je prenais un ton trop doux pour me faire obéir, alors j'ai forcé ma voix mais elle m'a dit que mon ton était cette fois agressif, qu'il faillait que j'ai la voix neutre et ferme mais sans agressivité. Je sais pas faire :( pas évident de jouer un rôle... Quand je suis rentrée ce soirau lieu de dire "non" j'ai calmé en douceur sa frénésie, lui replaçant les pattes au sol (j'essaie de lui apprendre "au sol" au moment des démonstrations d'affection) mais c'est parfois difficile d'empêcher ses assauts : même lorsque je lui tourne le dos il continue. Là il est au dodo mais dès que je vais me lever il va me suivre, et j'appréhende chaque geste. On est vidées... Grigri occupe toutes nos pensées
  12. Merci Orianne pour votre soutien durant cette épreuve difficile En réalité à la maison c'est davantage moi que lui qui ai peur (lorsqu'il nous fait ses crises d'excitation). (Pour ce qui est de la télé, ce n'est pas de la peur mais ça semble être une hyper réactivité radiomagnétique, dès lors qu'il est dérangé même quand on la met en veille : il quitte son panier et va illico au coin de la pièce, dos à nous, tête baissée : Grigri est au piquet ) En tout cas pour l'instant je suis toujours dans ma phase de blues et j'ai du mal à me projeter dans l'avenir avec lui... j'avoue même que lorsqu'on nous a demandé d'envoyer une "photo de famille" sur le forum, j'ai réalisé que je n'y avais même pas pensé moi-même... A part ça le pli est pris : depuis hier Grigri ne veut pas rentrer à la maison quelque soit la durée de sa promenade et feint de ne pas nous voir ni nous entendre, le regard plongé au bout de la rue. Ce matin j'ai du le tirer avec le harnais et il s'avachissait sur le perron (c'est quand même embêtant s'il faut le tracter au lassot... les voisins d'en face vont appeler la SPA J'appréhende aussi la prochaine sortie en voiture : j'ai essayé, le moteur coupé dans le garage, de le faire monter à coté de moi sur la banquette et pour l'instant il ne veut pas approcher)
  13. Bonsoir à tous Je suis la maman de Lya et la seconde maîtresse de Grigri. Nous attendions avec impatience d'accueillir Grigri, mais j'avoue que je suis déprimée depuis son arrivée car malgré ses bons côtés (il ne commet pas de dégats durant notre absence ou durant la nuit,il n'aboie pas, il remue souvent la queue, il est affectueux et se contorsionne de façon amusante), il se montre parfois très brusque alors que je suis une personne calme. J'avais remarqué lors de mes visites au refuge que Grigri était très tonique, mais je pensais que cela était du au fait qu'il était derrière des barreaux depuis un an, et qu'il se temporiserait avec davantage d'espace et de sorties. Or, il démontre souvent une agitation excessive au moment des sorties, de dire bonjour, mais aussi lorsque je déballe quelque chose ou que je me rends à la cuisine. Je n'ai jamais autant dit "non" que durant ces quelques derniers jours J'avoue même qu'il me fait parfois un peu peur (surtout depuis qu'il a mordu Lya samedi) comme tout à l'heure lorsqu'à grand peine je lui ai mis son harnais et qu'il a voulu prendre les mains de Lya en bouche puis m'a griffé l'épaule. J'ai du ensuite hausser le ton en crescendo durant 5 minutes car il refusait de rentrer à la maison. Et lorsque je suis rentrée du travail il m'a encore réservé un accueil démesuré alors qu'il avait passé l'après-midi avec Lya, puis plus tard il s'est fracassé le crane en me heurtant violemment le genou lorsque je suis revenue du garage et qu'il s'est précipité de l'autre côté en voyant que j'ouvrais la porte.(Grigri aurait besoin d'un casque : il se cogne souvent la tête Je sais que Grigri a besoin de temps pour s'adapter à son nouveau mode de vie, mais pour ma part j'aurais du mal à m'adapter à lui s'il ne se calmait pas un peu. Je me dis aussi qu'il aurait peut-être eu besoin d'un grand jardin pour se défouler plutôt qu'une maison de ville dans un environnement citadin où beaucoup de choses l'effraient et qu'il risque de déprimer à son tour.
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