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J'ai fusionné les deux liens Histoire de les avoir tous les deux sous la main en même temps. Cela évite de chercher

Voilà ce que j'ai trouvé: Il est quasiment impossible de déterminer le sexe des spécimens avant qu'ils n'aient atteint la maturité sexuelle. Les mâles adultes sont aisément reconnaissables à leur plus grande taille, leur structure plus massive, surtout au niveau de la tête et à elur crête plus développée. Ils ont aussi des pores fémoraux nettement plus marqués que ceux des femelles, ainsi que des renflements hémipéniens au niveau du cloaque. Source: L'élevage des agames aquatiques et des basilics de Philippe Gérard

Au moins il aura pas de rhumathisme lui Non sérieux j'ai trouvé ceci sur le serpent de boue et suis pas certain que ce soit le même Attention aux noms vernaculaires et aux traductions. Un seul nom vernaculaire peut désigner différentes espèces de serpent qui n'ont rien en commun. Une espèce peu avoir différents noms vernaculaires qui n'ont rien en commun. Les noms vernaculaires en anglais, en allemand ou en français ne sont pas, forcément, littéralement les mêmes. La traduction mot pour mot peut induire en erreur.

Je n'ai rien trouvé sur son maintien en captivité. Les seules informations que j'ai pu récolter, sont souvent liées sur la difficulté de nourrir les spécimens du genre Farancia, qui ont une alimentation bien spécifique (Urodèles).

un lien pour une petite documentation /TERRARIOPHILIE-c2/Carte-d-identite-f76/Carte-d-identite-Ophidiens-f77/-p41257.htm#41257

Farancia abacura Farancia abacura Photo pour illustration. Source: Google Généralité Répartition géographique: Etats-Unis (Texas, Arkansas, Louisiane, Mississippi, Alabama, Géorgie, Floride, Caroline du Sud et du Nord, Virginie, Tennessee, Missouri, Illinois, et Kentucky). Taille: De 100 à 140 cm avec un maximum connu de 207 cm. Biotope: Habitats d'eau douce (étangs, marais, canaux, fossés) peu profonds et à végétation dense. Biologie: Semi-aquatique et fouisseur. Nocturne. Nourriture: Urodèles (sirènes, amphiumas salamandres), anoures (grenouilles), poissons (anguilles). Reproduction: Ovipare. Le nombre d'oeufs par ponte est assez diffèrent selon les auteurs. De 4 à 10 oeufs pour certains jusqu'à plus de 100 pour d'autres. Farancia abacura serait l'une des espèces de serpent la plus féconde. La femelle pond ses oeufs dans des nids abandonnés d'alligator et couve sa ponte. Remarques: Farancia abacura possède à l'extrémité de sa queue une épine corné, qu'il se sert comme arme de défense. Saisis, il est peu susceptible de mordre, mais il enroulera sa queue autour du poignet de son agresseur et il appuiera le bout de sa queue pointue contre la main de celui-ci afin de lui faire lâcher prise. Ce comportement a provoqué le mythe merveilleux du « serpent cerceau » avec sa queue toxique. Selon la légende, le serpent saisit sa queue dans sa bouche, comme un cerceau ou une roue de bicyclette et roulerait ainsi vers sa victime. À la dernière minute, le serpent libère sa queue, se redresse comme un javelot, pour se lancer queue en avant, contre sa victime. La légende dit, que la seule manière qu'une personne peut éviter cet embrochement mortel, est de s'esquiver derrière un arbre, dans lequel le serpent piquera sa queue.

C'est un Farancia abacura

Gonyosoma oxycephalum, superbe couleuvre de couleur verte, au caractère irascible et toujours prête à mordre, fait partie des espèces mythique de la terrariophilie. Gonyosoma oxycephalum attire, par sa beauté, toutes les convoitises des passionnés de serpents mais le nombre réduit de spécimens nés en captivité, en fait encore une espèce peu conseillée aux terrariophiles débutants. Gonyosoma oxycephalum (Boie, 1827) ou serpent ratier vert à queue rouge fait parti de la famille des colubridae et de la sous-famille des colubrinae. La systématique du serpent ratier à queue rouge est différente selon les auteurs. On le rencontre dans le genre Elaphe ainsi que dans le genre Gonyosoma. Ce dernier genre est le plus retenu et c’est celui-ci que j’utiliserai dans cet article. Répartition géographique: Gonyosoma oxycephalum (Boie, 1827) se rencontre en Asie Sud-Est : Myanmar, Thaïlande, Cambodge, Laos, Vietnam, Malaisie, Indonésie et les Philippines. Description: D’une taille d’environ 160 à 180 cm, pouvant aller jusqu’à 240 cm, Gonyosoma oxycephalum est un beau colubridé d’un vert vif et luisant, tirant parfois sur le bleu, plus foncé sur le dessus et se dégradant en vert clair à partir des flancs, pour devenir jaune sous le ventre. Selon l’origine géographique des spécimens, il existe différentes colorations. Entièrement verte pour les spécimens de Thaïlande, grise pour les spécimens de Java (parfois nommé dans la littérature Gonyosoma floweri) et marron-brun pour ceux de Sulawesi. Photo pour illustration. Source: google Un trait noir partant de la narine, passant par l’œil, de couleur bleu-vert à pupille ronde et noire, et qui disparaît le long du cou est parfois présent. Il sépare la partie supérieure de la tête vert foncé, des écailles labiales colorées de jaune ou de vert clair. La coloration de la queue contraste avec le corps et peut être marron, grise, rousse ou orange avec parfois une bande rouge sur le dessus, dont son nom commun : serpent ratier vert à queue rouge. La tête est allongée, se termine par un museau pointu. La langue est toujours de couleur bleu. Celle-ci est tirée, lentement, balancée de bas en haut et de haut en bas, les deux pointes fortement écartées et ceci pendant plusieurs secondes Habitats: Le serpent ratier à queue rouge est un serpent arboricole qui habite les forêts tropicales humides de bases altitudes (700 à 1 300 m) et passe l’essentiel de son temps dans les arbres, les arbustes ou la végétation des sous bois. Il fréquente aussi les mangroves, les plantations, les jardins ainsi que les abords de point d’eau. Bon nageur, le serpent ratier vert à queue rouge quitte volontiers les arbres pour aller se baigner. L'humidité ambiante de ses habitats doit toujours être élevée. Photo pour illustration. Source: http://steve83140.skyblog.com Moeurs et comportement: De mœurs diurne, Gonyosoma oxycephalum de part son coloris se fond dans son biotope naturel et s’y déplace avec une vitesse et une agilité surprenante, grâce à son corps svelte, long et comprimé latéralement pour lui donner plus de rigidité. Le serpent ratier vert à queue rouge se sert de ses capacités pour attraper ses proies, telles que oiseaux, chauves–souris ainsi que des rongeurs arboricoles, qui sont chassées à l'affût et tuées par constriction. Les jeunes spécimens préfèrent les lézards, les grenouilles et oisillons qu’ils vont chercher dans les nids. La nuit, le serpent ratier vert à queue rouge reste camouflé dans les feuillages ou dans des troncs d'arbres creux. De denture aglyphe, le serpent ratier vert à queue rouge est rapide et agressif, cherchant souvent à mordre après s’être positionné en « S » horizontal, soulevant au-dessus du sol la partie antérieure de son corps, tout en comprimant sa gorge latéralement et en gonflant son cou sur 20 ou 3O cm. Sa morsure est franche et répétée avec un mâchonnement persistant. Photo pour illustration. Source: google Post en cours

Et, tu vas en faire pleure un Mais vivement qu'il mue, que je sache si je dois t'harceler jusqu'à tu craques, pour pouvoir le récupérer

La plupart de tous ces "hybrides" sont créés à partir d'un même genre. Seules les espèces sont différentes. Rares sont les "vrais" hybrides créés à partir de deux genres bien différents. Cela est quand même possible, même dans le milieu naturel comme ce Pituophis x Lampropeltis Photo pour illustration. Source: Google L'hybridation existe. Il faut en parler que l'on soit pour ou contre. Cela reste de l'info...

16 Et voilà le dernier numèro de cette revue. Si vous voulez des articles, comme d'habitude, faites le moi savoir et laisser moi le temps après de le poster

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