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askook

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  1. Elaphe bimaculata Elaphe bimaculata Photo pour illustration. Source: Google Généralité Répartition géographique: Chine Taille: 80 à 100 cm pour les femelles (maximum connu 120 cm) et 50 à 60 cm pour les mâles. Biotope: Lisières de forêts, terrains en friche à végétation clairsemée, terrains cultivés. Au pied de collines, de vallées, de montagnes (jusqu'à 1 000 m d'altitude). Biologie: Terrestre et semi-arboricole. Diurne et Nocturne. Nourriture: Rongeurs, lézards, oiseaux ainsi que leurs oeufs. Reproduction: Ovipare ( De 3 à 12 oeufs). Vie en captivité Terrarium: 50 x 50 x 60 cm. Température: Diurne (22-24° C, point chaud à 29° C). Nocturne (18-20° C). Humidité: Hygrométrie moyenne (60%). Nourriture: Rongeurs. Hivernation: 2 à 3 mois à 12-15° C dans l'obscurité. Remarques: Espèce très proche d'Elaphe dione.
  2. Coelognathus Fitzinger, 1843 Coelognathus erythrurus (Duméril, Bibron & Duméril, 1854) -Coelognathus erythrurus erythrurus (Duméril, Bibron & Duméril, 1854) -Coelognathus erythrurus celebensis (Jan, 1863) -Coelognathus erythrurus manillensis (Jan, 1863) -Coelognathus erythrurus psephenoura (Leviton, 1977) Coelognathus flavolineatus (Schlegel, 1837) Coelognathus helenus (Daudin, 1803) - Coelognathus helenus helenus (Daudin, 1803) - Coelognathus helenus monticollaris (Schulz, 1992) Coelognathus philippinus (Griffin, 1909) Coelognathus radiatus (Boie 1827) Coelognathus subradiatus (Schlegel, 1837) - Coelognathus subradiatus subradiatus (Schlegel, 1837) - Coelognathus subradiatus enganensis (Vinciguerra, 1892)
  3. askook

    Bits arietans

    Environ 130 cm pour un peu plus de 5 kg
  4. askook

    du nouveau a la maison

    Mais toi, Melkia, tu n'as pas de bol, même un escargot arriverait à te mordre
  5. askook

    du nouveau a la maison

    Heureux qu'elles te plaisent Des vrais anges , tu verras...
  6. askook

    record

    Futurs candidats pour un voyage sur Mars
  7. Coelognathus radiatus est un colubridé présent depuis longtemps en terrariophilie et pourtant peu d’articles ont été écrits sur cette espèce. Coelognathus radiatus est peu ou pas connu et encore peu présent dans les élevages des terrariophiles français. La mauvaise réputation des colubridés asiatiques, considérés comme agressifs et difficile à maintenir en est sûrement la raison. Généralité Coelognathus radiatus (Boie, 1827) fait partie de la famille des Colubridae et de la sous-famille des Colubrinae. Le serpent ratier à tête cuivrée est plus connu sous le nom d’Elaphe radiata. Depuis la révision du genre Elaphe par Utiger et al., 2002, son taxon valide est Coelognathus radiatus. On rencontre le serpent ratier à tête cuivrée en Asie. Son aire de répartition s’étend de la Chine jusqu’en Indonésie (île de Java), en passant par l’Inde, le Népal, le Bouthan, le Bengladesh, le Myanmar, le Laos, la Thaïlande, le Vietnam, le Cambodge, la Malaisie, l’Indonésie (îles de Java, Sumatra, Bornéo). D’une taille comprise entre 150 et 180 cm, pouvant atteindre exceptionnellement 200 cm, Coelognathus radiatus possède une tête peu distincte du corps, qui lui est fin et élancé. La coloration du serpent ratier à tête cuivrée varie en fonction de sa répartition géographique. La couleur de fond varie du marron orangé au marron foncé en passant par le jaune pâle. De chaque côté de la colonne vertébrale se dessinent deux bandes noires, et cela sur environ les deux tiers du corps. Deux autres bandes noires sont présentes au milieu des flancs, et cela sur les deux tiers du corps. Le reste du corps est de couleur uniforme. Le ventre est blanc ou jaune devenant bleu ou gris bleu dans sa partie postérieure. Coelognathus radiatus. Photo pour illustration. Source: Google La tête est marron foncé et à l’arrière de celle-ci se trouve un collier noir. Deux bandes noires partent de chaque œil, l’une allant rejoindre la commissure des lèvres, l’autre remontant légèrement et allant jusqu’à la bande noire située derrière la tête. Coelognathus radiatus vit en milieu tropical humide. On trouve cette espèce dans les forêts primaires, dans les zones agricoles et en zones boisées. Il est possible de rentrer le serpent ratier à tête cuivrée dans les forêts en altitude, jusqu’à 1 400m. Il n’est pas rare de rencontrer des individus près des habitations. De mœurs terrestre ou semi-arboricoles, Coelognathus radiatus passe une grande partie de son temps cachée. Les sorties sont matinales et en soirée, aux heures fraîches de la journée. Si les spécimens adultes sont plutôt diurnes, les jeunes ont au contraire une tendance à une vie nocturne. On observe le serpent ratier à tête cuivrée plus fréquemment le jour, en période de moussons, qu'en saison sèche ou il préfère rester terrer dans un refuge et ne sortir qu'à la nuit tombante. Le serpent ratier à tête cuivrée est très craintif et très vif. Ainsi, lorsqu’il se sent acculé, sans possibilité de fuir, il dresse le premier tiers de son corps en « S ». De plus, pour impressionner davantage son adversaire, il gonfle le corps et ouvre grand sa gueule. En cas de non compréhension de l’agresseur, Coelognathus radiatus n’hésitera pas à mordre. Coelognathus radiatus. Photo pour illustration. Source: Google L’alimentation de Coelognathus radiatus est constituée de rongeurs, mais n’a rien contre un repas composé d’oiseaux ou d’amphibiens. Les jeunes spécimens ont une nette préférence pour les lézards. Il n'existe pas de véritable saison de reproduction pour Coelognathus radiatus, celle-ci pouvant avoir lieu toute l'année. Plusieurs pontes, de 5 à 15 oeufs, rarement plus de 20 peuvent être pondues selon l'aire de répartition, jusqu'à 4 pontes pour les spécimens de l'extrême sud. Vie en captivité Installation du terrarium. Le terrarium doit être suffisamment vase pour y maintenir un couple. Les dimensions seront d’environ 100 x 50 x 50 cm. On utilise un terrarium classique pour serpent, avec une bonne aération et une ouverture horizontale et coulissante qui n’offre pas de possibilité d’évasion. Il devra aussi être conçu avec une matière pouvant supporter un taux d’humidité important. Le chauffage est assuré par un câble, ou une plaque chauffante que l’on placera sous une moitié du terrarium et à l’extérieur de celui-ci. Le chauffage sera relié à un thermostat qui gérera les températures diurnes et nocturnes. En journée, la température sera comprise aux environs de 24-25° C, avec un point chaud à 28-29° C. La nuit, on coupera ou réduira le chauffage pour que la température descende à une température ambiante, environ 20-22° C. L’éclairage de faible intensité, mais indispensable, se fait par un tube fluorescent, qui sera allumé 12 heures par jour, pour un cycle jour-nuit. Le taux d’hygrométrie devra se situer entre 70 et 80%, avec un sol mi-sec, mi-humide. On obtiendra ce taux assez élevé grâce à un grand récipient d’eau placé au point le plus chaud, ainsi qu’avec des pulvérisations quotidiennes d’eau tiède. Le substrat utilisé doit pouvoir supporter le taux important d’humidité. Le décor sera composé de nombreuses cachettes (au sol et en hauteur), en raison du comportement craintif du serpent ratier à tête cuivrée. Il sera complété par des branches, des plantes artificielles et d’un récipient d’eau (à maintenir toujours propre) assez grand, qui permettra à Coelognathus radiatus de boire et de s’immerger totalement. Alimentation. Gros mangeur, Coelognathus radiatus n’est pas difficile sur son alimentation. Les proies (rongeurs) mortes ou fraîchement tuées sont acceptées facilement. Coelognathus radiatus. Photo pour illustration. Source: Google Les individus seront séparés lors de la distribution de nourriture, pour des raisons de sécurité (morsures entre individus). Après le nourrissage, il faut éviter toutes manipulations pouvant entraîner un stress. Le serpent ratier à tête cuivrée étant très nerveux, à tendance à régurgiter ses repas, en cas de manipulation trop proche de son repas. Reproduction. Le serpent ratier à tête cuivrée ne possède pas de saison de reproduction. Celle-ci pouvant se dérouler toute l’année et donner plusieurs pontes. Il est préférable quand même de respecter quelques règles. Pour reproduire Coelognathus radiatus, une période de repos, faite individuellement, est nécessaire. La température sera abaissé tout doucement, jusqu’à atteindre 18-20° C. A ce moment là, la durée de l’éclairage sera de 6 heures par jour et cela pendant deux ou trois mois. Une fois les individus remis ensemble, l’on observera, très rapidement, des accouplements non violents. Une quarantaine de jours après les accouplements, la femelle pond environ une dizaine d’œufs. La ponte sera incubée à une température comprise entre 27 et 29° C pour un taux d’humidité compris entre 90-100%. La durée de cette incubation sera comprise entre 68 et 90 jours. Les jeunes serpents ratiers à tête cuivrée sont très sensibles à la déshydratation, c’est le point le plus délicat de leur maintenance. Leur alimentation ne posant pas de réel problème. Ils accepteront, après leur première mue, des souriceaux vivants ou morts. La forme "albinos" est la plus recherchée par les terariophiles. Coelognathus radiatus. Photo pour illustration. Source: Google Références Bibliographiques Moret. P & Rosselle. S (2002) - Elaphe radiata: le serpent ratier à tête cuivrée. Reptil Mag N° 9. Perringaux.P (1990) - 100 Reptiles en Terrariums. Edt D.P. Perringaux Staszko.R & Walls J.G (1994) - Rat snakes. A hobbyist's Guide to Elaphe and Kin. Edt. T.F.H
  8. askook

    Hibernation naturelle

    La quarantaine, la plus belle des décennies
  9. askook

    question

    Pas grand chose d'autre à ajouter Les animaux sont nickels, les envois sont hyper bien faits Quant aux prix, un peu plus chers que chez un particulier, mais raisonnables pour un professionnel
  10. On peut posséder beaucoup de terrarium et d'animaux, et avoir toujours des terrariums nickels, le nombre ne justifie pas un entretien douteux. Il faut y consacrer beaucoup de temps ou avoir du personnel adapté. Je ne parle pas là, que pour les magasins. En ce qui concerne le post, je parlais du cas d'un spécimen de toute beauté, au prix élevé, dont aucun vendeur et vendeuse, ne sait donné la peine de vérifier sa boite d'élevage depuis un certain temps, ou mis en quarantaine suite à cette régurgitation, et cela est bien dommage. En ce qui concerne Karim, il est effectivement quelqu'un qui connaît parfaitement le monde du reptiles, qui a apporté beaucoup à la terrariophilie française, et qui est très agréable à rencontrer par rapport à d'autres personnes du magasin.
  11. Non, ce ne sont pas les miens J'ai arrêté l'élevage des Lampropeltis
  12. L'un des moments, qui est aussi la récompense ultime d'un terrariophile, c'est les naissances, et surtout celles des espèces ovovivipares Tu rentres dans la pièce d'élevage, et là surprise, un mélange de serpenteaux, d'ovules non fécondées, de matière gélatineuse rempli le terrarium. Et le moment le plus agréable arrive, allez chercher un par un, tous ces nouveau-nés, les nettoyer, les aider à sortir de leur poche et les regarder un par un, pour observer leur dessin, la couleur et tout ce qui fera leur charme. Il y a aussi cette odeur, bien particulière, qui rempli la pièce, et complète ce moment si intense. Je me suis toujours dit, que j'arrêterai la terrariophilie, le jour où je ne resentirai plus cette émotion lors d'une naissance ou d'une éclosion, quelque soit l'espèce
  13. askook

    Male ou Femelle ?

    Il y a eu dans les années 90 des hybres Trimeresurus albolabris x Trimeresurus macrops qui ont vu le jour chez un éleveur français
  14. Il y a du bon et du moins bon On a tendance à remarquer et à parler que du moins bon (propreté, taille des terrariums etc.), ce qui est vrai et qu'il ne faut pas cacher Mais, on ne parle que très rarement des bonnes choses Personnellement, tous les spécimens que je possède et qui viennent de la Ferme Tropicale, ne m'ont jamais, posé aucun problème de santé ou d'alimentation Il faut aussi savoir choisir ses acquisitions et savoir refusé ce que l'on nous propose, quand on a un doute sur l'animal Quant au magasin, je trouve qu'il est quand même mieux que l'ancien, qui était tout petit
  15. Aujourd'hui, je suis allé à Paris faire l'acquisition d'un couple de Coelognathus radiatus (ex Elaphe radiata) et d'une femelle Pituophis vertebralis Aller à Paris, sans passer à la Ferme Tropicale, au Muséum d'Histoire Naturelle et à la Librairie Thomas, ce n'est pas possible pour moi A La Ferme, je voulais voir deux ou trois petites "choses" dont les fameux Heterodon nasicus "albinos" à 1850€ Je cite la Ferme Tropicale "Il existe plusieurs lignées d’albinos, la forme rouge de Vincent Russo et de loin la plus marquée et la plus rare. La coloration résulte d’une longue sélection de teinte. Deux couples sont disponibles. 18 cm" C'est vrai que les spécimens sont magnifiques Mais qu'elle fut ma surprise en prenant la boite, pour regarder un des spécimen, de voir un repas régurgité et pas de la journée J'espère que cette régurgitation n'est qu'accidentelle et pas fréquente, sinon je ne voudrais pas être à la place du terrariophile qui va acheter ce serpent à groin, à ce prix
  16. Attention à elle, Arwen Tu es surveillée
  17. askook

    ma nouvelle acquisition

    Symapthique le saurien
  18. askook

    Male ou Femelle ?

    Je pense un peu comme toi Il y aurait un peu d'hybridation, que cela ne serait pas surprenant
  19. askook

    Crotalus basilicus

    J'adore cette écaille rostrale
  20. askook

    Sethi mon naja

    Oh, zut On a oublié de te dire que Sethi est né d'une reproduction Pantherophis x Naja Fait attention en cas de morsure En ce qui concerne la prise de proie par derrière, il est comme son ancien propriétaire; Il a ses préférences...
  21. askook

    Plein de sauriens

    De quoi se régaler http://www.kaiman.ch/ http://www.little-dragons.ch.vu/
  22. Un autre http://www.atheris-world.homepage.t-online.de/
  23. askook

    Liens pour les "gutt"

    un de plus http://www.colorsnakes.nl/
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