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Bonjour tout le monde ; J'ai l'occasion d'acquérir un trio de Takydromus Sexlineatus (Lézard à longue queue) et j'aimerais savoir si quelqu'un d'entre vous en a ou a déjà posséder Bien sur j'ai lu les différentes fiches d'élevages le concernant mais rien ne vaut l'xpérience vécue Merci à vous tous pour vos infos qui me seront précieuses * Photo Google
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Cet hyperolidé est originaire de Tanzanie. Description, taille Il s'agit d'un des plus gros représentants du genre avec une taille allant de 5 (mâles) à 7 cm (femelles) en moyenne. La livrée est assez variable, généralement vert vif avec des marbrures noires, surtout marquées chez les jeunes. Les pelotes adhésives sont très développées et les yeux sont de grande taille. Habitat et mœurs Originaire de la forêt tropicale humide, cet hyperolidé se tient en permanence parmi le couvert végétal et il est assez actif la nuit. Maintenance, nourriture et reproduction Un terrarium de 60 X 40 X 40 cm convient bien pour loger un couple. Il est toutefois préférable de prévoir de plus grandes dimensions s'il y a un groupe comportant plusieurs mâles car ils sont très territoriaux. L'habitat sera de type tropical humide, avec un substrat constitué de terreau spécial reptiles, en évitant sable et graviers qui peuvent provoquer des lésions cutanées, un récipient d'eau peu profond mais assez vaste, des plantes naturelles soigneusement rincées pour éliminer les pesticides. Ces dernières jouent un rôle important : elles servent de perchoir et d'abri. Elles contribuent à maintenir un degré d'hygrométrie élevé, indispensable pour élever ces grenouilles. Un câble de 15 W disposé au sol permettra d'atteindre les températures adéquates, soit 25 à 28 °C le jour, abaissées aux alentours de 23 °C la nuit. En règle générale, il faudra veiller à assurer une hygrométrie de l'ordre de 70 à 80 % le jour et 90 à 100 % la nuit. Leptopelis vermiculatus s'alimente sans problème d'invertébrés divers (grillons, teignes, papillons, araignées...). Pour obtenir la reproduction de cette espèce, il faut recréer une saison sèche de deux à trois mois durant laquelle l'hygrométrie est diminuée (60 % le jour, 70 % la nuit). Le retour à la saison des pluies déclenche les accouplements. Les œufs sont pondus dans un petit aquarium (à mettre en place). Les têtards sont végétariens et doivent être maintenus dans une eau à 25 °C. * Source www.animalia-editions.net
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Le lézard cornu est originaire de la partie sud du continent nord-américain, du Nevada au nord du Mexique. Description, taille Petites espèces (14 cm). La morphologie caractéristique des lézards cornus évoque plus un crapaud qu'un lézard au sens classique du terme. La tête est large et triangulaire avec des écailles épineuses à la limite tête-cou, à l'origine du nom de « lézard cornu », le corps massif et rondouillard, tandis que la queue est extrêmement courte. Une rangée d'épines court le long des flancs (comme chez l'agame barbu). Habitat et mœurs Habitant des déserts, les lézards cornus ont une activité diurne et strictement terrestre. Ils se nourrissent d'arthropodes mais les fourmis représentent une part importante de la ration, au moins 50 % (pour P. coronatum et P. douglassi) et jusqu'à 90 % (P. solare, notamment). Ce régime très spécialisé est à l'origine des problèmes d'adaptation à la captivité auxquels on est exposé avec cette espèce. Le mode de défense réside essentiellement dans le camouflage, très efficace dans son environnement naturel, mais en cas de danger, ils peuvent aussi faire le mort. Ils passent aussi beaucoup de temps enfouis dans le substrat. Certaines espèces ont également la capacité de projeter des gouttes de sang par le coin des yeux, en visant les yeux de l'adversaire, ce qui occasionne de vives douleurs et des troubles de la vision. Maintenance, nourriture et reproduction Un terrarium de 60 x 40 cm, de type désertique sec, avec une bonne épaisseur de sable convient. Prévoir des pierres ou des racines en guise d'abri. Pour abreuver les lézards, de légères pulvérisations d'eau tiède suffisent. La plus grosse difficulté réside évidemment dans l'alimentation. Certains éleveurs ont réussi à élever leurs spécimens en les nourrissant de tout petits grillons et de teignes de ruche (de temps en temps). Mais en l'absence de fourmis, le carences alimentaires (en acide formique) sont à craindre. D'autre part, les proies de substitution provoquent souvent des régurgitations. Température diurne de 32 à 35 °C, abaissée la nuit aux alentours de 20 °C. UV impératifs. La reproduction est rare en captivité. Les pontes peuvent comporter une quinzaine d'œufs (jusqu'à 28 chez P. solare), tandis que certaines espèces comme P. douglassi sont ovovivipares. Nota : Même si ces lézards sont incontestablement intéressants et attrayants, leur acquisition doit être réservée aux terrariophiles expérimentés et motivés, compte tenu des difficultés d'élevage qu'ils présentent, principalement sur le plan alimentaire. Sans parler de reproduction, la simple maintenance à long terme représente un défi délicat à relever. * Source www.animalia-editions.net
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J'ai aussi trouvé ceci qui me parais assez intéressant à rajouter : Le lézard à collier fréquente le sud des États-Unis (Nevada, Californie, Texas) et nord du Mexique. Description, taille Espèce de taille moyenne (30 cm environ dont deux bons tiers pour la queue). Le corps est assez massif avec des membres bien développés garnis de fortes griffes. La queue est effilée. La tête est triangulaire. C. collaris comporte cinq sous-espèces : C. c. collaris, C. c. baileyi, C. c. auriceps, C. c. bicinctores et C. c. fuscus. La coloration est assez variable selon la sous-espèce en cause, la plus brillante étant rencontrée chez C. c. collaris : le mâle a une coloration de fond vert ou bleu azur, rehaussée de taches jaunes ou grisâtres. Chez les deux sexes, on note la présence d'une sorte de collier situé derrière la nuque, formé de deux bandes noires parallèles séparées par une bande blanchâtre. Durant la majeure partie de l'année, les femelles ont une robe beaucoup plus terne que les mâles, avec une teinte de fond grise ou marron marquée de petites taches plus foncées. Toutefois, en période de reproduction, elles ont de larges taches orange vif sur les flancs. Les jeunes avant la puberté sont de la même couleur que les femelles en période normale. Habitat et mœurs Strictement diurnes et très héliophiles, les lézards à colliers fréquentent les zones semi-arides rocailleuses. Ils évoluent souvent sur ces perchoirs naturels et y trouvent leur abri. Par contraste, leur proche cousin, le lézard léopard, fréquente les zones plates garnies de buissons. Ils sont très actifs et dotés d'un appétit féroce. Ils consomment tous les invertébrés disponibles, de petits vertébrés (lézards, micro-mammifères) ainsi que des végétaux. Leur principale stratégie de défense est la fuite. Ils peuvent alors courir vite, dressés sur les pattes postérieures. Ils ont également la faculté, comme le chuckwalla (Sauromalus obesus) de se glisser entre deux rochers et de gonfler d'air pour devenir quasi impossibles à extraire. On retrouve ce comportement au début en captivité : en cas de manipulation stressante, le lézard à collier se transforme en petit ballon à pattes ! Maintenance, nourriture et reproduction Malgré la taille modeste de ces lézards, il est souhaitable de prévoir un terrarium de bonne dimension de 80 X 40 X 80 cm, de type désertique sec, avec une bonne épaisseur de sable. Prévoir des pierres ou des racines en guise d'abri. Pour abreuver les lézards, un bassin d'eau est indispensable. Il est impératif de prévoir aussi de nombreux perchoirs (par exemple des plaques de décor imitant la roche) car cette espèce grimpe beaucoup. L'alimentation ne pose guère de difficulté. L'espèce accepte quasiment tous les invertébrés disponibles ainsi que les souriceaux. Température diurne de 32 à 35 °C, abaissée la nuit aux alentours de 20 °C. UV impératifs. La reproduction est de plus en plus courante en captivité. Une période d'hibernation de 2 mois à 15 °C est indispensable. Les pontes comportent une demi-douzaine d'œufs en moyenne. Les jeunes s'élèvent sans difficulté majeure et possèdent un solide appétit. Nota. Espèce très intéressante, active et familière. On trouve de plus en plus de spécimens nés en captivité, qui s'élèvent et s'apprivoisent bien. En revanche, certains adultes d'import posent de gros problèmes d'acclimatation. Compte tenu de ses tendances plus ou moins marquées au cannibalisme, on évitera de mélanger des spécimens de tailles trop disparates. * Source www.animalia-editions.net
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Spécialiste de la photo animalière, Rafi Toumayan s'est très tôt pris de passion pour les serpents d'Afrique dans un premier temps, puis, au fil des années, des serpents du monde entier. Serpents venimeux ou inoffensifs, serpents agressifs ou indolents, il les présente sous forme de photographies prises aux quatre coins du monde au cours de conférences et d'expositions itinérantes en France, comme à l'étranger. Amateur, au sens premier du terme, des ophidiens, ce professionnel de l'image, ce passionné vous invite à visiter son site de photos de serpents et pénétrer ainsi le monde des… http://www.photos-serpents.com/
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